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Le jouet de Jade

Chapitre 6

Trash
Lilian et sa jeune épouse ouvrirent les yeux avec le lever du soleil dans des draps trempés de sueur.  Jade profita tout de suite de sa première érection et ils firent l’amour à la papa-maman en s’embrassant tout du long et en caressant leurs peaux moites. C’était l’heure d’un plaisir sensuel, chargé d’amour et d’érotisme que Lilian savait faire durer à la perfection. Ses va-et-vient étaient calculés et son pénis coulissait avec force et douceur dans le chaud conduit humide. Il était attentif aux moindres réactions de sa Chérie et savait les mouvements subtils à même de lui procurer le plus de plaisir.Le premier orgasme de Jade déterminait souvent son humeur du jour et Lilian savait la rendre heureuse. Ce matin là, il jouit longuement en elle tandis qu’elle s’agrippait à lui de tout son corps et de tout son être. Ils restèrent ensuite enlacés et le sexe de Lilian peinait à perdre du volume. Cela, ajouté à sa taille naturellement imposante faisait qu’il resta planté dans son intimité durant ce câlin post-coït qui complétait divinement son orgasme.
— Tu peux faire pipi, mon Chéri, laisse-toi aller, je suis sûre que tu as envie.— Tu veux ? Et toi ?— Après. Quand je n’aurais plus envie d’être serrée contre toi et de te sentir en moi.
Lilian qui avait effectivement une très forte envie se lâcha dans la matrice de Jade. Son flot chaud et abondant lui remplit le ventre et la fit jouir encore une fois. Bien que ce ne soit pas une de leurs pratiques les plus courantes, elle aimait les sensations que produisait sa miction frappant au fond de son vagin et autorisait parfois Lilian à le faire. Elle le trouvait beau alors qu’il se vidait, fermant les yeux et tout entier rempli du plaisir simple que tout homme ressent en urinant. La miction terminée, ils restèrent encore enlacés et la verge de Lilian reprit de l’ampleur.
— Salop, tu rebandes déjà ! Mais va falloir que tu attendes un peu, j’ai des besoins, moi aussi.
Lilian se dégagea d’au-dessus de Jade et s’allongea à coté d’elle. Elle se mit debout sur le lit, les pieds de part et d’autre de son mari, et expulsa d’abord le liquide qu’il avait déversé en elle, puis elle fléchit un peu les jambes et arrosa son visage en visant sa bouche ouverte. Pendant qu’il recevait l’onde chaude et fortement odorante de la première urine du matin, Lilian se masturbait doucement. Quand elle eut fini, elle se mit à genoux sur lui et attrapa sa verge tendue pour la placer elle-même sur son petit orifice.
— Et bien, mon Chéri, tu es sacrément en forme ce matin, dit Jade une fois que Lilian eut joui dans son cul.— Oui, je ne sais pas, c’est cette moiteur peut-être ou le fait d’être ici.— Oui, je crois qu’on n’est pas trop mal tombé, enfin, heureusement qu’il y a Néron car je ne suis pas certaine que Maxime pourrait me la mettre.— Tu vas te refaire prendre par le chien ?— À défaut d’autres bites, il faut bien ; surtout que toi, je sais déjà que tu vas t’en prendre plein le cul. T’as entendu ce qu’a dit Maxime : son mec a un faible pour les petits minets comme toi.— Tu sais ça ne me gêne pas que tu te fasse saillir par Néron, au contraire, c’est très excitant. Mais je suis sûr que tu ne resteras pas une journée sans trouver d’autres bites. En plus, on va récupérer une voiture tout à l’heure et on pourra commencer à visiter l’île. Ce serait bien le diable si on ne rencontrait pas deux ou trois hommes disposés à t’accorder un moment et quelques coups de queues, tu ne crois pas ?— Oui, je sais mais après de retour ici, à moins d’amener un ou deux amants, je vais me faire chienne.— Ça te plait en fait.— J’ai découvert quelque chose, tu veux dire. Et toi, mon salop, t’as bien aimé aussi.— Oui, mais je crois que ce brave toutou a quand même une préférence pour les femmes alors…
Jade et Lilian prirent leur petit déjeuner sur la terrasse de leur bungalow. Situé sur le flanc d’une colline, ils avaient une vue splendide sur la mer. Tout en mangeant, ils admiraient la végétation inconnue. Il avait plu pendant la nuit, alors qu’il faisait l’amour ; tout, autour d’eux, était trempé et des nuages de vapeur s’élevaient de la canopée des forêts avoisinantes. Quelques merles locaux vinrent quémander des miettes et un colibri vint butiner les fleurs d’un arbuste ornant leur location. Pour Jade et Lilian, ces instants qui faisaient sans doute partie du quotidien des autochtones, eurent quelque chose de vraiment magique.

Maxime se doutait que ses jeunes clients seraient réveillés de bonne heure et il guettait depuis quelques temps leur apparition quand il les vit s’installer sur leur terrasse pour manger. Il décida de leur laisser du temps avant de les rejoindre et se resservit un café. Tout en les observant depuis sa terrasse, il repensait à la réaction de Joep lorsqu’il avait découvert les films qu’il lui avait envoyés par mail la veille au soir. Joep l’avait appelé tout de suite après avoir découvert son message et les documents vidéo attachés. Il voulu tout de suite savoir qui avait filmé et Maxime lui expliqua que c’était la femme du jeune homme, que Jade était apparemment nymphomane et que Lilian était bisexuel, très attiré par les bites et très passif avec les hommes. Il rajouta que Néron semblait très attiré par la jeune femme qui avait fait ses premiers pas dans la zoophilie dès son arrivée. Joep était ravi de ces nouvelles car il savait que grâce à ce jeune homme, son compagnon serait moins tenté de faire des cochonneries avec leur chien. Il avait aussi réclamé plus d’images de Lilian, des photos et des vidéos de lui tout seul pour qu’il puisse mieux apprécier sa beauté et il avait regretté de ne pas pouvoir revenir tout de suite.Maxime n’était vêtu que d’un caleçon qui moulait avantageusement sa verge épaisse lorsqu’il arriva, suivit de Néron, au bungalow de Jade et Lilian.
— Alors les jeunes, bien dormi ?— Oh, Maxime, bonjour. Firent en cœur les deux jeunes gens qui se levèrent pour l’embrasser, Jade sur les joues et Lilian sur la bouche.— On a très bien dormi, poursuivit Jade, même si on a eu chaud et qu’on a beaucoup transpiré.— C’est idiot, vous auriez dû mettre la clim.— Je n’aime pas trop ça, expliqua-t-elle en caressant et embrassant Néron. Ça fait du bruit et je préfère encore être trempée.
Maxime n’avait pas lâché Lilian qu’il tenait par la taille et faisait remarquer à Jade que son chien l’avait adoptée.
— Néron a besoin d’une chienne, répondit-elle sans détour tandis que l’animal lui léchait le visage.— Et Jade a décidé de ne surtout pas le frustrer, ajouta Lilian en rigolant.— Et toi, tu sens le pipi et tu as la quéquette bien sale, mon beau.— C’est normal, on ne s’est pas encore douché et nous avons quelques pratiques matinales qui font que…— Mmm, je suis sûr que tu en as bu, cochon.— Oui, plein ! Mais si tu veux, je peux boire le tiens aussi.— Et tu fais ça comment ?— Je te montre, dit Lilian en s’agenouillant devant Maxime. Je vais prendre ta bite dans la bouche et tu n’auras plus qu’à pisser.
Lilian descendit l’élastique du boxer de Maxime sous ses couilles, prit entre deux doigts sa verge encore molle et en goba le gland.
— Tu peux y aller, il est prêt. Intervint Jade qui caressait les couilles et le sexe de Néron.
Maxime ferma les yeux, se concentra puis les rouvrit lorsque sa miction s’échappa. Lilian reçut le nectar doré dans sa bouche et avalait au fur et à mesure qu’elle se remplissait. Maxime lui tenait l’arrière de la tête pour s’enfoncer plus profondément et tandis que le flot tarissait, il se mit à bander furieusement.  Jade était déjà à quatre pattes à se faire lécher la chatte par Néron tandis que Lilian après s’être gaver du pipi de Maxime lui procurait maintenant une gorge profonde. Le métis fit mettre son jeune amant à quatre pattes à côté de sa femme et alors que le molosse grimpait sur celle-ci, il pénétra Lilian avec bonheur. Le cul du jeune homme était bien plein et quand il ressortait sa bite elle était bien chargée de son contenu. Jade criait en recevant la première décharge de Néron et Maxime demanda à Lilian de reprendre sa bite en bouche. Le garçon se jeta sur sa barre de chocolat crémeuse et la nettoya goulument de toutes ses saletés avant de se remettre en position pour se faire enculer. Néron s’était retourné et Jade, la tête et les épaules au sol, avait réussi à lui attraper les pattes de derrière pour l’empêcher de bouger. Elle Jouissait autant des sensations extraordinaire que lui procurait l’animal que de voir Lilian s’en prendre plein le cul.
Après cette baise, ils allèrent tous se doucher et s’habiller pour aller chercher la voiture de Joep. Maxime prit les deux jeunes dans son cabriolet M4cc et Lilian qui était un grand amateur de voitures, ne cacha pas son plaisir de monter dans ce type de bolide.
En chemin, Maxime expliqua l’organisation du réseau routier local, les particularités géographiques et leur indiqua, au passage, comment accéder aux grands centres commerciaux. Arrivé à l’aéroport, ils accédèrent à un parking surveillé où se trouvait la jeep Patriot de Joep.
La société de gardiennage avait été prévenue et en remis les clefs au jeune couple. Le stationnement était réglé et ils n’avaient plus qu’à partir.
— Vous voilà autonomes, dit Maxime, profitez du beau temps pour vous balader un peu. Dans la boite à gants, il y a les papiers et la télécommande du portail automatique de la propriété.— Merci Maxime, c’est vraiment très gentil, mais on n’a pas parlé du prix pour la location.— Vous verrez ça avec Joep quand il reviendra mais je crois que ton cul l’intéresse plus que votre argent.— On avait prévue de la louer, répliqua Jade, il n’est pas question que ce soit gratuit.— Je n’ai pas dit que ce serait gratuit mais je pense que ce sera relativement symbolique. N’y pensez pas trop et profitez de vos vacances.
Maxime leur conseilla un endroit où le naturisme était autorisé et qui était aussi un lieu de drague hétéro en pleine nature.
— Ce n’est pas difficile à trouver et il y a toujours un peu de monde quand il fait beau.
Avec ces précieuses indications, ils se dirigèrent directement vers la plage en question. Ils garèrent la voiture sur le parking d’une plage textile qu’ils durent contourner à pied. Apparemment, certains hommes attendaient là pour voir si des femmes, ou des couples, poursuivaient leur chemin vers la plage naturiste. Plus le sentier s’écartait de la plage classique et plus les capotes usagées étaient fréquentes. Ils débouchèrent enfin sur une petite anse entourée d’une forêt basse et en voyant un couple de touristes quinquagénaires allongés nu en plein soleil, ils se dirent qu’ils étaient arrivés au bon endroit. Ils passèrent auprès d’eux sans leur prêter trop d’importance et allèrent s’installer de l’autre côté de la plage à l’ombre d’un arbre étrange avec des fruits en forme de petite grappe de raisin.
— Là nous serons bien, dit Jade en étalant un draps de plage. Tu as vu comme ils étaient rouges ?— Oui, il fait être fou pour s’exposer ainsi, mais ça ne doit pas être des français et leurs corps n’ont sans doute pas vu le soleil.— En tout cas, j’espère que d’autres personnes vont venir parce qu’il ne me plait pas du tout…— Il est encore tôt, tu sais. On est quand même tombé du lit. Allons profiter de la mer.
Jade et Lilian coururent vers la mer des caraïbes et se plongèrent dans ses flots tièdes. Ils batifolèrent amoureusement, s’enlacèrent, s’embrassèrent et, finalement, firent l’amour dans l’eau. Ils venaient tous juste de jouir quand un bruit de moteur attira leur attention. Une barque de pêcheurs locaux passait la pointe de l’anse et se dirigeait vers eux. Il y avait trois hommes à bord qui venaient relever des nasses à poissons et qui, sans doute, en profitaient pour lorgner sur les femmes blanches qui se faisaient dorer à poil au soleil. Lilian et Jade se rapprochèrent du bord et la jeune femme se tint debout pour les regarder dans leur curieuse activité. Elle venait de jouir, mais son envie de sexe ne la lâchait pas et elle les observait en se massant machinalement les seins et la chatte. Lilian sourit en voyant sa jeune épouse exprimer si naturellement son désir et, pour ne pas constituer une entrave pour ces trois gaillards, il annonça qu’il allait plonger un peu pour admirer les fonds marins. Il se précipita vers leurs affaires et s’équipa très vite d’un masque, d’un tuba et de palmes pour partir en exploration en s’éloignant au plus vite de Jade et du bateau.
Jade avait chaud et elle espéra que ces trois hommes ne soient pas trop timides. Elle refit quelques pas vers la barque et s’arrêta quand l’onde lui caressa l’entre-jambes. Elle avait maintenant deux doigts enfoncés dans sa chatte humide et regardait avec insistance les trois hommes ressortir une nasse imposante pour en extraire quelques poissons. Ils y prélevèrent quelque poisson avant de la laisser retomber lourdement et, remettant en route, leur moteur, ils se rapprochèrent d’elle pour mieux l’observer. Son manège ne leur avait pas échappé et eux-mêmes caressaient le devant de leurs shorts crasseux. Alors qu’ils approchaient, elle put les dévisager un peu mieux et admirer leurs corps torse-nu bien musclés. Ils étaient bien noirs tous les trois et de belle stature. Il y avait un rasta, un chauve et le dernier avait les cheveux taillés courts.
— Alors, on s’ennuie ? Demanda le chauve en affichant un grand sourire.— Non, je vous admirais, répondit Jade très honnêtement. Et vous ? Vous avez pris beaucoup de poisson ?— Ici, ce n’est pas toujours très bon, lui répondit le Rasta en coupant le moteur. Mais on pêche parfois des sirènes…
La barque arriva en douceur tout près d’elle et le chauve jeta une ancre sur le fond.
— Et vous faites quoi de vos sirènes ?— Généralement, on leur fait connaître quelques plaisirs locaux… Surtout quand elles ont l’air d’en avoir envie. C’est ton copain qui est parti plonger ?— Mon mari… Si j’étais une sirène, vous me feriez découvrir les plaisirs dont vous parlez ? J’en ai très envie et, tel que je le connais, il en a pour un moment.
Lilian s’était bien éloigné et pendant un temps, il résista à l’envie de regarder en direction de sa femme. Du coup, il se laissa captiver par les myriades de poissons colorés et en suivant les rochers volcaniques, de l’autre côté de l’anse, il passa la pointe de l’anse. Il était maintenant suffisamment loin pour risquer un regard furtif et il vit les trois hommes pousser leur barque sur le bord de la plage et suivre Jade vers leurs serviettes. Ils serraient son épouse de près et visiblement, ils l’embrassaient et la caressaient. Désirant en voir plus, il décida de se rapprocher discrètement. Il retraversa la petite anse en ligne droite et osait régulièrement des regards en direction du quatuor. Les trois hommes étaient debout autour de Jade et avaient perdu leurs shorts. Même sans la voir, Lilian pouvait imaginer qu’elle suçait maintenant trois belles barres de chocolat. Le couple de quinquagénaires regardait visiblement indignés et l’un des pêcheurs s’en aperçut. Lilian s’était rapproché jusqu’à la barque et il l’utilisa pour se dissimuler mais, ce fut le moment où les trois hommes conduisirent Jade, par un sentier, dans le sous-bois. Il attendit quelques instants et décida de suivre leur chemin. Il avança avec précautions en guettant le moindre son et ne tarda pas à entendre des gémissements caractéristiques. Il quitta le chemin pour passer à l’ombre des arbres et chercher un poste d’observation discret, et se tapis derrière un gros tronc d’arbre à quelques mètres  des baiseurs.
Jade était allongée sur son drap de plage, au milieu de chemin, et le rasta la pénétrait devant ses deux copains qui se masturbaient mollement en attendant leur tour. Visiblement, il ne souhaitait pas aller trop vite car il laissa sa place à un autre avant d’avoir pris son plaisir. Leurs queues étaient bien raides et bien épaisses, et Jade en profitait bien. Les trois hommes se parlaient en créole en rigolant grassement et, même sans comprendre, Lilian se dit qu’il devait s’agir d’insultes ou de moqueries. Ils la prirent ainsi en missionnaire tous les trois puis elle se mit en levrette pour les sentir plus profondément. Elle jouissait à quatre pattes alors que le rasta lui en remettait un coup et le chauve profita de sa situation pour se faire sucer la queue. Mais, encore une fois, ils évitèrent d’aller trop vite et peu après, elle se retrouva empalée sur la verge du rasta allongé sous elle tandis que le chauve lui prenait le cul. Le troisième l’attrapa par les cheveux pour lui redonner sa bite à sucer et elle l’avala presque entièrement. Seul celui qui l’enculait bougeait mais ses mouvements entrainaient ceux de sa chatte sur la bite du rasta et ceux de la verge qui lui baisait la bouche. Les gémissements de Jade étaient étouffés dans sa gorge, les trois gars s’agitèrent avec plus de vigueur. Celui qui lui baisait la bouche lui plaqua le nez contre son pubis et poussant un râle de plaisir juste en même temps que le chauve se callait tout au fond de son cul. Ces deux là venaient de se vider les couilles et, dès qu’ils eurent abandonné la bouche et le cul de Jade, le rasta se mit activement en mouvements. Le corps de Jade alangui par ses orgasmes précédents sautait sur son bassin et elle émettait un gémissement continu de plaisir. Le gars se cabra, le bassin relevé et il maintenait Jade bien planté sur sa queue en proférant des choses incompréhensibles. Lilian décida de s’esquiver avec une discrétion absolue et ramassant au passage ses affaires de plongées, il retourna à l’eau. Sa bite était encore bien raide car il avait évité de se masturber pour ne pas révéler sa présence, mais il ne s’en soucia pas et espéra même que l’eau atténue son excitation. Malheureusement, l’eau n’était pas assez fraiche pour ça et il hésita à se masturber dès qu’il fut plongé dedans. Il se retourna pour regarder la place où ils s’étaient installés et vit ressortir Jade et ses amants. Il était à genoux, très proche du bord et les trois pêcheurs ne pouvaient pas ignorer qu’il les regardait. Jade remis son drap de plage à côté du sien et lui fit signe de venir les rejoindre. Lilian hésita un peu avant de sortir de l’eau. Il avançait vers leurs serviettes où les trois antillais s’étaient allongés auprès de Jade.
— Bonjour… Dit Lilian timidement.— Tu as loupé quelque chose, mon Chéri, lui dit Jade enthousiaste. À cause de ceux-là, on a du quitter la plage et tu n’as pas pu nous voir.— On a bien baisé ta femme, ajouta le rasta hilare. Il parait que t’aime bien qu’elle te trompe. C’est ça qui t’excite alors ?— Oui, j’aime qu’elle prenne du plaisir et sachez que je vous ai espionné. Je me suis caché derrière un gros arbre avec une écorce très lisse et rouge qui ressemble à du plastique.— Un gommier, expliqua le chauve. Et le spectacle t’a plu ?— J’en bande encore.— On avait remarqué, ha ha ! Et avec une bite comme ça, tu n’arrives pas à satisfaire ta femme ? Demanda celui aux cheveux courts.— Lilian me fait jouir tous les jours et me donne beaucoup d’amour mais aucune bite ne peut me satisfaire totalement. C’est pour ça qu’il est cocu. Tu veux lécher, Chéri ? Me demanda Jade en écartant les cuisses. Regarde tout ce qu’ils m’ont mis…— Kouinia Maman ! Il le fait en plus ! Ah ah ! Il bouffe notre sperme.— Lilian est un peu makoumé aussi, expliqua Jade en utilisant le seul mot de créole qu’elle connaissait. Mais pas que ; il aime aussi les femmes et, comme je vous l’ai dit, il me fait jouir comme personne.
Cette révélation fit bien rire les trois amants antillais de Jade qui semblaient vraiment s’accrocher. Déjà, le rasta lui caressait le sein gauche et le chauve s’occupait du droit avec sa bouche.
— Il va falloir retourner relever nos nasses, mais on t’en remettrait bien un coup plus tard… Vous pourriez venir nous retrouver dans l’après-midi ? Demanda le rasta. Je te ferais visiter ma case.— On peut même inviter deux amis en plus si on ne te suffit pas, rajouta le chauve sans lâcher son sein. Et ton mari pourra te regarder baiser autant qu’il veut.— Et même se branler, compléta le dernier.— Je ne sais pas… Tu en penses quoi, Chéri ?— Que cinq belles bites antillaises ne devraient pas te faire peur. C’est toi qui choisi, tu le sais bien.— Si vous pouvez vraiment ramener deux amis, c’est d’accord mais on se retrouve où et quand ?— On livre un restaurant qui s’appelle Ti Pwason sur l’anse de la Perle ; vous nous trouverez là-bas après le déjeuner.
Jade et Lilian ont mangé dans ce restaurant et vers quatorze heures, les trois compères vinrent les retrouver et ils les ont accompagnés jusqu’à la fameuse case. Il s’agissait d’une petite maison modeste en bois, avec un toit en tôles, entourée par un jardin luxuriant rempli de bananiers et de plantes étranges qui devaient être cultivées pour l’alimentation. Comme promis par le chauve, deux autres hommes les y retrouvèrent et, comme tout le monde était là uniquement pour baiser, il n’y eut ni présentation ni discussions inutiles.Jade se déshabilla tout de suite, ainsi que les cinq hommes, et elle se retrouva aussitôt à genoux pour sucer les cinq bites qui bandaient pour elle. Lilian pris une chaise qu’il plaça de sorte à bien voir l’action et hésita avant de se déshabiller également. Elle se laissa également lécher, embrasser et caresser dans tous les recoins. Elle fut prise par tous les trous pendant plus d’une heure, en simple, en double et même en triple et n’arrêta pas de jouir pendant tout ce temps.Lilian se masturba en regardant cette baise débridée, mais il fit attention à ne pas éjaculer trop tôt et réussit à tenir jusqu’au bout. Les gars étaient de plus en plus frénétiques et, comme ils se sentaient tous près à éjaculer, ils décidèrent de remplir la bouche de la jolie blanche. Jade reçut leurs cinq doses de foutre dans sa cavité buccale en même temps que Lilian éjaculait entre ses doigts et, sans en avaler une goutte, elle se leva pour rejoindre son mari et recracher tout dans sa bouche. Lilian reçut le foutre avec délice et avala avant d’échanger un baiser torride avec sa femme.
— Il n’est pas dégoûté, dit un des amants amusé.— Pourquoi il le serait ? Lui demanda Jade étonnée. Qu’une femme avale votre foutre, c’est normal et, si c’est un homme qui le fait, c’est dégoûtant ?— Ben, c’est quand même un truc de makoumé. Mais bon, s’il aime ça…— Je sais que l’homosexualité est mal vue en Guadeloupe, répondit Lilian à celui qui venait de parler. Mais ce n’est pas une chose qu’on choisit.  Moi, je suis bi ; j’aime autant les hommes que les femmes et je n’ai aucun problème. Ce sont ceux qui n’aime pas les homosexuels ou les bi qui en ont un.— Ouai, enfin, dit le chauve en rigolant. On n’a rien contre les makoumés mais on n’a juste pas envie de baiser avec toi, mec.— Ta femme nous suffit, ah ah !— Oui, enfin, il faudrait que vous retrouviez la forme, messieurs. Dit Jade en regardant leurs bites molles. Parce que là, vous n’avez pas l’air en état de continuer…— Ben t’as qu’à nous sucer, dit le rasta goguenard. Ça devrait aider.— Mmm… Et si c’était mon mari qui vous suçait ? Tout ceux qui ont essayé, l’ont trouvé très doué.— Sucé par un mec ?! Ah, non, ça ne va pas m’arriver… Dit un des deux gars qui avait rejoint le trio du matin.— Moi, je m’en moque ! Dit le rasta en s’approchant de Lilian. Si c’est la condition pour te sauter encore…— Tu veux bien ranimer ces messieurs, Lilou ? J’ai encore envie de leurs bites.— Je ferai toujours ce que tu me demandes, tu le sais bien. Dit Lilian en s’agenouillant devant le rasta.— Hé hé, il n’hésite pas… Oooh… Et, il me fait quoi, là ? Oh…— Il te suce, lui répondit Jade déjà fière de son mari.— Oui, mais… Oh, putain… On n’m’a jamais sucé comme ça, les mecs ! Ooooh…— Ah ah ! Rasta, tu vas bander en te faisant sucer par un blanc ?!— Tu devrais essayer… Ooh oui, le cocu… Aaah, putain… T’as une bonne bouche pour un mec. Déclara le rasta en dégageant une bite bien raide et luisante de salive.
L’influence du rasta était certaine sur le groupe et le deuxième gars que suça Lilian fini de convaincre les autres. Les cinq amants antillais de Jade y prirent un vrai plaisir et, quand Lilian abandonna leurs bites bien raides, ils étaient suffisamment chauffés pour la reprendre sans préliminaires. Elle eut droit à une deuxième baise torride qui se termina par le remplissage en règle de sa chatte et de son cul et Lilian lécha ses orifices avant qu’ils ne prennent congé. Le rasta demanda à jade s’ils la reverraient et, pour toute réponse, elle dit qu’ils reviendraient peut-être bronzer nus sur la plage. Il était plus de 16 heures quand ils quittèrent les cinq gaillards et ils perdirent encore une heure à faire des courses pour avoir de quoi diner et déjeuner le matin.
Jade et Lilian n’étaient pas encore habitués aux journées tropicales ; ils arrivèrent chez Maxime peu après la tombée de la nuit et leur hôte vint les accueillir.
— Je me suis demandé si vous vous étiez perdus ; j’ai préparé un colombo de cabri pour ce soir.— Si on doit manger avec toi tous les soirs, alors laisse nous participer pour tes courses.— On s’en moque, Jade. Votre compagnie me plait, profitez-en. Tu as trouvé ton bonheur aujourd’hui ?— Oui, pas mal… J’ai été baisée comme une salope par trois pêcheurs ce matin et ils m’ont reprise chez l’un d’eux avec deux copains cet après-midi. C’était vraiment super.— Tant mieux… Et toi, mon beau, tu ne t’es pas ennuyé pendant ce temps ?— Je ne m’ennuie jamais quand je regarde Jade baiser. Bon, j’avoue que j’aurais bien aimé qu’ils me la mettent aussi mais quelque chose me dit que ce n’est pas leur truc…— C’est la Guadeloupe… Dépêchez vous de poser vos affaires, je vous attends pour prendre l’apéro sur ma terrasse. Et j’ai une surprise… !
Jade s’amusa de la rapidité avec laquelle Lilian se déshabilla après avoir rangé les courses.
— Toi, tu as hâte de t’en prendre plein le cul ; je me trompe ?— Oh non, t’as raison à 200% ! Surtout depuis que j’ai sucé les autres. Je me demande ce que peut être sa surprise mais je sens que ça va nous plaire.
Ils ne trainèrent pas pour retourner à la villa de Maxime où, effectivement, une étrange surprise les attendaient. Tout le sol et les meubles du salon étaient recouverts de bâches en plastique.
— Ce soir toutes les saletés sont permises ici, expliqua Maxime devant leurs mines ébahies. Mon parquet est fragile…— Toutes les saletés ? Vraiment ? Demanda Jade en se tortillant un peu.— Oui, ma belle, toutes. Notre discussion d’hier a réveillé des envies très sales et j’ai bien vu, ce matin, que la gourmandise de Lilian n’était pas un mensonge.— Néron ! Attends un peu, dit Jade en repoussant le chien qui était directement venu lui lécher le cul. J’ai besoin de faire pipi !— Attends, je vais l’attacher en bas, si tu veux, et je le remonterai quand tu auras besoin de lui…— Je veux bien, parce qu’avec tout ce que j’ai pris dans la chatte et dans le cul aujourd’hui, j’avoue qu’être simple spectatrice pour commencer ne me gênerait pas.— Mais tu attends avant de faire pipi sur ton homme ; j’aimerai en profiter aussi, si tu veux bien.— Pas de problème… Mais dépêche toi, je ne tiens plus.
Maxime ne mit pas longtemps à remonter et il expliqua à Jade qu’il aimerait qu’elle pisse à la fois sur lui et sur Lilian. Il étala au sol de grands draps de plage car le contact avec les bâches n’était pas très agréable, et ils s’allongèrent dans la continuité l’un de l’autre et plaçant leurs deux têtes côte à côte. Jade les enjamba avec empressement, écarta de deux doigts ses lèvres intimes et libéra sa vessie qui n’en pouvait plus. Elle visait leurs bouches en allant de l’une à l’autre ce qui leur laissait largement le temps d’avaler mais Maxime était moins habitué et elle lui laissa rapidement plus de temps pour reprendre son souffle. Par contre, sa miction déclencha un autre besoin et elle préféra les prévenir. Le métis quitta alors sa position et la laissa s’accroupir au-dessus de son bel éphèbe blanc. Lilian ouvrit bien grand la bouche et reçu une offrande conséquente qui lui couvrit le visage.  C’était tellement abondant et puant qu’elle en rougit et éprouva la nécessité de s’en excuser. Maxime, loin d’en être choqué, en était encore plus fou de désirs. Il se coucha sur son jeune amant, dont il essuya le visage avec ses mains avant d’embrasser goulument sa bouche pleine. Ensuite, il couvrit leurs corps de ces excréments en insistant sur son sexe érigé et sur les fesses de son jeune amant.
— Tu es magnifique, quand tu es sale, dit-il en caressant son crane lisse. Merci Jade, pour ce beau cadeau…— Il n’y a pas de quoi. Tu permets que je me serve un verre en vous regardant ?— Bien sûr… Mmm… Viens par là, mon tout beau, viens me lécher la bite…
Lilian et Maxime se mirent en soixante-neuf à même le sol et le jeune homme suça avec gourmandise la bite de son hôte pendant que celui-ci lui léchait son cul. Jade les trouvait beau et se régalait du spectacle immonde qu’ils offraient mais ce préliminaire ne dura pas. Maxime avait besoin de baiser Lilian qu’il prit sans attendre, de face, à même le sol.Leur coït était intense, le jeune homme gémissait en se pinçant les tétons pendant que le métis le besognait en le tenant fermement par les cuisses. Jade était excité par cet accouplement sauvage et, bien que n’ayant pas envie d’une pénétration, elle se dit qu’une langue pourrait lui être d’un grand secours. Elle posa son verre et alla s’agenouiller sur le visage crasseux de Lilian qui comprit aussitôt le message. Il lui lécha aussitôt, et du mieux qu’il pouvait, le clitoris et la vulve. Maxime redoubla d’ardeur et ses coups de reins commandaient les mouvements de la bouche de son amant sur le sexe de la jeune femme. Il avait sous les yeux son fessier écarté et son trou du cul mal propre. Il se pencha en avant et lécha cet orifice commun aux hommes et aux femmes. Jade se mit à jouir, les mouvements de Maxime s’étaient ralentis, mais les deux langues n’en travaillaient que mieux. L’intensité de son orgasme fut telle qu’elle en éjacula au visage de son mari avant de plonger en avant pour s’allonger à plat ventre sur le sol. Maxime regardait toujours son cul mais c’était celui de Lilian qu’il besognait avec une force accrue jusqu’à le remplir de sa sauce blanche.
Les deux hommes étaient encore enlacés quand Jade se releva pour aller s’asseoir auprès de son verre.
— Vous êtes vraiment mignons tous les deux et, Maxime, tu me lèches le cul quand tu veux…— Ça dépendra des situations… Mais je dois dire que je ne suis pas insensible au charme de ton petit trou… Ça faisait longtemps que le cul d’une fille ne m’avait pas attiré comme ça, mais ne va pas te faire de film, hein ? Je t’ai dit qu’avec les filles je n’y arrivais pas.— Je sais, ne t’en fais pas je parlais juste de me le lécher le trou du cul ; c’est tout.
Maxime se releva pour se servir à boire lui aussi et Lilian encore sous le charme de son orgasme vint s’installer entre ses cuisses, la tête posée sur son pubis.
— Tu as soif, mon tout beau ?— Mmm… Oui, mais de ça, répondit Lilian en prenant sa bite molle en bouche.— Petit cochon… Oooh, c’est trop bon. Tu vois, Jade, s’il fait ça à chaque fois, je risque de m’y habituer très vite… C’est tellement agréable de pouvoirs pisser là où on est, en parlant et en buvant verre.— Oh, mais tu peux en profiter autant que tu veux ; Lilian est là pour ça et pour satisfaire tes envies.— Ça j’avais compris… Par contre, mon tout beau, ce sera du donnant-donnant ; j’ai goûté pour la première fois au pipi avec celui de Jade, il ne serait pas équitable que je ne goûte pas le tien.— D’accord, ça ne pose pas de problème, mais pas maintenant ; je suis trop bien comme ça…
Maxime eut donc le loisir de boire la miction de Lilian un peu plus tard dans la soirée qui connut également un autre épisode scato durant lequel Lilian souilla le corps de Maxime avant de lui servir de WC à son tour. Jade se joignit à eux pour une longue séance de caresses merdeuses et comme elle était finalement de nouveau très excité, Maxime fit monter Néron pour la combler. Ils retournèrent à leur bungalow, sales de la tête aux pieds et passablement fatigués. En entrant dans la pièce, ils constatèrent qu’ils n’avaient rien fait pour leur lit qui était encore humide du matin. Ils s’y allongèrent sans se formaliser et après avoir fait l’amour une dernière fois, ils s’endormirent enlacés.
Ils se réveillèrent encore très tôt et trempés de sueur, mais le temps avait changé ; dehors il pleuvait à verse et le ciel était bien sombre.
— Voilà une belle journée pour rester au lit, je pense, dit Lilian en se jetant sur Jade. Et y faire plein de cochonneries.— C’est tentant mais il ne faudrait peut-être pas abusé, chéri. Déjà qu’hier, on ne l’a pas mis à sécher… Ce n’est pas avec le temps qu’il fait aujourd’hui qu’on pourra rattraper le coup.— Ouai, c’est vrai… Tu as mal dormi, c’est ça ?— Non, mais si on le pourrit tous les jours, on sera bon pour remplacer la literie. C’est vrai qu’on a un petit paquet d’argent de côté mais il ne faudrait pas non plus le claquer connement, tu n’crois pas ?— Et bien, c’est vrai qu’une literie ce n’est pas donné mais Maxime n’a pas du investir dans un sommier et un matelas de luxe et, de toute façon, à mon avis c’est déjà foutu.— Toi, tu as encore envie de faire pipi dans ma chatte, je parie.— Comment t’as deviné ?— Intuition féminine, mon amour, répondit Jade en glissant la verge de Lilian dans sa grotte humide.
Ils se douchèrent avant de prendre leur petit déjeuner sur la terrasse fermée par un rideau de pluie.
— C’est dingue ! On ne va vraiment pas pouvoir sortir, alors ? S’inquiéta Jade en voyant toute cette eau. Comment je vais faire pour trouver des queues ?— Ça va peut-être se calmer ; on ira demander à Maxime ce que dit la météo.— Tu parles ! On voit à peine sa terrasse…— On peu aller surfer ; quitte à être trempés… Il paraît que c’est quand le temps est pourri qu’il y a les meilleurs vagues. Et qui sais ? Il y aura peut-être de beaux surfeurs pour combler tes attentes à l’arrière de la Jeep ?— Surtout si mon mari ne décroche pas des vagues… — C’est ça ce que tu aimerais ? Baiser dans la caisse pendant que je surfe ?— Exactement ! Comme si tu ignorais totalement ce que je fais… D’accord ?— Évidemment ! Tu sais bien qu’un cocu n’a pas son mot à dire et puis… C’est vrai que le cocu qui ignore l’est beaucoup plus aux yeux de sa femme et des autres.
Maxime leur apprit que le mauvais temps était lié à une onde tropicale et qu’il risquait de durer quelques jours mais que cette journée et celle du lendemain seraient les pires. Il leur confirma que les vagues seraient au rendez-vous mais il les mit en garde sur les dangers des sites et notamment des récifs qui pourraient apparaître, par endroit, dans le creux de certaines vagues.
— Si vous allez au Moule, il faudra peut-être jouer des coudes sur le spot, encore que, avec un temps pareil… Mais il y aura bien une dizaine ou une quinzaine de mordus. J’espère que vous êtes bons.— On se débrouille, répondit Lilian en souriant.— Lilian est modeste ; il a gagné plusieurs trophées et aurait pu faire carrière mais cette andouille n’a pas voulu poursuivre la compétition.— Parce que ça ne m’intéresse pas ! J’ai essayé, tu ne te rappelles pas ? Et ça a été l’été le plus pourri de ma vie, et pour Papa et Maman aussi…— holà ! Ne vous chamaillez pas pour ça ; je me renseigne parce que, souvent, c’est un peu tendu sur ce spot. C’est tout.
Jade et Lilian s’excusèrent et décidèrent qu’ils iraient au Moule, mais ils estimèrent avoir un peu de temps.
— Tant mieux, parce que j’avais promis à Joep des photos de Lilian et j’ai complètement zappé hier soir. Tu serais d’accord pour poser de façon érotique et suggestive ?— Euh, oui, pourquoi pas ; mais où ? Dans le salon ?— Non, dans ma chambre, parce que la lumière y sera meilleure et le salon est encore couvert de bâches. Tu voudras bien nous aider, Jade ?— Bien sûr, tu veux que je prenne les photos, c’est ça ?— Quand je ne pourrais pas et, autrement, ton avis pourra être utile.
Lilian se retrouva donc dans la chambre de Maxime, sur un grand lit à baldaquin en bois exotique et couvert de satin. Le métis avait sorti des godes assez volumineux pour qu’il les utilise sur certains clichés sans nécessairement se pénétrer avec.
— Ça doit rester suggestif, c’est tout. Allonge-toi et commence par jouer avec tes tétons et ta bite… Oui, comme ça ; c’est bien. Regarde l’objectif quand tu fais ça que je vois tes jolis yeux… Super ! Tu vas être craquant sur celle-là.— Si je comprends bien, t’es en train de vendre mon mari à ton mec, c’est ça ?— On peut dire ça comme ça ; mais c’est juste pour lui donner envie… Oh oui, caresse toi la queue avec le gode ! Super ! Et met-le auprès de ta bouche… Avec un air plus vicieux… Oui, on croirait que t’as fait ça toute ta vie.— Tu ne vas pas lui montrer son cul ?— Si… Si bien sûr, il faut aussi… Jade a raison, tourne toi, maintenant… Là, comme ça, mais avec la tête tournée vers moi et écarte toi le cul !— Il est vraiment craquant comme ça, je comprends pourquoi tant d’hommes ne peuvent s’empêcher de l’enculer.— Écarte plus tes doigts et essaye de t’écarter un peu le trou avec tes majeurs… Non, ne les enfonce pas, essaye juste de tirer sur ton anus avec le bout de tes doigts… Oooh, putain, c’est magnifique… Garde la pose un peu ; j’ai raconté notre soirée d’hier à Joep et il a regretté que l’on n’ait ni filmé ni photographié…— Et donc ? Demanda Lilian qui ne bougeait pas.— J’aimerai lui envoyer quelques photos plus spéciales… Tu as fais caca ce matin ?— Non, pas encore…— Alors essaye de pousser ta crotte.— Sur ton lit ?!— Il en a vu d’autres, ne t’inquiète pas… Allez pousse…— Vas y, mon Lilou, pousse fort ! L’encouragea Jade excitée par le spectacle.— Magnifique ! S’écria Maxime. Ça vient… Oh putain…  Elle est parfaite… Elle se tient bien…— Quel étron, il n’en fini pas… Constata Jade en glissant une main dans son short. Et il a l’air ni trop dur ni trop mou… Oh ! Ça y est ! Il est tombé. Pousse encore, Chéri, tu as encore un petit bout accroché.— Non ! Laisse ! Je vais lécher ton petit trou. Prend l’appareil, Jade. Tu vas prendre ça en gros plan.— OK, mais je vais me mettre ici. Et ne te jettes pas tout de suite dessus ; faut que ça reste érotique, si je comprends bien. Maintiens lui le cul bien écarté et Lilian enlève tes mains. Oui, c’est super ! Approche ton visage très lentement et regarde l’objectif, Maxime ! C’est à Joep que tu t’adresses… Oui, très bien… Quel sourire, mon Dieu ! Pourquoi tu n’es pas bi ?! Tire la langue maintenant… Vers son trou du cul ! Pas vers moi… Approche la doucement… Oui… Stop ! Comme ça… Oh ! Que c’est cochon… Vas y, mets la juste en contact, mais que le bout… Super ! t’es juste en dessous, comme il faut. Remonte ta langue doucement… Voilà ! Magnifique ; t’as tout récupéré… Montre moi bien ta langue maintenant… Tu peux avaler.— Putain je dois me déshabiller ! Annonça Maxime surexcité.  Si cette séance photo continue comme ça, je vais exploser dans mon slip !— Fais comme chez toi, répondit Lilian en reprenant une pose confortable.— Baise-le maintenant, si tu veux ; je sais bien que c’est comme ça que ça va finir de toute façon.— Non, je voudrais aller jusqu’au bout de mon projet avant ; il faut que je tienne le coup… Rends-moi l’appareil, s’il te plait.
Lilian dut se mettre sur le dos dans une position un peu lascive bien adossé sur les oreillers, avec une jambe pliée et écartée, et prendre délicatement son étron entre ses doigts, comme s’il s’agissait d’un pipeau ou d’un gros gode.
— Regarde vers moi, Lilian, et pose ta crotte sur le bout de ta langue… J’adore ce visage gourmand ! Joep va être fou…  Oui, lèche-la juste du bout de la langue… Ooh, mon Dieu ! Suce-la aussi… Mmm… Oui, cochon !… Pas trop ! Ne mord pas dedans. Arrête. Bien… Maintenant, tu vas l’utiliser comme un crayon et te faire des trais comme un indien. Mmm… Ça ne marche pas bien.— Attends, je vais faire la maquilleuse.
Jade se rapprocha de Lilian et préleva un morceau à la base de l’étron. Elle utilisa la matière comme une crème et, avec son index, elle renforça le trait que son mari avait essayé de faire sur sa joue.
— C’est mieux comme ça ?— C’est parfait ! Aide le à remettre sa crotte juste en dessous de ton trais. Génial ! Fait le même de l’autre côté et ajoute en un aussi sur son nez. Lilian, remets ta crotte dans ta bouche. Super ! Jade, tu peux faire des cercles autours de ses tétons ?… Et tout ce que tu veux tant que ça fait peinture de guerre.
Maxime ne tenait plus et Lilian était également hyper excité. Le métis lui demanda de se masturber avec son étron, ce qu’il fit rapidement jusqu’à éjaculer sur sa poitrine. Maxime pris un gros plan des coulées de sperme qui souillaient le corps impeccablement lisse puis il confia l’appareil photo à jade pour se branler vigoureusement au-dessus du visage de son jeune amant. La dernière photo était une image de Lilian, le visage zébré de foutre et la bouche pleine.
— Et bien mes cochons ! On dirait que vous ne vous videz jamais les couilles ! J’espère que cette journée va finir mieux qu’elle ne commence ! Y en a marre ; j’ai la chatte en feu maintenant et les deux seules queues que j’ai sous les yeux sont molles et inutiles… Vas te doucher, Lilou, on va y aller.
Maxime leurs prêta des cirés et ils décidèrent de mettre leurs combinaisons tout de suite et de garder leurs changes dans un sac étanche. La route sous la pluie battante n’était franchement pas agréable mais ça se calma un peu lorsqu’ils passèrent Pointe-à-Pitre. Arrivé au Moule, il était l’heure de déjeuner et ils se mirent dans un restaurant face au spot, pour bien l’observer. Ils n’étaient visiblement pas les seuls surfeurs à s’être réfugiés dans cet endroit et le crane totalement rasé de Lilian semblait en étonner certains mais, de toute évidence, la plastique de Jade, bien mise en valeur par sa combinaison ne laissait pas indifférent. Le jeune couple n’y prêtait, cependant, pas trop attention et observait avec intérêt les trajectoires suivies par les quelques surfeurs qui bravaient les éléments. Les vagues levaient bien, elles étaient longues et il y avait de quoi faire quelques beau tubes.
— Je crois que je vais m’éclater ! Dit Lilian enjoué. Ça va être une grande session !— J’espère que moi aussi, je vais m’éclater… — Tu vas venir un peu à l’eau quand même ?— Oui, juste pour faire des rencontres et prendre une vague, mais pas plus…
Ils finirent leur repas et retournèrent à la voiture pour prendre leurs planches accrochées sur le toit. La pluie s’était grandement calmée et d’autres surfeurs sortirent du bar-restaurant pour faire comme eux.
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