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Le jouet de Jade

Chapitre 7

Orgie / Partouze
Maxime n’avait pas menti ; il y avait du monde sur le spot mais ce n’était pas encore trop chargé. La stratégie de Jade était de rester en attente d’une vague à proximité d’un petit groupe alors que Lilian prenait toutes les vagues qu’il pouvait. D’entrée de jeu, il sortit toute sa technique pour s’assurer d’un certain respect.
— C’est ton petit copain ? Il est balaise…— C’est même mon mari, précisa Jade au jeune homme qui l’abordait. Oui, il est très doué.— Et toi ? Tu ne prends aucune vague ?— Si, j’ai bien l’intention d’en prendre au moins une, mais pas toute seule… Moi c’est Jade et toi ?— Joey ; vous êtes en vacances ?— On est arrivé avant hier… Mais ne t’occupe pas de Lilian, il va rester dans l’eau pendant deux heures et, moi, j’ai plutôt envie d’autre chose.— T’as envie de quoi ?— Au risque de te choquer, j’ai envie de bites ! De plein de bites !— T’es sérieuse ?— Très ! J’ai besoin de me faire sauter comme une salope, m’en prendre plein la chatte et plein le cul. Comme mon mec pense à autre chose, le premier qui a envie, peut me suivre jusqu’à notre voiture. Elle est assez grande et large pour baiser sur la banquette arrière et, en plus, elle a des vitres teintées. Personne ne pourra nous voir…— T’es vraiment chaude, toi. Je peux t’aider, si tu veux. T’es carrément canon et c’est clair que je t’en mettrais bien un coup et même deux.— Eh, Joey, qu’est-ce que tu fous ? Demanda un type en venant vers eux. Tu loupes toutes les vagues.— J’ai fais connaissance avec une charmante personne qui a besoin d’être réchauffée, répondit Joey en tendant ses lèvres à Jade.— Et bien vous ne perdez pas de temps ; faites gaffe, son mec se rapproche.— Et bien, on prend la prochaine jusqu’à la plage alors. Répondit Jade. Ça t’ennuie si ton pote nous suit, Joey ? Vous ne serez pas trop de deux.— On ne sera pas trop de deux pour quoi ?— Pour la sauter, Mat. Cette meuf à chaud au cul et elle veut de la bite !
Lilian ne vit pas Jade quitter le spot car il était en train de remonter sous une vague mais il aperçut de loin le trio rentrer à l’arrière de la voiture.
— J’ai l’impression que Mat et Joey ont levée une belle salope ! Dit un gars assis sur sa planche à quelques mètres de lui.— T’as raison, Willy ! On a un peut manqué de rapidité sur ce coup ; si ça se trouve on serait aller la voir les premiers et c’est nous qu’irions nous la faire…— On aura peut-être notre chance après, qui sait… Mais fait gaffe, son mec est là.
— C’n’est pas sûr que ce soit son mec ; ils sont venus avec la Jeep de Joep…
Lilian fit celui qui n’avait rien entendu et prit la vague suivante sur laquelle il déploya son meilleur surf pour se défouler. En revenant, il put voir les deux gars surfer et admira également leur style. Sans doute avaient-ils aussi envie de l’impressionner mais la course de l’un d’eux se termina par une belle lessiveuse. Le gars ressortit de l’eau, un peu sonné, et avec sa planche cassée, et Lilian eut pitié de lui.
— Ça va ? Pas de bobo ? Demanda-t-il en arrivant sur la plage ou le jeune homme était assis avec une mine dégoûtée.— Moi ça va, mais c’est fini pour aujourd’hui…— Salut, moi, je m’appelle Lilian… T’as été rattrapé par la vague. Ça arrive, mais c’est con pour ta planche. Tu veux surfer encore ?— Tu parles ! T’as vu cette session ? C’est rarement aussi bon…— Je ne crois pas que ma femme retournera à l’eau. À mon avis, elle avait froid et elle doit m’attendre au bar.— C’est ta femme ? La jolie brune ?— Oui, on s’est marié il y a quelques jours ; c’est notre voyage de noce. Elle s’appelle Jade, à cause de la couleur de ses yeux. Tu peux aller lui demander de te prêter son surf, elle sera sans doute d’accord. Je t’attends pour y retourner.— Moi c’est Willy, ou Will, comme on veut. T’es sûr qu’elle sera d’accord ?— Je crois qu’elle n’avait pas trop envie de surfer aujourd’hui, à cause du temps. Vas y, elle ne te mangera pas.
Willy se dirigea vers le bar dans lequel il resta quelques instants et ressortit pour se diriger vers la voiture de Jade et Lilian. Il entendit des gémissements puissant et, après quelques instants d’hésitation, il toqua à la vitre.
— Vous arrêtez pas, c’est Willy, j’ai cassé mon surf et Lilian m’a dit de prendre celui de jade.— Aaah… On s’en fout ! Aaah ! Ah oui… Répondit Jade prise en sandwich.— Il te croit au bar ! Ajouta Willy avant de prendre le surf et de se diriger en courant vers la mer.— Alors ? Qu’est-ce que je t’avais dit ? C’était sûr qu’elle serait d’accord.
Lilian sympathisa ainsi avec Willy et Brad avec qui il surfa plusieurs belles vagues. À chaque retour au spot, ils discutaient d’eux pour faire plus ample connaissance et les deux antillais se montrèrent un peu curieux sur son couple.
— Vous sous êtes mariés à 18 ans, vous êtes fous ?— Non, on se connaît depuis notre plus tendre enfance ; nos parent son très proche et pendant des années, on s’est considérés plutôt comme frère et sœur mais après avoir épuisé quelques petits copains et petites copines, on s’est rendu compte que ce que nous éprouvions l’un pour l’autre était plus fort et qu’on se complétaient bien alors on est sorti ensemble et on s’est marié tout de suite.— C’est class ! Admis Brad avec un petit sourire. Vous nagez dans le bonheur parfait alors.— Exactement ! Mais si vous n’voulez pas vous faire brasser, il faut prendre celle-ci !— Oh, Putain !
Ils furent bien brassés, tous les trois, mais en ressortirent hilares. Lilian jeta un coup d’œil furtif vers la voiture et surprit l’ouverture de la portière. Aussitôt, il reprit sa planche sous le bras et retourna en courant vers les vagues.
— Hè ?! Tu ne fais jamais de pause ?— Non ! Cria-t-il avant de plonger sous un rouleau.
Lilian surfa seul quelques vagues puis il fit une pause en restant assis sur son surf en observation. Il serait bien allé vers la voiture pour entendre ce qu’il s’y passait mais l’envie de Jade était claire. Il fallait que tout le monde pense qu’il ne voyait rien du petit manège de sa femme. C’était le jeu du cocu parfait et il trouvait ça délicieusement humiliant. Ceux qu’il imagina être Joey et Mat étaient revenus sur le spot mais pas ses nouveaux « amis » Brad et Willy. Il se doutait bien qu’ils n’étaient pas au bar même s’il ne les avait pas vu rentrer dans la jeep. Il regardait sa montre régulièrement, pour estimer depuis combien de temps ils étaient avec Jade et, après trois-quarts d’heure, il les vit sortir par la même portière tous les trois.Jade se dirigea vers le bar alors que ses deux amants revenaient vers les vagues. Lilian prit la suivante pour les rejoindre sur la plage et aperçut alors Jade sortir du bar avec un homme.
— Ça y est ? Vous êtes reposés ?— Ouai ! On avait vraiment besoin d’un bon jus de goyave… Tu y retournes avec nous ?— Bien sûr ! Qu’est-ce que vous croyez !— Mais je ne vais plus rester trop, expliqua Willy. Une ou deux vagues, pas plus et je reposerai la planche de ta femme sur la jeep.— Par contre, moi je ne suis pas pressé, ajouta Brad en se mettant à l’eau. Et je compte bien surfer encore une heure.
Grâce à Brad, Lilian put faire la connaissance de Joey et Mat qui surfèrent avec eux après le départ de Willy. Jade et Lilian avaient rencontré une bande de surfeurs très complices et la disponibilité de la jeune femme avait vite fait le tour de leur petit groupe. Ils étaient sept mais n’avaient pas tous le même niveau et trois d’entre eux n’étaient pas allés surfer. Ils étaient restés au bar et Jade alla les chercher un par un pendant cette dernière heure. Lorsque le dernier lui eut, comme les autres, bien rempli la chatte et le cul, elle ressortit de la voiture, prit son surf et alla rejoindre Lilian sur le spot.
— Tu as fait une belle session, mon amour ?— Oui, superbe ! Tiens, je te présente Brad, Mat et Joey, des copains de Willy qui t’a emprunté ton surf.— Oui, on s’est déjà présentés au bar. Répondit jade laconique. On prend la prochaine ensemble et on rentre ? Il commence à être tard et tu dois être un peu crevé…— J’avoue que je commence à être un peu rincé ; ce qui n’est sans doute pas ton cas.
Ils surfèrent tous jusqu’à la plage où Jade embrassa Lilian avec beaucoup d’amour devant les regards amusés de ses amants du jour. Ils se saluèrent ensuite par des poignées de mains viriles en ce qui concernait Lilian et avec des bises amicales pour Jade.
— Vous auriez pu mettre une serviette sur la banquette, dit Lilian en ouvrant la voiture. Elle est pleine de foutre…— J’ai vu ; c’est vrai que ça craint mais on va bien trouver un truc pour la nettoyer…— C’est du cuir… j’espère que ça va partir.
Lilian retira sa combinaison mouillée en se cachant dans une serviette et enfila directement son short et son t-shirt. Ensuite, avec la même serviette, il fit écran à Jade pour qu’elle se change avec une même discrétion.
— Ils t’ont bien baisée alors ?— Oui, mon cocu, divinement bien ! Et ils espèrent bien nous revoir sur le spot les jours prochains.— Nous revoir sur le spot où te revoir dans la voiture ?— Oh, les deux ! Brad et Willy t’on trouvé très sympa. En plus, ils m’ont parlé d’un week-end possible sur une île déserte pour une petite fête. On y passerait la journée du samedi, on danserait sur la plage et on dormirait dans des hamacs pour repartir le dimanche…— Et je serai un cocu naïf pendant tout ce temps ?— Un cocu naïf et fidèle ; je ne serai sans doute pas la seule femme !— Et ce serait quand ?— Je n’sais pas trop, dans quinze jours, je crois… Mais ça dépend peut-être du temps.
Lilian prit le volant et Jade qui était cul-nu sous sa mini-jupe mit la serviette sous ses fesses. Ils venaient de rencontrer un groupe de jeunes de leur âge ou un peu plus vieux qui les avaient bien accueilli et il était déjà le cocu de la bande.
— Tu sais quoi ?— Non ?— Même si du coup, je passe pour un con, ça m’excite…— C’est vrai ? Ça na pas été trop dur alors ?— Non, je crois que je vais faire l’andouille plus souvent. Tu te souviens du chemin qu’avait pris le taxi pour te baiser ?— Non, absolument pas, pourquoi ?— Alors je tourne dans le premier chemin entre deux champs de canne ! J’ai trop envie de te lécher et de te prendre.— Regarde, là-bas !
Lilian tourna dans un chemin de terre et trouva une intersection où se camoufler et faire demi-tour. Il sortit de la voiture pour se mettre à la portière de Jade qui offrit ses orifices intimes à sa langue gourmande. Il la prit ensuite avec force en se contentant seulement de sortir sa bite raide par la braguette de son short. Jade encore excitée de l’avoir fait cocu et ridiculisé, jouit rapidement et s’agrippa à lui lorsqu’il éjacula en elle.
— Je crois que tu vas être souvent cocu, mon chéri ; c’est trop bon.— Mmm… Oui, et j’espère bien le rester à la rentrée.— Tu peux en être certain ! Sans doute pas tous les jours, mais quoi qu’il soit, je ne te dirais rien. Il n’y aura qu’en me léchant la chatte que tu pourras savoir si je t’ai trompé… Et encore, à condition qu’elle soit encore souillée quand tu la lèches. Qu’est-ce que tu en dis ? En plus, comme on ne suit pas les mêmes filières, tu ne pourras pas me surveiller…— Cocu… Je suis cocu.— Dès le premier jour, je te rappelle.— Mais maintenant, je le suis vraiment ; on est marié et ce sera à moi de le découvrir… Si j’y arrive.
En redescendant vers Basse-Terre, le temps redevint plus humide et il pleuvait comme jamais quand ils garèrent leur voiture sur la place aménagée sous la maison de Maxime. Le chemin bétonné qui descendait vers les bungalows ressemblait à un torrent et Jade regarda ça d’un air perplexe.
— Montez ! Leur cria leur hôte du haut de l’escalier. Ça ne sert à rien de vous tremper inutilement.— C’est souvent comme ça ? Demanda Jade inquiète.— En cette saison, oui, mais, comme je vous l’ai dit, ça ne devrait pas durer plus de trois jours. Après, il y aura un peu de beau temps jusqu’à la prochaine onde tropicale. Tant qu’on n’a pas de cyclone, tout va bien.— C’est vraiment impressionnant, avoua Lilian en regardant le jardin. On ne voit plus la mer.— Et après, elle sera trouble pendant quelques jours. Votre session de surf c’est bien passé ? J’ai pensé à toi, Jade.— Ah bon, comment ça ?— Et bien, je sais que tu veux mettre à profit tes journées pour trouver de beaux antillais pour satisfaire ton appétit sexuel et j’ai pensé que, aujourd’hui, ça n’avait pas été facile. La plage du Moule n’est pas un endroit idéal pour ça, alors j’ai décidé d’organiser quelque chose pour toi.— Qu’est-ce que tu as organisé ?— Et bien, une sorte de soirée intime. Même si les homos sont mal vus, j’ai quand même beaucoup d’amis hétéros alors j’ai invité trois copains. Un de mes amants occasionnel et deux hétéros qui devraient te plaire.— Ooh, c’est gentil, mais il faudrait que je me douche et que je me change ; et Lilou aussi.— Tu es très bien comme ça.— Non, je n’ai pas de culotte et ma jupe est tâchée de foutre. En plus, je sais que tous les antillais en sortie sont plutôt élégants alors j’imagine que ce sera le cas de tes amis. Je vais aller chercher des habits un peu plus chics pour Lilou et moi et on se changera ici.— Je viens avec toi ; j’en profiterai pour mettre les combis sous la pluie ; ça les rincera.— Bon, je vous prépare des serviettes alors, parce que là vous allez être douchés deux fois.
Jade et Lilian revinrent en courant avec leurs habits les plus chics dans un sac étanche et ils étaient véritablement trempés en arrivant en haut des marches.
— Déshabillez vous ici et allez prendre une douche. La salle de bain et juste à côté de ma chambre. Tu n’es pas obligé de te laver en profondeur Lilian. Par contre, Jade, je ne connais pas le goût de mes amis alors c’est peut-être préférable.— Je ne voyais pas les choses autrement.
Jade mit une robe moulante noire qui tombait à mi cuisse, un string noir également et des escarpins à talons, qu’elle avait hésité à emporter dans leurs bagages, mais pas de soutien-gorge. Lilian avait un pantalon de toile écru, des chaussures en toiles et un polo de marque. Sur la demande de Jade, il avait accepté de ne pas mettre de caleçon. Maxime les trouva très bien et en passant sa main sur les fesses de son jeune éphèbe il compris qu’il n’avait pas de sous-vêtement.
— Mmm… Tu veux m’exciter tout de suite, cochon ! Vous êtes parfait, comme ça. Par contre, il est possible que la soirée s’éternise un peu, mais ce ne sera pas non plus une orgie. Mes amis préfèreront te faire l’amour dans la chambre d’amis et, vu le temps et ce dont ils sont capables, il est vraisemblable que tout le monde dorme ici.— Je n’aime pas trop passer la nuit sans mon Lilou. Expliqua Jade en faisant la moue. Mais pour une fois on fera exception… Ça ira, mon Chéri ?— Oui, mon Amour, je crois que je tiendrai le coup mais faudra se rattraper un peu demain matin.— Pour ça, tu peux compter sur moi. Répondit-elle en embrassant son mari.

Alfonse était un grand noir de près de quarante ans, très chic avec des cheveux grisonnants. Malgré leur proximité d’âge, c’était un oncle de Maxime et il était purement hétérosexuel. Maturin, l’autre hétérosexuel, était un grand ami d’Alfonse. Il était plus petit et plus jeune ; il avait la trentaine athlétique et un sourire jovial « ultra Bright ». Gilles, l’ami homosexuel de Maxime, était un descendant des travailleurs indiens recrutés dans les comptoirs d’Inde et du Sri Lanka après l’abolition de l’esclavage. Il n’était pas très grand, avait des cheveux lisses très noirs et une peau très noire aussi.
La première partie de la soirée avait pour but de permettre aux invités de découvrir Jade et Lilian et de les draguer subtilement. Le punch servi à l’apéritif avait bien détendu les jeunes gens qui riaient volontiers aux blagues des convives, le repas fut aussi l’occasion de parler de philosophie de vie, de tolérance et de société puis, après, les antillais décidèrent d’apprendre à danser le zouk Jade et Lilian. Le signal d’une fin de soirée plus intime et torride fut donné par Jade qui, dansant collée-serrée entre Alfonse et Maturin, échangea avec l’un et l’autre un baiser langoureux. Elle sentait leurs deux verges dressées contre son ventre et ses fesses et sa culotte était déjà trempée depuis un bon moment.
— Tu veux qu’on t’apprenne à danser à l’horizontale ? Lui chuchota Alfonse dans le creux de l’oreille.— Je n’attends que ça, Messieurs ; je suis à vous pour la nuit.— Ça tombe bien, on n’a pas l’intention de dormir beaucoup, précisa Maturin à son autre oreille.
Tout en dansant, il la guidait doucement vers la chambre et elle se laissa faire, sans même se soucier de Lilian. Arrivée dans la chambre d’amis, Maturin ferma la porte et leurs baisers devinrent encore plus torrides. Ils ne mirent pas longtemps à la déshabiller vu le peut de vêtements qu’elle avait et sa poitrine attira aussitôt leur bouches gourmandes.
— Mamamaman ! S’exclama Maturin en lui caressant les fesses. Tu as un vrai corps de déesse avec tout ce qu’il faut où il faut.— Laissez-moi voir aussi ce que vous cachez sous vos vêtements, répondit Jade en déboutonnant leurs chemises. Mmm… J’aime bien les hommes bien musclés… Asseyez vous sur le lit, messieurs, je vais vous retirer le reste. Ajouta-t-elle dès qu’ils furent torse-nu.
Alfonse et Maturin s’assirent côte à côte sur le lit et Jade s’agenouilla à leurs pieds pour délacer et retirer leurs chaussures qu’elle rangea soigneusement derrière elle. Elle retira ensuite leurs chaussettes et, après les avoir pliées et posées avec les chaussures, elle s’intéressa à leurs pantalons. Elle défit leurs ceintures et descendit leurs braguettes avec une lenteur calculée. Elle glissa ses mains sur leurs sous-vêtements pour apprécier la grosseur de leurs membres puis elle retira, l’un après l’autre leurs pantalons qu’elle posa pliés sur une chaise. Alfonse portait un slip en coton blanc qui contenait mal sa barre de chocolat et Maturin avait un boxer passablement déformé. Elle se pencha vers leurs sexes moulés par le tissu qu’elle respira et lécha avant de retirer enfin leur dernier vêtement.
— Mmm… Messieurs, quel honneur vous me faites. Dit Jade en prenant leurs deux verges en main. Voilà deux belles érections qui font envie.— Ce n’est pas difficile, devant une beauté telle que toi… Ouh… pas de problème pour que tu nous suces mais viens sur le lit, qu’on puisse aussi s’occuper de ta petite papaye.
Jade se retrouva couchée sur les deux hommes, les cuisses largement écartées, et ils lui léchèrent la chatte par alternance tandis qu’elle les suçait en passant d’une bite à l’autre. Ces préliminaires durèrent un long moment avant qu’elle décide de s’offrir à eux. Ils la prirent en se relayant pendant un long moment et ses gémissements couvraient à peine ceux de Lilian qui vivait une expérience similaire dans la chambre voisine. Jade n’entendait pourtant pas son mari tellement son plaisir était grand. Elle eut un premier orgasme et Alfonse la mit en levrette avant de poursuivre le ramonage de sa chatte tandis que Maturin lui mettait sa verge dans la bouche. Dans la chambre voisine Lilian criait en vivant sa première double pénétration anale. Jade, quant à elle, était bien incapable d’exprimer quoi que ce soit mais, réalisant que son mari prenait son pied également, son plaisir s’accrut et un nouvel orgasme l’ébranla. Alors, Maturin la prit sur elle et l’empala sur sa verge. Alfonse vint derrière elle et Jade s’attendit à ce qu’il lui prenne le cul mais, au lieu de ça, il glissa sa longue et épaisse verge le long de celle de son ami. Elle aussi se mit à crier comme Lilian mais c’était une double pénétration vaginale qui lui procurait des sensations extrêmes.
— Aaah ! Aah ! Oui ! Aaah ! Vous m’écartez ! Aaah oui ! Oui ! Aaaah !— Ah oui, on te fait gueuler, cochonne !
Plus ils la besognaient et plus elle criait fort jusqu’à ce qu’un orgasme d’une rare intensité la fasse hurler de plaisir. Les deux hommes, qui étaient au bord de la délivrance, L’allongèrent entre eux et se finirent à la main au-dessus de sa bouche ouverte. Jade mit un long moment avant de reprendre ses esprits et Alfonse et Maturin continuaient à l’embrasser et la caresser avec douceur. Elle leur sourit et les embrassa à son tour et parcourant leur deux corps avec ses lèvres, elle ramena doucement sa bouche vers leurs sexes merveilleux. Ils n’étaient pas aussi gros que celui de Lilian mais ils l’avait bien remplie et elle leurs en était reconnaissante. Elle embrassa leurs verges molles, leurs couilles lourdes, s’enivra des odeurs prisonnières de leurs toisons pubiennes crépues et goba leurs glands.
— Si tu réveilles les bêtes, tu vas encore crier, ma jolie, dit Alfonse en lui caressant les cheveux.— J’espère bien… Je ne passe jamais mes nuits autrement que dans les bras de Lilian ; vous avez droit à un régime de faveur alors autant en profiter au maximum, vous ne croyez pas ?— Tu peux compter sur nous pour te redonner du plaisir, affirma Maturin en souriant. Tu veux vraiment passer une nuit blanche ?— Vous en seriez vraiment capable ?— Si l’un se repose quand l’autre te fait l’amour on en est capables. Tu n’es pas la première femme qu’on prend tous les deux, Maturin et moi.
Alfonse et Maturin tinrent parole ; ils la prirent l’un après l’autre jusqu’au petit jour. Quand l’un sortait après avoir éjaculé, l’autre le remplaçait et ainsi de suite. C’était à croire qu’ils ne débandaient pas. Jade émergea vers midi, elle s’était endormie au levé du jour en regardant ses deux amants infatigables se rhabiller.
— Bonjour… fit elle en débarquant tel un zombie. Je crois que c’est rappé pour que tu te rattrapes ce matin, Chéri ; il est quelle heure ?— Bientôt, midi et demie. Répondit Maxime assis avec son mari dans canapé.— Tu as eu une sacrée nuit, apparemment. Remarqua Lilian souriant. C’était bien ?— Pff… J’n’ai jamais été autant baisée de ma vie ; ils m’ont sautée l’un après l’autre pendant toute la nuit… Mais c’était super.— Mais t’es vannée, constata Lilian en la prenant dans ses bras. On va se faire une journée peinarde ici ; de toute façon il pleut encore plus fort qu’hier et moi aussi j’ai eu une nuit et une matinée mouvementée.—Ça fait du bien d’être contre toi… Mmm…  Quelle endurance ; j’n’en reviens toujours pas…— Mais Alfonse et Maturin sont des tricheurs, dit Maxime en se levant du canapé. Tu es plutôt thé ou café ?— Du thé s’il te plait mais avant faudrait que je fasse pipi… Tu m’emmènes à la douche, Chéri ? Je ne tiens pas debout.— Viens, on y va. Répondit Lilian en la prenant dans ses bras.
De vider sa vessie et de prendre une douche réveilla un peu mieux Jade qui se mit à cogiter sur les derniers mots de Maxime.
— Pourquoi as-tu dis qu’Alfonse et Maturin étaient des tricheurs ? Lui demanda-t-elle en prenant son thé.— Parce que, pour pouvoir faire l’amour à une femme toute la nuit, ils utilisent une petite aide médicamenteuse sous forme de petites pilules bleues. Il ne se contenteraient pas d’un simple punch Bwa Bandé, crois moi.— C’est pour ça qu’ils étaient si sûrs d’eux en me promettant une nuit blanche. Putain, j’n’y crois pas ! Les salops ; ils m’ont bien eue.— Tu regrettes ?— Non, hi hi ! Faudrait être conne ! Ils m’ont faite jouir toute la nuit, par contre, ça ne servait à rien que je me lave le cul parce qu’ils ne s’en sont pas occupés du tout. Même quand ils m’ont prise à deux, c’est dans la chatte qu’ils sont entrés tous les deux.— T’as pris leurs deux bites dans ta chatte ?!— Parce que toi tu n’en a pas pris deux dans le cul, peut-être ? Rigola Maxime devant l’étonnement de Lilian.— Si, c’est vrai…— Bon, et vous, c’était bien ?— Super ! Répondit Lilian souriant. On a bien joui aussi et en plus on a trouvé le temps de dormir quelques heures. En plus, Gilles est très bien monté, crois moi !— Ça, on peut dire que ton petit cul a été bien écarté, mon beau.— C’est clair et en plus de ça, ce matin, après qu’ils m’aient baisé tous les deux, Gilles a voulu voir Néron me saillir. On a fait ça après le petit déjeuner, et ce cochon a enculé Néron pendant qu’il me montait.— Quel cochon ! Enculer un chien… c’est répugnant.— Enfin, je ne sais pas qui est le plus cochon, dans toute cette histoire, Lilian ne te dit pas tout…— Attend ? Laisse moi deviner… Ah non, pas ça, ce serait vraiment trop dégueulasse ! Ne me dis pas que t’as sucé Gilles après ?— Si, il est venu éjaculer dans ma bouche et je l’ai sucé. Avoua Lilian honteusement. Mais j’étais en train de jouir du cul et je n’ai pas réalisé qu’elle sortait du cul du chien…— C’est pas grave, mon Lilou, si tu as aimé, c’est tout ce qui compte…— Oui, mais c’est vrai que c’est dégueulasse…— Mais tu bandes… Dit Jade en prenant sa verge en main. Plus c’est dégueulasse et humiliant et plus t’aime ça. C’n’est pas vrai ?— Aaah… Oui, c’est vrai… Je… J’aime ça.— Et Gilles s’en est rendu compte, c’est ça ? Ou c’est toi qui lui a expliqué, peut-être ?
Lilian n’était pas capable d’en dire plus et se laissa masturber par la main experte de Jade. Il gémissait comme un bébé en fermant les yeux de bonheur et elle guettait les moindres vibrations de sa verge. Lorsqu’elle sentit sa bite se gonfler entre ses doigts, elle y porta rapidement la bouche pour recueillir toute sa semence.
Jade grignota un peu et, toujours épuisée, elle retourna se coucher. Elle se sentit vraiment mieux après une bonne sieste et elle se contenta des extraordinaires capacités de Néron en soirée avant d’aller enfin se coucher dans le bungalow avec son Lilou.
Pendant les deux jours suivants, ils retournèrent faire du surf et Jade se redonna « en cachette » à toute la bande de surfeurs. Leurs nouveaux amis se relayèrent dans la jeep en s’assurant que Lilian ne quitte pas les vagues mais elle découvrit un nouvel endroit où tromper son mari de façon discrète. Le patron et le serveur du bar-restaurant ayant appris qu’elle était facile la baisèrent aussi dans leur réserve.Si toute la bande savait que Jade avait ajouté ces deux nouvelles queues à son tableau de chasse, Lilian l’ignorait et rien ne pouvait lui permettre de penser, quand il la retrouvait avec les autres devant un jus de fruit, qu’elle venait tout juste de se faire prendre.
Le beau temps semblant se maintenir à peu près, pour découvrir les fonds marins, ils se rendirent à Malendure, sur la côte sous le vent, pour un baptême de plongée. Jade croisa quelques regards masculins insistants sur le bateau qui les conduisit sur le site mais Lilian, trop captivé par la côte volcanique et le paysage, ne remarqua pas. En retour de plongée, Lilian était emballé et voulait s’inscrire pour passer son premier échelon. Jade l’y encouragea fortement en prétendant que ça ne l’ennuyait pas de l’attendre sur la plage à chacune de ses sorties. Sa seule condition était d’aller ensuite soit sur la plage naturiste, soit faire du surf. Lilian ne chercha pas plus loin et accepta le marché, si bien que, dès le lendemain matin, il commençai ses cours.Entre l’équipement, l’accès aux sites, le temps de plongée et le rinçage et le rangement du matériel, il en avait à chaque fois pour deux heures et une jeune femme seule sur une plage de Guadeloupe ne le reste jamais longtemps. Lilian n’avait pas rejoins le centre de plongée depuis une minute qu’un homme d’environ vingt-cinq ou trente ans l’aborda. Elle était allongée sous un cocotier, dans un maillot deux pièces dont le haut contenait mal sa poitrine et la culotte légèrement trop petite moulait bien sa vulve charnue. Il vendait des babioles pseudo-locales mais rapidement il lui proposa de l’accompagner dans une cabane où il rangeait ses affaires. Elle ne discuta pas une seconde et ramassa son sac et sa serviette pour le suivre. En chemin, celui qui allait devenir son premier amant de cette plage salua quelques amis et échangea sans s’arrêter quelques phrases en créole. Elle ne comprit pas ce qui fut dit mais elle se sentit concernées. Elle entra dans un abri en tôles, très vétuste, et se défit immédiatement de son maillot pendant que l’homme retirait son short et son t-shirt. Il était visiblement très attiré par sa poitrine et par son cul aussi, après l’avoir sucé un peu, elle le branla un peu entre ses seins avant de se faire prendre en levrette sur le sol en terre battue. Le gars lui baisa la chatte rapidement, en lui mettant un doigt dans le cul, et c’était surtout de savoir que Lilian était bien cocu qui la fit jouir quand il éjacula.
Elle retourna vers son cocotier au moment où la palanquée sortait du bâtiment du club de plongée. Elle était assise sur sa serviette et répondit au signe que lui adressa Lilian en embarquant sur le bateau. Un deuxième homme vint la trouver ; il n’avait rien à vendre mais, comme il savait ce qu’elle venait de faire avec le vendeur ambulant, il venait tenter sa chance. Elle le suivit jusqu’à chez lui, dans une maison créole modeste et il lui fit l’amour sur une couche aux draps douteux. Le gars avait une belle bite et s’en servait bien mieux que son amant précédant si bien qu’il lui procura un bel orgasme avant de finir dans sa bouche. Elle le remercia et retourna vers son cocotier mais elle n’y arriva pas car un restaurateur lui proposa un verre de jus et elle prit le sien à quatre pattes derrière le comptoir de son établissement. Là aussi c’était plus sérieux qu’avec le vendeur de bricoles et quand il lui demanda si elle venait souvent, elle lui expliqua que son mari suivait un cours de dix jours de plongée et que pour s’occuper en l’attendant, elle se donnait à qui voulait.
— Vous serez donc encore là demain matin si je comprends bien.— Oui, et disponible pendant deux heures, mais pas que pour vous ; j’aime la variété.— Je vous guetterai, croyez-moi, et venez déjeuner avec votre mari, je vous offrirai l’apéritif ou les entrées.— Surtout pas ! Il pourrait se douter de quelque chose. Non, il faut qu’il paye plein pot.
Jade retourna à son cocotier qu’elle abandonna encore deux fois pour suivre des inconnus vers leur maison du voisinage. Un sixième prétendant vint tenter sa chance mais, en regardant sa montre et l’horizon, elle lui répondit qu’elle n’aurait pas le temps de le satisfaire.
— Mon mari fait de la plongée et ils sont de retour ; par contre je serai là demain matin à partir de dix heures. Guettez le départ du bateau du club et venez me chercher ; je vous promet de me rattraper.— Je comprends. Et bien, à demain, poupée.
Jade glissa une main dans son maillot et constata que sa chatte suintait de sperme. Elle se leva et alla nager un peu en regardant le bateau se rapprocher de son quai. Elle en profita pour se nettoyer la chatte et frotter le fond de sa culotte. Quand le bateau arriva à quai elle fit un signe de la main et Lilian lui répondit. Elle retourna vers la plage et se remis sous son cocotier pour l’attendre en posant un livre à côté d’elle.
— Ça va ? Ça n’a pas été trop long ?— J’avais pris un bon bouquin et quand j’avais trop chaud, j’allais à l’eau.— Bon et bien on va pouvoir y aller alors, mais on s’arrêtera en route pour manger un truc ; j’ai faim.— Moi aussi j’ai faim ! On pourrait manger ici ; le petit restau là-bas a l’air sympa. Qu’est-ce que tu en dis ?— Si tu veux. Après tout ça évite de chercher.
Jade jubila en voyant Lilian jouer les grands princes devant l’homme qui l’avait si bien baisée un peu plus tôt.
Ils passèrent l’après-midi sur la plage naturiste ; il y avait plus de monde mais la place qu’ils avaient occupés la première fois près du petit sentier était toujours à l’ombre et libre. Ils y posèrent leurs serviettes, se dévêtirent et après un petit tour à l’eau, Lilian prit son matériel de plongée en apnée et s’en alla explorer les rochers en direction de la pointe.
— Psst ! Entendit Jade derrière elle.
Jade tourna la tête et découvrit un voyeur dissimulé dans le sous bois. Il était juste vêtu d’un t-shirt et se masturbait en la regardant. Elle jeta un coup d’œil vers la mer pour s’assurer que Lilian avait bien disparu de sa vue et elle se leva pour le rejoindre. Elle n’avait pas loin à aller et s’appuya simplement contre le tronc penché de l’arbre qui les ombrageait. Elle tendit son cul en écartant les cuisses. L’inconnu se plaça derrière elle, lui lécha la moule et massa ses seins puis il se redressa et glissa d’un coup sa bite au fond de sa chatte.
— Salope ! T’es une salope de blanche et tu veux de la bite de nègre ! Han !— Aah oui, je suis une salope ! Baise-moi et ne dis rien ! Ouh !— Oh oui, salope ! Han !— Aaah !
Jade se sentais réduite à un vide-couilles, le gars ne baisait pas super bien mais ce n’était pas ce qu’elle cherchait. Elle voulait juste qu’il lui prenne la chatte ou le cul rapidement. Leur coït ne s’éternisa pas mais, des bruits de feuilles que l’on piétine, fit comprendre à Jade qu’un autre voyeur trainait dans les parages et, quand son baiseur, après avoir éjaculé en elle, se retira, elle sentit une deuxième verge l’investir.Ce deuxième inconnu ne prononça pas un mot et elle préféra ça. En plus, il était beaucoup moins mauvais que le premier et peu à peu elle se laissa envahir par le plaisir. Elle gémit sous ses coups de reins et connut une jouissance intense quand il rajouta sa semence à celle de l’autre. Il se retira ; elle ne bougea pas et quand elle se retourna enfin, elle était seule. Elle prit ses lunettes de natation et retourna à l’eau en voyant Lilian reparaitre après les rochers et nagea jusqu’à lui.
— Alors, mon Lilou ? Tu as vu de jolis poissons ?— Plein et des coquillages superbes ! Regarde…— C’est vrai qu’il est beau. Il est vivant ou mort ?— Il est mort, tu vois bien et il y en a plein ! Faudrait que j’y retourne avec un filet ou un truc comme ça…— Hi hi ! Et t’en ferais quoi ?— Je n’en sais rien encore… De la déco, pour le jour où on aura un chez nous. Et toi ? tu t’es faite draguer ?— Non… Aucun dragueur sur la plage, ou alors je ne suis pas de leur genre.— Je ne vois pas qui pourrait ne pas te trouver à son goût franchement. Moi, par exemple, je te trouve toujours à mon goût.— Mmm… Cochon, tu bandes. Viens ! Retournons plus au bord je voudrais essayer un truc.
Dés qu’ils eurent bien pied, Jade plongea sous l’eau et, en s’agrippant aux cuisses de Lilian pour se maintenir sous la surface, elle lui suça le gland jusqu’à ce qu’elle ait besoin de reprendre son souffle. Lilia eut aussitôt envie de lui lécher la chatte sous l’eau et il tenta l’expérience. Jade se demanda s’il se rendrait compte que deux hommes venaient d’éjaculer en elle, mais l’eau de mer avait du diluer leurs foutres et il ne sentit rien de tel. Ils se relayèrent ainsi pour jouer avec leur bouche sur le sexe de l’autre et, après un moment, Lilian prit Jade dans ses bras, la souleva et planta sa verge en elle.
— Mmm… Mon Lilou, dit Jade en s’accrochant à son cou. Fais-moi l’amour… J’en ai besoin.
Lilian, se méprenant sur le sens de ces paroles, se fit aussi tendre et viril qu’il pouvait l’être. Il pensait sincèrement que Jade n’avait pas trouvé d’amant et il voulait lui donner le meilleur de lui même pour la consoler.Jade jubilait intérieurement car elle avait passé une bonne journée déjà bien fournie, même si elle n’était pas tombée que sur des bons coups. Elle l’avait trompé huit fois et il l’ignorait ; il était enfin cocu avec un C majuscule et elle, une vraie salope. Elle ne put contenir son orgasme et il éjacula en elle en la rejoignant dans le plaisir.
Ils retournèrent sur la plage et sur leur serviette quelques instants avant de décider de rentrer en faisant un peu de tourisme au passage. Quand ils arrivèrent le soir, une deuxième voiture de sport toute neuve était garée à côté de celle de Maxime. Il garèrent donc la jeep sur les places destinées aux véhicules des occupants des bungalows et descendirent vers le leur. En arrivant près de la piscine, ils surprirent une scène d’amour torride entre Maxime et un grand blond de quarante-cinq ans qu’ils devinèrent être Joep. Ils se firent discrets et se réfugièrent chez eux pour ne pas les déranger. Jade en profita pour refaire leur lit et ils passèrent sous la douche pour se rincer du sel marin.
— Et bien, ça y est, tu vas t’en prendre plein le cul, mon Lilou.— Oui, surtout avec la pub acharnée que Maxime a faite sur moi. Je suis désolé…— Pourquoi ? Parce que tu es beau et que les deux gays chez qui on loge craquent pour ton cul ? Moi aussi, il m’excite ton cul et si j’avais une bite, je t’enculerais souvent ; tu peux me croire. Mais comme j’en n’ai pas, je laisse ce plaisir à d’autres et j’adore quand tu libères la lopette qui est en toi.— Je sais, tu me le dis souvent… Mais, en fait, j’ai l’impression que ce n’est pas juste. Depuis qu’on est arrivé, j’ai une relation quotidienne avec un amant et toi tu peines à trouver… Aujourd’hui, tu as passé ta journée à m’attendre sans avoir une seule occasion.— Lilian, je sais bien que tu me laisses le plus de temps possible seule pour me permettre de faire des rencontres et j’en suis très heureuse. Si ça ne marche pas à tous les coups, ce n’est pas grave.— Demain après-midi, on ira surfer au Moule ; ça m’attriste de savoir que tu n’aies pas eu ce que tu voulais aujourd’hui.— Si tu veux, mon Lilou, mais je crois qu’en fait, n’importe quelle plage me conviendrait. Et puis, après tout, c’est notre voyage de noce et ce serait dommage de passer un mois en Guadeloupe pour ne rien en voir.— On fera comme tu veux, ma Chérie.— Et toi, ce soir, si Maxime et Joep nous invitent, je veux que tu sois totalement disponible, d’accord ?— Je le serai, ma Chérie, tu le sais déjà.— Tu feras tout ce qu’ils te demandent et ramperas devant leurs bites.— Oui, Jade, je serai leur soumis et leur esclave sexuel.— C’est bien ! Il faut qu’on s’occupe un peu de ta pilosité ; ça repousse un peu partout et je veux que tu sois tout lisse.— C’est vrai, et ça gratte un peu.
Jade s’occupa de l’épilation intégrale de Lilian qui supportait beaucoup mieux cette opération, même au niveau de son sexe et de son anus, et elle lui rasa la tête de près. Elle agit rapidement et, en moins d’une demie heure, il avait retrouvé une nudité totale de la pointe des orteils au sommet du crâne. Jade venait juste de s’habiller d’un short et d’un t-shirt lorsque quelqu’un frappa à la porte ; c’était Maxime qui voulait leur présenter son compagnon de vie, alors ils le suivirent jusqu’à la piscine où se prélassait le hollandais.
— Joep, je te présente nos deux jeunes locataires, Jade et Lilian.— Enchanté, Max m’a dit tellement de bien de vous, et les dernières photos de Lilian m’ont tellement excitées… Mais tu es encore plus beau en vrai.— Merci, toi aussi tu es mieux en vrai qu’en photo.— Et toi, Jade, tu trouves quand même ton bonheur en Guadeloupe ?— Ça va, je n’ai pas à me plaindre, même si cette maison manque affreusement d’hétérosexuels. Heureusement qu’il y a Néron… D’ailleurs c’est bizarre, je ne l’ai pas vu en arrivant.— Joep l’a attaché mais je peux le libérer maintenant.— Je n’aime pas qu’il traine derrière mon cul quand je fais l’amour à Maxime, précisa le hollandais en sortant de l’eau. J’ai toujours l’impression qu’il pourrait me grimper dessus.— Moi, j’aime bien. Lui dit Jade en souriant. J’ai découvert ça ici et j’avoue que maintenant, je m’encombrerais bien d’un bon gros chien comme lui.— Si ça ne tenait qu’à moi, tu pourrais partir avec ; je n’aime pas quand Maxime se fait monter, mais je sais aussi qu’il en a besoin quand je suis en déplacement. Tu es vraiment très beau, Lilian. Ajouta Joep en se rapprochant de lui. Ton corps nu à quelque chose de terriblement excitant.— C’est la marque de ma soumission totale et de mon appartenance à Jade.— C’est ce que Maxime m’a expliqué. Mmm… Tu es vraiment tout doux.— Oh, ça y est. Tu découvres les qualités de notre bel éphèbe. Dit Maxime qui revenait avec le chien.— Viens avec moi, mon gros toutou, dit Jade en accueillant le chien. On va laisser ces trois là s’occuper entre eux.
Jade emmena le chien sur la pelouse pendant que Joep continuait sa découverte du corps de Lilian et que Maxime s’installait dans un hamac pour les regarder. Il avait tellement fait la promotion du jeune homme qu’il savait que Joep ne pouvait plus attendre et il voulait lui laisser le plaisir d’en profiter seul pour commencer.
Lilian tremblait comme une jeune vierge, le hollandais était grand, musclé et assez velu. Son sexe avait une taille convenable et, même s’il était, d’après Maxime, plus petit que les leurs, ça ne se voyait pas vraiment. Il se laissa embrasser et caresser sans bouger. Joep parcouru son corps avec sa bouche et ses lèvres, puis il le mena par la main vers le matelas de plage sur lequel il avait fait l’amour à Maxime un peu plus tôt.
— Je t’intimide, on dirait ?— Tu m’impressionnes… Répondit Lilian en passant ses doigts dans la toison blonde du poitrail musclé de Joep.— Je te plais ?— Beaucoup… Je… Tu peux me demander ce que tu veux.— Alors suces-moi, il paraît que tu fais ça très bien.
Lilian s’agenouilla devant le géant blond et prit en main sa verge molle qui portait encore les traces de son rapport avec Maxime. Il y porta sa bouche et la goba avec gourmandise. En même temps, sa main se déplaça vers les couilles de Joep et il les trouva bien grosses et bien lourdes.
— Mmm… c’est vrai que tu fais ça bien, constata Joep en appuyant sur l’arrière de son crâne chauve.
Le sexe de Joep ne tarda pas à prendre son volume maximum et Lilian constata qu’il n’était pas plus petit que celui de Maxime mais qu’il était plus fin. Il avait beaucoup moins de mal à l’avaler totalement et à se baiser lui même la bouche sur cette belle barre blanche. Lilian écrasait régulièrement son nez dans l’épaisse toison du pubis de Joep et regrettait qu’il soit passé par la piscine car elle n’avait plus que l’odeur du chlore. Le hollandais se laissa masturber par cette gorge profonde pendant quelques minutes, avant de se décider à découvrir le cul du garçon. Il mit fin à cette fellation agréable et allongea le jeune soumis sur le matelas. Il l’embrassa sur la bouche, lui pinça et lui mordilla les tétons, embrassa ses abdominaux et son sexe épais. Il le trouva beau et en dégagea bien le gland qu’il prit en bouche et suça Lilian quelques instants avant d’aller lui gober les testicules. Il attrapa et releva les cuisses du jeune homme pour découvrir enfin son petit trou plissé qui paraissait déjà prêt à s’ouvrir. Il y porta sa bouche et sa langue qui s’enfonça avec facilité dans l’anus accueillant.
— J’ai l’impression que t’es loin d’être un débutant ; il y a longtemps que tu te fais prendre ?— Plus de quatre ans. Répondit très honnêtement Lilian.— Tu as commencé jeune… Tu fais ça souvent ? Demanda Joep en se positionnant pour le pénétrer.— Je suis la pute de mon équipe de foot et… Mmm… Oooooh oui, je me fais prendre tous les jours. Aaaaaah… Ah oui… Aaaaaah…— Et tu aimes ça… Mmm… tu es magnifique.
Joep savourait ce petit trou qui, malgré son habitude, restait bien serré autour de sa verge. Il le prenait lentement mais puissamment en s’enfonçant profondément. Lilian gémissait en se pinçant lui même les tétons et regardait son nouvel amant dans les yeux avec un sourire de contentement. Joep se pencha sur lui, l’embrassa langoureusement et décida de changer de position. Il se retira, admira le trou bien ouvert se fermer avec lenteur puis il demanda à Lilian de le sucer avant de se mettre à quatre pattes. Joep le reprit avec plus de puissance et, en jouissant du cul, il croisa le regard de Jade qui maintenait Néron cul à cul avec elle. Il se mit à gémir plus fort et tourna son regard pour voir Maxime qui les regardait en se masturbant doucement. Il savait déjà que le métis prendrait la suite. Joep allait maintenant beaucoup plus vite et jura en hollandais en se vidant les couilles au fond de son cul qu’il gratifia d’une belle claque en se retirant. Lilian venait de jouir intensément et restait dans sa position en haletant. Jade jouissait comme une chienne en le regardant et il sentit les mains de Maxime se poser sur ses hanches et son sexe épais l’investir. Joep vint se mettre devant lui et lui mit son sexe ramolli sous le nez. Il le prit en bouche pour effacer les traces de leur coït et reçut en plus son champagne qu’il n’arriva pas à boire tellement Maxime le bousculait. Ça dégoulinait de sa bouche gémissante et le hollandais termina de se soulager en lui arrosant la tête et le dos. Maxime le retourna pour le prendre de face et Jade, qui s’était décrochée de Néron, vint lui donner sa chatte à lécher. Elle exposait son cul au métis qui dut avouer à Joep que son petit trou de fille l’excitait presque autant que celui de Lilian avant de jouir, à son tour, dans celui du jeune soumis.
— C’est vrai qu’il est mignon même si la moule en dessous et les nichons gâchent un peu le tableau… Et tu ne l’as pas enculée ? Pourquoi ?— Parce que j’ai peur de ne pas y arriver, justement parce que c’est une fille… mais ce n’est pas l’envie qui m’en a manqué et tu es injuste avec sa poitrine. Moi, je la trouve très bien.— Et tu dis ça maintenant ?! S’exclama Jade surprise. T’aurais pu essayer de me la mettre dans le cul, au lieu de te contenter de me le lécher. C’est vrai quoi ! Vous croyez que vos bites ne me font pas d’effet ?! Que vous ne les mettiez pas dans ma chatte parce que ça vous dégoûte, je peux comprendre, mais si mon cul vous plait prenez-le ! J’aime ça aussi, vous savez !— Ne sois pas triste, Jade. J’essayerai peut-être, si Joep est d’accord, mais je ne te promets vraiment pas d’y arriver.— Je ne suis pas triste, je suis contrariée, nuance…
Lilian, désolé pour sa femme la prit dans ses bras avec tendresse et elle s’accrocha à lui.
— Heureusement que j’ai mon Lilou, mais tu le sais que j’ai besoin de bites, Maxime. Peu importe le trou qu’elles visitent, tout ce qui m’importe c’est d’en avoir plein et celles qui sont ici ne font que me narguer.— Tu es dure avec Néron, dit alors Lilian avec humour. Lui au moins ne te snobe pas.— Pff… T’es con, mais c’est vrai ; heureusement qu’il est là, lui aussi.— Je pourrais essayer aussi, déclara Joep. Mais en fermant les yeux.— Je suis vraiment si laide que ça ?— Oh non, tu es vraiment une très belle femme, avec des yeux et des formes magnifiques, ça je peux le reconnaître en toute honnêteté, mais, je n’y peux rien, je ne suis vraiment pas excité par les femmes.
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