Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 11 J'aime
  • 2 Commentaires

Le jouet de Jade

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Comme chaque soir depuis qu’ils étaient là, Jade et Lilian dinèrent chez Joep et Maxime et ils en profitèrent pour demander au hollandais combien il voulait pour la location de sa Jeep.
— Franchement, je n’y ai pas réfléchi et je m’en moque un peu en fait. Rien ! Je vous la prête, c’est tout.— Ah non ! Déjà qu’on mange tous les soirs ici gratuitement, il n’est pas question qu’on ne paye pas quelque chose. La location d’une petite voiture nous aurait coûté 1 500 euros.— Et alors, vous êtes jeunes ; gardez votre argent pour votre avenir. Nous nos vies sont faites et on gagne pas mal d’argent, même si les impôts nous en volent la moitié. Filez-moi cent balles et ça ira bien, puisque tu tiens à payer quelque chose.— Merci, Joep, ça me soulage surtout que la première fois que j’ai niqué dedans, je n’ai pas mis de serviette sur la banquette arrière et le foutre de mes amants a tâché le cuir. Lilian a essayé de la nettoyer mais ça ne part pas…— Ce n’est pas la première fois que ça arrive, la banquette arrière m’a déjà servie pour baiser un petit minet et j’ai un produit très efficace pour la nettoyer et un cirage spécial pour protéger le cuir. Je vous donnerai ça demain… Donc comme ça tu te fais sauter à l’arrière de ma voiture, tu me racontes ?
Jade raconta donc comment elle avait débauché toute la bande de surfeurs du Moule et Joep trouva ça très amusant. Il connaissait bien cette bande de jeunes gens qu’il appelait les voyous de la vague et raconta que l’un d’eux s’était payé sa première planche en lui vendant son cul sur cette même banquette.
— Non, je ne te crois pas ; qui c’est ?— Ça, je ne te le dirais pas, ma jolie, parce qu’il lui arrive encore de venir me voir quand il a besoin d’argent et qu’il ne tient pas à ce que ça se sache.— Mmm… Je comprends, mais je n’aurais rien dit tu sais.— Ah mon avis, il est bi, comme Lilian. Expliqua Maxime qui savait de qui il s’agissait. Mais, en se faisant payer, ça lui donne une meilleure conscience. Oubliez ça, c’est un gentil garçon et, vu l’homophobie de ses copains, ce serait fâcheux si vous faisiez une gaffe.
Après le repas, ils passèrent au salon où Lilian s’appliqua à bien faire bander Maxime et Joep. Le hollandais avait une idée pour qu’il puisse baiser tous les quatre. Il estimait que si Maxime arrivait à bander pour le cul de Jade, il n’y avait aucune raison pour qu’il n’arrive pas à le prendre. Quand ils furent tous bien en forme, il s’allongea sur un tapis et Lilian vint s’empaler sur sa queue bien droite. Jade escalada son mari et guida sa bite dans sa chatte puis Maxime lui écarta les fesses, lécha un peu son petit trou et, à sa grande surprise, réussit à le pénétrer sans débander. Joep se sentait un peu écrasé et n’arrivait pas plus à bouger que Lilian. Le métis, rassuré se mit à aller et venir dans le petit orifice de Jade. Il sentait sa bite coulisser contre celle de Lilian et trouvait ça agréable même s’il regrettait qu’une membrane les sépare. Ses mouvements se répercutaient sur la jeune femme qui se mit à jouir rapidement. Lilian était masturbé par la chatte de Jade et la queue de Maxime qui bougeait contre la sienne et Joep, assez fier d’avoir imaginé cet arrangement, subissait sans débander.Joep était extrêmement possessif et n’avait pas pour habitude de partager ses jeunes amants avec son compagnon. Lilian lui plaisait beaucoup et il estimait que Maxime en avait déjà suffisamment profité. Il se disait que si son chéri pouvait se satisfaire du cul de Jade, il pourrait s’approprier le garçon.Maxime était très heureux de réussir à prendre du plaisir dans le cul de Jade, qu’il aimait bien, et réalisait que la jeune femme jouissait aussi par cet orifice. Il accéléra son rythme et atteint enfin le point de non-retour.
— Ooh ! Oh putain, Jade ! Je jouis ! Je jouis dans ton cul ! Aaah ! Aah oui !— Aah oui ! Remplissez-moi ! Cria Jade en sentant que Lilian aussi éjaculait. Aaah ! Oui !
Joep et Lilian ne furent pas fâché d’être libérés du poids de Jade et Maxime et ils firent enfin l’amour devant leurs partenaires qui se remettaient de leurs orgasmes en s’embrassant sur le canapé.
— Tu vois que les femmes ne t’effraient pas tant que ça… Je suis très contente que tu ais réussi à m’enculer.
— Je n’en reviens pas moi-même ; moi aussi, je suis content. Je suis beaucoup moins dégoûté par les femmes que Joep et j’aime bien les voir jouir.— Et là tu m’as fait jouir… Mmm… Si tu te mets à me téter les tétons, tu vas devoir me la remettre.— Tu me donnes envie d’essayer quelque chose que je n’ai plus fait depuis dix ans… Mais surtout ne dis rien, d’accord ?
Sans le savoir, Jade, par sa simplicité, mettait en confiance Maxime qui décida, après cette première expérience réussie, de redécouvrir ce qu’est une femme. Il lécha, téta et mordilla ses tétons, malaxa sa poitrine et descendit ensuite sa bouche entre ses cuisses. Il explora sa vulve avec sa langue, récupéra le foutre de Lilian, suçota le petit bourgeon qui bandait comme une micro verge et s’aida de ses doigts pour explorer son vagin. Jade se retenait de gémir ou d’exprimer quoi que ce soit, comme il le lui avait demandé, mais elle le regardait faire avec beaucoup d’admiration. Maxime ne se limita pas à sa chatte et s’occupa aussi du petit trou qu’il venait de visiter. Alterner anulingus et cunnilingus le rassurait et entretenait son désir de donner un nouvel orgasme à la jeune femme. Il la regardait dans les yeux et guettait ses réactions ; jade se caressait les seins et gardait la bouche ouverte. Son plaisir allait crescendo et, bientôt, elle ne put plus se retenir de gémir. Un orgasme intense la surprit subitement et son plaisir éclaboussa le visage de Maxime qui en ressentit de la fierté. Elle se laissa tomber sur le canapé et Maxime écarta ses cuisses pour regarder le sexe qu’il venait de goûter. Sa verge était très raide et il l’approcha de la vulve ouverte.
— Surtout ne dis rien…
Jade se mordit les lèvres en le sentant pénétrer en elle et, pour la première fois de sa vie, Maxime réussit à faire l’amour à une femme sans débander. Joep et Lilian n’en croyaient pas leurs yeux et ils décidèrent même de se retirer discrètement sur la terrasse pour laisser Maxime à sa découverte. Le métis prit Jade longuement et ressentait les vibrations de plaisir de son vagin. Il était attentif à toutes les réactions de la jeune femme et elle le serra de tous ses membres quand il éjacula en elle. Ils restèrent enlacés, les yeux mouillés de larmes de bonheur, pendant que Joep et Lilian revenaient en les félicitant pour la beauté de cet acte.
Les quatre jours suivants, Jade eut ses règles et seul Lilian, que ça ne gênait pas, lui fit l’amour durant cette période, mais elle ne se priva pas pour sucer les hommes qui l’abordaient quand son mari allait plonger et le patron du restaurant de Malendure se consola en l’enculant tous les jours.Durant ces quatre jours, ils évitèrent de passer toutes leurs soirées avec Joep et retournèrent chaque soir après le diner faire l’amour tous les deux dans l’intimité de leur bungalow. Par contre, Lilian se donnait quand même à leurs hôtes avant et durant l’apéritif tandis que Jade se faisait saillir dans le jardin par Néron qui, lui non plus n’était pas dégoûté par son état. Ils en profitèrent également pour faire du tourisme plus classique et monter jusqu’au sommet de la soufrière.
La fin de ses règles mit Jade très en joie car elle allait enfin pouvoir revivre une sexualité normale. C’était le dernier cours de plongée de Lilian qui se clôturait par le passage de son premier niveau et elle le regrettait un peu.
— Tu devrais en profiter pour passer le deuxième échelon, tant qu’on est là, tu ne crois pas ? Lui demanda-t-elle dans la voiture.— Ça va devenir vraiment luxueux comme vacances, tu ne crois pas ?— Pour l’instant, on est loin d’éclater notre budget comme la voiture ne nous a rien coûté pour ainsi dire et on est pétés de thunes. Je peux te l’offrir, si tu veux ; ce sera mon cadeau de mariage.— Pff… non, je vais me le payer moi-même ; j’ai plus de thunes que toi, de toute façon. Et puis c’est vrai que ça permet de plonger seul jusqu’à 20 mètres et que, en louant du matériel, je pourrais explorer mieux qu’en apnée.— Tu vois que j’ai raison… Tu te renseigneras ?— Je m’inscrirais tu veux dire… Oh, j’oubliais ! Ça va être un peu plus long aujourd’hui et si je m’inscris pour la formation de niveau 2, tu risques de m’attendre au moins une demie heure de plus.— Et bien tu me retrouveras au restaurant dans ce cas-là. Tu penses y être à midi et demi.— À une heure moins le quart, plus tôt, et encore, si je me dépêche.
En sachant qu’elle aurait trois heures à elle pour tromper secrètement son mari, Jade en mouilla son fond de maillot de bain. Lilian la laissa devant la plage et gara la voiture près du centre de plongée. Sans attendre, elle installa sa serviette à sa place habituelle et n’eut pas le temps de s’y assoir que le vendeur de souvenir vint la trouver. Elle l’accompagna à son cabanon et, une fois la porte refermée, elle descendit sa culotte sans retirer ni sa jupe ni son t-shirt. Elle se mit à quatre pattes, le gars releva sa jupe pour bien dégager son cul et ouvrit sa braguette pour sortir son sexe déjà gonflé. Il frotta un peu son gland entre les lèvres de sa vulve et la pénétra d’un coup. Jade trouvait très pratique de se donner à lui en premier car il était plutôt rapide et ça lui permettait d’être sagement installée sous son cocotier lorsque Lilian partait en bateau avec le club de plongée. Il lui faisait toujours un signe de la main auquel elle répondait avec d’autant plus de plaisir que sa chatte était déjà remplie. Ce matin-là, comme la première fois, le gars la baisa sans vraiment s’occuper de ses sensations, mais l’absence de préliminaires le fit un peu plus performant et elle ressentit un vrai plaisir quand il éjacula en elle. Elle remit sa culotte de maillot de bain, retourna à sa serviette et retira sa jupe et son t-shirt. Elle était tout juste installée quand elle aperçut les plongeurs sortir du club et elle répondit au salut de Lilian. Dès que le bateau s’éloigna de son quai, l’homme qui n’avait pas encore eu sa chance vint la trouver.
— Tu vas pouvoir me sauter aujourd’hui. Mes règles sont finies.— Ça c’est super ! Alors allons y ; j’ai hâte de gouter à ta chatte.
Il tenait une petite échoppe près de la plage dans laquelle Jade ne l’avait, jusque-là, que sucé. Elle le précéda jusqu’à la porte de son arrière-boutique et une fois à l’intérieur se débarrassa de son maillot de bain. Il avait installé une petite banquette sur laquelle elle s’allongea en le regardant retirer ses vêtements. Il avait une bonne trentaine d’année, n’était pas très grand et un peu bedonnant et son sexe court et épais s’accordait avec le personnage. Il commença par lui téter la poitrine avant de se mettre sur elle en soixante-neuf. Il se délecta longuement de sa vulve détrempée tandis qu’elle entretenait son excitation, puis il se relava et se positionna entre ses cuisses. Il la pénétra doucement et elle sentit son sexe s’écarter sous la pression de sa bite épaisse. Elle se sentait bien remplie et ne tarda pas à gémir quand il se mit à bouger. Ce n’était pas un rapide comme son premier amant quotidien et il savait y faire. Il la mena inexorablement vers une jouissance sublime et éjacula quand elle eut son orgasme.
Jade quitta ce deuxième amant et se rendit directement au restaurant où le parton l’accueillit il était accompagné d’un autre homme qu’il présenta comme son nouveau serveur. Jade lui expliqua que Lilian reviendrait plus tard que d’habitude et que le service serait déjà largement commencé.
— Ça signifie que tu ne pourras pas me prendre juste avant qu’il arrive comme j’aurais aimé.— Si, pourquoi ? Puisque maintenant, j’ai un serveur. Par contre maintenant que t’es là, tu ne vas pas repartir à sec ; je suis sûr que Pierre serait ravi de faire ta connaissance.— Et moi de même, répondit Jade en dévisageant le jeune chabin. Tu viens avec moi dans la réserve ? Je vais te donner du plaisir.— Ah, ben ça ! Plutôt deux fois qu’une ! Répondit-il très étonné par cette invitation directe.
Jade l’embrassa sur la bouche et s’agenouilla devant lui pour défaire sa braguette et sortir sa bite encore molle qu’elle suça avec délice. Pierre était assez mignon et en plus son sexe lui rappelait ceux de Lilian et Maxime. Il la prit sur une pile de cartons en la traitant de putain et, comme il s’avéra être plutôt endurant, il lui procura un orgasme vaginal bien avant d’avoir joui lui-même. Il lui demanda si elle acceptait la sodomie alors elle lui répondit qu’elle adorait ça et sans autre forme de procès, il l’encula. Il lui ramona le cul avec enthousiasme et ressortit sa verge crasseuse pour jouir dans sa bouche.
— Tu ne te rhabilles pas ? Demanda Pierre en s’apprêtant à quitter le réduit.— Non, c’est le tour du cuistot, maintenant. Il doit même trépigner d’impatience. Pour l’instant il n’a eu droit qu’à des pipes.
Pierre sortit de la réserve et croisa le cuisinier qui attendait son tour. Il ne prit même pas la peine de refermer derrière lui car, après tout, le restaurant n’était pas encore ouvert et pénétra Jade sans attendre.
— Désolé, ma Chérie, j’aimerai bien te faire l’amour comme il faut mais j’ai un repas à préparer. Je vais juste me vider les couilles comme on dit.— Ne t’en fait pas Léon ; j’adore servir de vide-couilles. Baise-moi comme une pute… Aaaah ! Aaah ! Aaah !
Léon n’était pas non plus un rapide et, même en la baisant directement comme un soudard, il mit plus de cinq minutes avant de la remplir de foutre.
— Je crois, Jade, que je vais prendre de l’avance, dit le patron en rentrant ensuite. Après tout, il n’est que onze heure et j’aurai encore les moyens de te reprendre à midi.— Alors fait comme Léon, Mike, vide-toi les couilles en vitesse ; j’ai d’autres hommes à voir avant que Lilian ne rentre.— Comme tu veux, Princesse. C’est toi qui dis. T’es vraiment la reine des putes, ajouta-t-il en la pénétrant.
Jade ressortit après s’être faite enfilée en levrette par Mike qui, même en n’aillant fait que de se vider les couilles, avait réussi à la faire jouir encore. Elle ne se rendit pas vers le cocotier mais traversa la route pour retrouver un autre amant qui l’attendait déjà depuis quelques minutes. Elle frappa à la porte de sa maison en s’annonçant et rentra pour le retrouver dans sa chambre. L’homme lui fit l’amour rapidement mais assez bien et elle le quitta aussitôt après pour se rendre chez son voisin. Elle regarda sa montre en retournant vers la plage. Il était midi moins quart et elle avait encore un petit peu de temps. Elle savait que sa réputation sur place était déjà faite et elle n’eut pas à attendre pour qu’un inconnu vienne la chercher pour la baiser à la va-vite cachés derrière un cabanon. Quand il la laissa, il était temps qu’elle aille retrouver Mike pour qu’il la baise une seconde fois et jouisse en elle juste avant l’arrivée de Lilian.
Quand Lilian entra dans le restaurant, il fut accueilli par le nouveau serveur et vit simplement les affaires de Jade posées près de leur table habituelle. Il y avait du monde et le bruit ambiant ne lui permit pas d’entendre son épouse jouir dans l’arrière-cuisine. Pierre prévint que Lilian était arrivé et elle passa par le couloir des toilettes pour donner le change. Le cocu n’y vu que du feu et dès que sa compagne fut avec lui, il lui confirma qu’il s’était inscrit pour la formation niveau 2. Ils mangèrent rapidement et se rendirent ensuite au Moule pour surfer.
Quand ils rentrèrent le soir, Lilian était heureux que Jade ait pu satisfaire un peu son appétit avec leurs amis surfeurs et continuait de croire qu’elle restait sage pendant qu’il était à la plongée. Cette naïveté ravissait Jade qui considérait au fond d’elle que c’était seulement de cette façon qu’il était vraiment cocu.
Joep et Maxime les attendaient avec une certaine impatience car le hollandais ne pouvait plus se passer du cul de Lilian. Il y avait pensé toute la journée et s’était même refusé à Maxime pour être plus en forme pour le jeune homme. Le métis, quant à lui s’était vengé en se faisant saillir devant lui par Néron et n’attendait maintenant plus qu’une seule chose : essayer de renouveler une expérience avec Jade. Maintenant qu’il avait réussi à lui faire l’amour une fois, il voulait voir s’il y arriverait encore.
Jade était très flattée par ce désir et elle fit tout pour le mettre à l’aise. Tant et si bien que Maxime lui fit l’amour deux fois. La première avant l’apéritif avec encore un peu d’anxiété et la seconde, parfaitement décomplexée, durant la soirée. Elle l’avait guéri de sa peur des femmes et de leur sexe étrange mais il restait quand même fortement et principalement attiré par les hommes. Néanmoins, Joep eut enfin ce qu’il voulait, à savoir : Lilian pour lui seul.
Les deux jours suivants furent semblables à celui-ci et Jade se donna, le matin, à tous ses amants de Malendure et l’après-midi à leurs amis surfeurs qui prenaient plaisir à croire que Lilian ne voyait toujours rien. Ce n’était d’ailleurs pas entièrement faux car il avait arrêté d’espionner les allées et venues des uns et des autres ou même de Jade qui trouvait parfois le temps de les rejoindre sur les vagues. Le soir, Maxime entretenait sa nouvelle bisexualité avec un enthousiasme certain et Jade se donnait à lui avec bonheur.
Le deuxième jour, alors qu’ils venaient juste d’arriver dans leur bungalow, Maxime vint même les retrouver. Jade était heureuse de le voir et l’embrassa aussitôt avec passion alors que Lilian rinçait et étendait leurs combinaisons de surf. Elle sentait qu’elle avait vraiment manqué au métis qui caressait son corps et ses fesses par-dessus ses vêtements. Elle-même sentait qu’il avait une solide érection et, sans attendre plus, elle lui retira son short et son t-shirt et l’attira sur le lit. Il lui retira alors sa jupe, sa culotte et son t-shirt puis il se jeta sur sa chatte qu’il savait pleine du foutre des surfeurs. Maxime était habitué au sperme et ne s’en formalisait pas. Au contraire ces souillures donnaient un parfum masculin à son sexe de femme qui lui facilitait la tâche. Sa langue était longue et agile et Jade adorait sa façon de la lécher. Elle lui prit les mains pour l’amener à la couvrir et soupira d’aise en sentant son sexe viril pénétrer dans sa chatte insatiable. Ce qui choqua Lilian n’était pas qu’elle se donne à lui car Jade n’en était pas à un amant près mais c’était qu’elle le fasse sur leur lit, dans leurs draps et qu’en plus elle lui dise des mots d’amour qu’il croyait réservés à lui seul. Ils ne baisaient pas ; ils faisaient l’amour sous ses yeux et sous son nez de cocu. La façon dont ils le faisaient, trahissait un sentiment un peu plus fort qu’une simple amitié et il se sentit vraiment et ouvertement trompé. Il avait même l’impression d’être de trop et indiscret, alors il quitta le bungalow avec un nœud dans la gorge et alla se jeter dans les bras de Joep pour une baise extrêmement débridée. Lilian avait besoin de saleté et d’humiliation. Être simplement baisé ne lui suffisait pas ; il avait envie d’être dégradé, de servir de WC, nourri et abreuvé de leurs excréments réunis et le bel hollandais pervers lui donna sans difficulté tout ce que le jeune homme attendait.
Le lendemain matin, ils se levèrent de bonne heure car ils devaient faire des courses et préparer de quoi camper avant de retrouver leurs amis surfeurs à l’embarcadère des Saintes. En voiture Lilian repensa à la liaison qui s’était nouée entre Jade et Maxime et considéra que sa compagne y trouvait seulement une consolation. De plus, le métis n’avait pas renoncé au cul de Lilian qui en avait profité le soir après leur diner. Il avait, finalement, l’impression que sa femme ne le trompait pas autant que ça et que s’était surtout quand ils allaient surfer qu’elle le faisait cocu.
— Je couche presque plus avec Joep et Maxime que tu ne me trompes avec des hommes, déclara Lilian en chemin.— Tu as peur de ne pas être assez cocu, mon Lilou ?— Oh, non, mais je m’en inquiète un peu… Heureusement que Maxime a découvert sa bisexualité car autrement, à part quand on va surfer, tu ne vois personnes et j’ai peur que tu ne passes pas la lune de miel de tes rêves, c’est tout.— Je passe une lune de miel merveilleuse. Mon mari que j’aime me fais jouir tous les matins et tous les soirs et, comme tu le dis, j’ai aussi toute une bande de jeunes surfeurs entreprenants avec qui nous allons faire la fête au Saintes. Et je crois qu’il y aura du monde. C’est un anniversaire où un truc comme ça, mais tu seras sage, d’accord ?— Comme une image. J’irai plonger beaucoup, danser autant, boire modérément et me coucher tôt. Il faut qu’on se trouve un hamac.— À mon avis, il nous faut deux hamacs ; même en prenant des deux places, je ne suis pas sûre que ce soit si confortable que ça pour dormir à deux.
Jade et Lilian n’eurent aucune difficulté à trouver ce qu’ils cherchaient à Pointe-à-Pitre et après avoir fait des courses de nourriture et de boissons, ils retournèrent en Basse-Terre et retrouvèrent leurs sept copains surfeurs et un autre groupe d’une vingtaine de jeunes qui comme eux se rendaient à la fête. Ils furent présentés à tout le monde durant la traversée vers l’archipel des Saintes et une fois sur place, ils embarquèrent tous avec leurs sacs, glacières et hamacs sur des barques de pêcheurs qui les menèrent sur la plage de l’île déserte où se déroulerait leur soirée. Ils avaient également du charbon de bois, des guirlandes lumineuses, une sono et un groupe électrogène pour écouter de la musique. Tous ces jeunes étaient visiblement habitués à faire ce genre de soirées car ils étaient vraiment bien équipés et organisés. Rapidement ils installèrent le lieu de la fête où ils mirent en commun leurs vivres et leurs glacières.
Sur les conseils de Joey, Jade et Lilian accrochèrent leurs hamacs au plus loin du centre de la fête et le jeune couple constata que c’était aussi ce que leurs amis faisaient. Willy montra à Lilian comment bien suspendre son hamac et comment s’y installer pour dormir confortablement. D’autres jeunes arrivaient progressivement mais les filles restaient assez minoritaires et Lilian estima qu’elles ne représentaient pas beaucoup plus d’un tiers des fêtards. Les nouveaux arrivant cherchaient tous à se mettre, comme eux, au plus loin de la soirée et certain pestaient en voyant que Joey et ses copains avaient déjà occupé la place.
— Pourquoi tout le monde veut se mettre par ici ?— Parce que c’est le coin le plus tranquille et que, si on a besoin de se coucher tôt parce qu’on a trop bu ou que l’on veut simplement dormir un peu, c’est le meilleur spot. Moi, par exemple, je sais déjà que je ne resterai pas debout jusqu’à trois heures du matin mais certains sont partis pour une nuit blanche. Du coup, jusqu’à ce qu’on ait tout rangé demain, la musique ne va plus s’arrêter et le groupe non plus. D’ici, le bruit est tolérable mais là-bas c’est impossible.— En plus, c’est la meilleure vue pour le lever du soleil, ajouta Brad. Et tu verras, il n’y a rien de plus beau qu’une petite plongée au premier rayons du soleil.
Ce n’était pas une plage à vagues mais par contre les fonds marins étaient très beau et Lilian et d’autres allèrent assez vite plonger. Certains de ses amis avaient des fusils harpons et, prudemment il s’écarta d’eux. Quand il revint une heure plus tard, de sa petite exploration, il ne vit pas Jade, mais ne s’en inquiéta pas. Il se dirigea vers le centre des festivités où il retrouva quelques surfeurs de leur groupe du Moule et aida à la préparation de barbecues. Quelqu’un lui tendit une bière fraiche qu’il accepta et commença à sympathiser avec plusieurs jeunes gens. Une jolie créole semblait s’intéresser à lui, mais Jade arriva à ce moment-là et le prit dans ses bras par derrière. Elle sortait de l’eau et il sentit sa poitrine humide s’écraser sur son t-shirt.
— Je te cherchais, mon petit mari. T’étais où ?— Et bien ici, ma Chérie ; je ne t’ai pas vue en ressortant de l’eau alors je suis venu voir si tu étais là et j’ai proposé mon aide.
Il n’en fallut pas plus pour que la jolie créole abandonne sa drague et reporte son intérêt sur un autre garçon. Lilian ne savait pas s’il devait en être soulagé ou ennuyé. Il avait promis à Jade d’être sage, mais il sentait bien que ce ne serait pas facile. Il retourna à l’eau en compagnie de sa femme qui l’embrassa amoureusement. Elle s’accrochait à lui et il sentit son sexe se redresser. Ils avaient pied et l’envie lui vint de lui faire l’amour dans l’eau, mais, comme ils étaient devant tout le monde, l’endroit était mal choisi. Il lui proposa de nager le long de la plage et, dès qu’ils furent assez éloignés du centre des réjouissances, il la reprit dans ses bras.
— J’ai envie de te faire l’amour ici, dit Lilian en retirant sa verge de son short de bain.— Mais, on va nous voir, Lui répondit Jade en enserrant ses hanches avec ses jambes.— Personne ne peut voir ce qu’on fait ; on a de l’eau jusqu’aux épaules.
Jade ne répondit pas et elle le laissa écarter l’élastique de son maillot pour glisser sa queue dans sa chatte déjà grasse de foutre. Il lui fit l’amour en douceur, ses mouvements étaient lents et tendres, mais son excitation était palpable et elle fut heureuse de le sentir jouir en elle.
La soirée commença vraiment lorsque le ciel se mit à rougir, et dès ce moment les jeunes gens se rapatrièrent vers les boissons et les maigres victuailles qu’ils avaient apportés. Lilian fit plusieurs rencontres, discuta de nouveau avec des gens qu’il avait aidé à installer les barbecues et, comme il savait qu’il ne tenait pas trop l’alcool, s’arrangea pour garder un verre de jus de fruit à la main. Cependant, il dut s’en séparer pour danser et accepter celui que Brad lui tendit au moment de souhaiter un bon anniversaire à la jeune créole qui s’était intéressée à lui en fin d’après-midi.Il chercha Jade du regard dans la cinquantaine de convives, mais ne le vit pas et trinqua avec ceux qui l’entouraient et avec la reine de la fête quand elle passa près de lui. Il y eut une série de zouk love, il en dansa deux avec cette fille qui l’excitait de plus en plus, puis, subitement, il commença à se sentir mal. Quelque chose n’allait pas et il avait l’impression de ne plus tenir sur ses jambes. Jade réapparut à ce moment précis et l’attrapa vivement par le bras.
— Ça ne va pas, Lilou ?!— Si… Non… Je…— Joey, Will ! Venez m’aider, il ne tient plus debout.— Pile dans le timing, dit Brad en regardant sa montre. C’est cool.— T’es vraiment sûr de ton coup, lui demanda Jade inquiète. Il a vraiment l’air mal.— Rassure toi c’est ce que prend ma petite sœur ; elle a des problèmes nerveux qui s’accompagnent de crises violentes et mon père, qui est médecin, lui fait prendre le double de ce que je lui ai mis dans son verre. Ça va l’assommer un bon moment durant lequel il va rester éveillé, mais incapable de comprendre ce qui se passe vraiment et après il va s’endormir et ronfler comme un bébé.
Lilian était effectivement dans un état semi-comateux ; il voyait et entendait tout mais était incapable de savoir si c’était de l’ordre du rêve ou de la réalité. Quand ils arrivèrent à son hamac, les jeunes gens l’installèrent confortablement et Jade insista pour qu’on lui retire ses vêtements et qu’on le couvre d’un drap qu’elle avait apporté pour lui.
— Je tiens quand même à son confort ! Et Lilian n’a jamais dormi autrement qu’à poil ; comme moi, d’ailleurs. Et j’espère pour toi que ça va bien se passer, Brad, parce que sinon…— Ne t’inquiètes pas, beauté, son pouls est régulier et sa respiration aussi ; il est parfait !— Tu n’es pas médecin, qu’est-ce que t’en sais ?— Holà, tu as vraiment peur, mais rassure toi, je ne suis pas médecin, mais presque. Je rentre en première année d’internat. Même sans mon stéto, je peux te dire qu’il va bien. Il n’aura peut-être même pas mal à la tête demain.— Putain, c’est vrai qu’il a une grosse teub ! S’exclama Joey en retirant le short de bain de Lilian. Matez ça les gars ! C’est un nègre blanc, Gros !— Sans vouloir te vexer, Joey, même chez les populations africaines, ça reste un organe d’exception, mais, généralement, ce genre de format ne grossit pas tant que ça quand il bande.— Le sien double en toutes proportions ! Répliqua Jade un peu fâchée. Je ne sais pas pourquoi j’ai accepté ce plan à la con… Bon, assez vu, je le couvre pour pas qu’il ait froid.— Tu n’as rien à craindre, ma Beauté, demain matin, il se portera comme un charme.— Tu le jures ?! Demanda Jade les larmes aux yeux. Je ne veux pas le perdre et là j’ai peur.
Brad déploya une multitude d’efforts pour faire comprendre à Jade qu’il avait raison. Il avait dans ses affaires sa carte d’étudiant en médecine, une trousse d’urgence plus que complète et un stéthoscope qu’il sortit pour lui faire entendre les pulsations cardiaques et la respiration de Lilian qu’elle put comparer à celles des autres et aux siennes.
— Il va bien, je te le jure et il n’a eu qu’une dose de bébé ; je n’ai pas voulu prendre de risque pour sa santé. Le seul vrai risque, c’est qu’il ne s’endorme pas et retrouve sa conscience.— Que ça ? Alors ça va.— Que ça, mais ce qu’il risque de voir alors peut être difficile à vivre pour tout le monde et pour lui en premier.— Ça je m’en moque ! S’il m’aime, il ne dira rien et ne fera rien ; au moins pas devant vous.
Les prévisions de Brad n’étaient pas si justes car la sensibilité de l’organisme de Lilian aux drogue et à l’alcool fit qu’il resta dans son état semi-comateux durant quatre heures et qu’il assista, impuissant, à tout ce qui suivit, avant de s’endormir. Cependant, même s’il resta tout le temps incapable de bouger ou d’articuler quoi que ce soit, sa conscience s’accrut progressivement. Il passa assez rapidement du rêve à une réalité que son cerveau préféra interpréter comme un cauchemar.
Ils commencèrent par s’occuper d’elle à sept. Ils la caressèrent, la rassurèrent jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement détendue, puis ils la prirent à tour de rôle. D’autres garçons esseulés s’associèrent à ce regroupement qui se passait juste sous les yeux de Lilian, au bas de son hamac. Il y avait de la place pour trois entre le corps de Jade, couché sur une couverture, et le hamac où son mari reposait, mais l’espace restait dégagé. Il était allongé dans une position latérale de sécurité arrangée par Brad et ses amis lui permettant de bien voir ce qu’il se passait. Le mot était passé pour dire que Jade était disponible à qui voulait et elle eut une bonne vingtaine d’amants inconnus, cette nuit-là, qui la prirent pendant toute la durée d’éveil comateux de Lilian. Elle n’était plus qu’un vide-couilles, un vulgaire garage à bites. Elle eut droit à toutes les pénétrations multiples possibles, allant de trois queues dans la chatte à trois queues dans le cul ainsi que leurs intermédiaires et sa bouche ne resta jamais vide. Lilian entendit que quelqu’un remarquait qu’il bandait. Il sentit que son drap fut relevé, son sexe masturbé et il entendit aussi une autre personne déclarer qu’il venait d’éjaculer. Petit à petit, les hommes abandonnèrent le corps lascif de Jade et il ne resta plus que leurs sept « amis ».Joey releva Jade et la mena dans son hamac où il la prit avec passion, puis elle le laissa pour rejoindre Willy, puis Mat et ainsi de suite, jusqu’à Brad dans les bras duquel elle s’endormit après un dernier orgasme. Lilian constata que d’où il était, avec la clarté de la lune, il pouvait tous les voir, alors il ferma les yeux et s’endormit à son tour.
Lilian fut réveillé par les premiers rayons du soleil et ce qu’il vit en face de lui confirma qu’il n’avait pas rêvé. Jade avait bel et bien organisé de le droguer pour se faire un gang bang à côté de lui. Certaines paroles lui revinrent mémoire, mais elles restaient confuses comme : « … trop bu » ou « … tient pas l’alcool ». Certaines sensations, aussi, se rappelèrent à lui, comme le drap soulevé et la certitude, maintenant que son cerveau fonctionnait à nouveau, d’avoir été masturbé et humilié par un grand nombre de moqueries. Toutes les images se reconstruisaient peu à peu et des larmes lui vinrent aux yeux. Il n’avait pas seulement été trompé ; il avait été manipulé et volontairement écarté des réjouissance de la soirée. Il pensa alors à la fin de cette partouze immonde et revit sa femme se donner, l’un après l’autre, à leurs sept amis surfeurs. C’était tendre et émouvant, comme une sorte d’adieu et il réalisa qu’il ne leur restait plus qu’une semaine à passer sur cette île démoniaque. Il se retourna pour échapper à la clarté du jour naissant et comme sa fatigue était encore trop forte, il fut incapable de se lever pour aller faire pipi. Il se laissa aller dans son hamac et se rendormit pour un véritable sommeil réparateur.
Tout fut rangé et nettoyé avant que Lilian ne se réveille à nouveau. Son hamac était le dernier encore accroché, le soleil était haut et le cocotier sous lequel il était, lui offrait une ombre agréable. Quelqu’un le balançait doucement et il pensa aussitôt à Jade, mais subitement l’ambiance environnante devint électrique.
— Putain ! C’est vrai ce qui se raconte ?! Vous avez vraiment tué un mec à ma soirée d’anniversaire !— Absolument pas, Joïna ! Répondit Brad. Il va bien ; c’est juste qu’il dort plus longtemps que prévu.— À d’autre frérot ; moi, je ne crois ce que je vois !— Calme-toi. Lui dit Jade à voix basse. Brad dit qu’il faut le réveiller en douceur… Mais je t’assure qu’il est vivant.— Toi, la pute, je n’te parle pas ! T’es prête à tuer ton mec à coup de médocs pour te faire sauter par tous les mecs de ma soirée ! Et moi, pauvre conne, je me retrouve toute seule avec un pauvre naze qu’à éjaculé avant même de passer la porte ?! Ah elle est belle ma soirée de 18 ans. Mais je te préviens, Brad, ça ne va pas se passer comme ça ! Je vais dire à Papa que t’as tapé dans le stock de Mégatron de Lily ! Et je vais même lui raconter pourquoi !— Ne fait pas ça… c’est inutile ; il le sait.— Ah oui ?! … De mieux en mieux ! Alors je vais en parler à Maman ; je suis sûre qu’elle va adorer l’histoire de la jeune mariée qui fait droguer son mari pour ce faire partouzer, tout ça avec la complicité de Papa ! Putain, ça va chauffer ; tu peux en être sûr.— C’est quoi le problème, Joïna ? Puisque je te dis qu’il va bien ! Tu voulais te le taper, c’est ça ?— Évidemment, qu’est-ce que tu crois ?! Il est craquant ; au moins autant qu’elle pour un mec, et quoi ? Vous avez baisé cette pute tous l’après-midi, toute la soirée et toute la nuit mais moi j’n’avais pas le droit de me faire son mec ? Ça aurait été plus simple non ? Vous n’aviez qu’à me le laisser et vous auriez été libre de faire vos trucs !— Joïna, je peux te parler quelques minutes ?— Je n’ai rien à te dire, la pute !— Mais moi j’ai plein de choses à t’expliquer, de femme à femme. Joey, Will, Brad, vous voulez bien nous laisser ? Je veille sur Lilian, de toute façon, et je suis sûre qu’il va bien…— Tu me préviens dès qu’il se réveille ? demanda Brad avant en se levant. Je vérifierais quand même…— Ne donne pas trop raison à ta sœur, je vais finir par croire que tu as effectivement forcé la dose.— Non, je t’assure ! Il n’a eu qu’un demi cachet dilué dans son champagne.— Dans son champagne ? C’est peut-être ça le problème, non ? Dit Joïna à son frère avant de reprendre. Alors t’as quoi à me dire ?— Écoute, Joïna, je vais te raconter une partie de notre histoire…
Lilian avait failli faire savoir qu’il était parfaitement réveillé, mais il s’abstint pour entendre tout ce que sa femme allait dire.Jade raconta à peu près toute leur vie en éludant, évidemment, les rapports incestueux qu’ils entretenaient avec leurs parents et leur goût avéré pour les choses très sales. Par contre, elle ne cacha rien de leur bisexualité sans, toutefois, trop insister et détailla le départ de la relation amoureuse qu’elle entretenait avec Lilian.
— Dans le cadre de notre relation, nous avons convenu que Lilian ne pouvait coucher avec aucune femme, à moins que je l’y autorise et, je suis désolée, mais, hier, il n’en avait pas le droit.— C’est un peu salop quand même ; toi, tu peux faire ce que tu veux et lui non… Juste se faire enculer ou humilier par cette bande de connards avec qui traine mon frère.— Oui, mais je t’assure que ça lui plait aussi. Le problème avec ton frère, Joey et les autres, c’est qu’ils sont persuadés que Lilian ne sait pas qu’ils me sautent et ils voulaient me faire l’amour avec Lilian endormi à côté de nous. Finalement, j’ai trouvé ça excitant et je leur ai donné carte blanche pour mettre leur plan à exécution. Par contre, je ne sais pas si tu peux le comprendre, mais c’est réellement mon seul amour et, définitivement, le meilleur de mes amants… Je n’ai jamais eu envie de lui faire le moindre mal et je t’assure que j’ai eu très peur hier soir quand je l’ai vu sombrer dans une sorte de comas, mais je sais que là, il va bien. J’ai collé ma tête contre sa poitrine et il dort comme chaque matin, quand je me blottis contre lui.— Et je dois penser quoi, maintenant de tout ça ? Que t’es une fille géniale et que mon anniversaire était super cool ?— Non, j’ai sans doute foutu en l’air ton anniversaire, mais je ne savais pas que tous ces mecs devaient être là pour toi. Sur ce coup, ton frère et ses copains ont un peu triché car j’avais envie d’un gang bang géant et ils ont promis de me l’offrir… Par contre, je veux bien me faire pardonner.— Comment ?— Lilian est un amant vraiment très performant, ça je peux te l’assurer, et vraiment très bien monté… Ce que je te propose, c’est de te charger de son réveil. Il est très sensible et rien de tel que des petits bisous sur ses tétons pour faire lever sa queue et d’autres sur le bout de sa bite pour lui faire ouvrir les yeux, mais sur la bouche, ça marche aussi…— Alors pourquoi tu ne l’as pas fait plus tôt ?— Parce que Lilian, quand tu le réveilles comme ça, il n’a plus qu’une seule envie : baiser. Et c’est comme quand il surfe une vague ou qu’il joue au foot ; c’est toujours lui le meilleur et je ne voulais pas montrer ça aux autres.— Pourquoi ? Puisque tout le monde t’a vu baiser la nuit dernière.— Parce que Lilian, mon Lilou d’amour, c’est mon véritable jardin secret. Je ne veux pas le partager avec n’importe qui, mais je veux bien te le prêter ce matin. La seule chose que je te demande, c’est de faire en sorte qu’il soit vraiment heureux quand il me retrouvera tout à l’heure parce que je ne suis pas certaine qu’il ait été aussi inconscient que ça toute la nuit et je crains qu’il ne se sente vraiment trahi, pour le coup.— Tu tiendras tout le monde à l’écart ? J’aime bien l’intimité.— Je te le promets. Réveille-le en douceur. Conclut Jade en se levant.
Deux heures, c’est le temps que mirent Joïna et Lilian avant de reparaitre. Une partie des fêtards avait déjà rembarqué vers la Guadeloupe et, quand elle revit Jade, Joïna l’étreignit de toutes ses forces alors que Lilian qui voulait embrasser sa femme les avait toutes les deux dans les bras.
Diffuse en direct !
Regarder son live