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Le jouet de Jade

Chapitre 9

Orgie / Partouze
En rentrant, de leur week-end aux Saintes, ce dimanche soir, Lilian ne dit presque rien et répondit tellement brièvement aux questions de Jade qu’elle se sentit mal à l’aise et laissa s’installer le silence. Elle comprenait qu’il soit encore un peu troublé et fâché du tour qui lui avait été joué, mais elle ne l’admettait pas vraiment. Après tout, il était son soumis, son joet et elle lui avait quand même permis de passer un bon moment avec la petite Joïna ; il n’avait pas trop à se plaindre. Elle trouvait également qu’elle avait été plutôt sympa avec lui en le laissant lui faire l’amour dans l’eau et voulait qu’il le comprenne. Peu de temps avant qu’ils n’arrivent enfin à la propriété de Maxime et Joep, elle décida de rompre la glace.
— Quand on est cocu, il faut s’attendre à avoir mal… Et l’idée de te shooter ne venait pas de moi. J’en suis profondément désolée.— Non, peut-être que l’idée ne vient pas de toi, mais t’as accepté.— Bien sûr, c’était excitant de savoir que tu dormirais à côté pendant que je me ferais tringler comme la dernière des salopes ! J’avais envie d’un vrai gang-bang, tu comprends et il était hors de questions que tu y participes.— Sauf que je n’ai pas dormi. Tout mon corps était engourdi, j’étais incapable de bouger ou de parler, mais je ne dormais pas. En plus, il y a des salopards qui m’ont branlé en se foutant de ma gueule…— Et bien comme ça t’as pu éjaculer, toi aussi. C’est plutôt gentil après tout. De toute façon, maintenant, c’est fait ; on ne peut pas revenir en arrière. La prochaine fois, on t’attachera, si tu préfères ; ça peut être drôle aussi.— Parce que tu prévois une prochaine fois ? Quand ça ? Que j’aille ailleurs.— Tu m’en veux tant que ça ?— À toi, non ; ça va me passer. Mais à eux, c’est certain.— Allons, mon Lilou… C’n’est pas si grave ; je te promets que ça ne se reproduira plus. Le plus simple, finalement, c’est sans doute que tu ne saches pas trop ce que je fais. J’ai l’impression que tu deviens un peu jaloux…— Moi ?! Pas du tout, qu’est-ce qui te fais croire ça ?— Plein de choses, à commencer par tes réactions quand je fais l’amour avec Maxime, mais là, je ne sais pas de qui tu es le plus jaloux, Ah ah !— C’est malin… Évidemment que je suis jaloux ; non seulement vous faites l’amour, mais en plus vous faites ça dans notre lit. Quand il est dans tes bras, j’ai l’impression que tu pourrais tout quitter pour lui et ça me fout les glandes.— Ce n’est pas faux ; il me fait mouiller presque autant que toi… Tu me feras l’amour en rentrant ?— À mon avis il doit déjà te guetter ; on n’aura pas le temps de poser nos affaires qu’il sera déjà dans notre lit.— On n’en sait rien ; si ça se trouve ils seront occupés…
Jade et Lilian arrivèrent assez fatigués et Maxime comprit que le garçon était un peu énervé, mais il ne fit rien pour connaitre l’origine des tensions palpables entre les deux jeunes mariés. Cela ne l’empêcha donc pas de prendre Jade tout de suite pendant que Lilian plongeait dans la piscine pour se changer les idées. La déception du garçon, vert de jalousie, fut encore plus grande lorsqu’il apprit, plus tard, que Joep avait dû repartir pour son travail et qu’il ne le reverrait peut-être pas avant leur départ. Maxime refit l’amour à Jade après le diner et, au moment de se coucher, elle était tellement fatiguée qu’elle se refusa à Lilian, mais elle exigea qu’il se masturbe devant elle.
Le lendemain, Lilian allait mieux et s’excusa pour sa réaction et sa jalousie stupide. Ils allèrent à Malendure où Jade fit le tour de ses amants secrets pendant son cours de plongée et l’après-midi, ils allèrent se faire dorer sur la plage naturiste. Lilian abandonna Jade une heure pour continuer ses explorations sous-marines et quand il revint, il constata que sa chatte était bien brillante de désir. Il y glissa un doigt qui ne rencontra aucune semence étrangère et ce constat lui apporta un sentiment étrange. Il en était à la fois rassuré et déçu.
— J’ai l’impression que les gens de cette plage sont vraiment trop sages. Tu es chaude comme la braise et il n’y a que moi qui m’en rend compte.— Que veux-tu qu’on y fasse… Mmm… cochon, t’es en train de me caresser en public.— Je ne suis pas certain que ça te gêne et, j’aperçois quelqu’un que tu connais et qui est sûrement intéressé.
— Qui ça ? S’étonna Jade en rouvrant les yeux.— Notre pêcheur rasta… Bonjour.— Bonjour, on ne vous a jamais revu en venant pêcher.— Lilian fait de la plongée à Malendure le matin.— Ah… Je comprends ; t’as un peu de temps pour m’accompagner sur le chemin un petit peu ?— Lilian ? Tu es d’accord ?— Tu sais bien que oui, ma Chérie.— Oh, mais je te demande parce que j’ai l’impression que tu deviens de plus en plus jaloux.— Je vais faire comme si je ne savais rien… Promis.— Et garde les affaires, ça t’évitera d’avoir mal en regardant.
Jade se moquait de lui, mais elle n’avait pas entièrement tort. Ce n’était pas d’être cocu qui peinait Lilian mais bien d’en être témoin. Il ne supportait plus de la voir faire l’amour avec quelqu’un d’autre et préférait oublier d’y penser. La venue de Rasta ne l’avait pourtant pas trop inquiété, mais il était peut-être préférable qu’il n’assista pas à leur accouplement. Jade revint seule une demi-heure plus tard et lui exposa sa chatte bien garnie de foutre avant de l’embrasser amoureusement.
— Il t’a fait jouir ?— Pas autant que toi quand tu m’as fait l’amour ce matin, lui répondit Jade heureuse. Mais il n’y a pas à chier, c’est un bon coup. Pas trop jaloux ?— Je crois que pour bien être cocu, il faut être un peu jaloux de toute façon… Je t’aime tellement, Jade. Mais tu avais raison ; c’est peut-être mieux si je ne vois pas trop souvent. C’est pour ça que j’essaye de ne plus trop faire attention à qui est sur le spot ou non quand on va surfer, mais ça, c’est gâché, maintenant… Je ne veux plus aller au Moule. Je ne veux plus voir Brad, Joey, Willy et les autres…— Oh, mon Lilou, dit Jade en le prenant dans ses bras. Ça t’a fait si mal que ça ?— Si j’avais pu bouger, je t’aurais laisser faire ce que tu voulais et me serais mis suffisamment loin pour ne pas voir et ne pas entendre, mais je ne pouvais rien faire que de regarder en bavant à moitié. C’est à cause de ça si maintenant je suis jaloux ; c’est à cause d’eux ! Salopards !— Ne pleure pas, Lilou, je t’en prie, ne pleure pas… Je te promets de faire attention à la rentrée pour ne plus te tromper en face de toi.— Pff… ça dépend, par ce que là aussi, ça dépend du contexte. Avec nos parents, je m’en moque parce que c’est vraiment partagé. Et en club, on sait pourquoi on y va et on est libre tous les deux finalement… Mais oui, je n’ai pas besoin de voir, mais si un jour tu rentres avec la chatte pleine de foutre, je voudrais peut-être savoir quand même. Ah ah. Je supporterais sans doute mieux que tu me racontes tes aventures que de les voir.— Mais tu sais qu’il y en aura et que, un jour ou l’autre, tu peux te retrouver témoin involontairement…— Alors je pleurerai peut-être en me masturbant parce que j’n’aurais rien d’autre à faire… Être cocu, ça doit s’assumer aussi. Il faut que je me rééduque, je crois. Et puis, de toute façon, je suis ton esclave dévoué corps et âme alors ne t’inquiète pas trop si j’ai mal.
Jade était troublée par la détresse de Lilian et elle savait qu’il était sincère pourtant, tous deux savaient qu’elle était parfaitement incapable de lutter contre l’appel du sexe. Lilian serait cocu et humilié, mais il avait vécu une sorte d’overdose et devait effectivement se remettre tranquillement. Ce soir-là, lorsqu’ils rentrèrent, Il attendit dans un hamac que Maxime et sa femme sortent du bungalow pour aller se doucher et après le diner, il s’excusa et les laissa seuls. Quand Jade rentra se coucher, il dormait et elle n’osa pas le réveiller.
Le lendemain, Lilian avait envie d’aller surfer après son cours de plongée et comme les vents avaient légèrement tournés, l’excuse était toute trouvée pour ne pas se rendre au Moule. Ils se rendirent sur un spot de la Basse-Terre où ils s’amusèrent ensemble sur les vagues avant que Jade laisse son mari surfer tout seul. Un jeune homme venait de tenter sa chance auprès d’elle et sans rien dire d’autre à Lilian que : « on se retrouve au bar », elle l’emmena sur la banquette arrière de la jeep. Elle réussit à tromper Lilian deux fois sans qu’il ne s’en aperçoive et s’en félicita.Le soir, ils se rendirent dans le seul club échangiste de l’île et Jade autorisa Lilian à prendre du plaisir de son côté, mais il n’abusa pas de cette liberté. En rentrant, ils virent qu’une voiture de location était garée sur leur place habituelle et ils réalisèrent qu’ils avaient maintenant des voisins.
— C’est vrai qu’on ne va plus être tout seul…— J’espère qu’ils seront sympas, répondit Jade épuisée de sa soirée.
Les nouveaux voisins, qui avaient dans la cinquantaine, était un trio composé d’une femme, de son mari et de son amant. Ils les rencontrèrent à l’heure du petit déjeuner qu’ils prirent chez Maxime et qui se termina par une partouze à cinq dont Lilian fut exclu. Jade avait expliqué à Marlène et ses hommes que Lilian n’avait pas le droit d’avoir de rapports avec une femme sans son autorisation et ni Michel, l’amant, ni Rémi, le mari n’étaient bi. Le pauvre garçon cocu dut donc se contenter de sa main droite et de Néron qu’il alla retrouver au jardin pour oublier sa douleur. Ils passèrent cependant la journée autour de la piscine et Jade fit attention à se faire discrète lorsqu’elle allait dans un bungalow ou un autre avec Michel, Rémi ou Maxime tandis que Marlène faisait de même. Lilian pouvait entendre les deux femmes jouir, mais ça ne lui faisait pas aussi mal et ses masturbations en redevenaient agréables.
Au matin, en ouvrant les yeux, Lilian se sentit bien. La nuit avait été reposante et il avait hâte d’aller plonger. Il réveilla Jade en douceur, ils firent l’amour avec passion et il se leva pour prendre une douche et préparer leur petit déjeuner.
— Ça t’ennuie si je bouge avec Marlène, Michel et Rémi plutôt que de t’accompagner ?— Vous irez où ? Je peux vous retrouver après ?— Oh, mais on ira quand même à Malendure, sans doute, mais plus tard ; juste pour t’y retrouver et cet après-midi, on pourrait aller bronzer nus tous ensemble.— C’est une idée et puis tu t’ennuieras moins avec eux qu’à m’attendre toute seule.
Les choses s’organisèrent ainsi et, quand il sortit de son cours de plongée, Jade et leurs voisins l’attendaient dans leur restaurant favori. Ils se rendirent ensuite sur la plage naturiste où Jade et Marlène se rendirent accompagnées de Michel et Rémi dans le sous-bois. Il avait eu envie de les accompagner, mais sa femme lui demanda de garder leurs affaires et il prit donc son mal en patience. Il pensa qu’elle se ferait juste sauter par l’un ou l’autre de ces quinquagénaires séduisant, mais il ignora que le but de la manœuvre était de les offrir aux antillais qui rôdaient dans les fourrés. Quand les femmes ressortirent guillerettes, elles se précipitèrent à l’eau pour se rincer de leurs excès. Chacune d’elles avait satisfait trois inconnus avant de se faire prendre par Michel et Rémi. Leurs ablutions ne permirent pas à Lilian de constater si sa femme avait été bien remplie et il n’osa pas poser de questions. Comme ils étaient revenus, il décida d’aller plonger et il ne vit pas Jade retourner dans le sous-bois. Quand ils repartirent vers chez Maxime, elle avait eu dix amants dans sa journée en plus de Rémi et elle se sentait satisfaite et joyeuse.
— J’ai l’impression que tu t’entends bien avec Marlène, Rémi et Michel.— Oui, ils sont drôlement sympas je trouve. Finalement, c’est bien d’avoir des voisins…— Oui, enfin… Maxime ne s’intéresse plus trop à mon cul et Joep est parti, alors c’est surtout toi qui va en profiter, je crois.— Tu n’as quand même pas trop à te plaindre ; tu t’es quand même bien éclaté jusqu’à présent, non ?— Oui, tu as raison, mais c’est dommage que ni Michel ni Rémi ne soient bi. Je vais me rattraper sur Néron…— Chacun son tour, mon Lilou, et puis, ce soir je ne serais sans doute pas aussi fatiguée qu’hier. Je te promets une jolie nuit d’amour pour me faire pardonner.— Par ce que tu as des choses à te faire pardonner ?— Si tu savais… Répondit Jade énigmatique.
Effectivement, le soir après que Jade se soit de nouveau offerte à Rémi, Michel et Maxime en compagnie de Marlène, elle se fit extrêmement entreprenante et lui fit l’amour deux fois avant qu’ils ne s’endorment. Le lendemain, il lui fit l’amour avant de se lever et lui exprima son désir de faire du surf sur un autre spot que celui du Moule. Il ne voulait pas revoir la bande de jeunes qui l’avaient drogué et Jade lui fit savoir que, dans ces conditions, elle comptait passer sa journée en compagnie de leurs voisins.
— Si tu veux, on te retrouvera en fin d’après-midi là où tu iras surfer.— Mais vous, vous serez où ?— Je n’en sais rien encore mais quelle importance ça peut bien avoir ? Tu vas plonger et après tu vas surfer.— C’est vrai, mais ce matin c’est mon N2… Vous viendrez me rejoindre alors ? C’est sûr ?— Je te le promets mon Lilou.
Lilian parti, Jade n’en revenait pas de sa chance ; elle avait été plusieurs fois harcelée par un des hommes politiques qui avait profité d’elle, à l’aller, dans l’avion et n’en avait rien dit à son mari. L’homme n’était pas celui qu’elle avait le plus envie de revoir mais il avait fini par lui proposer de l’argent pour pouvoir la sauter encore une fois. Elle lui avait laisser entendre qu’elle réfléchirait à son offre et, ce matin-là, elle lui répondit qu’elle acceptait de le rencontrer chez lui ou dans l’hôtel de son choix. De connivence avec Marlène et ses hommes, ils la déposèrent devant un grand hôtel de luxe en fin de matinée où elle déjeuna en compagnie de son client et ils revinrent la chercher juste à temps pour aller retrouver Lilian qui était sur un spot de la Basse-Terre.
— Alors, c’était bien ? Demanda Marlène curieuse.— Tu parles ! C’est une vraie bête, ce mec. On n’a pas arrêté et on a même mangé dans la chambre entre deux parties de jambes en l’air. Il m’a bien payée, mais il en a eu pour son argent.— Tu lui a tapé combien ? S’intéressa Michel qui conduisait.— 500 balles ; c’n’est pas mal comme tarif de pute de luxe, mais demain il veut venir avec un ami.— Pour le même prix ?— Oui, pas plus, mais j’ai accepté quand même. Ça me plait bien de me prostituer jusqu’à la fin de nos vacances sans que Lilou ne s’en doute.— Compte sur nous pour garder le secret.
Lilian fut heureux de retrouver sa femme ; il imaginait bien qu’elle ne lui avait pas été fidèle, mais il n’imaginait pas qu’elle ait rencontré quelqu’un d’autre que leurs voisins. Le soir, il regretta simplement l’absence de Joep et, Maxime, conscient de sa tristesse, décida de le consoler un peu.
Le jeudi matin, Lilian trouva à louer du matériel de plongée et rejoignit Jade, Marlène, Michel et Rémi qui s’était installés sur la plage d’un grand complexe hôtelier. Il passa tellement de temps sous l’eau qu’il ne vit pas sa femme s’absenter pour se rendre avec deux hommes rencontrés presque un mois plus tôt durant leur vol Paris-Pointe-à-Pitre dans l’établissement. Jade était heureuse d’avoir pu se prostituer sous son nez, mais elle regrettait de ne pas avoir eu plus de temps. Le soir, Lilian fut ravi de voir que Joep était de retour et sa soirée fut beaucoup moins morose que les précédentes. Le bel hollandais le prit dans la chambre d’amis pendant que Jade et Marlène se faisaient sauter dans le salon. Lilian retrouva le plaisir de jouir du cul et, pour finir, il servit de toilettes à son amant qui ne se lassait pas de sa gourmandise.
— Tu es vraiment l’homme le plus cochon que je connaisse, lui dit Joep pendant que Lilian finissait d’avaler ce qu’il avait dans la bouche.— Je ne t’ai rien imposé ; si ça te dégoûte, tu n’étais pas obligé de le faire.— Je n’ai jamais dit que ça me dégoûtait ; j’adore les petits passifs qui avalent, boivent et mangent.
Lilian ne répliqua pas. Il aimait vraiment servir de chiotte et de poubelle et il se demandait parfois si le plaisir qu’il ressentait dans ce genre d’humiliation ne justifiait pas, à lui seule, le fait d’être cocu. Quand, après avoir laissé Joep, il se coucha auprès de son épouse, Jade lui fit une remarque amusée quant à son haleine de fosse septique, mais cela ne l’empêcha pas de l’embrasser à pleine bouche.
— Ça fait longtemps que je ne t’ai pas nourri, mon Chéri ; rappelle-moi de te gaver demain matin.— Mmm… J’ai hâte d’être à demain alors, mais peut-être qu’avant tu peux me permettre d’aller chercher autre chose…— Ah oui ? Quoi donc ?— Le foutre de tes amants d’aujourd’hui… Répondit Lilian en glissant sa tête entre les cuisses de sa femme.— Mmm… Oui, cochon, tu vas en trouver plein… Mmm… devant c’est surtout celui de Maxime et derrière, c’est Rémi.— Ils t’ont prise en sandwich ? Raconte… Demanda Lilian en s’allongeant sur elle.— Non, ils nous ont baisées toutes les deux à trois en changeant régulièrement, mais Rémi ne nous la mise que dans le cul alors que Maxime et Michel ont préféré nous prendre la chatte. Oooh… Oooh oui, mon Amour… Aaah… comme ça… Oui ! Pénètre moi fort…— Ah oui, ma Chérie… Ma petite salope… Ta chatte est encore baveuse du jus de Maxime… Mmm… Il te baise bien ?— Mmm… Non… Oooh… Il fait comme toi… Aaah… il me fait l’amour… Aaah… Aah oui, Chéri…— Mieux que moi ? Ooh… Dis-moi ? Est-ce qu’il te fait l’amour mieux que moi ?— Aaaah… Il… Il est très attentionné… Aaah… Aaah oui… Aaah ! Il fait l’a… Aaah ! L’amour mieux que toi, Aaah ! Aah oui ! Aah ! Vas-y ! Plus fort ! Oui ! Aaah ! Comme ça ! Oui ! Cocu ! Pédé ! Tu m’fais jouir ! Aaah ! Aah oui, Lilou ! Je… Aaaah ! Je jouis !— Aaah ! Moi aussi, Putain ! Aah ! Aaaaah ! Salope !
Lilian eut un orgasme puissant accompagné d’une décharge très abondante et Jade éprouva un plaisir sans fin comme seul Lilian savait lui en procurer. Ils restèrent un long moment couché l’un sur l’autre avant de prononcer un seul mot.
— Ce n’est pas vrai, Lilou, Maxime ne me fait pas l’amour mieux que toi ; c’est juste différent.— Tu l’aimes ?— Moui, on pourrait dire ça aussi, mais pas comme toi ; pas autant que toi. Ce n’est pas avec lui que je suis mariée et c’est toi l’homme que j’aime le plus au monde. Mon compagnon de toujours… Je t’aime Lilou, quoi que je dise et quoi que je fasse, je te jure qu’il n’y a que toi.— Moi aussi, je t’aime de tout mon être…
Jade tint parole et le lendemain matin, après son petit déjeuner, elle offrit à Lilian une gourmandise qu’elle ne lui avait pas donné depuis longtemps. Ils firent ça dehors, Lilian allongé sur la pelouse et Marlène qui se levait assista à la scène avec une pointe de dégoût.
— Tu m’avais dit que vous aimiez les trucs crades, mais là c’est franchement dégueulasse…— Mon Lilou aime bien ça et je lui en fais tellement voir qu’il faut bien que je lui fasse un peu plaisir de temps en temps. Pas vrai, Chéri ? Tu aimes ça ?— Mgnoui, gn’adore. Répondit Lilian la bouche pleine.— Effectivement ça a l’air de lui plaire, conclut Marlène finalement amusée. Et ça ne le rend pas malade ?— Une fois, il a été malade, répondit Jade en se remémorant leurs débuts incestueux. On était avec deux couples très proches et il a servi de WC à tout le monde. Ça a fait un peu trop pour son estomac… Alors, maintenant, je le rationne. Répondit Jade en se relevant.
Marlène attendit que le jeune couple soit retourné dans son bungalow pour se préparer des tartines et manger. La faim était plus forte que le dégoût et elle s’efforça d’oublier ce qu’elle venait de voir, mais elle ne put s’empêcher de le raconter à Michel et Rémi dès qu’ils furent levés.
— Ils sont vraiment étranges, ces deux là. Reconnut Michel en se servant un café.— Jade est quand même une fieffée salope ! T’as vu combien de mecs elle se tape tous les jours ? Je n’arrive pas à comprendre comment des gamins aussi jeunes se soient mariés en démarrant tout de suite leur vie avec une relation d’adultère aussi aboutie.— Toi aussi, tu es cocu, mon Chéri, et ça ne te déplait pas.— Mais nous c’est différent ; c’est venu tardivement et puis c’est avec Michel. Ça n’a rien à voir.— Sauf quand vous m’emmenez sucer des queues ou me faire sauter par des inconnus dans les bois ou sur un parking.— Oui, mais Rémi a raison, parce que ça n’arrive que quand on le décide et qu’autrement tu es notre femme partagée. Je suis autant cocu que lui.— Mais c’est mon mari, alors c’est lui le cocu, pas toi !— C’est de nous que vous parliez ? Demanda Jade en ressortant du bungalow après s’être douchée.— Oui et non, répondit Marlène en lui souriant. Je leur ai raconté ce que j’avais vu ce matin et on trouvait que vous étiez vraiment un jeune couple très bizarre.— C’est vrai, sans doute, mais on ne pourrait pas être autrement. On ne fait que ce qui nous procure du plaisir à tous les deux… Il n’y a eu qu’un seul raté.— Qu’est-ce qui a été un raté ? Demanda Lilian avant de saluer leurs voisins.— Ton expérience aux Saintes… J’expliquais à Marlène, Michel et Rémi que généralement, on ne faisait que ce qui nous faisait plaisir.— Oui, alors là, pour le coup, c’est vrai que ça a été un vrai cauchemar… Je n’arrive toujours pas à m’en remettre ; c’est pour ça que depuis, je m’en vais quand elle est dans les bras d’un autre homme, alors qu’avant j’adorai ça. J’étais même capable de sucer ses amants pour les refaire bander pour elle.— C’est quand même curieux que vous vous soyez unis alors que tu sais pertinemment que ta femme te trompera toute ta vie.— Oh, mais Jade fait bien plus que ça, répondit Lilian en serrant sa femme contre lui. Elle me connait par cœur et sait me rendre heureux. Je lui appartiens totalement… C’est pour ça que je suis totalement épilé et rasé ; parce que je lui suis soumis. Je suis son jouet et son esclave, pour notre plus grand plaisir. J’aime quand elle me trompe ou qu’elle m’humilie… Je sais, par exemple, que ce n’est pas un spectacle des plus appétissant, mais je suis content que tu nous aies vu ce matin, Marlène.— Pourquoi ça ?— Parce que ça m’a mis dans une situation véritablement dégradante.
Jade et Lilian leur expliquèrent toutes leurs vies et expériences dans le détail à l’exception, bien entendu de leurs liens incestueux et finalement, le trio comprit un peu mieux à qui ils avaient à faire.
— En fait, vous êtes jeunes mais vous vivez ensemble depuis tellement longtemps que vous êtes un vieux couple ! Comme Marlène et moi. En conclut Rémi. C’est normal que vous ayez des fantasmes candaulistes, échangistes ou de soumission masculine. Ce sont généralement des choses qui touchent plus les vieux quinquas comme nous.— Oh mais vous n’êtes pas vieux, répondit Jade flatteuse. Et j’adore les hommes matures.— Vous voulez venir avec nous aujourd’hui ? Nous allons vers Deshaies. Demanda Marlène au deux jeunes.— Oh oui, c’est gentil mais je crois que Lilian a prévu d’aller surfer avec Joep cet après-midi.— Donc rien n’empêche de bouger tous ensemble ce matin. On rentrera déjeuner ici répondit Rémi.— D’accord mais on prend la jeep, conclut Lilian. J’y ai tout mon matos de plongée et, en plus, elle est plus spacieuse et les vitres teintées offrent une certaine discrétion que Jade apprécie parfois.
La grande anse de Deshaies, était une plage remarquable qui s’étendait du bourg vers une zone sauvage et arborée près de laquelle ils s’installèrent. Ils commencèrent par se baigner tous les cinq puis Lilian décida d’aller explorer les fonds marins. Sa bouteille était pleine et il prévu de ne pas dépasser dix mètres pour plonger aussi longtemps qu’elle aurait de l’air. Il était à peine parti que Jade et Rémi décidèrent d’aller visiter le sous-bois. Leur escapade ne fut pas suffisamment discrète pour échapper à quelques autochtones qui suivirent pour se rincer l’œil. Ils ressortirent un bon quart d’heure plus tard et ce fut au tour de Michel de lui demander un service. Marlène avait seulement envie de profiter de la plage pour le moment et lui était plutôt excité.
— Tu es sûre que ça ne t’ennuie pas, Marlène ? Demanda Jade par politesse. J’avoue que Rémi m’a mis en appétit…— Non, profite de Rémi et de Michel tant que tu veux ce matin, mais j’avoue que si j’osais…— Oui ?— Je me taperai bien ton mec si tu me l’accordais. Ne serait-ce qu’une fois…— En gros, c’est du donnant-donnant, c’est ça ?— Non, pas vraiment puisque je t’ai déjà dit que tu pouvais profiter de Rémi et Michel autant que tu voulais.— C’est vrai… Dès qu’il s’agit d’une femme, j’ai tendance à être un peu égoïste et à le garder pour moi, mais bon… C’est d’accord, mais qu’une fois et ce matin.— Merci, c’est gentil. Tu crois qu’il voudra bien ?— Il n’a pas le choix ! Si je le lui ordonne, il obéira.
Jade retourna dans le sous-bois avec Michel et ceux qui l’avaient déjà observée comprirent qu’elle était avec un nouvel homme. Du coup, certains de ces voyeurs se rapprochèrent et l’amant de Jade les repéra assez vite.
— Aah… Nous ne sommes plus seul… Oooh…— Aaah… Aah oui, Michel… Aaah… Baise-moi…
Michel s’activa davantage et Jade se mit à gémir plus fort. Trois gars s’étaient approchés d’eux et avaient sorti leurs bites par leurs braguettes pour se masturber. Jade leur demanda d’attendre pour la prendre après. Michel éjacula au fond de sa chatte et laissa une place toute chaude et déjà bien farcie aux trois inconnus. Le premier à la pénétrer poussa un juron en créole et les deux autres se moquèrent de lui ; il venait de balancer sa sauce et en rougit de honte. Jade n’en avait pas grand-chose à faire car s’était uniquement le nombre de queues qui pénétrait sa chatte en cachette qui l’intéressait, mais elle fut quand même heureuse de subir ensuite deux assauts plus endurants.
— Vous en avez mis du temps. Constata Marlène au retour de Jade et Michel. Je me suis demandée si Lilian n’allait pas être de retour avant vous.— C’est que… On a trouvé du renfort, avoua Jade en souriant. Il y avait trois types qui m’avaient déjà vu baiser avec Rémi et qui se sont montrés quand ils ont compris que je revenais avec un autre homme. J’en ai pris plein la chatte.— J’espère qu’ils ne seront plus là quand j’irais avec Lilian. J’espère qu’il va vouloir…— Pourquoi ne voudrait-il pas ? Je t’ai dit qu’il n’aurait pas le choix.— Sauf que je suis quand même vieille et grosse. J’ai un gros cul, un gros ventre ; je suis grasse de partout et j’ai les seins qui tombent.— Ne dit pas de bêtise ; tu as beaucoup de charme et tu es très attirantes. Je connais deux femmes qui ont ton âge et un peu les mêmes soucis, avec qui, même si je ne suis pas trop lesbienne, je fais l’amour régulièrement. Et tu sais quoi ? Tu me les rappelles un peu. T’as déjà fait l’amour avec une femme ?— Oh oui ! Souvent…— Tu voudras faire l’amour avec moi ? Demanda Jade en approchant ses lèvres de celles de Marlène. Ce soir…— J’adorerais ça…— Si vous commencez à vous gouiner devant nous vous allez nous refaire bander, déclara Rémi en massant son maillot de bain.— On ne fait que s’embrasser ! Leur rétorqua Marlène. Je n’ai jamais compris ce que vous trouviez d’excitant là-dedans.— Oh si, répondit Jade. Moi je comprends ; c’est excitant de voir deux personnes de même sexe prêtes à faire l’amour ensemble.— Tu veux dire deux femmes, sans doute ; parce que deux mecs…— Non, deux mecs aussi. J’aime voir Lilian embrasser un homme, le sucer et se donner à lui. Il est beau quand il fait l’amour avec un homme et quand il jouit du cul…— C’est quand même un peu dégueulasse, entre mecs, répondit Rémi amusé par la discussion.— Enculer un mec ou une nana, c’est pareil, lui répondit Jade courroucée. Et toi qui me la mets dans le cul neuf fois sur dix depuis que je te connais tu ne devrais pas avoir de mal à enfiler un homme.— De ce point de vu, Jade à raison, un cul c’est un cul et c’est vrai que depuis quelques années ta queue sert plus à ramoner mon petit trou qu’à limer ma chatte.— Tu ne t’en es jamais plainte.— Non, parce que tu encules très bien et je sais que tu prends plus ton pied quand c’est bien serré.— Et bien plein ! Rajouta Michel moqueur. Rémi éprouve une grande satisfaction quand il ressort une belle bite merdeuse.— Oh, ça va…— Le problème de mon mari, c’est que je n’accepte pas de le sucer après… Rajouta Marlène pour enfoncer le clou.— Je sais bien que c’est crade et je ne le demande plus depuis longtemps, je te signale !— T’aurais pu me proposer, je l’aurais fait, mais si tu veux quelqu’un qui aime vraiment ça, il faut que tu t’adresses à mon Lilou… C’est dommage qu’il ne supporte plus de me voir parce que tous mes amants qu’il a sucé ont été unanimes sur un point : Lilian suce mieux que personne et il adore quand c’est bien sale.— Il suce les bites qui sorte de ton cul ?— Il suçait ! Mais on a un peu déconné quand on l’a drogué pour baiser à côté de lui. C’était censé le faire dormir, mais en fait ça l’a juste empêché de faire le moindre mouvement et il a tout vu sans rien pouvoir dire ou faire et il n’était pas préparé à me voir pratiquement violée par une vingtaine de mecs… Il dit qu’il a l’impression d’être devenu jaloux mais je crois que c’est autre chose. J’espère que ça lui passera.— Ça te rend triste ? Je croyais que tu aimais faire l’amour dans son dos ?— C’est vrai, j’aime bien quand il croit que je n’ai rien fait ou pas grand-chose alors que je me suis comportée comme une vraie pute. Mais j’aime bien aussi quand il est là et qu’il suce les bites de mes amants ou qu’on se les partage.— On pourrait essayer un truc, réfléchit Marlène. S’il me baisait devant toi et qu’en même temps Michel et Rémi te baisaient, ça pourrait peut-être lui redonner le goût à te voir dans les bras d’autres hommes.— Moi, ce que je crois, c’est que c’est surtout de Maxime dont il est jaloux. Si j’ai bien compris, au début de votre séjour, il était homo pur jus et assumé, mais maintenant il est bi et ne prend plus son pied qu’avec toi.— C’est vrai, Michel, tu as raison et Lilian est jaloux de nous deux…
Lilian sortit la tête de l’eau à peu près à ce moment-là et retrouva le groupe sagement allongé sur les serviettes.
— Alors ? Les poissons étaient beaux ?— Magnifiques ! Et j’ai vu deux tortues…— Chéri ? J’ai quelque chose d’important à te demander.— Tout ce que tu veux, mon amour. Tu sais bien que je suis toujours à ton service.— J’ai été deux fois dans le petit bois derrière nous, avec Rémi d’abord et avec Michel ensuite et Marlène aimerai que tu y ailles avec elle. J’aimerai que tu lui donnes le meilleur de toi et que tu la fasses jouir autant que tu me fais jouir moi, tous les matins et tous les soirs.
Lilian regarda sa femme, un peu surpris, puis il regarda Marlène avec insistance avant de replonger ses yeux dans ceux de sa femme.
— Vous me permettez juste de retirer ma combinaison ?— Ce sera plus commode… Répondit Jade amusée.
Lilian avait mis un slip de bain plutôt qu’un short car c’était plus pratique et confortable sous les combinaisons de plongée ou de surf mais, par contre, le vêtement contenait moins bien sa verge en érection. Quand il retira sa peau de néoprène, sa bite était déjà en train de gonfler et il rougit de honte en constatant que son sexe ne pouvait faire autrement que de se montrer. En passant l’élastique le gland avait été entièrement décalotté et en venait presque à toucher son nombril. Michel et Rémi furent étonné par la dimension surprenante du pénis érigé et Marlène s’en lécha les lèvres de gourmandise. Elle se leva et prit la main de Lilian pour se précipiter avec lui dans le sous-bois.
— Je suis contente de voir que j’arrive encore à exciter un jeune homme, dit Marlène en caressant sa verge. Pour être franche, j’avais peur que tu aies un peu de mal à bander pour moi.— Pourquoi ? Tu es magnifique ; tu me fais penser à ma mère… Rajouta Lilian emporté par son excitation.
Il était à genoux aux pieds de Marlène et approchait sa bouche de sa grosse vulve poilue.
— Elle a une grosse chatte bien grasse comme la tienne…— Mmm… Cochon, ne me dis pas que tu connais la chatte de ta maman… Mmm… Ooooh… Oh oui lèche moi bien… Aaah…
Lilian n’osa rien rajouter et de toute façon, il avait la bouche trop occupée pour ça, mais il se rendait bien compte qu’il venait de gaffer. C’était pourtant la vérité et il se régalait de son jus. Marlène le redressa après quelques minutes de broute minou et pris appui contre un cocotier pour qu’il la pénètre enfin.
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