Ce jour- là, j’étais restée seule avec mon beau père, ma mère étant partie s’occuper de ma grand-mère malade.Il était assis au salon sur le canapé et étais en train de jouer à un jeu sur son ordinateur posé sur la table basse, juste devant lui.-Ho, tu joues à quel jeu, lui demandais-je ?-c’est un jeu de mahjonq.-A cool, j’adore ça moi.-Tu veux jouer ?-Ben je veux pas te déranger.-Non, tu ne me déranges pas, viens.Il s’assit plus profondément dans le canapé et écarta ses jambes pour me faire une place. J’hésitai un moment parce que je l’avait vu s’habiller, le matant de temps à autre curieuse de son anatomie, surtout de son entre jambe, et je savais qu’il ne portait pas de slip comme souvent quand il est à la maison.-Tiens, viens t’asseoir là.Je m’exécutais et allais m’asseoir tout en remarquant une bosse importante au niveau de son sexe.Je me penchais en avant, sur l’ordi, et commençais une nouvelle partie, j’adorais ce jeu.Lui était en jogging assez fin, moi je portais une petite jupette courte, un T-shirt et une petite culotte blanche. A un moment où j’étais super concentrée dans mon jeu, il se colla à moi, son sexe en érection contre mes fesses et son torse tout contre mon dos.-Alors, tu y arrives.-Heu, oui oui, pas de prob.Tout en restant collé à moi, il posa ses mains sur mes hanches, les fit glisser doucement sous mon T-shirt, commença à me caresser le ventre, lentement, puis, voyant que je ne réagissais pas, étant à fond dans mon jeu, il commença à les faire aller et venir sur ma poitrine naissante. Je ne portais pas de soutien-gorge, j’avais à l’époque de jolis petits seins qui pointaient déjà fort.Je sentais la paume de ses mains froides passer sur mes miches, le bout de ses doigts titiller mes tétons qui devenaient de plus en plus dur, comme son sexe qui bandait comme un âne contre la raie de mes fesses. Il avait discrètement relevé ma jupe, profitant de ma concentration ailleurs, et me donnait de petits coups de sa grosse bite toute dure. Il croyait peut- être que je ne voyais pas son petit jeu. En fait, je faisais juste mine de ne pas faire attention, trop contente de pouvoir jouer sur son ordi qu’il prêtait rarement.Au bout de quelques instants, alors qu’il me caressait toujours les tétons sans gène et qu’il branlait sa queue contre mon cul, je sentis comme une bouffée de chaleur monter en moi. J’arrivais de moins en moins à me concentrer dans le jeu.A un moment, je ne sais pas ce qui c’est vraiment passé en moi. Je fermais les yeux, hummmm , c’était une délicieuse sensation de bien-être qui m’envahissait. Je me laissais partir en arrière, mon dos toujours collé à son tors velu et posai ma tête sur son épaule.Tout en continuant à me caresser les nichons d’une main, me pinçant de temps à autres les tétons, ce qui avait pour effet de me faire mouiller encore plus, il descendit l’autre vers ma chatte. Je la sentis tout d’abord sur mon sexe à travers ma culotte déjà toute trempée. Puis, il aventura un doigt entre ma culotte et ma peau, puis deux, puis à présent sa main était toute entière sur ma chatte.Il caressa mes lèvres, de haut en bas, de bas en haut, me masturba le clito tout gonflé, m’enfonça un doigt dans mon intimité, puis deux, les fit aller et venir. Hummm, haaaaaa, hummmmmm, ouiiii, c’est bon, hummm, ouiii, encore… Puis, me voyant cuite à point, prise à son piège et n’étant plus capable de quoi que ce soit, ni de me défendre, ni de réagir, c’était trop bon, il poussa l’ordinateur sur le côté et me fit mettre à plat ventre sur la table.Il descendit ma culotte souillée jusqu’à mes genoux, se mit derrière moi et présenta sa bite énorme, bandée comme un arc, à l’entrée de mon vagin, le caressa quelques instant avec son gland humide, puis me pénétra, doucement, rentrant toute entière sa grosse queue en moi, puis il entreprit de lents va et vient, puis de plus en plus rapide. J’étais en transe, j’avais la chatte en feu, mais qu’est-ce que c’était bon. Je sentais ses coups de boutoir, ses grosses couilles poilues claquer contre mon ptit cul. Je l’entendais râler derrière moi, son souffle de plus en plus rapide, il sortit de moi en un coup, pris son sexe dans sa mains, le masturba violemment, puis de longues giclées de sperme sortirent du bout de son gland m’inonda les fesses, j’en avais jusqu’au milieu du dos. Il me retourna. J’étais à présent le dos collé à la table. Il se mis au-dessus de moi, mit sa queue dans ma bouche, me pris par les cheveux et fit quelques va et vient afin de vider le reste de sperme encore présent dans sa tige. Ensuite, Il s’agenouilla devant moi, m’écarta les jambes puis me lapa la chatte à grand coups de langue, hummmmm, haaaaaaaaaaaaa, ouiiii, je vais, je vais….hAAAAAAAAAAAAAAAA ; Trop tard.J’ai jouis comme jamais. Lui n’en ratant pas une goutte se cochon. Il me lécha la moule, lapant ma mouille jusqu’à la dernière goutte.Nous sommes restés quelques instants comme ça, ne bougeant plus, ne parlant pas. Epuisés de nos ébats. Puis, reprenant doucement nos esprits, nous entendîmes une voiture s’arrêter devant la maison. Zut, nous n’avions pas fait attention à l’heure et c’était ma mère qui revenait déjà. Je pris vite mes affaires et fila vite dans ma chambre. Lui, remonta vite fait son pantalon et se remit devant son ordi.Ouf, c’était juste.-Bonjour chérie, alors ta mère, ça va mieux.-Oui, elle à mieux mangé aujourd’hui, ça va aller. Bon, je vais prendre une douche, à de suite.-Ok, à toute à l’heure.Je m’allongeai sur mon lit, me mis sur le côté, puis commença à me remémorer ce qui venait de se passer. Je venais tout simplement de me faire baiser comme une cochonne par mon beau père, et le pire, c’était que j’avais aimé. Quelle salope je suis, pensais-je.Je n’ai jamais raconté cette histoire à ma mère, mais par contre, lui, il m’a donné envie de baiser ce vieux bandeur. Depuis, je suis ce qu’on appelle une chaude du cul. J’adore me faire baiser. Sucer, me faire gicler dans la bouche, me faire sodomiser. J’aime exciter les hommes. Voir leur désir dans leurs yeux. Sentir leurs membres en moi. J’aime la bite, toutes les bites.
