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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Un jour du mois de septembre à Paris

Chapitre 1

Divers
Je travaille dans une PME de la région parisienne et, chacun le sait, au mois d’août, les activités sont ramenées pratiquement à zéro. Le Patron avait cependant demandé à ce qu’une permanence soit assurée et c’est comme ça que nous étions trois à garder la ’boutique’ durant la semaine du 15 août. Paul le technicien de service, Nadia la secrétaire du patron et moi, Jules, son bras droit. Déjà, les deux premières semaines avait été mortelles mais, là on atteignait un minima frisant les record. A 9 heures, autour de la machine a café, nous avions fait durer au maximum la discussion a bâton rompu aussi longtemps que possible mais vers 10 heures la conversation avait cessée et chacun avait rejoint son lieu de travail, sans enthousiasme exagéré.
Paul au bout du couloir dans le petit atelier dit de production, Nadia dans le bureau jouxtant le bureau directorial et moi dans le bureau en face de celui de Nadia. La chaleur et la peur de la solitude nous avaient engagés à ’travailler’ portes ouvertes ce qui me permettait d’admirer le beau profil de Nadia. Quand je dis profil, je ne parle seulement de son visage. Une superbe fille de 30 ans, en phase de séparation d’avec son mari, et qui, seule, attendait le retour de ses deux enfants dont la garde était assurée pour le mois d ’août par son ex.
J’avais le temps de la détailler des yeux : une rousse du type irlandais avec tous les attributs qui correspondent cheveux mi-longs bouclés, yeux verts, teint de rousse et quelques taches de son autour des yeux et de la bouche, poitrine avantageuse (je ne connais pas trop les mesures de soutien gorge mais c’est probablement autour de 90C, chemisier noir et jupe noire et courte, chaussures à talons hauts pour se grandir (environ 1,65 m sans chaussures). Elle semblait avoir de quoi s’occuper je la voyais de côté, penchée sur son ordinateur, examinant avec beaucoup d’attention son écran puis se lançant dans une séquence de frappe rapide et courte et recommençant. De temps en temps sa main passait sous le bureau comme pour ajuster la longueur de sa jupe. Par parenthèse elle pouvait tirer sur la jupe, la cuisse resterait largement découverte.
Ce petit jeu dura jusqu’à 11 h 30 quand Paul passa et nous salua en disant : ’Rien à faire, je me barre’. Après ce départ il ne restait que Nadia et moi dans les locaux, et être seuls ainsi comme sur une île déserte, ça devrait rapprocher. C’est ce je décidais de tenter en traversant le couloir qui nous séparait. En m’approchant de son bureau, je réalisais ce que pouvait être son activité : elle surfait sur Internet, et de plus, sur des sites un peu déshabillés, si vous voyez ce que je veux dire, et sa main sous le bureau ne tirait pas sur sa jupe mais la remontait aussi haut que possible. Voyant que j’avais compris son petit jeu, elle rosit de surprise comme seule savent rosir les rousses et profitant de la situation, debout dans son dos, je me saisit de la main agrippée à la souris pour fermer les fenêtres compromettantes et je cliquais pour rouvrir les dites fenêtres. Pas de doutes, elle s’intéressait au sexe virtuel. Chat, live show, de beaux hommes dévêtus, etc.
’Si on surfait tous les deux comme un vieux couple’, lui dis-je sur un ton de complicité qui la rassura sur ma discrétion envers le boss. Elle hésita......quelques petites secondes et approuva. Nous étions maintenant pour les chatteurs ’Cple 75 pour trio’ et nous nous lancèrent dans la mêlée. Comme vous le savez tous, il faut trier sur le chat et pendant une demi-heure nous avons supporté les agressions que vous imaginez, toutes dans la finesse, avant de tomber sur un homme ’éduqué’ qui se proposait de nous guider vers le plaisir ce qui me convenait parfaitement et que Nadia finit par accepter sans savoir où elle mettait exactement les pieds (ou pire en le sachant parfaitement).
J’étais maintenant assis à côté d’elle, elle avait conservé la maîtrise du clavier. Comme je ne savais que faire de mes mains, j’avais posé la gauche sur son genou et elle avait laissé faire, en écartant légèrement les genoux me sembla-t-il. Mais rien n’est gagné d’avance. Après la phase de description réclamée par l’homme ’éduqué’, j’en savais un peu plus sur elle et elle sur moi : je confirme 90C, un ’mini’-string (et ça je me demande combien de mm? cela veut dire), 31 ans, le minou rasé string (je demande à voir) et le reste vous connaissez. Moi j’avouais mes 35 ans, un joli membre de 19 cm épais (ce qui a eut l’heur de faire plaisir à Nadia car sa main droite s’est déplacée du clavier sur la bosse de mon pantalon, pour vérifier sans doute), le tout enfermé dans un boxer à rayures. Puis l’homme ’éduqué’ est passé à la phase 2.
La phase 2 consistait à s’échauffer le sang, comme on dit dans les campagne, et sur ses consignes ma main gauche est remontée sur les cuisses de Nadia qui avait ordre de me faciliter la tâche en écartant largement les cuisses ce qu’elle fit sans hésiter cette fois. J’atteignis le ’mini’-string et, en effet il était si petit et si coincé dans sa chatte et entre ses fesses que j’ai eu du mal à obéir aux ordres reçues de notre correspondant de l’en débarrasser. Elle m’a aidé cependant en se soulevant de son siège et, finalement, le petit morceau d’étoffe a atterri sur le bureau et Nadia avait la jupe relevée jusqu’à la ceinture et le cul directement sur le cuir du fauteuil. Par mesure de réciprocité, notre mentor a demandé à Nadia de sortir mon membre de son enveloppe, ce qu’elle fit avec beaucoup de détermination et d’adresse après que je me sois levé de mon siège. Je me retrouvais donc le cul à l’air et la bite au vent, .......... Enfin pas si au vent que ça car Nadia, de sa propre initiative et avant d’en recevoir la demande, commençait à me masturber, à décalotter le gland et à donner des petits coups de langue entre deux séquences de clavier.
L’homme ’éduqué’ ne contrôlait plus vraiment la situation et nous, on s’en foutait de ce mec si gentil pourtant. Le monde est injuste mais que cet homme ’éduqué’ se console : il avait promis de nous amener vers le plaisir et il avait réussi. Les stores étaient baissés, la porte verrouillée et très vite nous étions nus dans toutes les positions possibles et en utilisant par défi le bureau du boss pour nos ébats.
Levrette, lèches réciproques, sodomie, debout , couchés sur la moquette, dans le fauteuil du patron, sous son bureau, sur son bureau.
Une bête de sexe cette Nadia si BCBG. Vivement le mois d’août de l’année prochaine ou plus tôt, si affinités ........ et je crois que affinités il y a.
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