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le jour où je me suis faite défoncée

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Bonjour je suis Annie !J’aimerais vous raconter une rencontre que Georges avait organisé chez un homme que nous ne connaissions pas.
En début d’après midi, Georges me dit : « habille toi sexy, je vais t’emmener chez un homme qui a envie de te connaître » ? Je l’ai questionné mais impossible d’en savoir plus, il m’a simplement dit l’avoir sélectionné par rapport à un phantasme.
Angoissée mais curieuse je me suis quand même préparée. Petit ensemble rouge et noir très fin (string et soutien gorge assortis et une robe légère à mi-cuisses et entièrement boutonnée devant. La chatte bien préparée par les soins de Georges : ticket de métro et un fin liseré pour souligner les lèvres. Rien que d’aller vers l’inconnu me fait mouiller, il faut que je me calme !!
Nous avons fait une vingtaine de kilomètres dans la campagne, pour arriver devant une grande maison. La grille est ouverte, nous nous garons devant l’entrée, il y a deux gros chiens, un homme sort de la maison. Il est très grand, large d’épaules, un ventre légèrement prononcé, le crane rasé lui donne une allure de catcheur. Il nous invite à descendre " les chiens ne sont pas méchants, au contraire " qu’a-t-il voulu dire par-là...Il me tend la main ! Mon dieu ! La mienne disparaît carrément dans la sienne, je lui arrive à hauteur des pectoraux ! Il se baisse pour me faire la bise.
"Vous êtes très jolie et formidablement sexy " "merci"
Il salut Georges et nous fait entrer. Un salon immense, avec de larges fauteuils et un canapé pas moins grand. Il nous invite à nous asseoir Georges et moi sur le canapé et lui s’installe sur un fauteuil en face de moi. Déjà, il a les yeux fixés sur mes jambes, avec la profondeur du siège ma robe remonte au-delà du raisonnable ! Et comme le dernier bouton laisse un jour... il est susceptible de voir ma petite culotte, car pour ne pas faire mijaurée j’évite de trop serrer les genoux !
D’emblée, il nous offre le champagne, et nous parlons de tout et de rien pour dériver doucement sur le sexe. Finalement, il est bel homme, très poli et courtois je me lâche doucement, il le voit à mes cuisses qui s’ouvrent malgré moi. Je lui fais de l’effet car il devient un peu nerveux et bafouille !!Ne sachant plus quoi faire, il met de la musique douce et demande à Georges la permission de danser avec moi si je le désire. Me voici donc toute menue contre son torse... c’est vrai je lui fais de l’effet, car je sens sur mon nombril une barre qui me parait énorme et surtout très dure. Je n’évite pas le contact au contraire et comme il me manipule comme il veut, il me frotte littéralement dessus. Ses grosses mains caressent mon dos, il se penche à ma hauteur pour avoir son visage près du mien. Je lève la tête, aussitôt ses lèvres cherchent les miennes, je vois Georges assis qui commence à frotter sa bosse lui aussi !!Il me fait un petit signe en souriant pour me dire "vas-y ".Je lui donne donc mes lèvres, sa langue me fouille la bouche et une main vient sur mes seins. Il apprécie quand même mon quatre vingt cinq B !! Ses gros doigts cherchent les boutons du haut mais il peine, je décide de lui faciliter la tâche avant qu’il ne me la déchire !Ouverte jusqu’a la taille, c’est mieux, mais mon soutien gorge l’ennuie, il décide donc de faire glisser ma robe sur mes épaules et de là défait ma fermeture. Je suis nue jusqu’à la taille, il ne danse plus et se penche pour absorber mes tétons l’un après l autre. Ne sachant plus quoi faire, à mon tour je tends les mains en avant et là surprise ! Comment a-t-il fait ? Son sexe est sorti ! Quand je dis son sexe c’est petit, mes mains ne font pas le tour ! Georges a la réputation d’être bien pourvu, mais là il n’y a pas photo je commence même à paniquer !Georges s’approche de nous, se positionne derrière moi et défait les derniers boutons, ma robe est jetée sur un fauteuil. Mon géant en profite pour se mettre à genoux devant moi et de chaque cotés, fait glisser le faible rempart qui me protégeait "mon dieu quelle belle petite chatte" dit-il en posant ses lèvres dessus. Je m’écarte au maximum, sa langue récupère mes sécrétions, bouscule mon clitoris, mes mains appuient sur sa tête pour mieux le sentir.Mais là aussi ça ne lui convient pas, il me soulève et me dépose sur l’accoudoir du canapé, mon sexe est en saillie vers le haut. Il écarte mes cuisses et admire encore mon petit abricot, ses doigts écartent mes lèvres luisantes de mouille, sa langue me perfore loin dans les chairs, le salaud sait y faire, je pousse un grand cri et lâche un jet dans sa bouche.Satisfait de lui il me lâche et me laisse récupérer tout en se déshabillant et là j’ai devant les yeux la chose qui palpite entre ses cuisses. Il bande et pourtant, elle pend à mi-cuisses, je la saisis à pleines mains et fait coulisser la peau le gland énorme, violet, suinte je m’assieds, il l’approche de mes lèvres, je lèche, j’ouvre très grand, il enfonce le gland. J’ai la bouche pleine. Un mouvement de va-et-vient, comme s’il baisait, me fait hoqueter et même étouffer. Lorsqu’il se libère au font de ma gorge, je recrache très vite mais j’en ai avalé une bonne quantité ! Ce monstre ne débande même pas, je n’ai pas le temps de m’essuyer la bouche, qu’il met mes fesses au bord du siège, mes jambes sur ses épaules. Il a un tube de lubrifiant à la main, en dépose sur mes lèvres, son doigt pénètre à l’intérieur pour en tapisser les chairs, puis deux doigts, je suis déjà remplie.Il reprend le tube et s’enduit son sabre, il est tout luisant, je vois cette chose approcher ma vulve. Georges regarde de tout près, je lui lance un regard angoissé, il est trop excité pour le voir! Je suis donc seule face à ce boa, ça y est il appuie, mes lèvres s’écartent. Moi je dis non, mais elles, elles disent oui! Tout doucement ma chatte avale cette colonne, je gémis bientôt de bonheur, il en reste encore un tiers dehors et je sens buter tout au fond.Mon vagin accepte bientôt, pas une parcelle n’est épargnée.Maintenant, c’est moi qui me lance à l’assaut, je propulse mon bassin en avant, toujours un peu plus loin.Partagée entre la douleur et l’extase, je la veux en entier dans mon ventre.Voyant cela, il m’entraîne avec lui sur la moquette, je me laisse descendre et bientôt, je sens ses poils sur les miens.J’ai gagné !! Il me pilonne lui aussi, je hurle ma jouissance, j’ai même oublié Georges ! Soudain, il se raidit, je sens en moi la bitte palpiter et durcir, mon utérus se gonfle de liquide épais et brûlant, je suis affalée sur lui nous ne bougeons plus.Je sens la main de Georges caresser nos sexes, du sperme suinte peu à peu de mes lèvres, gonflées, mon salaud en prend avec ses doigts et me tartine le petit trou, je suis tellement "partie" que lui aussi est prêt à accepter n’importe quoi.N’importe quoi ! C’est ce que fait mon mari, je sens son gland appuyer sur mon anus, le gland ouvre le passage, «l’autre» a à peine ramolli ! Et même lorsqu’il sent la queue glisser sur la sienne, il repart. Je n’y crois pas et pourtant, c’est maintenant deux chibres qui coulissent dans mon ventre.Je ne bouge plus, je les laisse "travailler". Heureusement, je suis bien graissée, en cadence comme des pistons en alternance, ils me labourent l’intérieur.Je ne tiens pas longtemps, je repars encore une fois, mon jus mêlé à celui de mon bourreau, fuit de ma chatte distendue.Cela a pour conséquence de faire jouir mes deux amants en même temps. Là c’est l’inondation, mon boyau et ma matrice regorgent de ce liquide apaisant. Je suis vannée mais aux anges!Notre nouvel ami n’en est pas revenu, de voir un petit bout de femme comme moi, avaler autant de "nourriture en même temps!!!" Au retour, je me suis endormie dans la voiture, Georges n’a pas voulu que je me lave, pour "me sentir à la maison".
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