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Journal d'un Escort Boy

Chapitre 2

Hétéro
Malgré mon impatience à débuter mon nouveau travail, je dus patienter trois semaines. Madame N. ne voulait pas précipiter les choses, et préférait que je commence avec une habituée plutôt qu’une nouvelle cliente. Je la soupçonnais d’avoir une cliente particulière en tête, mais elle ne m’entra pas dans les détails. Elle voulait également étoffer mon dossier, avec notamment quelques photos et une courte vidéo.
Je revis Madame N. deux fois durant cette période. La première pour faire les photos et la vidéo, la seconde fois pour parler de mes expériences passées, de mes envies futures et de certains fantasmes. La première fois fut un samedi après-midi, à l’étage du club. Elle avait proposé de m’envoyer un taxi mais j’avais préféré venir en voiture, afin de pouvoir rejoindre mes amis directement après la séance.
N’ayant pas eu d’instruction sur une tenue à porter, j’avais remis un pantalon en lin et une chemise colorée. Madame N. m’attendait devant la porte arrière, en fumant une cigarette, en compagnie d’une autre femme. Elle portait le même genre de tenue que la fois précédente : un corset, bleu cette fois, accompagné d’un léger châle pastel, une jupe noire assez longue, des bas noirs et des stilettos noirs à semelle bleue. L’autre femme était à la fois plus jeune et plus petite que Madame N., peut être 1m60 et la petite trentaine. Elle portait un débardeur beige large, qui ne cachait toutefois pas entièrement une opulente poitrine, sous un manteau en cuir noir, des jeans usés et ample, et une paire de sneakers. Elle avait les cheveux blond platine, avec les extrémités vertes, coupés assez courts, des yeux verts en amande et un nez fin et retroussé qui lui donnait un air mutin. Madame N. la présenta comme Cynthia, sa photographe exclusive.
Nous montâmes à l’étage, dans une pièce adjacente au bureau de Madame N. Cynthia prit d’abord quelques photos en me demandant d’être naturel, puis me fit déboutonner ma chemise dans un premier temps, avant de me la faire enlever après avoir pris quelques photos. Quelques prises plus tard, et mon pantalon rejoignait ma chemise au sol, afin que Cynthia puisse prendre quelques photos de moi en boxer.
La situation commençait à m’exciter, surtout que Cynthia ne me laissait pas beaucoup indifférent que Madame N., même si elle était habillée de manière moins séduisante. Je crois qu’elle s’en rendit compte, car elle prit une série de clichés clairement centrés sur mon entrejambe, ce qui contribua à faire grossir la bosse de mon boxer. Madame N. s’en aperçut également, ce qui sembla l’amuser. Elle s’approcha de moi, me mit une petite claque sur les fesses, puis me massa délicatement la bosse.    ‘Je crois que nous allons faire quelques gros plan’, déclara-t-elle avec un sourire malicieux. ‘Je ne sais pas si je les mettrais dans le dossier, mais elles auront leur place dans ma galerie personnelle.’Elle fit signe à Cynthia d’approcher tandis qu’elle baissait mon boxer. Ma queue en sortit déjà prête à se tendre, et Madame N. la prit rapidement en main et entrepris de me branler vigoureusement afin d’avoir une belle érection au plus vite.
Cela ne tarda pas, et bientôt ma virilité se tenait droite et raide devant les Madame N. et Cynthia. La photographe ne perdit pas de temps, et mitrailla mon membre tendu sous tous les angles.Madame N., que je n’avais pas vu quitter la pièce, réapparut subitement, avec double décimètre à la main. Je me demandais un instant ce qu’elle comptait en faire, mais elle ne voulait que mesurer la longueur de ma queue en érection.    ‘C’est intéressant à mettre dans le dossier’, m’expliqua-t-elle, ‘mes clientes aiment connaître ce genre de détails.’Je hochai la tête en la regardant faire. Je n’avais jamais mesuré ma queue, aussi étais-je moi aussi intéressé par cette mesure.Le double décimètre annonça 16.8 centimètre, ce qui sembla satisfaire Madame N. Cynthia hocha la tête en signe d’appréciation également.    ‘Bonne taille’, commenta-t-elle, ‘pas énorme, mais tout à fait appréciable.’    ‘Elle t’intéresse ?’, lui demanda Madame N. avec un sourire entendu. ‘J’ai prévu une paire de tenues pour la séance photo, mais nous pouvons faire une pause.’Cynthia resta un instant fixé sur ma queue, puis releva la tête pour me regarder avec un air interrogatif. Je fixai un instant ses seins avant de répondre.    ‘C’est important de faire des pauses pour ne pas se lasser’, dis je finalement.

Sans s’embarrasser de préliminaire, Cynthia tomba à genoux, déposa délicatement son appareil photo au sol, attrapa ma queue tendue, la glissa dans un préservatif et l’enfourna en bouche sans attendre.
Cynthia était clairement une experte de la fellation, et je sentis ma queue se raidir encore dans sa bouche. D’une main, elle me branlait en rythme avec les mouvements de sa bouche, alors que sa langue s’enroulait et se déroulait autour de mon gland. Elle porta son autre main au niveau de mes couilles, les malaxant avec douceur mais rythme.Je portai une main sur sa tête, accompagnant les mouvements, tout en vocalisant mon plaisir, les yeux mi-clos.
Madame N. nous observa un moment, puis se décida à participer. Elle s’approcha d’abord de moi, et entreprit de me caresser le torse avec des mouvements lents. Mon corps frissonna sous ses caresses, en particulier lorsque ses doigts frôlèrent ma bite. Ses mains remontèrent, et elle s’attarda un instant sur ma poitrine, titillant mes petites tétons, qui je sentis aussitôt durcir. Puis elle m’enlaça, écrasant sa belle poitrine contre mon dos et approchant sa bouche de mon visage. Je me tournai pour aller à sa rencontre, et nos bouches se rencontrèrent, nos langues se mélangèrent.Cet instant, la langue de Madame N. dans ma bouche, celle de Cynthia sur ma queue, me sembla durer une éternité, et j’aurai pu gicler si il avait continué plus longtemps.
Mais Madame N. brisa notre étreinte et se dirigea vers Cynthia, qui continuait de me sucer avec ferveur. Elle passa derrière elle et, se penchant légèrement ce qui m’offrit une belle vue sur sa poitrine, entreprit de malaxer celle de Cynthia. Cela sembla faire de l’effet à la photographe car sa fellation s’accéléra.
Sans arrêter la fellation, Cynthia permit à Madame N. de lui enlever son débardeur, révélant ses énormes et magnifiques seins ronds. Ils avaient de belles auréoles brunes et des tétons larges et épais qui pointaient déjà de plaisir. Madame N. les saisit à pleine main, les malaxant énergiquement, titillant les tétons du bout des doigts. Cynthia redoubla d’ardeur sur sa fellation, et je me demandai combien de temps je pourrais encore tenir avant de jouir dans sa bouche. Cette idée ne me dérangeait pas, mais j’aurais aimé pouvoir prendre la chatte de Cynthia avant la fin de la partie.Toujours malaxant ses seins, Madame N. fit se relever Cynthia, la forçant à abandonner la fellation. Une fois debout, Cynthia déboutonna son jean, le laissant glisser le long de ses larges cuisses, révélant un string blanc qui paraissait déjà humide, surmonté d’un triangle de poils blond platine.Sur un geste de Madame N., je compris ce qu’elle attendait de moi, et je me mis à genoux à mon tour, me glissant entre les jambes de Cynthia. J’étais à peine en position qu’elle se saisissait de ma tête, la guidant vers son entrejambe. J’écartai le string rapidement, confirmant que sa chatte était en effet bien humide, et la laissai me plaquer le visage contre son intimité.

Le nez dans ses poils doux, je m’affairai à bien la lécher, ma langue passant de son clitoris tendu à ses lèvres ouvertes sans discontinuer. Mon visage ainsi pressé contre son bas-ventre, je ne pouvais voir son visage, mais j’entendais ses gémissements de plaisir et m’appliquai à en faire augmenter l’intensité.Abandonnant les seins de Cynthia, Madame N. se pencha pour observer mon action. Elle émit un claquement de langue appréciateur, puis s’approcha encore pour me prodiguer quelques conseils sur les mouvements et le rythme.Au bout d’un délicieux moment, Madame N. força gentiment Cynthia à relâcher son étreinte sur ma tête et dirigea ma bouche plus avant, vers l’anus de la photographe. J’eus un moment d’appréhension, ne sachant si il était propre à être léché, mais me rendit vite à l’évidence que c’était le cas.Guidé par Madame N., je léchai avec application la rondelle de Cynthia, par des mouvements circulaires rapides, agrémentés de légères pénétrations. Les gémissements de Cynthia, plus intenses que lors du cunnilingus, confirmaient le bien que je lui apportais.
Bientôt, Cynthia posa ses mains sur mes épaules et me fit doucement allonger au sol. Je me masturbai pendant qu’elle se débarrassait de son jean et de son string, afin d’être le plus raide possible pour la suite.Cynthia se positionna au-dessus de moi et, utilisant une main pour guider sa chatte vers ma bite tendue, s’empala lentement dessus. Rapidement, elle fit des va-et-vient à un rythme élevé, nous faisant gémir de concert. Je l’attrapai par les hanches, la faisant s’asseoir sur mon bassin, puis la penchai vers moi, de sorte que je pouvais sentir ses gros seins frotter sur mon torse. Je contrôlais désormais le rythme des va-et-vient, et je conservais le tempo élevé qu’elle avait imprimé. Une culotte de dentelle noire tomba à côté de mon visage et, avant que j’ai pu réagir, les genoux de Madame N. se retrouvèrent autour de ma tête. Elle avait enlevé sa jupe et j’eus une vision de sa chatte légèrement poilue, mais clairement humide. Puis cette même chatte fut sur ma bouche et je m’appliquai à la lécher, en tâchant de me souvenir de ses conseils, tout en continuant à aller et venir dans la chatte de Cynthia. Je ne pouvais pas voir ce qu’elles faisaient, mais je sentis la poitrine de Cynthia se redresser, et je pouvais entendre des bruits de succion et les gémissements de Madame N. Cynthia lui suçait les seins.
Je perdis la notion du temps, perdu dans la chatte chaude et délicieuse de Madame N. tandis que mes hanches et ma queue pilonnaient celle de Cynthia. Je sentais que j’étais de plus en plus raide, et que la jouissance se rapprochait. Je crois que j’ai inconsciemment ralenti le rythme, ce qui provoqua une réaction de Madame N.Elle se releva, laissant mon visage humide, et fit se relever Cynthia. Un filet de cyprine relia un instant sa chatte trempée et ma bite raidie.    ‘A mon tour’, statua Madame N.Comme elle se plaçait face à moi pour s’asseoir sur ma queue à son tour, je pus voir ses magnifiques seins sortis du corset. Ils étaient tels que je m’en souvenais : ovales, avec une belle auréole et d’épais tétons humides qui pointaient. Ils m’avaient paru plus gros l’autre jour, mais ils étaient plus petits que ceux de Cynthia, et l’auréole était moins large et plus claire. Ils restaient magnifiques et désirables. Si ma queue n’avait pas déjà été aussi raide, elle le serait devenu.
A son tour, Madame N. s’assit sur ma bite et commença un va-et-vient plus lent que celui de Cynthia. Elle ne me laissa pas l’attraper par les hanches, invitant Cynthia à se mettre en place. La photographe posa sa chatte sur mon visage puis s’allongea sur moi, de façon à amener sa bouche vers ma queue. Alors que je commençai à la lécher, en symbiose avec les va-et-vient de Madame N. sur ma queue, Cynthia se mit à lécher ma queue, et la chatte de Madame par la même occasion. Les énormes seins de Cynthia étaient écrasés sur mon ventre, une sensation très agréable, et je sentais même ses tétons tout durs.Alors que Madame N. augmentait le tempo, Cynthia s’avança légèrement. Posant mes mains sur ses belles fesses, je me plaçai de façon à pouvoir alterner entre sa chatte et son cul avec ma langue.

Alors que j’approchais de l’explosion, je sentis que Madame N. en était proche également. Elle jouit finalement la première, sa chatte se resserrant brusquement autour de ma bite et son jus coulant tout autour jusque sur mes couilles - en tout cas, ce que Cynthia ne but pas.Cette sensation déclencha mon propre orgasme et j’explosai à mon tour, dans la chatte de Madame N. Ce faisant, mes mains se crispèrent sur les fesses de Cynthia et ma langue devint frénétique sur et dans sa chatte.A son tour, Cynthia explosa, inondant ma bouche de son jus.
Après un instant de repos et un peu de nettoyage, la séance photo reprit. Madame N. m’avait prévu un ensemble pantalon de costume noir, chemise blanche, nœud papillon défait noir, afin de prendre des clichés en noir et blanc un peu classe.Elle avait également prévu une tenue plus fantaisiste, puisqu’il s’agissait d’un uniforme de police, avec les menottes bien en vue.La séance terminée, Madame N. me remercia d’être venu, et m’informa que mon dossier serait bientôt complet. Non seulement pourrait-elle bientôt ajouter les photos, mais elle s’était fait une meilleur idée de mes talents.Je n’oubliai pas de prendre la carte de Cynthia avant de partir.
La seconde fois que je revis Madame N., ce fut un jeudi après-midi. Elle m’invita dans son salon de thé et, cette fois, j’acceptai le taxi.Autant que le contenu de notre conversation, je crois qu’elle voulait aussi s’assurer que je pouvais avoir une conversation coquine mais discrète dans un lieu public.Nous échangeâmes durant près de deux heures sur mes expériences passées, sur ce que j’étais capable d’offrir et sur les envies et fantasmes qui pourraient correspondre à ceux de sa clientèle.Bien que n’ayant pratiqué quasiment que du sexe “classique”, j’étais assez ouvert et enthousiaste à l’idée de tenter de nouvelles choses, et notamment du BDSM soft. Certaines clientes appréciaient notamment d’être attachées, ou que leur partenaire le soit, ainsi que des jeux avec des cravaches ou des martinets. Bien qu’ayant peu d’expérience dans cette partie, cela ne me faisait pas peur.
En particulier, une demande récurrente de certaines clientes étaient de sodomiser leur partenaire avec un gode-ceinture. Certaines proposaient même un échange de sodomie : elles avaient autant envie de prendre le cul d’un homme que d’offrir le leur. Madame N. m’apprit toutefois que le nombre d’escorts mâles travaillant pour elle acceptant la sodomie étant faible.Cela m’avait toujours intrigué, mais je n’étais jamais passé à l’acte, en dehors d’un doigt ou deux sous la douche. Toutefois, ça ne me rebutait pas. Madame N. et moi convinrent toutefois que je devais avoir pratiqué avant de le faire avec une cliente.Je m’attendais qu’elle me propose un rendez-vous pour le faire, sans doute avec une de ses employées qui pratiquait la sodomie masculine. Aussi, je fus assez surpris quand elle me proposa de m’initier elle-même, et tout de suite.J’hésitai à peine un instant. Après tout, autant le faire le plus vite possible.Madame N. disposait d’un bureau dans le salon de thé également, dans une pièce derrière la réserve. Les fenêtres étaient hautes et opaques, laissant entrer la lumière mais pas les yeux indiscrets, et les murs étaient bien insonorisés.Madame N. me fit mettre nu, pendant qu’elle même enlevait sa jupe. Elle me proposa de commencer par une fellation, pour me mettre dans un état d’esprit excité. Elle me fit asseoir sur le bord du bureau, de telle façon que mon anus soit visible. Elle s’assit dans le fauteuil et me branla un peu afin de me faire durcir avant de gainer ma queue dans un préservatif et de me prendre en bouche.
Sa fellation fut assez directe et rapide, m’excitant très rapidement. Ses doigts jouaient avec mes couilles, puis passèrent doucement à mon anus. Je notai qu’elle avait enfilé un gant en latex, dont le contact n’était pas désagréable.Tout en me branlant doucement, elle stoppa la fellation pour venir lécher ma rondelle. Après quelques mouvements circulaires qui me détendirent, elle darda sa langue à l’intérieur. Je me relaxai rapidement et, à ma grande surprise, mon œillet s’ouvrit lentement. Entre deux coups de langue, Madame N. me glissa un puis deux doigts dans l’anus, avec des mouvements lents qu’elle accéléra bientôt, son autre main me branlant toujours. Je commençais à gémir assez fort, mais la sensation était plaisante jusque là.

Au bout d’un moment, elle introduisit un troisième doigt et fit des mouvements de rotation à l’intérieur de mon anus. J’eus mal sur le coup, je gémis plus fort et plus aigu et me contractai autour de ses doigts.Elle continua son lent mouvement comme si je n’avais pas réagi et je me détendis à nouveau rapidement.Quand elle me sentit prêt, elle retira ses doigts et ouvrit un tiroir de son bureau. Elle en sortit un gode-ceinture qui me sembla presque aussi gros que ma propre queue. Madame N. dut sentir mon regard inquiet et elle me rassura. Elle me demanda si je voulais le sucer. J’acquiesçai et elle le glissa doucement dans ma bouche. Je n’étais pas certain de la méthode, mais le gode se souciait assez peu de la façon dont j’opérais. Cette fellation ne dura pas longtemps, et Madame N. enfilait bientôt le gode à sa taille. Elle enleva le préservatif de ma queue, le jeta dans la poubelle et en enfila un autre sur le gode.Elle se positionna ensuite debout devant le bureau et présenta le gode à l’entrée de mon cul encore chaud et ouvert. Elle le pénétra doucement, sous mes gémissements, tout en me branlant la queue.
La douleur initiale passée, le gode s’inséra plutôt bien moi, ce qui me surprit. Madame N. commença un lent mais puissant va-et-vient, me branlant en symbiose. Je commençais vraiment à prendre mon pied, et je laissai mon corps se détendre sur le bureau, yeux mi-clos, râlant de plaisir.Madame N. accéléra progressivement le tempo, trouvant un rythme de croisière qui démultiplia mon plaisir. Je bandais comme jamais, et je n’en revenais pas, au point que je ne sentis pas la jouissance arrivée.Sans prévenir, j’éjaculai puissamment dans la main de Madame N. et sur mon bas ventre.Elle se retira doucement de mon anus.    ‘On dirait que tu as apprécié’, me dit-elle avec un sourire coquin.A un moment de cet après-midi, elle était passé au tutoiement.    ‘Je pourrais difficilement prétendre le contraire’, avouais je.    ‘Je pense qu’il faudra quand même deux ou trois autres séances de préparation avant de le proposer aux clientes’, reprit Madame N., ‘que ce soit avec moi ou …’Je hochai la tête, incertain d’être capable de reproduire l’occasion avec une conquête occasionnelle.Alors que j’achevais de me rhabiller, Madame N. m’annonça que mon dossier pouvait être considéré comme complet, et que je serais susceptible de travailler dès la semaine suivante. Je crois qu’elle vit facilement que c’était une nouvelle qui me faisait plaisir.

Et, le jeudi suivant, Madame N. m’appela pour m’annoncer qu’elle avait une cliente très intéressée pour le samedi soir. Elle me proposa de passer en fin d’après midi au salon de thé pour me la présenter et avoir ma validation.La cliente était une femme de 42 ans, célibataire, chirurgienne de profession. Ses horaires et la pression de son travail ne lui donnait pas le temps d’avoir une vie privée, et elle était une cliente régulière de Madame N. depuis près de deux ans. J’étais le plus jeune des escorts de Madame, et c’est cela qui avait d’abord retenu son attention. Elle s’appelait Marie, ce qui ne m’apprit rien sur elle mais était une information importante. Puis Madame N. me montra deux photos, une de son visage et une debout. Elle était brune, avec les cheveux au carré, des yeux clairs, quelques rides autour des yeux. Elle mesurait 1m69, assez fine, avec peu de forme. Sur la photo, elle portait une robe serrée, qui moulait des seins assez petits mais qui pouvaient pris en main. Madame N. m’informa qu’elle faisait un 85 C.
Sa dernière recommandation fut sur la tenue. Marie n’avait pas de contrainte, Madame N. me recommanda donc la combinaison chemise hawaïenne/pantalon en lin que je portais lorsque nous nous étions rencontrés.Marie avait réservé une prestation dîner/soirée/nuit, avec rendez-vous à 20h, à son domicile de Marie, un loft dans le centre ville. Le taxi passerait me prendre vers 19h15.
Il ne me restait plus qu’à attendre...
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