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Journal très intime

Chapitre 1

Erotique
Je vais vœu, cher journal, de te garder secret jusqu’à ce que la mort ne m’en empêche. Cher journal, je fais de toi le gardien de mes secrets, le gardien de ma vie privée, le gardien de mon histoire qui, lorsque je la lirai à nouveau, ne sera plus que souvenir. Cher journal, que tes pages soient pleine de l’encre de la plume de ta chère Agathe Langslay.

Samedi 21 janvier 2017Cher journal. Ce soir, j’ai fêté mon dix-huitième anniversaire avec toute ma famille. Il y a eu ma mère Charlène, mon père Stéphane, mon frère Basile, ma sœur Stéphanie, mon oncle Tom et ma tante Armelle. Nous avons fait la fête toute la soirée, je n’ai jamais autant adoré un repas de famille. Ma mère a préparé un énorme gâteau aux fruit - celui que je préfère, avec des fruits exotiques – et m’a même laissé boire un verre de champagne, elle qui d’ordinaire ne me laisse jamais toucher à une coupe qui, dans une dimension ou une autre, a pu contenir de l’alcool. Mon oncle a insisté pour que j’essaie le whisky. Je n’ai pas été pas contre mais ma mère l’a été alors je n’ai pas fini bourrée. Ensuite sont arrivés les cadeaux et là j’ai halluciné quand ma mère m’a apportée la robe pour laquelle j’ai craqué quand j’ai fait les magasins avec elle. Je l’ai embrassée au moins une vingtaine de fois avant que mon oncle et ma tante ne m’offrent leur cadeau : un sac à main resplendissant tellement il est magnifique. Je leur ai sauté au cou et les ai embrassés eux aussi. Mon frère et ma sœur m’ont tendue un petit écrin dans lequel j’ai trouvé une bague magnifique. Enfin, mon père m’a offert un ticket pour le concert de « Within Temptation », mon groupe de musique préféré. Là, j’ai regardé le ticket et me suis aperçue qu’il avait lieu aux États-Unis. Je le lui ai fait très poliment remarqué et il me dit avec un grand sourire aux lèvres qu’en plus du ticket, il m’offre une semaine en Amérique. Mon père a alors eu droit à un énorme câlin et la soirée a continué dans la joie et la bonne humeur.

Lundi 30 janvier 2017Cher journal. Ce matin, un nouveau garçon est arrivé dans ma classe de terminale. Il s’appelle Jérémy. Il a dix-huit ans et est tellement beau avec ses yeux bleus et son sourire magique. Il est tellement drôle qu’il m’a fait rire au moins cent fois en dix minutes. D’ailleurs, j’ai remarqué qu’à chaque fois que je rie, il se gratte les cheveux. Oh bon sang, je crois que je suis tombée amoureuse. J’ai encore tellement de choses à te raconter sur lui, cher journal, en espérant que tu aies assez de pages vides pour digérer tout ce que j’aurai sur le cœur.

Mardi 31 janvier 2017Cher journal. Ce matin, j’ai été la première à qui Jérémy a fait la bise. Il m’a même sourie ! Bon sang, je ne sais pas ce que je dois en penser. Peut-être qu’il est amoureux de moi et qu’il me fera sa demande dans quelques temps. Ou alors m’a-t-il trouvée sympathique hier et il aurait alors simplement envie que l’on soit amis. Je t’en supplie, cher journal, dis-moi que ce n’est pas la seconde option. Je t’en supplie, dis-moi qu’il viendra bientôt me chercher dans ma tour protégée par un dragon, comme une vraie princesse.

Mercredi 1 février 2017Cher journal. Je n’arrive pas à croire ce qu’il s’est passé. Ce matin, Jérémy m’a invitée au cinéma. J’ai tellement rougi que j’ai dû lui faire peur. Mais j’ai quand même réussi à dire oui. Oh bon sang, je suis trop heureuse ! Je vais aller au cinéma avec Jérémy ! Je nous imagine déjà, assis l’un à côté de l’autre, piochant dans le même pack de pop-corn. J’imagine nos mains s’entrecroiser par accident, puis, grâce à cela, elles ne se sépareront pas et ce sera là qu’il m’embrassera. Oh bon sang, cher journal, je sens que je vais devenir folle avant samedi.

Jeudi 2 février 2017Plus que deux jours, cher journal, et Jérémy et moi allons nous retrouver devant le même écran de cinéma. J’ai parlé de Jérémy à mes parents et ils sont ravis pour moi. Mon père a même accepté de m’emmener et je n’aurai qu’à appeler pour qu’il me ramène à la maison. J’ai vraiment de la chance de les avoir.

Vendredi 3 février 2017Demain sera le grand jour. Je t’attends, Jérémy. Et toi, cher journal, je te promets que je vais tout te raconter.


Samedi 4 février 2017Cher journal. J’ai passé une journée magique ! Je suis arrivée devant le cinéma cinq minutes en avance et là, qui vois-je devant l’entrée ? Je me suis approchée et il m’a sourie. À moi, il m’a sourie à moi ! Pas à la fille qui est passée juste derrière, à moi, à moi seule ! Je n’en peux plus, j’ai l’impression que je vais exploser. Là, je lui fais la bise et suis presque enivrée par son parfum. Il me demande comment je vais. Je lui réponds que tout va bien et lui demande la même chose. Là, il me dit que tant que je suis là, il ne peut que se sentir bien. Bon sang, qu’est-ce que je dois penser de ça ? Est-ce que ça veut dire que je lui plais ou est-ce que c’est juste pour être poli. Bref, lorsque nous avons acheté nos places, il a gentiment payé la mienne et m’a offert du pop-corn. Au départ, il voulait prendre deux packs différents mais je lui ai dit qu’un seul suffirait. Le tout avec un sourire innocent, bien sûr. Nous avons discuté de tout et de rien jusqu’à ce que nous soyons arrivés à la salle. Il m’a tenue la porte et m’a laissée choisir la place que je préfère. J’ai choisi la rangée de sièges centrale et nous avons passé l’intégralité du film à grignoter du pop-corn entre deux regards gênés. Quand nous sommes sortis du cinéma, il m’a dit qu’il a passé un super moment. Il m’a remercié d’être venu et je lui ai répondu la même chose. Juste après, il s’est excusé et m’a dit qu’il devait partir. Il m’a dit qu’il aurait aimé rester plus longtemps mais il doit aller conduire sa sœur à sa leçon de violon (j’ai oublié de te le dire, cher journal, mais Jérémy a déjà une voiture). Je lui ai assuré que ça ne faisait rien. Il m’a fait la bise et est parti. Là, j’ai appelé mon père et, une petite heure plus tard, je commence déjà à écrire le contenu de ma journée entre tes pages, cher journal.

Dimanche 5 février 2017Cher journal, je suis tellement impatiente de revoir Jérémy. Je me demande si notre rendez-vous au cinéma lui a donné envie de se rapprocher de moi. Je l’espère. J’espère encore plus que la réponse vienne rapidement.

Lundi 6 février 2017Horreur ! Jérémy est tombé malade ! Il m’a envoyée un texto ce matin. Une grippe apparemment. Il me dit qu’il ne sera pas de retour avant deux ou trois jours. Ou alors, peut-être qu’il n’a pas aimé notre sortie et, maintenant, il préfére sécher les cours plutôt que de me revoir. Bon sang, je suis en train de devenir folle.

Mardi 7 février 2017Jérémy n’est pas encore revenu. Attendons le encore un petit peu, cher journal.

Mercredi 8 février 2017Jérémy n’est toujours pas revenu ! Cher journal, dis-moi qu’il est juste malade ! Dis-moi qu’il reviendra un jour ! Je ne peux plus passer la moindre journée sans le voir. C’est ça être amoureuse ou est-ce simplement que je l’aime plus que de raison ?

Jeudi 9 févrierCher journal ! Jérémy n’est pas là ! Il n’est pas revenu ! Cela fait près d’une semaine, je n’en peux plus ! Jérémy, si tu m’entends, je t’en supplie, réponds-moi ! Je t’aime, Jérémy ! Ne me laisse pas mourir de l’intérieur ! Jérémy ! Jérémy ! Je veux te revoir ! Jérémy !

Vendredi 10 février 2017Je vais mourir ! Jérémy est toujours malade mais je commence réellement à penser qu’il ne reviendra jamais ! Je commence vraiment à penser que Jérémy ne veut plus de moi ! J’ai passé la journée à pleurer sur chacune des tables de cours ! Jérémy ! S’il te plaît ! Dis-moi ce que j’ai raté ! Jérémy ! Ne laisse pas mon âme s’assécher ! Ne laisse pas mon esprit s’égarer ! Guide-moi, cher journal ! Que dois-je faire pour ne pas mourir d’amour ?!

Samedi 11 février 2017Cher journal ! Jérémy va mieux ! Il a guéri ! Il m’a envoyé un texto dans la matinée disant qu’il s’excusait d’avoir été malade toute la semaine ! Ô joie, Ô bonheur, Ô amour divin ! Merci, cher journal, de m’avoir guidée ! Mieux encore que de le retrouver en meilleure forme, il m’invite à sortir ! Il veut que l’on se retrouve devant le centre commercial ! Demain ! Je me sens renaître tel un phoenix renaît de ses cendres après avoir été consumé ! Promis, cher journal, je te raconterai tous dans les moindres détails.

Dimanche 12 février 2017Je n’arrive pas à y croire ! Cher journal, je viens de passer le plus beau jour de ma vie. Mais d’abord, laisse-moi te raconter ma journée depuis le début. J’ai passé presque toute la matinée à m’habiller. J’ai mis la robe que ma mère m’a offerte pour mon anniversaire. J’ai choisi minutieusement les bagues que j’ai enfilées, les colliers que j’ai attachés autour de mon cou et les chaussures que j’ai mises à mes pieds. J’ai passé encore plus de temps à décider quel rouge à lèvre va colorer mes lèvres, quel fond de teint va sublimer ma peau, quel parfum va embaumer mon corps. Lorsque je suis prête, mon père, après m’avoir dit que je suis magnifique, m’a emmenée jusqu’au lieu de rendez-vous. Encore une fois, Jérémy est arrivé le premier. J’ai souri quand il a posé les yeux sur moi. J’ai senti qu’il a été attiré. Là-dessus, je suis plutôt fière de moi, cher journal. Jérémy m’a fait la bise et nous avons discuter. Pendant ce temps, j’ai scruté ses yeux qui, parfois, se sont perdus dans mon léger décolleté. J’en ai été ravie.
Il est presque midi et demi lorsque mon ventre a gargouillé. Je me suis maudite pour cela mais Jérémy m’a sourie et m’a invitée à déjeuner. J’ai accepté, évidemment, et il m’a emmenée dans une crêperie où nous avons vraiment bien mangé. Au moment de payer, j’ai voulu prendre une partie de la note mais il a refusé ; c’est lui qui offre, comme il a dit.
Nous avons passé la journée en ville à traîner dans divers magasins. Nous sommes parfois allés dans des boutiques de vêtements féminins, parfois masculins. J’ai fait en sorte de ne pas abuser : je ne voulais pas avoir à me trimballer trop de sacs pour le reste de la journée et je ne voulais surtout pas faire attendre Jérémy. Lui non plus n’a pas été trop dépensier. En sortant du centre commercial, il me propose de prendre mes sacs. Je refuse mais il insiste, alors j’ai fini par céder et l’ai laissé porter mon fardeau. Quel galanterie, tu ne trouves pas, cher journal ?
Je ne t’ai pas encore raconter le meilleur ! Au moment de nous quitter, Jérémy a attendu avec moi que mon père vienne me chercher. Nous avons discuter de tout et de rien jusqu’à ce qu’il m’embrasse ! Sur la bouche ! Tu te rends compte ! Il m’a embrassée ! Je crois que je vais rêver de ce baiser toute la nuit ! Je me rappellerai de ses mouvements de langue dans mes songes, je me rappellerai du goût de sa salive demain matin, au réveil, je me rappellerai de la sensation de ses mains posées sur mes hanches. Je crois même que ma propre main m’aidera à apprécier plus encore ce moment lorsque j’irai me coucher. J’ai tellement hâte de le revoir ! Je n’arrive toujours pas à y croire ! C’est le plus beau jour de ma vie !

Lundi 13 février 2017Cher journal ! J’avais tellement hâte de vivre cette journée et je n’ai pas été déçue. À peine suis-je entrée dans le lycée que Jérémy m’a accueillie timidement. Je n’ai pu que rougir et, comme des amants pudiques, nous nous sommes embrassés rapidement. Je pense que nous ne sommes pas prêt pour le grand public. En tout cas, cette journée n’a pas été sans surprise : un ami de Jérémy organise une soirée spéciale saint-Valentin, demain, à vingt heures. Jérémy m’y a invitée. Et devine ce que j’ai répondu, cher journal. Bien évidemment que j’ai répondu oui. Tu te rends compte, cher journal ! C’est la première fête de la saint-Valentin que je ne passe pas dans la solitude du célibat. Je me demande comment se passera cette soirée mais, après tout, elle ne peut qu’être parfaite si Jérémy est mon cavalier. Promis, cher journal, je te raconterai tout.

MARDI 14 FEVRIER 2017Cher journal, cette soirée a été magique ! Je me suis amusée comme une folle et, avec Jérémy, nous avons passé le cap. Laisse-moi tout te raconter, cher journal.
Tout a commencé lorsque je suis arrivée à la fête. J’avais mis une robe de soirée noire et brillante et des talons aiguilles assortis. Je n’ai pas mis de soutien-gorge -on le voit à travers le tissu, c’est moche- mais j’ai enfilé un tanga noir. La soirée s’est passé dans la maison de l’ami de Jérémy. Au bar, il y a une ribambelle d’alcools différents mais ne t’inquiètes pas, cher journal, je n’ai pris que douze verres. Ne me prends pas pour une folle, seulement deux d’entre eux ont contenu de l’alcool. Ne me fais-tu donc pas confiance, cher journal ? Jérémy, quant à lui, n’a pas bu de la soirée. D’après lui, il fallait qu’il reste totalement sobre pour me reconduire chez moi. Enfin bref, ce n’est pas ce qui t’intéresse, n’est-ce pas cher journal.
Jérémy et moi avons passé la soirée à nous embrasser devant les autres couples qui en faisaient de même. Je ne savais pas qu’une séance de baisers pouvait être si agréable. Deux heures se sont écoulées depuis le début de la soirée et l’alcool a déjà commencé à faire effet sur les invités. Même l’hôte de la soirée peine à tenir debout. Évidemment, puisque ni Jérémy ni moi n’avons bu, nous les avons regardé en riant. Une nouvelle heure s’est écoulée et l’hôte de la soirée -je viens de me rendre compte que je ne connais pas son nom, j’ai été trop distraite par Jérémy pour le lui demander- nous a rejoint et a commencé à nous parler. Il nous a demandé depuis combien de temps nous sommes ensemble. Il a ri quand il a appris que cela ne faisait que deux jours. Il a ensuite demandé à Jérémy s’il avait déjà eu des rapports avec une fille. Il a ri plus bruyamment encore quand Jérémy lui a fait non de la tête. Ce vulgaire personnage a même commencé à chantonner quelques paroles grossières sur lui. Je l’ai coupé violemment en lui disant que ce n’est pas parce que nous sommes un couple récent qu’il ne s’est rien passé entre nous. Je rajoute que Jérémy peut disposer de mon corps comme bon lui semble et, pour illustrer mes propos, j’ai pris la main de mon petit ami et l’ai posé à l’intérieur de ma robe, sur mon sein. Jérémy a aussitôt rougi, ç’a été trop mignon. Je crois qu’il n’avait jamais touché une fille avant moi. J’ai senti ses doigts se refermer tout doucement sur ma peau tandis que l’ami de Jérémy n’en a pas cru ses yeux. « T’es une salope, en fait » a-t-il dit. Là, Jérémy m’a aussitôt défendue et le mec s’est excusé. Il n’a même pas eu besoin de retirer sa main de ma poitrine pour me défendre, quel homme ce Jérémy !
Trois nouvelles heures se sont écoulées depuis notre altercation avec notre hôte. Jérémy a insisté pour lm raccompagner chez moi mais, au final, j’ai envoyé dans son dos un texto à mes parents comme quoi je dormais sur place. Je lui dis donc que nous restons dormir ici et l’ai accompagné vers l’une des chambres à coucher. Là, je me suis arrêtée devant la porte et, en faisant attention à ce que seul Jérémy puisse me voir, j’ai retiré mon tanga et l’ai accroché sur la clenche de la porte. Jérémy ouvre de grands yeux ébahis et timides -il est réellement trop craquant- en me demandant ce que je fais. « C’est pas le message qui indique aux autres qu’il ne faut surtout pas entrer » réponds-je. Là, Jérémy vire à l’écarlate. Je l’attire dans la chambre et referme la porte derrière nous.
Je l’ai fait s’asseoir sur le lit. Il m’a regardée avec des yeux excités qui n’ont fait qu’augmenter la température de mon corps. D’ailleurs, j’ai tellement chaud que j’en ai retiré ma robe. Ainsi je me suis montrée nue devant Jérémy. J’ai vu son regard pointer successivement vers ma poitrine, mes fesses et mon vagin. Je peux aussi t’assurer, cher journal, que son regard n’a pas été le seul à pointer dans une direction. J’ai alors profité de son état pour me mettre à genoux et, l’esprit ébouillanté par les hormones de mon hypothalamus, j’ai ouvert puis baissé son pantalon. Son membre a alors surgi devant moi, plein de vigueur. D’abord étonnée du fait de n’avoir jamais réellement vu de pénis auparavant, j’ai eu un léger mouvement de recul lorsque son engin s’est retrouvé à quelques centimètres de mon œil. Je ne peux pas te dire, cher journal, si son pénis est gros ou non comparé à celui des autres hommes, mais je peux te dire qu’il mesure environ 15 centimètres. Pour l’exciter un petit peu, je me suis léchée les lèvres et l’ai pris en bouche.
Il serait difficile de te décrire ce que j’ai éprouvé, cher journal. Tout ce que je peux dire, c’est que son membre a été chaud, dur et surtout délicieux. Ma fellation n’a duré que quelques secondes mais, apparemment, il en a été ravi. Il a insisté pour me rendre la pareille et m’a allongée sur le lit avant de poser sa bouche sur mon antre. Là, il a sorti sa langue et m’a délicatement léchée les lèvres vaginales, l’entrée du vagin et le clitoris. Je sens que je vais me rappeler à jamais de la sensation provoquée par sa langue contre mes parois. Ce cunnilingus a duré un peu plus d’une minute. Au bout de ce délai, j’ai presque supplié Jérémy de me faire l’amour.
Il ne m’a pas fait attendre, le bougre. Il m’a rejoint sur le lit et, toujours allongée sur le dos, j’ai écarté les jambes au maximum. Jérémy a d’ailleurs pu profiter d’une magnifique vue sur mon abricot, pour mon plus grand bonheur. Là, il a approché son bassin et a collé sa branche contre mon fruit. Tu ne pensais pas que je te décrirai cette scène, cher journal ? Mais voyons, j’ai bien dit que je te raconterai TOUT! Je disais donc que sa branche s’est collée à mon fruit. Là, il a poussé un petit et a guetté la moindre de mes réactions. Au départ, j’ai cru que ça ne passerait pas. Déjà que deux doigts sont à l’étroit dans cet endroit, alors un attribut masculin, je ne te raconte pas. Jérémy m’a vite démontrée que son engin pouvait entrer en me pénétrant. Lorsque son pénis a déchiré mon hymen, la douleur m’a poussée à enrouler mes bras et mes jambes autour de son corps. J’ai senti un très mince filet de sang couler le long de mes fesses. Là, Jérémy n’a pas cessé de demander si je vais bien et ou si je veux qu’il arrête. Je lui ai dit de continuer et j’ai bougrement bien fait ; dès lors qu’il a entamé des aller-retours, j’ai ressenti un intense plaisir me parcourir le corps. Chaque fois que Jérémy a fait le moindre mouvement, en retour, j’ai soupiré de bonheur. Autant te dire, cher journal, que j’ai fait pas mal de bruit. Je ne pourrais pas non plus te décrire comment je me suis sentie quand son membre ’est frotté à mes parois internes, mais bon sang que ç’a été bon.
Quelques minutes se sont écoulées et Jérémy a exclamé qu’il allait jouir. Je lui ai demandé de sortir de mon orifice (je ne prends pas la pilule mais, ça, tu le sais déjà, cher journal) et l’ai laissé exploser sur ma poitrine. Suite à cela, je me suis endormie.

Mercredi 15 février 2017Je me suis réveillée le lendemain matin. Les draps étaient collés à ma poitrine à cause de la semence de Jérémy que je n’avais pas nettoyée. Mon prince s’est réveillé quelques secondes après moi. Il n’a jamais semblé être aussi heureux, lui non plus. Il s’est levé et m’a embrassée avant de se rhabiller. J’en ai fait de même et nous sommes sortis. J’ai décroché le tanga de la clenche et, ensemble, nous sommes montés dans sa voiture et sommes retournés chez moi.

Voilà, cher journal, c’était le récit de ma tendre et douce saint-Valentin. J’espère que tu as aimé t’imaginer chacune des scènes avec lesquelles j’ai rempli tes pages. N’oublie pas, je t’ai confié la garde de mes secrets, alors je compte sur toi pour les protéger.
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