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Journal de vacances

Chapitre 3

Lesbienne
17 août
Cette journée. C’était... inattendu, doux, sensuel...
Je venais de me faire jouir en écrivant mon "journal", quand on a sonné à la porte. J’ai juste enfilé une tunique pour ouvrir, et je me suis retrouvée face à Samantha. Elle avait passé elle aussi un grand débardeur, mais on devinait sans peine qu’elle n’avait rien dessous. Ses joues étaient rouges, et ses yeux brillèrent en me regardant.
Je l’ai fait entrer et je l’ai emmenée jusqu’à la terrasse.
Elle parle le français moins bien que son père et Liz, mais son accent ajoute à son charme. Elle m’a avoué qu’elle avait vu que j’étais seule, et qu’elle voulait en profiter pour me demander quelque chose de très personnel et d’un peu gênant. Elle avait du mal à me dire ce qui l’amenait, mais elle a fini par se lâcher.
Je lui plaisais. Elle avait l’habitude que son physique attire sur elle le regard des hommes (tous) et des femmes (beaucoup, mais il y avait souvent de la jalousie dans leurs yeux). Avec moi, c’était différent. Elle avait lu le désir sur mon visage, et moi aussi je l’attirais, malgré notre différence d’âge.
Et surtout, elle voulait vivre une expérience avec une femme bi, connaissant tout du sexe (si jamais on peut tout savoir!), pour découvrir d’autres plaisirs. En fait, elle me fit comprendre que les partenaires de son âge n’étaient pas à la hauteur...
Bien sur, son père la laissait très libre, et elle multipliait les aventures, mais les garçons et les filles de son âge étaient souvent maladroits et trop pressés. Elle savait que Liz et son père avaient une vie sexuelle intense et pas vraiment conventionnelle, mais le couple refusait de l’initier ou de lui faire connaître certains de leurs partenaires, car Gunther considérait que c’était à sa fille d’avancer à son rythme, sans l’influencer.
Je confesse que les propos de Samantha me faisaient plaisir. Devenir son initiatrice... Je lui ai promis de venir chez elle en début d’après-midi, car elle serait plus à l’aise dans ce cadre.
J’ai annoncé le midi à Arthur et Carine que je les abandonnerais, et qu’ils devraient aller à la plage sans moi. Mais sans rien leur dire de plus, pour respecter la discrétion que Samantha m’avait demandée.
Après manger, j’ai passé une minirobe sur mon string, et je suis allée sonner à la porte de la villa. Sam devait m’attendre, car elle ouvrit presqu’aussitôt, sans même avoir pris le temps de cacher sa nudité. Nous nous sommes dirigées vers la terrasse et la piscine. Arthur et Carine étaient partis en même temps que moi, et nous étions certaines de ne pas nous faire mater.
Maintenant qu’elle était en face de moi, Samantha était presque intimidée. Pour la mettre à l’aise, je lui ai proposé de m’occuper d’abord d’elle. Dans un premier temps, elle pouvait juste me laisser faire, et prendre l’initiative plus tard, en suivant son désir.
J’ai rapproché deux grands bains de soleil, et je les ai mis en position horizontale, pour en faire un lit confortable, et Sam s’est allongée. Elle a fermé les yeux, et elle s’est abandonnée totalement.

Je l’ai embrassée, et j’ai senti ses lèvres s’entrouvrir pour laisser le passage à ma langue. Je fis durer ce premier baiser, pour lui laisser goûter la volupté de ce moment. Et progressivement, j’ai commencé à la caresser. Ses épaules, la naissance de ses seins, son ventre, le haut de ses cuisses. Putain, qu’est ce que sa peau était lisse et douce!
Puis ma main est remontée sur sa poitrine. Elle était dure comme du bois. Ses tétons pointaient. J’ai pris les aréoles dardées entre mes doigts. Je les ai caressées, pincées doucement, étirées... Sam gémissait, et moi, je mouillais.
Puis mon autre main est descendue entre ses cuisses. Je n’ai rien eu à lui dire, elle les a écartées, posant ses pieds au sol de chaque côté du bain de soleil. J’ai retardé le moment où je toucherai les points les plus sensibles, me contentant d’abord d’écarter ses grandes lèvres, de les masser, de débusquer son clito, qui était déjà sorti de son étui. Elle aussi mouillait...
Lorsqu’elle m’a supplié d’une voix étouffée de la faire jouir, je lui ai ordonné de se retenir, et ma main s’est fait plus insistante. Elle a crié de plaisir quand j’ai touché son petit bouton. Crié encore, quand mes doigts ont pénétré sa grotte. Chaque centimètre carré de sa peau, de son sexe, était souple et ferme.
Tous mes gestes étaient d’une douceur et d’une lenteur mesurées, pour exacerber son attente. Et elle a joui une première fois, dans un râle plus rauque que ce que j’attendais d’une fille aussi jeune.
Je ne l’ai pas laissée reprendre son souffle. J’ai plongé ma tête entre ses cuisses. Ma bouche s’est écrasée sur son sexe, et ma langue a pris possession de sa chatte. Elle s’est cambrée, et s’est offerte totalement. A mon tour, j’avais du mal à contrôler mon excitation. Je sentais des larmes de cyprine dégouliner sur mes cuisses. Lorsque je perdais haleine, mes doigts prenaient le relais, et Sam a joui encore en criant, avec une force incroyable, au bord de l’évanouissement.
Son corps ruisselait de sueur - le mien aussi - et je l’ai laissée se reprendre. Puis je lui ai proposé de nager un peu, avant qu’elle s’occupe de moi à son tour. La caresse de l’eau sur nos corps nus nous a revigorées. Sam récupérait à une vitesse extraordinaire, et je sentais le désir dans son regard posé sur moi.
Je suis sortie de la piscine et j’ai rejoint nos bains de soleil, en ondulant des hanches pour l’exciter. Je me suis faite la plus provocante possible, et Samantha m’a rejointe.
Pendant de longues minutes, elle m’a embrassée, caressée, doigtée, avec un ravissement évident. Ses mains et sa bouche, d’abord timides et hésitantes, se sont faites progressivement audacieuses et fébriles. Elle est vraiment très douée! J’ai joui aussi, j’ai giclé, et elle a poussé un petit cri de surprise et de plaisir quand j’ai coulé sur son visage et dans sa bouche.
Mais je n’étais pas rassasiée. Je l’ai fait venir sur moi, en 69. Pendant qu’elle fouillait de plus belle ma fente, je l’ai léchée à nouveau. Elle coulait elle aussi comme une fontaine, et j’ai glissé un doigt enduit de sa mouille entre ses fesses bronzées. J’ai caressé longuement sa rosette, mon doigt appuyant de plus en plus fort, jusqu’à sentir son petit œillet plissé s’ouvrir.
Avant de la pénétrer, je lui ai demandé si elle en avait envie. Elle m’a répondu "oui, tout ce que tu veux..." d’une voix étouffée. Alors j’ai enfoncé mon doigt franchement. Elle a poussé un petit cri, et elle s’est cambrée encore plus, écartant ses fesses de sa main libre pour m’en faciliter l’accès.
Pendant que j’allais et venais dans son petit cul, elle m’a rendu la pareille. J’ai introduit un deuxième doigt, puis un troisième. Nous nous doigtions de plus en plus fort, de plus en plus profond. Elle a joui la première. Je l’ai suivie de près. Elle a eu un autre orgasme, et moi aussi, avant de s’écrouler sur moi de tout son poids.
Nous sommes retournées nager. Longtemps. Et nous avons passé ensuite plus d’une heure sur les bains de soleil, à papoter, en nous caressant. Samantha voulait tout savoir de mes expériences, surtout de mes "premières fois", de mes rapports avec plusieurs partenaires ensemble, et l’excitation faisait souvent gonfler sa poitrine. La mienne aussi! Et je ne parle pas de la mouille qui coulait entre nos cuisses...
Plusieurs fois, la conversation est venue sur les godes et sur les sextoys en général, et Samantha était très curieuse. J’en avais emporté quelques uns en vacances (on ne sait jamais): mon oeuf vibrant, des boules de geisha, et mon gros gode à ventouse. Elle m’a demandé si je voulais bien lui montrer, et je suis allée les chercher dans notre maison.
A mon retour, une surprise m’attendait: Samantha avait cherché dans les affaires de Liz, et elle avait trouvé un superbe gode ceinture, très long, gros et noir.
Elle a voulu tout essayer. Elle a marché plusieurs minutes sur la terrasse, avec les boules de geisha dans sa chatte. Ses seins qui pointaient, et le rythme court de sa respiration en disaient long sur ses sensations, et je coulais comme une fontaine en la regardant.
J’ai récupéré ensuite mes boules de geisha, et je les ai remplacées par mon œuf vibrant. En gardant la commande... Et j’ai demandé à Samantha de marcher encore, pendant que je faisais vibrer l’œuf. Elle a fini par jouir debout, et tomber à genoux, secouée par des orgasmes en chaîne. Et j’ai joui, seulement en la voyant.
Elle s’est rallongée pour récupérer, et nous avons continué à bavarder. Et, pour finir cet après-midi de rêve, on a essayé le gode ceinture, en "alternance". Je ne savais plus où j’en étais, et Samantha non plus.
Je lui ai demandé de m’enculer avec le gode. J’ai joui tellement fort, qu’elle a voulu que je la prenne par son petit trou. Vu la taille de l’engin, j’avais peur et mal pour elle, mais elle a insisté... et elle a joui aussi, en se tordant sur la terrasse. C’est une sacrée salope, et quand je pense qu’elle n’a que 18 ans... Elle va faire le bonheur de plein de mecs et de filles!!!
Nous avons mis fin à ces ébats, quand nous avons aperçu Carine et Arthur sur notre terrasse. Et de plus, Samantha attendait ses copains, avec qui elle sortait pour la soirée. Quelle santé!
Moi, j’étais épuisée.
Carine est allée en boîte, et je suis restée avec Arthur. Il m’a raconté son après-midi sur la plage, et nous avons fait l’amour. Doucement. Tendrement.

A suivre
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