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Journaliste, une carrière à part

Chapitre 3

Une vieille connaissance

Hétéro
Cinq années se sont écoulées.
Je suis restée journaliste au sein de la même chaîne, changeant de situation épisodiquement, tantôt en charge de reportages, tantôt présentatrice d’émission. Jai eu quelques aventures avec divers  hommes plus ou moins connus. Je me suis marié à l’un d’entre eux, un politicien, il y a deux ans. Je viens  d’accoucher de mon premier enfant, il y a à peine trois mois.J’ai profité de ma grossesse pour faire un break professionnel, ce qui n’est jamais bon dans notre métier où tout le monde guette la moindre opportunité pour faire carrière. Ma place est désormais prise. Et je retombe sur Jean Claude Defer. Il est revenu à la tête d’une chaîne nationale après un détour dans le monde du sport et il a apprit que je cherchais à reprendre le collier.
Il n’a pas changé, c’est toujours le prototype du malotru. Après deux heures d’attente, et en moins de cinq minutes mon nouveau contrat est scellé. Le type reste fidèle à ses habitudes. Il lorgne mes seins,encore  gonflés par ma récente grossesse, avec une fixité digne d’un cobra. Je dois dire que je suis habituée à ses manières et ne m’en émeut pas plus que cela.
Je reprends donc du service comme présentatrice du journal du soir. Jean Claude n’a pas vraiment changé, distant, froid comme un glaçon. Il n’a effectivement pas changé du tout car à peine dix jours  après mon embauche, je reçois un SMS, dans lequel il m’invite à passer dans son bureau le lendemain soir. Je lui réponds que ça va être compliqué, vu que j’ai un enfant en bas âge que j’allaite encore. Sa réponse est que ce ne sera pas long.
Je débarque vers 22 heures dans le bureau du grand patron. Ce coup ci il ne me fait pas attendre. C’est toujours aussi sec, le type me propose un verre et comme je ne bois pas d’alcool, vu mon état, j’ai droit à un verre de jus de fruits. Jean Claude lorgne ma poitrine et me demande à brûle pourpoint comment se passe l’allaitement. Voilà maintenant qu’il se préoccupe de puériculture, mais  plus rien ne me surprend chez lui. Je lui réponds que je fonctionne de manière alternée. La journée la nounou alimente mon fils au biberon et à partir du soir je le nourris moi-même. D’ailleurs je lui signifie que je dois y aller rapidement car cela va être l’heure.
Jean Claude n’aime pas perdre son temps. Assis derrière sa table, il me demande de lui présenter mes seins. Je dois donc me lever m’approcher de lui, me pencher sur le bureau et ouvrir mon bustier,  libérant ainsi ma poitrine. Il se penche en avant et saisissant mon téton gauche entre son pouce et son index, le rustre commence à me traire, tout simplement.
Du lait coule sur son bureau, il n’en à que faire. Il renouvelle l’opération avec l’autre tétine, tant que le liquide coule puis lèche ses doigts et me libère d’un geste de la main. C’est tout lui. Ce type est un pervers de la pire espèce. Malheureusement il connait aussi mon côté sombre et sait comment en tirer parti.
Il me fout la paix pendant quelques semaines, puis m’invite avec mon mari à une soirée chez lui. Le connaissant j’ai les pires inquiétudes concernant le déroulement  de la petite fête qu’il prétend organiser. C’est un samedi soir. La nounou arrive de bonne heure, mon mari est ravi car il se dit qu’il va  certainement rencontrer des décideurs qui vont éventuellement l’aider dans sa carrière.
Nous débarquons au milieu du Gotha parisien. Sportifs, acteurs, homme politique, le tout Paris est là. Jean Claude vient à notre rencontre, salue mon mari et lui déclare, tout en me regardant, qu’il souhaite «m’emprunter» un peu plus tard dans la soirée. Mon mari, qui ne connaît pas le bonhomme, s’imagine que nous avons moi et lui quelque question professionnelle à régler et lui répond qu’il n’y voit aucun inconvénient. Pour ma part je suis beaucoup moins confiante.
Un peu avant minuit, Jean Claude vient nous interrompre dans une discussion avec quelques convives. Le moment est arrivé. Je  m’excuse  auprès des invités et lui emboîte le pas tandis que mon mari me fait un petit signe affectueux de la main.
Nous passons à l’étage. Jean claude ouvre la porte de son bureau que nous traversons sans un mot. Nouvelle porte, Il insère une clé et ouvre. Il s’agit d’une pièce secrète, il en referme la porte à clé aussitôt. Devant moi sur les murs de cette pièce relativement étroite, s’étalent des photos de plusieurs femmes que je reconnais pour la plupart, journalistes ou vedettes du show business. Elles sont toutes nues dans des poses obscènes, souvent empêtrées dans des liens, le regard implorant.
Je viens de rentrer dans le dernier cercle des fantasmes  de Jean Claude. Son «hall of fame» se complète d’une batterie d’ustensiles et de meubles destinées aux pratiques sadomasochistes. Le type est toujours muet, il me laisse observer sa collection. Il ouvre un coffret d’ivoire et en extrait des mini étaux à seins qu’il me tend avec un hochement de tête, marquant sa détermination.
Machinalement, je m’exécute. J’extrais une de mes mamelles de mon corsage, tire sur le téton et place la pince, que je serre ensuite raisonnablement. Cela suffit à faire couler quelques gouttes de lait. Je reproduis l’opération sur mon autre globe et replace ma poitrine dans mon corsage. A cause de l’épaisseur du soutien gorge de grossesse, les pinces ne se voient pas, ce qui me rassure.
Le type me tend alors ce que je reconnais être un plug anal. Je dois d’abord le sucer puis l’enfouir dans mon anus, dés que l’objet est suffisamment lubrifié. Cela me prend un peu d’effort et de temps mais finalement le caoutchouc s’installe dans mon rectum sans trop de problème. Jean claude observe tout cela sans le moindre mouvement, ni manifestation quelconque.
Nous  ressortons de la pièce qu’il verrouille à nouveau et  nous retournons vers la fête. Je vais devoir passer le reste de la soirée avec ce harnachement invisible. Mon mari qui m’accueille avec un grand sourire ne se doute pas de ce qui vient m’arriver. Il va falloir jouer finement en rentrant à la maison pour qu’il ne découvre pas le pot aux roses...
 
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