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Journée de garde

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Rapide petite présentation. Je suis un homme de 30 ans, célibataire et travaille en tant qu’agent de sécurité dans une clinique privée. Je vous livre ici ce qui m’est arrivé un soir, juste avant d’aller remplacer mon collègues à 2h du matin. Je m’étais allongé dans la chambre de garde pour me reposer entre 20h et 2h et m’étais assoupi vers 22h complètement nu dans des draps que j’avais ramené de chez moi.
Il était aux environs de minuit, on toquait à ma porte.
— Moi : « Oui ! J’arrive ! »
J’enfilais rapidement mon caleçon et passais un t-shirt tout en me dirigeant vers la porte.Je retrouvais Léa et Julie qui étaient la pédiatre et la sage-femme de garde.
— Moi : « Bonsoir, il y a un problème, mon collègue a besoin de renfort ! »— Léa : « Non pas du tout. On est là pour toute autre-chose. On se demandait si … »
En même temps qu’elle prononçait ces mots, elles poussaient la porte et entraient de force dans la chambre de permanence.
— Moi : « Ca va pas là ? »— Julie : « On ne va pas y aller pas quatre chemins. On a toutes les deux envies de passer un moment agréable avec toi ? »
A ces mots Léa, la pédiatre, enlevait ses Crocs et commençait à déboutonner sa blouse.
— Julie : « Après on ne t’oblige pas ! Mais on t’a déjà vu nous regarder avec insistance pour ne pas dire autre-chose et … »
Julie, la sage-femme s’était rapprochée de moi. Je pouvais sentir sont parfum à la noix de coco, ses lèvres étaient à quelques centimètres des miennes. Il est vrai que ces deux femmes me plaisent beaucoup et souvent je me suis fait la réflexion que je devais arrêter de les mater, qu’on allait me prendre pour un pervers. J’avais donc ces derniers temps pris un peu de distance. Mais mes efforts allaient être vains ce soir.
Léa et Julie sont des femmes complètement différentes. Léa, la trentaine, a les cheveux bruns, coupés très court, un peu à la garçonne. Elle mesure environ 1m70 et semble très athlétique sous sa blouse de médecin qui laisse présager une poitrine assez conséquente. Julie, 25ans, porte une tenue de sage-femme beaucoup moins sexy. Mais ses longs cheveux blonds toujours attachés en queue de cheval très haute et ses yeux bleu clair me laissent songeur à chaque fois qu’elle s’adresse à moi. On peut dire qu’elle comble son manque de poitrine et ses formes plus rectilignes par son regard perçant.
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que je me jetais sur ses lèvres et l’embrassais. Dans un premier temps, surprise, elle passa ensuite ses mains sous mon caleçon, agrippa mes fesses à pleine main et engagea sa langue dans ma bouche. Pendant ce temps, je gardais les yeux ouverts et observais Léa se déshabiller.
Elle s’était déjà séparée de sa blouse et enlevait maintenant son pantalon. Une fois redressée, je fus complètement subjugué par la beauté de son corps. Son soutien-gorge blanc mettait très bien en valeur ses seins que j’estimais à un 95D voir E. Sa taille et ses hanches étaient parfaitement dessinées, on distinguait même ses abdominaux. Elle devait faire un 36 ou un 38, elle était sublime avec son boxer blanc.
De ma main gauche, je lui saisissais le bras et l’entrainais vers nous. Elle se colla immédiatement à Julie qui, en même temps qu’on s’embrassait, avait enlevé ses chaussures son pantalon et sa culotte. Il ne lui restait plus que les vêtements du haut du corps. Léa et Julie s’embrassaient maintenant devant moi. J’en profitais pour dégrafer le soutiens gorge de Léa d’une main et passais l’autre entre les cuisses de Julie. Le système d’attache défait, je jetais subrepticement un œil à l’étiquette : 95E.
Je la regardais se mettre complètement nu pendant que Julie ôtait ces derniers vêtements. Léa était entièrement épilée contrairement à Julie qui entretenait un petit triangle. Je me rapprochais de Léa. La main gauche sur ces fesses, l’autre sur son sein droit que je ne pouvais contenir. Les seins sont mon péché mignon chez une femme surtout les gros. Elle était quelque peu farouche, je tentais de l’embrasser mais elle détournait la tête me retrouvant à chaque fois dans son cou. C’est alors que Julie collée dans mon dos me dit à l’oreille :
— « Léa est lesbienne, tu ne le sais pas ? »— « Non j’ignorais ! »— « Vas y dis-lui pourquoi tu es là »
A ces mots elle saisit mon caleçon et me l’enleva.
— « Je suis là pour connaître autre chose que les godes que je peux avoir à la maison »
J’étais surpris. Elle qui ne me semblait pas plus entreprenante que cela depuis le début, montrait soudain un autre visage, plus assurée, plus directe.
— « Je ne veux pas que tu m’embrasses, ni de pénétration vaginale »— « Ok ! Donc t’es là pourquoi ? »— « Ben tu peux me sodomiser autant que tu veux. Je veux voir la différence. »
Moi qui rêvais d’enculer une femme et qui ne l’avais jamais fait, enfin mon fantasme allait se réaliser.
Julie qui était à genou, face à ma verge tendu à bloc.— « Oh, putain ! »— « Qu’est-ce qu’il y a ? » répondais-je— « Mais elle est énorme »— « Elle est pas petite effectivement »— « Regarde Léa ! » Alors qu’elle la mesurait de ses mains— « Elle fait plus de 15 cm, je dirais 20 vu ce qu’il reste. Et elle est super large ! »— « Ah oui !» lançais Léa qui s’était agenouillée et mesurait de son pouce et de son index la circonférence.— « Je dirais par rapport à mes godes pas loin des 6 cm, 5 sûr ! Par contre ce qui est sûr c’est que tu t’es branlé avant de te coucher et que tu t’es pas lavé depuis. »— « J’avais pas prévu votre visite ! »— « T’inquiètes ! » répondait Julie qui se positionnait en face.
Elle ouvrit la bouche et engloba mon gland une première fois. En se retirant, je voyais ses lèvres épouser mon gland. Je soufflais un grand coup pour me calmer.
— « Je ne sais pas si je vais arriver à l’avaler en entier »— « T’inquiètes, moi je sais que je vais y arriver. » la charriait Léa.
Julie était concentrée sur ma verge et moi sur elle. Elle avait commencé par me donner des coups de langue sur le gland pour lui enlever les dernières traces de spermes qui demeuraient. Elle s’était ensuite amusée avec mes bourses qui pendaient les prenant l’une après l’autre dans sa bouche tout en me fixant du regard, espionnant la moindre de mes réactions. Elle s’arrêta et commença à lécher ma verge de la base jusqu’au bout de mon gland. Je compris qu’elle cherchait à la lubrifier quand elle me cracha dessus et l’étala. Au bout de quelques va et vient. Elle commença à la mettre de plus en plus loin dans sa gorge. Je savourais chaque remontée car en plus de voir ces lèvres trainées sur ma verge je la sentais bouger sa langue et aspirer en même temps.
Pendant ce temps Léa observait et comme j’avais les mains libres, je décidais de profiter de son corps vu qu’elle ne me l’avait pas interdit. Je lui saisissais les seins et lui fit comprendre de se rapprocher de moi. A une main je ne pouvais tenir l’un de ses seins. Je les caressais un instant puis comme ses tétons commençaient à pointer je les roulais entre mes doigts. Je ne sais pas si elle appréciait mais je la voyais haleter un peu. Je pris ensuite un sein à deux mains et le portais à ma bouche tout en le compressant. J’aspirais son téton, l’embrassais, le titillais avec ma langue. Puis ses mains enlevèrent les miennes et me plaqua puissamment la tête dans son sein. J’en étais presque étouffé. Heureusement elle me faisait passer de l’un à l’autre, me permettant de reprendre mon souffle. Elle me guidait complètement, parfois m’emmenant sous son sein, dégustant la partie la plus tendre, parfois me pressant entre ses deux obus. J’étais aux anges, sucé par Julie et guidé dans les seins de Léa. Je n’en revenais pas.
Au bout d’un certain temps, Julie se releva et fit :
— « Et bien, tu as l’air d’aimer ! »— Léa : « C’est vrai que c’est aussi bon qu’avec une fille ! »
Je levais aussi la tête, Julie se collait de plus en plus à moi. Ayant engagé un doigt dans son vagin complètement trempé, je m’amusais avec son clitoris ou plutôt je me délectais de ses réactions. A chaque stimulus, elle lâchait un petit soupir de plaisir jusqu’à ce qu’elle me demande de la prendre.
Je la retournais, lui fis comprendre de baisser son buste, les jambes légèrement écartées. Je pris ma verge d’une main et me mis à caresser ses grandes lèvres de mon gland.
— Julie : « Prends moi maintenant, j’en peux plus ! »
J’étais à l’entrée, poussant légèrement je la pénétrais sans résistance jusqu’à la moitié de ma verge. Elle poussait un cri à chacun de mes petits va et vient puis elle me demanda de la laisser faire. J’arrêtais mes mouvements de bassin et la regardais positionner Léa, le buste sur le bureau dans la même position qu’elle. Elle reprit ma bite dans sa main et se l’inséra dans son vagin. Elle commençait de petits va et vient tout en écartant les fesses de sa collègues pour lui lécher l’anus. Au premier coup de langue, Léa s’écarta elle même les fesses, je voyais clairement la langue de Julie parcourir sa raie et parfois s’insérer dans son anus, rendant Léa de plus en plus bruyante.
Julie reprit ses mouvements de bassin, elle s’insérait ma verge de plus en plus loin. Au bout de quelques allers et retours, ces fesses tapaient contre mon pubis, j’étais presque complètement en elle, s’était trop bon. Je profitais encore un instant de la vision offerte. Julie s’empalant sur ma verge de son plein gré pendant qu’elle léchait l’anus de Léa qui jouissait à chaque coup de langue.
Il fallait que je reprenne le contrôle sinon j’allais exploser en elle. Je me retirais et la poussais sur le lit quand soudain le cul sublime de Léa me fit perdre mes moyens. Je saisissais à pleines mains ces hanches et je ne sais pourquoi mais je m’entendis prononcer ces paroles que je n’avais jamais osées.
— « Tu veux que je t’encule ? Demande le moi ! »
Elle avait tourné sa tête, me regardait. Je la vis hésiter un instant puis d’une voix suave elle me dit :
— « Encule moi ! J’en meurs d’envie ! »
Je saisissais ma bite et positionnais mon gland face à son anus complètement humidifié par Julie. Je pressais, mon gland s’écrasait, je continuais de pousser, son anus s’ouvrit, mon gland s’engagea.
— « Oh putain ! C’est trop bon ! Vas y ne t’arrête plus ! » murmura Léa.
Je n’avais jamais senti autant de pression contre ma bite. Je poussais encore et m’enfonçais en elle. Je fus stoppé à mi-chemin, ne pouvant plus avancer, je ressortais ma verge complètement.
— Léa : « NON ! Qu’est-ce que tu fais ! »— Moi : « Tiens prends ça et tais toi ! »
Je l’enculais de nouveau, plusieurs fois je rentrais et sortais mon gland, elle jurait à chaque fois. Puis de nouveau je m’enfonçais en elle. Mais cette fois-ci rien ne me stoppa, j’étais complètement en elle. Mon esprit bestial prenait le dessus et je me mis à la pilonner de plus en plus fort aussi fort que ces cris de jouissance. Je n’en revenais pas, je n’avais jamais gouté à quelque chose d’aussi bon. A détrôner la meilleur des fellations. Pendant ce temps, Julie se masturbait furieusement sur le lit. Mais Léa jura de nouveau.
— Léa : « Et merde, faut qu’on s’arrête ! Il y a une douche dans ta chambre ? »— Moi : « Euh oui, juste là ! »
Je la vis entrer dans la salle de bain, une main entre ses fesses, un peu comme une couche. Julie lui demanda :
— « Tout va bien ? »— « Oui t’inquiète ! J’aurai du me faire un lavement avant de venir, pour m’éviter cela. »
Je regardais ma bite, recouverte d’un liquide marron, je décidais d’aller me laver pour reprendre dans la foulée. Mais Julie m’interpella.
— « Qu’est-ce que tu fais ? »— « Je me nettoie et j’arrive. »— « Ce n’est peut-être pas la peine fais voir ? »
En me disant cela elle s’était levée et m’avait poussée dans le fond de la salle de bain devant la porte vitrée de la douche dans laquelle se trouvait Léa. Elle se mit à genou devant moi et regarda ma verge sous toutes les coutures.
— « Oh ce n’est rien, regarde ! »
Elle recommença à me sucer, à me lécher me nettoyant la bite avec application. J’en profitais de nouveau, il fallait dire que c’était bien la première fois qu’une femme arrivait à prendre ma bite en entier dans la bouche. De plus, qui n’aime pas les fellations ? J’en profitais pour regarder le corps sublime de Léa sous la douche. Je la voyais se rincer, puis elle dévissa la pomme de douche, laissant le tuyau couler sans rien au bout. Elle me regarda et me dit :
— « Comme ça je suis sûr qu’il n’y aura plus d’accident. »
Elle se retourna, me montra sa croupe et s’enfonça le tuyau entre ses fesses. Au même moment, alors que j’aurai voulu regarder plus longtemps, Julie m’entraina vers le lit où je tombais sur elle. Nous nous embrassions, je la pénétrais de nouveau.
Au bout d’un certain temps, je me redressais sur les bras et lui plaquais les mains au-dessus de sa tête. Tout en faisant varier les rythmes, je passais sans crier gare du rapide et féroce au lent et doux. A chaque accélération elle m’en demandait plus, plus vite, plus loin. Dans cette position je ne pouvais la prendre entièrement. Je la basculais alors sur le côté comme l’on peut faire l’amour en position de cuillère. Mais plutôt que de me positionner dans son dos, j’étais resté sur son côté et avais abaissé mon bassin pour me retrouver bien en face de son vagin. Je guidais ma verge de ma main droite et m’enfonçais en elle. Je touchais le bout de son intimité. Choquée que j’arrive aussi loin elle jura :
— « Oh mon dieu ! Oui ! Oh c’est bon ! »
Satisfait de mon effet je la défiais :
— « T’en veux plus encore ? »— « Comment ça, t’es pas au bout ? »
Je prenais sa main et lui montrais les deux ou trois centimètres que je pouvais encore lui insérer si je forçais.
— « Vas-y ! Mais doucement ! »
Je poussais, elle hurlait : « Encore ! Encore ! »
Arrivé au bout je lui demandais si ça lui allait. Je n’eus pour simple réponse que de petits mouvements de bassin de haut en bas faisant ressortir et rentrer ma verge en elle. J’avais compris. Je sortais ma bite en entier et la pris d’un coup jusqu’à la garde. Elle hurla qu’elle en voulait encore, plus fort et plus vite. Je recommençais 5, 6 fois puis je me libérais et la pénétrais en continu au plus profond d’elle-même. Quelques minutes plus tard, elle prit un oreiller et hurla dedans, elle jouissait, je ralentissais la cadence, devenais plus doux. Je la laissais reprendre ses esprits tandis que moi je profitais de voir cette femme jouir de mes coups de reins.
Léa était sortie de la douche depuis un moment et nous regardait. Quand Julie lâcha l’oreiller Léa lui dit :
— « Maintenant que tu as eu ce que tu voulais c’est à mon tour ! »
Je sortais d’elle, quelques gouttes de sang s’échappèrent. Julie se releva et se rendit en boitant jusqu’à la douche. Inquiet, je lui demandais si ça allait, que je m’excusais de mon comportement croyant avoir fait ce qu’elle voulait.
— « Non, j’ai jamais autant jouie de ma vie, c’était trop bon. J’ai un peu mal mais ça va très bien ! »— « Tu aurais dû accepter de te faire enculer comme moi, t’aurais pas ce souci ! » ironisa Léa.— « Peut-être une prochaine fois. »
J’étais soulagé. J’aime faire l’amour au gens mais je ne veux pas les faire souffrir, pour moi c’est incompatible. Julie rentrait sous la douche et Léa m’allongea sur le dos. Elle m’enjamba se positionna au dessus de ma verge comme pour aller faire ses besoins dans les bois et tout en se maintenant d’une main à la tête de lit, elle positionnait ma bite à l’entrée de son anus. Puis elle descendit. Je sentis de nouveau la même pression que tout à l’heure, jusqu’à ce qu’elle descende encore et que mon gland la pénètre.
— « J’avais oublié qu’elle était aussi grosse » disait-elle alors que juste mon gland était rentré en elle.
Heureusement que je m’étais branlé avant de me coucher sinon je n’aurai pas pu tenir la cadence. Je n’en commençais pas moins à être fatigué. Elle ne voulait pas que je la touche, m’obligeant à garder mes mains sous ma tête. Je regardais le spectacle qui m’était offert. Sans aucun problème son anus avalait ma bite jusqu’à mon pubis, sans aucun problème elle la ressortait et s’enculait avec plaisir. Elle fit ces mouvements plusieurs fois puis tout en lâchant un « C’est trop bon », elle accéléra la cadence, montant et descendant à une vitesse effrénée.
Je regardais maintenant son énorme poitrine, sauter elle aussi de haut en bas. Ses seins s’élevaient dans les airs, puis redescendaient en se cognant l’un l’autre pour s’écraser sur sa cage thoracique dans un bruit sourd de chair s’entrechoquant. Cette vision me fit perdre mon contrôle et je sentis la pression monter en moi d’un seul coup. Je tentais de maîtriser mes sensations mais il fallait que je me retire sinon j’allais venir en elle.
— Léa : « Non ne viens pas maintenant ! J’en ai trop envie »— Moi : « Vas y ! Vas y arrête !»
Je la jetais sans ménagement sur le lit pour reprendre mes esprits et me levais aussitôt. Mais c’était trop tard un jet de sperme parti et s’écrasa sur son ventre. Heureusement, j’arrivais à contenir le reste. Mais ce fut sans compter sur Julie.
— Léa : « Putain tu m’en a mis sur moi ! J’en ai jusque sur les seins ! »— Julie : « C’est pas grave Léa ! Assis toi sur le rebord du lit face à lui et passes tes bras sous tes seins pour les faire remonter » disait-elle tout en me branlant.— Léa : « Tu sais bien que je n’aime pas ça ! » mais obéissait quand même.— Julie : « Oui mais moi j’adore et puis je suis sûr que je vais pouvoir le faire repartir ! »
La vue était magique. Ma verge tendue en direction des seins énormes de Léa qui les remontait agréablement et Julie qui me branlait. Je sentais de nouveau la pression arriver. Je ne mis pas longtemps à jouir intensément. Je fixais les seins de Léa se recouvrir de mon sperme, s’écrasant sur elle sous de puissants jets. Je jouissais comme jamais. Je n’eu même pas le temps de reprendre mes esprit que Julie avalait ma goulument ma bite ramollie. Elle donnait tout ce qu’elle sait faire de mieux aspirant, léchant, mordillant, titillant mon gland, mes bourses pendantes, ma verge à demi-gonflée. Comme elle l’avait si bien dit je ne tardais pas à redémarrer, ma bite encore plus dure qu’avant.
Voyant qu’elle aimait cela, je lui pris la tête et commença à lui pénétrer la gorge. Mais ce n’était pas ce qu’elle voulait. Au bout de quelque va et vient elle me repoussa.
— Julie : « Je n’ai pas entendu Léa jouir ! Alors prend là comme tu m’as prise toute à l’heure, insères-toi le plus loin en elle ! Mais avant j’ai autre chose à faire.»
Léa était sur le dos et Julie vint se mettre au dessus d’elle à la manière d’un 69 à l’exception de sa tête qui se retrouva au niveau des seins de Léa. Je comprenais ce qui allait se dérouler et ne voulant pas redescendre par manque d’excitation, j’enculais vigoureusement Léa qui se masturbait les jambes écartées.
— Léa : « Je t’en pris déchaine toi ! »— Moi : « J’en ai bien l’intention ! »
Je lui ramonais son cul de toute ma bite, lui donnant de grand coup de bassin, mon instinct grégaire avait prit le dessus. Pendant se temps, Julie léchait les siens de Léa en lui donnant de petit coup de langue. Dans ma tête je me disais : « Vous en voulez encore alors prenez ça » et je défonçais encore plus le cul de Léa.
Puis j’attrapa Julie par les cheveux et lui plongea sa tête dans le sein droit, encore recouvert de sperme, de Léa lui étalant ma semence sur son visage. Je la relevais et d’un doigt récupérais ce qu’elle avait sur sa joue, m’en débarrassant dans sa bouche.
— Moi : « Avale ça ! »
Julie prit ma main et suça mon doigt. Elle ouvrit la bouche pour me montrer ma récolte et l’avala en se passant la langue sur les lèvres.
— Moi : « En fait tu aimes ça. »— Julie : « J’adore ! »
Lui maintenant toujours la tête, je compressais à pleine main le sein de gauche de Léa le transformant en un obus dressé, luisant de mon sperme. Je plaquais de nouveau le visage de Julie sur ce sein charnu et lui demandait de s’en délecter. Je l’entendais aspirer mon foutre, embrasser se sein gonflé, ouvrir sa bouche plus grand pour tenter de l’avaler. Léa, à se faire bouffer les seins de la sorte, se tortillait de plaisir.
— Léa : « Oh oui ! Continue ! C’est trop bon ! »
Quand Julie eut finit de tout nettoyer, elle se redressa et demanda à Léa de la lécher. Les jambes écartées au dessus de sa tête, Julie était en extase à chaque coup de langues bien placées.
Je trouvait cela excitant mais voulais plus que tout en finir avec Léa. Je la positionnais à son tour sur le coté, abaissant mon bassin et me retirant d’elle pour la pénétrer en une seul fois de toute ma longueur.
— « Tu vas adorer ! » murmurait Julie à l’oreille de Léa
Je préparais mon gland à l’entrée de son anus qu’elle avait du mal à refermer. M’accrochant d’une main à son épaule et de l’autre à son sein, je m’enfonçais en elle violemment. Léa vociférait des « Putain !», des « C’est trop bon ! » et Julie qui s’était rapprochée de moi me demandait de la défoncer encore plus fort. Plus j’accélérais, plus je m’agrippais à ce sein énorme tel un animal sur sa proie, m’aidant de mes bras pour augmenter la puissance de mon bassin. Je sentais que mon sperme allait jaillir dans le cul de Léa quand à ma grande surprise elle me repoussa.
— « Non ! Ne viens pas dans mon cul ! »
En dehors d’elle, ma verge tressautait. Et alors que j’allais venir incessamment sous peu, Léa posa ses lèvres sur mon gland et me branla. J’éjaculais dans sa bouche et jouissais sans retenue.
La dernière goutte expulsée, je m’effondrais sur le sol de la chambre, transpirant, essoufflée, tel un sprinter. Julie demanda à Léa de tout lui redonner mais d’un non de la tête, elle avala chaque jet que j’avais répandu en elle.
Epuisé, je me hissais sur le lit et m’affalais pendant que je les voyais à la salle de bain pour en ressortir toutes pimpantes, toutes habillées.
Julie s’approchant de mon oreille.— « C’était super ! »— « Merci à vous deux, c’était génial » répondais-je.
Elle quitta la chambre pendant que Léa écrivait quelque chose sur un bout de papier, le posant sur la table de nuit. Elle tourna les talons et alors qu’elle avait saisi la poignée de porte, je la vis faire demi-tour et se pencher au-dessus de moi au niveau de ma bite pendante.
— « Je t’ai laissé mon numéro perso. J’aimerai faire découvrir à ma copine ce que tu m’as fait vivre ce soir. »
J’allais prononcer des remerciements et lui dire que je n’y manquerais pas. Mais elle me coupa la parole en enfournant une dernière fois ma verge dans sa bouche, faisant quelques allers et retours.
— « Je crois que je vais adorer ça ! » dit-elle juste avant de quitter la chambre.
Je regardais ma montre, il est 2h05, je suis en retard, faut que j’aille remplacer mon collègues.
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