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Jours de grève

Chapitre 4

Gay
Je passe la journée à repenser à Jeff, à tout ce qui s’est passé depuis que j’ai pris le bus ce matin. C’est de la folie. Au dernier cours, le prof nous lâche 10 minutes plus tôt. Je ne traîne pas, je prends mes affaires et part immédiatement pour revoir mon Jeff.
Il est là, j’ai l’impression qu’il me guettait. Il est appuyé contre son bus en train de fumer sa clope, il me suit du regard avec un sourire discret. Arrivé à sa hauteur il dit :— alors jeune homme on sèche ?— non, le prof nous a laissé partir plus tôt — tu lui as fait tes yeux doux ?— même pasOn se regarde, l’envie de se jeter l’un sur l’autre est palpable. Il tire à nouveau sur sa clope.— ça a été les cours ?— oui, j’avais quand même l’esprit ailleurs— ah bon ? je t’avouerai que moi aussi— je peux te poser une question indiscrète ?— oui bien sûr— je me demandais si tu es marié — ah ! non, je suis divorcé si tu veux tout savoir, depuis 5 ans et j’ai une fille qui a 9 ansJ’écoute mais du coup je me demande où va nous mener cette histoire. Même s’il n’est pas marié je m’interroge sur ses intentions. — déçu ? ça t’inquiète ?— pas déçu, mais je ne sais pas où ça peut conduire notre relation— tu sais il faut prendre les choses comme elles viennent dans la vie. N’imagine pas quelque chose de sérieux entre nous mais on a déclenché quelque chose, on profite, on vit des moments de tendresse, je peux te faire découvrir des sensations, je peux te faire du bien, tu m’en fais aussi — hmmm je comprends, tu as raison, merci de me rassurer— c’est normalIl tire une dernière fois sur sa cigarette puis la jette à terre avant de l’écraser. Il fait un rond de fumée qu’il envoie dans ma direction, et ça m’amuse.— allez, grimpe on va y aller

D’habitude à cette heure-ci on est pas nombreux donc là avec les grèves il y a encore moins de monde. Je suis assis à mon poste d’observation. Deux autres élèves montent quelques instants après. On attend de longues minutes l’heure de départ. Trois autres arrivent en courant et montent alors que Jeff allume le moteur. Il ferme derrière eux et démarre. Cette fois je ne me gêne plus, je fixe carrément le rétroviseur central. Jeff me jette régulièrement quelques regards tantôt accompagnés d’un sourire, tantôt accompagnés d’un clin d’oeil. Après avoir quitté la voie rapide, je vois dans le rétro qu’il fait mine de s’essuyer la sueur en haut du torse et il défait un bouton supplémentaire de sa chemise en écartant bien les pans. Quel allumeur ! C’est malin, je bande ! Je suis sûr que lui aussi !

Quatre élèves descendent aux deux premiers villages. Malheureusement je connais le dernier et il va descendre au même endroit que moi. Je prends donc mon mal en patience, ça a l’air d’amuser mon Jeff. On arrive finalement à destination, l’autre avance déjà dans l’allée, je lui laisse la priorité, il descend et part à pied dans le village. Je jette un regard sur le parking, ouf mes parents ne sont pas encore là. Je me précipite près de Jeff. Il dit :— oui c’est pour quoi ?— tu m’as chauffé, tu vas morfler — eh beh, on prend confiance, je suis pas un ga...Je ne le laisse pas finir sa phrase, je me jette sur lui et colle ma bouche sur la sienne. Je monte à califourchon sur lui. Je lui écarte sa chemise et passe mes mains sur son torse velu.— bébé qu’est-ce que tu fais, t’as même pas regardé s’y avait pas une vieille dans le coin— m’en fout— bébé tu vas me faire bander— tu bandais déjà— c’est vrai, j’avoue, j’ai passé le trajet à repenser à toi, ce regard que tu avais quand je te pénétrais.Il m’embrasse langoureusement avant de me demander :— tu voudrais pas me sucer ?J’attendais que ça, j’acquiesce avec un large sourire. Je me lève, il me dit :— viens on va se remettre au fond du bus, on sera mieux...

Il s’assied sur la banquette, il défait immédiatement sa ceinture, défait le bouton de son jean et abaisse sa braguette. Il sort aussi sa bite de son slip. Elle est dressée fermement. Je me jette dessus sans attendre.— ouhla, il a faim le petit ourson... hmm... vas y bouffe moi le gland... hmm...Je m’acharne sur sa queue. Il pose sa main sur ma tête pour me donner le rythme. Il appuie franchement, me forçant à accueillir sa queue sur toute sa longueur. J’adore ça, être pris en main en toute virilité. Il me guide et me félicite :— bébé tu es doué, vas y ouvre bien et lèche moi le gland quand je me retire.Je m’exécute.— hmm... c’est génial comme ça, applique toi, je vais te récompenser...Il donne lui aussi du mouvement en bougeant son bassin, ses à coups sont francs et précis. Il maintient maintenant ma tête avec ses deux mains. Il me baise carrément la bouche. Il gémit et respire fortement. Il accélère encore le rythme et il finit par m’envoyer quelques jets de sperme au fond de la gorge. J’avale sans problème, j’aime de plus en plus ça.— hmm... merci bonhomme...Je lui nettoie bien sa bite pendant qu’il reprend ses esprits. Après avoir récuperé il se lève, referme son pantalon et dit :— j’ai envie de pisser maintenant...Ah oui son fameux pipi en fumant sa clope à cette heure ci. En le voyant faire ça avant, j’avais fantasmer des centaines de fois de le surprendre et voir sa queue. — tu viens me mater ?Il lit dans mes pensées, il a toujours la phrase qui convient au bon moment. Je vais coller mon nez à la vitre au niveau de là où il pisse habituellement. Il descend du bus, allume sa clope, et va prendre position face à moi. Il baisse sa braguette, sort son engin et regarde dans ma direction, vérifiant que je sois prêt pour le spectacle et de l’urine commence à jaillir. Il sourit satisfait.

Ça m’excite tellement que je me touche la bite à travers mon pantalon, je commence à bander, je finis par baisser aussi ma braguette pour libérer ma queue et je commence à m’astiquer. Il est vraiment bandant. Puis je me mets debout sur le siège pour lui montrer ce que je fais. Il écarquille les yeux, il ne croit pas ce qu’il voit. La mâchoire lui en tombe. Je vois son sexe rebander alors qu’il pisse encore, du coup le jet devient plus fin et plus énergique. Une fois soulagé, il garde sa bite en main et commence lui aussi à se branler. La situation m’excite encore plus tant ça devient risqué. N’importe qui pourrait arriver et capter son geste provoquant. N’importe qui pourrait arriver et me deviner debout sur un siège dans un bus le pantalon baissé. Ça l’excite aussi énormément visiblement.On accélère le rythme conscients du danger, il jette des regards à droite et à gauche, puis il me regarde dans les yeux et tous les deux on se met à jouir en même temps. Mon sperme s’écrase sur la vitre. Le sien atterrit par terre. Il tire sa langue comme s’il léchait la vitre. J’éclate de rire, et lui aussi. 

Il me rejoint vite dans le bus après son affaire en disant :— t’es fou mon ptit gars mais tu m’as terriblement excité— c’est toi qui t’exhibe, je pouvais plus me retenirJe regarde mon oeuvre spermique sur la vitre et je dis :— tu aurais un chiffon pour essuyer ?— oui tiensIl sort un mouchoir en tissu de la poche de son pantalon et me le tend.— je le garderai, comme ça je pourrai sentir l’odeur de ton sperme ce soirJ’ai une grimace de dégoût.— c’est un peu dégueux quand même Il s’avance et me prend par la taille en m’embrassant dans le cou.— tout ce qui vient de toi est divin mon amourJ’éclate de rire. Il me ramène à la réalité.— bon je vais devoir y aller bébé... quand est-ce qu’on se revoit ?— demain je commence à 9 heures mais mes parents m’amènent le samedi car ils vont au supermarché après, et je finis à midi— bon donc je te vois pas demain matin et moi l’après-midi j’entraîne les petits au rugby, ça veut dire qu’on se reverra que lundi ?Je réalise qu’on va être séparé 2 jours après tout ce qui s’est passé en à peine 24 heures. Je suis triste et mon visage se ferme. Il dit :— bébé fais pas cette tête, on se voit lundi, c’est bien aussi de laisser remonter le désir.Lui arrive à sourire et à voir le côté positif. Il me prend dans ses bras et m’embrasse langoureusement pendant une longue minute. On arrive quand même à se séparer et je prends mes affaires. Je l’embrasse une dernière fois furtivement avant de descendre du bus. Comme hier je le regarde démarrer et s’éloigner. On se salue. Ça va être dur jusqu’à lundi...
Le samedi matin, j’ai deux heures de sport, c’est athlé, je vais donc me rendre au stade où nous avons baisé hier avec mon Jeff. Je me sens un peu comme un criminel qui revient sur les lieux du crime. Ça m’excite en même temps. Mais le lieu est different avec le chahut que mes camarades font. Il y a pas mal de rugbymen dans ma classe, du coup il y a des habitudes de chambrage entre mecs balaises. D’habitude je me délecte des corps virils de certains camarades, notamment Damien qui est un gaillard d’1m90, 105 kg, talonneur de son état, du poil en veux-tu-en-voilà et surtout une grosse bite qu’il ne dissimule pas vraiment. Mais là mes pensées restent sur mon petit entraîneur de rugby.Damien me sort de mes rêveries :— oh Lio qu’est-ce que tu fous, bouge-toi ou tu vas avoir un tour supplémentaire si tu fais attendre Dédé.— oui j’arrive.Dédé c’est notre prof de sport, cinquantenaire à quelques encablures de la retraite mais il a une forme et une pêche de jeune homme. On se dit tout le temps entre nous qu’il doit prendre des trucs pour être comme ça à son âge. Lui il est pas du style à faire grève. Il est du genre à filer des tours de chauffe supplémentaires à chaque minute de retard. Il fait faire des pompes à ceux qui tardent trop sur les bancs au lieu de bouger. Ouf je ne suis pas en retard, il discute avec le jardinier, Thierry. Putain, là je balise, je sais plus où me mettre, j’essaie de me dissimuler dans la masse avec mes camarades pour pas qu’il m’aperçoive. Thierry prévient que les robinets extérieurs ne fonctionnent plus et qu’il faudra utiliser ceux à l’intérieur. Le prof se tourne vers nous :— deux volontaires pour aller remplir les bouteilles avant de commencer.Personne ne s’avance comme d’habitude.— bon Lionel et Damien vu que vous êtes arrivés en dernier vous êtes volontaires et vous me ferez un tour de terrain en plus pour la peine. Les autres vous commencez par 20 pompes pour le manque de volontaires et puis vous partez pour 3 tours.Il a l’oeil partout, il est incroyable ce prof. Moi qui voulait pas me faire remarquer, là c’est loupé Thierry m’a bien capté. Je deviens tout rouge. Damien et moi partons tranquillement avec les caissettes de bouteilles vers les vestiaires. On entend gueuler le prof :
— et vous pouvez y aller au pas de course, vous verrez il se rapprochera plus vite le vestiaire.On se met donc à courir en rigolant. Soudain on entend une autre voix crier :— attendez les jeunes, vous allez pas aller bien loin sans clé.C’était Thierry, il se dirige vers nous pour nous ouvrir. En passant devant moi il me fait un clin d’oeil. Je sais plus où me mettre. Il nous ouvre en disant :— pas de bêtises vous deuxPuis il nous laisse. Damien se dépêche de remplir ses bouteilles, il a pas envie de se payer encore un tour de plus, et il me chambre :— allez Lio t’es lent, tu vas avoir un tour de plus, regarde je suis déjà à 5 tu en as même pas 2— c’est normal t’es au début de la conduite, t’es un enculé— c’est toi qui va encore te faire enculer par Dédé si tu es aussi lentIl se dépêche pour remplir les 6 autres de l’autre caisse et me plante là. Quel bourrin! Je peux enfin remplir les bouteilles à meilleur rythme.Je prends peur en entendant une voix m’interpeler, me croyant seul :— alors lui aussi il t’a baisé ?Je me tourne, c’est Thierry. Je comprends pas sa question :— qu’est-ce que vous voulez dire ?— ton copain, il avait l’air de dire que tu t’étais déjà fait enculer par ton prof— ah non, pas du tout, il me chambrait parce que quand on traîne il nous file des exercices physiques en plus— ah dommageJe continue de remplir les bouteilles en vitesse et je dis.— d’ailleurs je me speede sinon ça va chaufferPuis je sens une pression dans mon dos. C’est Thierry qui se colle à moi et passe ses bras autour de moi pour me bloquer. En frottant sa joue contre mon oreille droite il dit :— c’est toi qui me chauffe, depuis que je t’ai vu nu hier et que Jean-François m’a raconté ce qu’il se passe entre lui et toi j’arrête pas de penser à toi.Je tremble, qu’est-ce qu’il va me faire ? Je ne me débats pas, vu sa carrure c’est sans espoir. Il défait un peu son étreinte et descend sa main droite vers ma bite en passant à l’intérieur de mon short. Je proteste :— arrêtez s’il vous plaît, mon prof pourrait arriver— tu sais ça pourrait lui plaire, je le connais bien, il est pas contre fourrer sa queue dans des culs de lycéens, je t’ai dit hier que j’en voyais des belles ici... D’ailleurs je crois bien que ton copain est déjà passé à la casserole avec lui...J’arrive pas à croire ce que j’entends... Mon prof de sport se serait tapé mon copain Damien. Tout d’un coup ça me fait bander et Thierry le remarque :— ah je vois que tu bandes, c’est moi qui t’excite comme ça ?Je réponds pas, il commence à me branler tout en me léchant dans le creux de l’épaule. Je me relâche peu à peu et je me laisse faire. J’imagine Dédé en train de baiser mon pote rugbyman, ce beau gaillard. Mon prof de sport a quand même de beaux restes, il doit faire 1m80 pour 80 kg, il est musclé sec, c’est un ancien handballeur typé méditerranéen, cheveux bouclés bien bruns, poil frisé. Vu son énergie à son âge il doit être très endurant. Et Damien je l’imaginais plus actif dans mes fantasmes. Dans la vraie vie il a une copine donc je reste sur le cul qu’il puisse avoir des penchants gay. En parlant de cul, je sens la bite de Thierry tambouriner contre le mien. La situation l’excite terriblement on dirait, il me branle plus fort étant totalement dur maintenant. Je finis par jouir en lâchant quelques jets de sperme dans le bac en ciment sous les robinets. Une traînée a même atterri sur une bouteille. Il finit par dire :— et bien t’étais chaud toi... je vais te laisser rejoindre ton cours mais j’aimerais bien que tu t’occupes de moi après Reconnaissant qu’il m’ait raconté cette petite histoire excitante et qu’il m’ait vidé les couilles je lui dis :— ok mais ça reste entre nous, pas un mot à JeffIl me tend la main pour sceller l’affaire. Il me fait un clin d’oeil avant de sortir du bâtiment. Je m’empresse de rassembler les bouteilles et me précipite vers le terrain.En déposant les bouteilles sur le banc près du prof qui scrute les tours de terrain, je ne peux m’empêcher de détailler son corps. Il se tourne vers moi et me dit :— tiens passe-moi une bouteille et dépêche toi d’aller faire tes tours, et n’oublie pas celui que t’as gagné en plusJe vois la bouteille avec la traînée de sperme, c’est trop tentant, je prends celle-là et la lui tends. Il la saisit et boit sans s’apercevoir de quoique ce soit . Je pars immédiatement faire mes tours de chauffe.
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