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Joyeux Anniversaire

Chapitre 2

Zoophilie
Le lendemain matin, je me lève le premier. Après une douche rapide pour enlever toute la cyprine de mes maîtresses et mon foutre secs qui restent sur mon corps, je pars chercher un bon petit déjeuner chez le boulanger. Quand je reviens, j’entends des voix dans le salon. En m’approchant, j’entends que c’est Delphine qui donne des conseils à Erika. Je décide d’aller voir sans faire un bruit ce qui se trame dans le salon. J’arrive dans la cuisine qui donne un vue directe sur le salon sans que l’on puisse me voir. Je découvre Erika assise sur le canapé, les jambes écartées outrageusement et les pieds posés sur la table basse en train de se malaxer les seins par-dessus sa nuisette en satin noir. Delphine, vêtue de leggings de fitness blanc et d’une brassière, s’est placée juste à sa droite et lui caresse la cuisse. Riff, quant à lui, est entre les jambes d’Erika et lèche avec gourmandise son minou. Je suis en érection immédiatement en voyant la scène. Delphine donne quelques conseils à Erika pour placer au mieux son bassin pour apprécier ce cunni canin que lui prodigue son amant à 4 pattes. Erika couine de plaisir. Delphine descend du canapé et commence à caresser le bas-ventre de Riff. Il ne perd pas de temps à bander sous les caresses de ma femme. Maintenant, Delphine le branle ; Erika à sorti un sein de sa nuisette et se pince le téton tout en se mordant la lèvre inférieure. Riff bande fort maintenant ; quelques gouttes de son jus tombent sur le sol. Delphine s’en aperçoit, les ramasse avec ses doigts libres et les porte à la bouche d’Erika qui les suce avidement. Delphine continue son excursion ; elle plonge la tête sous Riff et aspire avec ses lèvres gourmandes ce membre rose qu’elle commence à bien connaître. Après quelques va-et-vient buccaux, elle se relève et dit : o    Ma chère belle-sœur, c’est l’heure de ton dépucelage canin ! o    Tu crois ? J’ai un peu peur, tu sais… o    Rassure-toi, je reste à tes côtés. Et puis vu tes prouesses passées, c’est pas une bite de plus qui va te faire mal ! o    Tu as raison, on peut y aller.  Sur ces mots, Delphine se relève, s’approche d’Erika et l’embrasse à pleine bouche. Ensuite se redresse et attrape le collier de Riff. o    Riff ! Allez, mon bel amant, il est temps que tu montes ta nouvelle maîtresse.  Riff réagit au quart de tour, comme s’il avait compris tous les mots de Delphine. Sans élan, il se dresse sur ses pattes arrière et positionne celles de devant de part et d’autre du bassin d’Erika. Le saut de Riff la fait sursauter et, par reflexe, elle veut resserrer ses cuisses qui rencontrent les flancs poilus du chien. Delphine pose sa main libre sur le genou droit d’Erika pour lui faire comprendre de se détendre. Erika réagit bien et rouvre ses jambes. Riff avance petit à petit vers Erika en mimant déjà l’étreinte future. Le bout de sa bite vient de toucher le haut de la cuisse d’Erika qui lâche un cri de surprise. Delphine comprend qu’il est proche de la pénétrer ; elle lâche sa belle-sœur et plonge la main vers le sexe de Riff pour le guider. o    Tu es prête, ma chérie ?  D’un geste de la tête, Erika répond acquiesce. Delphine approche le sexe canin de la vulve de ma sœur. Ma veste encore sur les épaules, je ne peux m’empêcher de sortir ma bite de mon pantalon et de me caresser. D’un coup de reins, Riff pénètre ma sœur jusqu’à la boule rouge qui orne sa bite. Erika lâche un cri aigu, entre surprise et douleur. Sans lui laisser le temps de se remettre de cette intromission, Riff commence des va-et-vient d’une bestialité propre à lui. Les cris d’Erika se changent pour des gémissements qui deviennent de plus en plus forts. Elle est prise d’un premier orgasme, mais Riff n’a pas encore fini ; il la lime toujours avec une grande ténacité. Erika part dans un deuxième orgasme, encore plus puissant que le premier ; elle a retiré les bretelles de sa nuisette et se maltraite les seins tout en secouant sa tête dans tous les sens. Delphine est maintenant simple spectatrice ; elle n’existe plus pour ce nouveau couple qui s’affaire devant elle. N’y tenant plus, je décide de rentrer à mon tour dans le salon. Delphine me voit ; je ne lui laisse pas le temps de placer un mot. Je l’attrape par le poignet, et tout en la levant je lui roule une pelle. Ma deuxième main plonge directement dans ses leggings pour finir sa course sur sa vulve qui est déjà ruisselante. Je la tire un peu plus loin du canapé. La bite toujours à l’air, j’appuie sur ses épaules pour la mettre à mes genoux. Elle comprend tout de suite ce qu’elle doit faire, alors elle aspire ma bite comme une trayeuse aspirerait le pis d’une vache. À voir ma sœur se faire baiser par un chien tout en ayant ma bite dans la bouche de la plus salope des femmes, je me vide au fond de sa gorge. Delphine avale tout, comme d’habitude. Tout en embrassant mon gland, elle me dit : o    Et moi, alors ? Je n’ai pas le droit d’être baisée ? o    D’être baisée, non. Mais je vais quand même m’occuper de ton cul.
o    Et comment, alors ?  Sans répondre, je range ma bite dans mon pantalon, retire ma veste, la jette sur le fauteuil, prends un coussin sur le canapé et le jette à Delphine. o    À quatre pattes, maintenant, et pose tes coudes sur ce coussin face à ta belle-sœur. o    Qu’est-ce que tu vas me faire ? o    Je vais te fister pendant que tu regardes Erika forniquer avec ton amant canin. o    Mais… o    Chut, maintenant, sinon je te bâillonne comme hier !  Sans un mot de plus de sa part, elle se met dans la position souhaitée. Pendant ce temps, Erika subit toujours les coups de boutoir de Riff et n’arrive plus à redescendre de ses jouissances répétées. Moi je suis parti chercher la bouteille d’huile d’olive. Quand je reviens au salon, Erika crie de plus belle ; Delphine m’attend, les coudes sur l’oreiller et la croupe en l’air. o    Pourquoi crie-t-elle aussi fort ? o    Riff vient de lui faire rentrer son nœud dans le vagin ; il va bientôt lui arroser la matrice avec son foutre. o    Bien. C’est à ton tour de crier, petite salope ! o    Huuuumm… j’aime quand tu me parles comme ça.  Je lui claque le train arrière et débouche la bouteille d’huile et j’en verse sur ses leggings blancs au niveau de la couture centrale ; ils deviennent transparents, me laissant voir une raie et une chatte sans poil. Je pose la bouteille et commence à lui caresser l’entrejambe. Delphine ronronne immédiatement. Je m’attarde au niveau de sa chatte ; elle est brûlante. D’un geste, j’attrape ce bout de tissu qui me fait encore barrière et l’arrache. Maintenant j’ai une vue parfaite sur les orifices de ma salope de femme encadrés par les vestiges de ses leggings. Je reprends l’huile et en verse abondamment sur son sillon. Je fais pénétrer le goulot dans sa chatte et lève le cul de la bouteille pour en vider une bonne quantité dans son vagin. Quand je la retire, de l’huile couleur or coule sur le sol. Je me positionne derrière elle et commence à lui pénétrer la chatte avec trois doigts directement. Voyant que c’est large, j’insère les deux derniers rapidement. Le haut de la main a un peu plus de mal à passer, mais en forçant légèrement ma main rentre entièrement. Un fist d’anthologie commence. Le poing fermé dans sa chatte, je commence à la pistonner sans ménagement, ce qui la fait crier de plaisir. Je m’amuse par la suite à retirer puis à faire rentrer ma main dans ce vagin oint à souhait et ne désirant que cette maltraitance. Delphine est prise d’un orgasme qui me bloque la main à l’intérieur d’elle tandis que Riff se vide au même moment dans la chatte d’Erika, qui elle aussi atteint un énième orgasme. Le chien essaie de se retirer mais il reste bloqué. Delphine, qui m’emprisonne toujours la main, se couche sur le côté. La sensation de Riff qui veut partir ramène rapidement Erika de son orgasme ; elle commence à paniquer. o    Calme-toi, sœurette ; c’est normal d’être bloqués ensemble. Détends-toi, et il se retira tout seul. o    Tu crois ? o    Oui. Écarte bien les jambes et caresse-toi un peu ; comme ça, tu vas te détendre et lui sortira plus vite. o    OK, j’essaie.  La peur se lit encore dans son regard mais Erika écoute les conseils de son grand frère et commence à faire ce que je lui ai dit. Pendant ce temps, Delphine m’a enfin libéré la main. o    Remets-toi en position, traînée ! Je vais m’occuper de ton cul. o    Maintenant ? o    Suffit ! dis-je en lui claquant le cul.  Elle essaie de se remettre en place. Je l’aide en lui appuyant sur le bas des reins pour la faire se cambrer au maximum, puis je lui écarte les cuisses. Position parfaite ! Je réitère avec l’huile, mais au niveau de son cul maintenant. Quand je retire le goulot de son anus, il reste légèrement ouvert ; j’en profite pour mettre deux doigts à l’intérieur. Il est plus serré que sa chatte, mais ça va le faire : il a déjà été visité, il faut juste être patient. Grâce à l’huile et à toute la luxure que respire l’appartement, Delphine se dilate rapidement. Je suis maintenant à quatre doigts dans son fondement ; encore quelques minutes et Delphine commence à partir au septième ciel. J’arrive à mettre les cinq doigts ; je force encore un peu, et là, ma main est comme aspirée par ce trou noir. Delphine, surprise que son sphincter lâche aussi vite, crie de surprise plus que de douleur. Riff s’est enfin libéré et est parti se coucher dans un coin de la pièce, laissant la chatte d’Erika dégoulinante de son foutre canin. Erika continue de se masturber encore un peu. Moi, je ne bouge presque plus pour laisser Delphine s’habituer à mon poing dans son cul. Je ressens ses pulsations tout autour de mon poignet. Quand je sens moins d’emprise, je commence à la pistonner ; elle geint immédiatement. Je ne m’arrête plus. Le visage raclant le sol, Delphine a du mal à rester en position. Pendant ce temps, Erika a remis sa nuisette et nous regarde. o    Je peux t’aider, mon frère chéri ? o    Oui. Si tu t’es remise de ton coït, viens à côté de moi ; nous allons lui faire un double fist ! o    Tu crois que c’est possible ? o    On va voir…  Toujours en lui ramonant le fion, je fais signe à Erika d’approcher. Une fois à ma hauteur, elle se met à genoux et pose sa main sur le cul de Delphine. Celle-ci sursaute. o    Qu’est-ce… que vous… allez faire, tous les deux ? o    T’inquiète, ma chérie. On va juste de faire du bien et te permettre de passer encore un cap dans tes performances. o    Han… han, han… vous… me faites… peur, tous les DEUXXXX…  Je viens d’enfoncer mon poing un peu plus loin encore. J’ai maintenant mon poing et la moitié de mon avant-bras au fond de son cul. Erika me regarde faire avec attention et attend mon signal. o    Badigeonne ta main avec l‘huile répandue au sol et présente-toi devant sa chatte.  Sans un mot de sa part, elle se lève. Je me demande où elle part. J’ai ma réponse rapidement : elle plaque sa main dans la mare de foutre de Riff qui se trouve sur le sol, au pied du canapé. Une fois sa main enduite de ce foutre, elle revient vers nous. Je la regarde avec un léger sourire. o    Bah quoi, on n’allait pas gâcher tout ce nectar ! o    Tu as raison. Bonne initiative !  Ma sœur se replace à mes côtés et présente ses doigts pleins de foutre devant la chatte de Delphine qui essaie de la retenir. o    Non, faites pas ça tous les deux, je vous en suppliiiiiiiiie !  On ne l’écoute plus. Après une dernière pénétration de mon poing dans son cul, je commence à retirer mon avant-bras pour ne laisser que ma main à l’intérieur ; son sphincter palpite. Après un signe de tête vers ma sœur pour lui donner le top départ, Erika fait pénétrer tous ses doigts, longs et fins, dans le vagin de sa belle-sœur. Elle bloque au niveau de la paume, puis ressort ses doigts et recommence sans hésitation. Cette dernière tentative réussit : Erika vient de rentrer sa main dans la chatte de Delphine qui, sous cette intrusion, hurle de douleur. o    AAAAAAAAAAAAH !!! Vous m’avez déchirée, bande d’enculés ! o    Dis donc, salope, c’est toi l’enculée en ce moment ! o    T’as raison, mon frère : c’est elle.  Les cris de Delphine ont fait réagir Riff qui s’approche de nous. Erika et moi commençons à pistonner chacun notre orifice. Les cris de Delphine se transforment peu à peu en gémissements. Elle griffe le sol et recommence à se cambrer. Avec Erika, nous accentuons nos gestes. Nos poings se frôlent à travers les parois de ma douce Delphine qui finit par lâcher des cris d’orgasme tout en inondant le bras d’Erika de sa cyprine. o    C’est une femme fontaine ? o    Oui, quand elle atteint son nirvana, elle a des éjaculations féminines. o    Coooooooooooooooll…  La scène a l’air d’exciter Riff qui remue la queue et qui passe de la tête de Delphine à son cul sans savoir que faire. À un moment, Delphine tourne la tête vers le chien et l’appelle. Il s’approche d’elle, et elle se redresse malgré le traitement qu’on lui inflige. o    Approche, mon chien…  Riff obéit. Il pose sa truffe sur le nez de Delphine et commence à la lécher. Delphine ouvre la bouche et ils commencent à s’embrasser. Erika est stupéfaite. o    Alors là, je suis sciée ! o    De quoi ? Il t’a bien baisée, tout à l’heure. o    Oui, mais c’est pas ça qui me scie. Au début elle ne voulait pas que nous la fistions à deux en même temps, et là elle est en train de chercher un troisième amant. o    Oui, mais là c’est plus la même : maintenant elle ne contrôle plus rien ; seule son envie de sexe la contrôle. Comme la première fois où elle s’est fait prendre par Riff. o    OK.  Pendant ce temps, Riff et Delphine ont fini de s’embrasser. Delphine agrippe le sexe canin qui n’est pas très loin d’elle et l’amène vers sa bouche. Riff bande de toute sa vigueur. Nous ralentissons nos mouvements de piston pour que Delphine puisse œuvrer à sa guise avec le sexe de Riff. Elle le gobe sans une once d’hésitation. Riff a l’air d’apprécier cette pipe ; un liquide visqueux et blanchâtre coule déjà de la bouche de sa maîtresse. Je fais signe à Erika de recommencer son fist. Nos mains libres s’entremêlent sur le bassin de notre soumise tandis que nos poings encore à l’intérieur d’elle lui arrachent quelques feulements. Je retire ma main du cul de Delphine, le laissant béant et dégoulinant d’un liquide huileux et de couleur légèrement brun. o    Qu’est-ce que tu fais ? o    J’ai envie de te baiser, ma chère sœur… o    Bien. Alors allons-y !  Erika se retire aussi. Les orifices de Delphine sont deux gouffres sans fond. Cette libération doit lui faire une drôle de sensation car elle s’arrête de sucer Riff et nous regarde. Sans un mot de sa part, elle retourne à ses affaires en se mettant sur le dos pour être en meilleure position pour avaler entièrement la colonne de chair canine qui est à sa disposition. o    Baise-moi face à eux, mon frère chéri ! o    Comme tu veux… o    Oui, je veux la voir boire tout ce foutre ! o    Pas de problème : tes désirs seront réalisés.  Erika se met en position de levrette, le regard fixé vers Delphine et Riff. Je me positionne derrière ma sœur, lui soulève sa nuisette et plante sans sommation ma bite au fond de sa chatte. Erika crie de surprise. Elle est en nage. Je la pistonne avec tant de violence qu’elle a du mal à se tenir ; elle finit par se mettre sur ses coudes et pose sa joue contre le sol. o    Je croyais que tu voulais voir ta belle-sœur sucer le cabot ? o    Han, han, han ! Oui… mais j’arrive pas à… me tenir ! o    Alors je vais t’aider.  Je l’attrape par les cheveux et lui tire la tête en arrière ; elle est obligée de se remettre sur ses mains, la tête en arrière. Riff se répand dans la bouche de Delphine ; la dose de foutre est trop grosse, même pour elle, alors Delphine recrache le trop-plein le long de sa bouche. En se relevant, des rivières de foutre canin coulent sur son menton puis dans le sillon de ses seins encore emprisonnés dans sa brassière. Je sens que je ne vais pas tarder ; je claque le cul d’Erika, me retire de son con, et toujours en lui tenant les cheveux je me redresse et me positionne devant elle. À genoux et la bouche grande ouverte, elle attend sa récompense. Deux grands jets arrivent directement sur son visage, la zébrant du front au nez pour le premier et d’un œil au menton pour le deuxième. Elle finit par me gober la bite pour avoir les derniers jets dans la bouche. Elle me pompe tout mon jus et me relâche une fois ma bite bien propre. D’épuisement, je m’affale sur mon fauteuil, regardant mes deux princesses de Sade enduites du foutre de leurs amants respectifs. D’un coup, Erika regarde la pendule. o    Merde ! Il est 14 heures ! o    Ben quoi ? o    J’ai mon train dans une heure. Vite, il faut que je me prépare ! o    Reste comme ça… o    Pffff, t’es con ! Non, sérieux, je serais bien restée mais je bosse demain matin de bonne heure, et c’est le dernier train pour Narbonne.  Sur ces mots, Erika se lève d’un bond et court à la salle de bain. Delphine me regarde et nous explosons de rire. Je prends la deuxième salle de bain et me prépare également ; je vais l’amener à la gare : elle gagnera du temps, et après je ramènerai Riff à la caserne. En à peine 30 minutes, nous sommes tous les trois prêts, Erika vêtue d’un jeans taille basse et d’un top blanc sans rien dessous, moi en jeans, baskets et tee-shirt, et Delphine arrive en petite jupe noire volante, d’une brassière noire à col roulé. Voyant ses tétons pointer outrageusement, j’en déduis qu’elle n’a pas de soutif en dessous non plus. Quand elle se rapproche de moi, je passe ma main sous sa jupe, ce qui confirme mon intuition : elle m’a pas de sous-vêtement. o    T’es vraiment une petite chienne ! o    Oui, j’assume, et je sais que tu aimes ça. o    C’est pas faux…  Nous prenons Riff en laisse et partons, direction la gare. Dans la voiture, Delphine met Riff entre ses jambes devant et Erika se met derrière. Moi au volant, et c’est parti. Sur le chemin, Delphine recule son siège au maximum pour laisser de la place à Riff. o    Dis-moi, Benjamin, tu n’as jamais voulu prendre Delphine en double avec Riff ? o    J’y pense, oui, surtout depuis hier. Avant ça, je voulais déjà avoir confirmation si Delphine voudrait bien se faire rebaiser par un chien. o    Ça me déplairait pas, oui. o    Et toi, Erika ; te faire prendre en double, ça te dirait ? o    Faut voir… Déjà recommencer une ou deux fois, et puis pourquoi pas ? o    Tu verras, ma belle-sœur chérie, quand il te rentre tout son service trois-pièces au fond de ton cul, tu vrilles. C’est inouï le pied que tu prends ! o    Ah-ah-ah-ah ! Je te crois. Vu le pied que tu as pris aujourd’hui et hier, je te crois sur parole.  Peu de temps après nous arrivons à la gare de Lyon. Nous descendons de la voiture ; Delphine reste à côté pour surveiller Riff et éviter de prendre une prune. Après des embrassades entre elles comme deux maîtresses qui se quittent pour longtemps, j’accompagne Erika jusqu’au quai. Arrivés là-bas, le train est sur le point de partir. Erika se jette dans mes bras pour me faire un câlin. Nous nous embrassons à notre tour sans retenue devant tout le monde. Le chef de gare siffle le départ imminent ; Erika saute dans le train et reste à la porte jusqu’au départ. En s’éloignant, elle m’envoie quelques baisers que je rends immédiatement. Le train parti, je rejoins Delphine. Elle m’attend sagement, appuyée sur la voiture, Riff assis à ses côtés. o    Qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu n’es pas dans la voiture ? o    Il fait chaud dedans, et en plus si je reste seule avec Riff, j’ai peur de ne pas me contrôler et lui laisser faire ce qu’il veut de moi. o    T’es pas sortable, toi ! o    Non : je suis en chaleur. o    Je vois ça… Allez, monte. o    C’est parti !  Nous montons en voiture et Delphine remet Riff devant avec elle. o    Tu peux le mettre derrière si tu veux ; il est calme, il bouge pas en voiture. o    Peut-être, mais il est bien là aussi.  En même temps qu’elle me parle, elle installe Riff entre ses cuisses. Je comprends direct son intention. Ça ne rate pas : à peine sur le périphérique, Delphine tapote sur ses cuisses ; Riff détourne la tête de la fenêtre et la regarde. Elle soulève discrètement sa jupe, comme un code entre eux. Riff plonge la truffe et commence à lui lécher la chatte. Delphine jette sa tête en arrière et prend un pied de fou. Je lui serre la cuisse pour l’avertir que nous sortons pour rejoindre la caserne. Elle relève la tête et dit au chien d’arrêter. Il ne comprend pas trop mais cesse quand même. Au feu avant la caserne, j’appelle Ludo pour l’avertir de notre arrivée. Il nous attendra devant. En arrivant, Ludo nous attend sur le perron. Je me gare en double file ; nous sortons et nous le rejoignons. Après les bises d’usage : o    Salut, Ludo ! o    Salut, vous deux. Alors, bien passé cet anniversaire ? o    T’imagine pas… y avait ma sœur aussi. o    Aïe ! o    Non, t’inquiète, je t’ai déjà raconté aussi pour elle. o    Oui, mais pour Riff ? o    Elle a découvert et essayé. o    Vraiment ? Vous êtes des barges du cul, dans ta famille ! o    Non : juste nous. o    Et sinon toi, Delphine, ça t’a fait plaisir de revoir Riff ? o    Tu ne peux pas t’imaginer… et il m’a encore fait du bien sur la route.  Ludo me regarde, l’air surpris.
o    Elle ne ment pas : il lui a léché la chatte sur tout le trajet sur le périph. o    T’es vraiment une déesse de la luxure, toi ! o    Je prends ça pour un compliment. o    Tu peux : j’ai encore des souvenirs immenses de la Sainte Barbe ! o    On remet ça dès que tu le souhaites, mon cher. Et avec madame aussi. o    Je te prends au mot, mais madame n’est pas très portée sur la chose. o    Toutes les femmes aiment la chose ; faut juste savoir l’amener. o    OK, je veux bien voir ça. Pourquoi pas aux prochaines vacances ? o    OK ! o    Sinon, je peux te demander quelque chose ? o    Vas-y. o    Je sais que Riff t’a déjà baisée ; j’ai vu la vidéo, o    Alors, qu’est ce que tu veux savoir ? o    Voir si c’est vrai pour Riff, dans la voiture.  Delphine ne se démonte pas ; elle prend la main de Ludo et la passe sous sa jupe. Il caresse allègrement son entrecuisse et remonte vers sa chatte. Vu les gestes qu’il fait et le visage de Delphine qui se transforme, je comprends qu’il est en train de la doigter sur le trottoir en pleine rue. La scène dure une bonne minute ; c’est Riff qui y met fin en aboyant. Des gens approchent. Sur ce, nous nous disons au revoir et je lui dis qu’il faut caler ça pour les vacances. Delphine et moi remontons dans la voiture et partons direction la maison pour une dernière baise sauvage avant le retour des enfants.
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