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Joyeux Noel cousine

Chapitre 1

Inceste
Je vais vous raconter mon histoire qui s’est déroulée il y a de nombreuses années.Afin que les personnes concernées ne soient pas dévoilées, je vais changer nos noms.
Tout commença lorsque j’étais petit.Comme à chaque Noel, ma tante, mon cousin de 6 ans de plus que moi et ma cousine de mon âge viennent à la maison pour célébrer Noël en famille.L’appartement n’étant pas grand, nous partageons les chambres entres nous.
Cette année-là nous dormions avec ma sœur, mon cousin et ma cousine. Mon cousin Franck étant le plus âgé de nous, il faisait des expériences sexuelles assez étranges.Une fois couchés la nuit du réveillon il demandait à ma sœur Isabelle une règle pour qu’il puisse mesurer son engin... Tout fière il annonçait la taille, ma sœur ne voulait plus toucher à la règle, et ma cousine Sophie et moi étions entrés dans un fou rire interminable. Nous on trouvait ça drôle à l’époque car nous étions dans l’inconnu.Nous allons maintenant avancer dans le temps à mes 17 ans, toujours à la même époque de Noël.
Nous fêtons toujours Noel en famille, mais cette année fut différente des autres. Le copain et ma sœur dormait à la maison, donc dans la chambre de ma sœur Isabelle et mon cousin Franck lui était en déplacement et n’était pas venu. L’organisation des couchages était simple, ma cousine dormait dans ma chambre dans un lit d’appoint. Avant de dormir nous avons regardé la TV et bavardé de tout et de rien. L’heure passait jusque tard dans la nuit et nous entendions les gémissements de ma sœur à travers le mur qui nous séparait. Elle était en plein acte avec son copain et cela nous faisait sourire.
Sophie : Dis, tu te rappelles la fois où Franck s’était mesuré son pénis ?Moi : Oui qu’est-ce que c’était drôle.Sophie : Tu l’as déjà mesurée la tienne ?Moi : Oui il y a longtemps pourquoi ?Sophie : Vas y faits le qu’on rigole un peuMoi : Tu es folle ! Pas devant toi !Sophie : Tu n’as qu’à faire comme mon frère, tu le fait sous la couette…
Je réfléchis un instant puis accepta sa proposition. J’allais donc chercher une règle sur mon bureau puis une fois dans mon lit je commençais à me masturber avant mesure. Les gémissements de ma sœur m’aidaient pour le mettre au garde à vous.
Moi : Ne regardes pas ! Vas boire de l’eau en attendant.Sophie : Tu es trop coincé ! Ok je sors et je reviens dans 2 minutes.

Lorsqu’elle revint, j’étais au top de ma forme, excité par les ébats de la chambre voisine. Sophie s’installait dans son lit et me demandait le résultat. Je pris la mesure discrètement sous ma couverture.
Moi : 17 centimètres.Sophie : Menteur ! Je t’ai vu nu quand nous étions petit et on en est loin !Moi : Je te promets que c’est vrai. Nous étions petits et je n’étais pas en érection à l’époque. Tu sais j’ai grandi depuis, et… lui aussi.Sophie : Je n’y crois toujours pas, prouves le moi !Moi : Heu, comment veux tu que je te prouve ça, je fais un trait sur la règle ?Sophie : (en riant) c’est trop facile tu peux faire un trait n’ importe où ça ne prouvera rien… Montres là moi je veux en juger de mes yeux.Moi : Non ! Tu es folles je ne vais pas me mettre nu et en érection devant toi !Sophie : Tu es vraiment coincé cousin… Et sinon, je peux la toucher ? Comme ça je prendrai la mesure avec ma main.Moi : Hum… Je ne sais pas… Seulement si on éteint la lumière.
Souriante, Sophie alla éteindre la lumière et se mis juste à côté de mon lit, à genoux. J’ôtais la couverture et pris sa main pour la guider doucement vers mon pénis. J’eu un léger mouvement de surprise au moment du contact. Sa main était douce, ma bite était dure au point d’exploser. Elle plaça sa main à la base de mon pénis pour commencer la mesure. La situation était des plus excitantes que je n’avais jamais connu. Ma sœur qui jouit à coté, ma cousine qui a mon pénis en main. Je n’avais jamais songé à l’inceste et cela ne me dérangerait pas au vu du contexte… J’en désirais plus.
Sophie : Pas mal ! Bon déjà une main ne suffit pas… Je peux mettre la deuxième ?Moi : Si tu veux… Mais je crois que la deuxième ne suffira pas non plus.Sophie : Frimeur ! On va voir ça…
Elle plaçait sa seconde main au niveau de mon gland puis descendait pour se caler sur sa première. En effet, deux mains ne suffisaient pas laissant mon gland à l’air libre. Elle comprimait mon sexe avec ses mains et me dit.
Sophie : En effet, je t’avais mal jugé. Finissons la mesure maintenant.
Manquant de main, elle s’avança vers mon pénis et posa ses lèvres sur le bout de mon gland dans un souffle chaud et humide. J’eu un léger spasme au contact puis me laissais faire. Elle ouvrit lentement la bouche et commença à descendre lentement, très lentement… L’extase était proche. Sa bouche finit par entrer en contact avec sa main. Elle avait fini de mesurer. Mais contre toute attente elle enleva sa main et continua à descendre le long de mon pénis. Je sentais sa langue tourner autour de mon gland en même temps qu’elle avalait mon sexe. Elle poursuivi sa fellation pendant plusieurs minutes, sentant la jouissance arriver et ne voulant pas en rester là, je la stoppais dans le feu de l’action.
Moi : Maintenant que tu m’as bien mesuré, c’est à mon tour de le faire.Sophie : Je ne vais quand même pas enfiler cette règle dans mon vagin !Moi : J’ai ma propre règle de 17 centimètres…Sophie : Tu es fou ! Tu ne vas quand même pas me pénétrer !
Ni une ni deux je la soulève et la pause sur le lit. Je lui glissais doucement dans l’oreille.
Moi : Chut laisses toi faire.
Je me plaçais entre ses jambes et commençais à la couvrir de baisés sur les cuisses, puis remontais lentement vers sa culotte. Son souffle s’accélérait et sa culotte était humide. Elle était également excitée par la situation qui commençait à devenir chaude.
Sophie : Ce n’est pas bien ce qu’on fait… Tu me donnes chaud cousin. Si je te demande d’arrêter tu me promets de le faire ?Moi : Promis.
Je lui fis glisser sa culotte le long de ses jambes et j’entamais un cunnilingus. Les gémissements de ma sœur étaient désormais masqués par ceux de ma cousine. Elle mouillait pas mal, je pouvais d’ores et déjà la pénétrer, mais je préférais savourer l’instant et surtout me calmer pour ne pas terminer ce petit jeu trop rapidement. Je suis remonté par la suite sur elle en me plaçant à genoux à côté de sa tête en plaçant mon membre sur ses lèvres.
Moi : Remets-toi en mémoire le gabarit de ma bite ma cousine. Après je vais mesurer la profondeur de ton vagin.
Je n’avais même pas fini ma phrase qu’elle me suçait goulument. Une fois mon pénis prêt à l’emploi, je me plaçais une nouvelle fois pour lui lécher son clitoris pour m’assurer qu’il était suffisamment mouillé. On y était… Je suis remonté et positionna mon gland à l’entrée de son vagin.
Sophie : Non attends ! Mets un préservatif s’il te plait…
J’approuvais son choix (un peu à contre cœur) et suis donc allé chercher de quoi se protéger puis repris les hostilités là où elles s’étaient arrêtées. J’entrais doucement dans son intimité, cette chaleur enivrante de l’inceste me plaisait vraiment. Avant d’entrer entièrement, je préférais faire durer le suspense en faisant de légers vas et vient. Je la ramonais et elle prenait son pied, et moi aussi. Je lui enlevait sa nuisette et lui suçait les seins. Même si je ne les voyaient pas, j’en devinais la forme en la touchant. Ils tenaient tout juste dans mes mains et étaient bien fermes. Nous avons testé plusieurs positions pendant de très longues minutes pour que la mesure de son intimité soit correcte.
Moi : Mets-toi à quatre pattes ma salope de cousine !Sophie : Non ! Allonges toi, je dois vérifier que la règle n’a pas bougée.
J’obtempérais et elle se mit à me sucer par-dessus le préservatif. Je trouvais ça vraiment pas terrible… Je ne sentais pas sa salive couler le long de mon sexe et l’excitation n’était plus au rendez-vous. Elle semblait lire dans mes pensées et enlevait petit à petit la capote avec sa bouche. Elle finit par l’enlever et le cracha par terre.
Sophie : C’est mieux comme ça ! Tu étais à l’étroit là-dedans hein cousin ?
Elle se mit en position 69 et avala une nouvelle fois ma bite sans barrière et me pompa comme une professionnelle. Ses tétons me chatouillaient le ventre et je bandais comme un bourrin. Sa fellation était royale et je voulais cracher au fond de sa gorge. L’orgasme venait…
Moi : Je vais jouir….
Je pensais qu’elle allait retirer sa bouche, mais elle persistait et accélérait sa fellation. Ne pouvant plus me retenir je me vidais les couilles dans sa bouche. Elle poursuivait sa fellation en allant toujours plus vite. Mon orgasme continuait et Sophie ne me lâchait plus. J’étais en transe. D’un coup je me lève et lui agrippe les hanches et lui enfonce ma bite dans sa chatte qui en demandait encore.
Sophie : Tu n’as plus de capote !Moi : Tu l’as dit toi-même que c’était mieux sans ! Tu m’excite trop je veux jouir dans tes entrailles cousine.
Elle se laissait faire en signe d’approbation. Je l’ai pénétré sans capote pendant longtemps. Je dois avouer qu’elle a raison… Sans capote c’est beaucoup mieux. Je fini par cracher mon foutre dans son vagin dans un râle de plaisir. Que s’est bon de baiser sa cousine sans capote !
Sophie : Je te dois des excuses… Tu avais raison ta bite mesure bien 17 centimètre…Moi : Tu as bien fait de vérifier, ça m’a permis de t’offrir ma semence de Noel.Sophie : Radin ! Je suis sûr que tu en as encore en réserve ! Je vais me rincer et on remet ça.
Chose que nous avons fait jusqu’au petit matin pour notre plus grand plaisir.
Les festivités étant terminées, à l’heure du départ de ma famille j’offrais discrètement à ma cousine la moitié de la règle (la vraie) que j’avais coupée en deux. J’y avais inscrit au marqueur indélébile dessus « Noel 2001 ».
Les années ont filé et les Noël également. Nous avons gardé cette tradition de retrouvaille familiale. Ma cousine et moi nous arrangions toujours pour dormir ensemble. Nous avons inscrit de nouvelles dates sur nos règles. J’espère que cette tradition incestueuse perpétuera encore de longues années...
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