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Ma julie

Chapitre 2

Inceste
Bien sûr que je connais le sexe de mon frère, nous faisons du naturisme ensemble. Mais tenir cet énorme sexe d’homme ne me laisse pas indifférente, un long frisson me parcoure le corps. Michel s’en rend compte et me regarde d’un air bizarre. Je resserre un peu ma main, plus que nécessaire, je n’ai pas besoin de cette pression pour le maintenir, mais c’est plus fort que moi. Je sens son sexe vibrer un peu, il gonfle, son gland commence à être à l’étroit dans le col pourtant pas très fin de l’appareil.
Je veux le dégager en reculant ma main, mais le gland ne bouge pas, c’est sa peau qui glisse le long de sa verge. Je me rends compte que j’ai fait un geste similaire à la masturbation. Son sexe gonfle encore et son gland sort du col. Je le maintiens du mieux que je peux, il gonfle toujours. Il finit d’uriner, mais je reste à lui tenir sa bite. Maintenant, je n’ai aucune raison de lui tenir, mais ma main est attirée par cette bite qui grossi encore. Très vite elle est raide, il manque plus d’un centimètre pour que mes doigts en fassent le tour. Quand je la lâche, elle se redresse au-dessus de son ventre, son gland va au-delà de son nombril. C’est la première fois que je le vois en érection, je suis impressionnée, voire attirée.
–Tu va devoir me finir maintenant.
Je le regarde interloquée.
–Comment ça te finir ?–Aller jusqu’au bout.–Tu ne veux tout de même pas que je te masturbe ?–Tu n’as pas commencé là ?–Michel.–Regarde dans quel état tu m’as mis, tu ne peux pas me laisser comme ça, c’est dégueulasse.
Je regarde son sexe toujours fièrement tendu au-dessus de son ventre. Machinalement, je repose ma main dessus et commence des va et vient. Michel ferme les yeux, son visage se détend, son corps se relâche, il s’abandonne à ma main. Mes va et vient sont de plus en plus amples, je le branle sur toute la longueur de sa bite. Ma vulve s’humidifie, je commence à ressentir les prémices de l’excitation. Plus je le masturbe, plus je mouille, j’ai une folle envie de la main de Paul sur mon corps, mais il n’est pas là.
–Oui, continu, j’aime ta main.
Je continu ma masturbation jusqu’à ce qu’il éjacule sur son ventre. Je vais prendre de l’essuie-tout dans la salle de bain pour l’essuyer.
–Ça va ?–Très bien petite sœur, très très bien, merci.–Il n’y a vraiment pas de quoi.–Si si, je t’assure, c’était très fort, plus fort que d’habitude.
–Comment ça plus fort que d’habitude ?–Oui, plus fort que quand c’est Sophie qui me le fait.–Ça va, tais-toi, je ne veux plus entendre de connerie.–Ok–Tu vas dormir maintenant ?–Oui, si tu me fais une bise comme quand on était petit.
Quand on était petit nous avions l’habitude de déposer un baiser rapide sur les lèvres, c’était notre bise.
–On a plus six ans.–Non, mais j’aimerais bien qu’on fasse comme avant.
Je me penche sur lui et dépose un baiser rapide sur sa bouche. Je frissonne. Que m’arrive-t-il ? Michel me regarde, il sourit.
–Tu as eu un frisson, serait-ce que je ne te laisse pas indifférent ?–C’est à cause de ce qui vient de se passer, je crois que je deviens folle.–De sexe, mais tu l’as toujours été.–Tais toi.
Je vais me coucher dans le lit d’appoint vraiment très peu confortable. Je n’arrive pas à m’endormir, tout tourne dans ma tête, je suis excitée, en posant ma main sur mon sexe, j’ai bien senti qu’il était plus qu’humide. Tout mon corps demande à être soulagé. Je ne peux résister, j’enlève le drap, écarte les cuisses et me titille le clitoris jusqu’à la jouissance. Mon corps est soulevé par une énorme vague de plaisir puis se détend petit à petit. Mais toutes mes pensées m’empêchent de bien dormir, sans parler de l’inconfort du lit. Je passe une nuit d’enfer pendant que Michel dort comme un loir. Au petit matin, une infirmière entre discrètement, je me lève. Elle me fait signe de la suivre hors de la chambre.
–Je voudrais vous avertir, il y a une caméra en haut du mur devant le lit.
Je blêmi.
–Devant le lit ?–Oui, mais ne vous en faites pas, ces images ne sont pas enregistrées.–Et on nous a vu ?–Seulement moi, et je dois dire que j’ai beaucoup apprécié, quand vous vous êtes penchée sur votre lit, mais surtout quand vous vous êtes fait plaisir.
Je dois devenir écarlate car elle me regarde en souriant.
–Je trouve vos fesses extraordinairement belles, votre sexe attirant tout comme vous d’ailleurs.
Je rougis encore plus.
–Bon, regardez le petit voyant sous la caméra, quand il est rouge, c’est que vous êtes filmés. C’est normal, nous devons savoir ce qui se passe dans les chambres en cas de problème.–Je le saurais.–Cette semaine, c’est moi qui suis de service de vingt-deux heures à sept heures, jusqu’à samedi en huit, ne vous en faites pas.–C’était un accident, ça ne se reproduira pas.–Ce n’est pas à moi de vous juger, je voulais simplement vous avertir, et je vous répète que j’ai beaucoup apprécié ce que j’ai vu, et surtout la courbe de vos fesses, maintenant, je rêve de voir l’ensemble de visu.–Vous êtes folle !!–Non, j’aime les femmes, surtout les belles femmes comme vous.
Je la regarde un peu plus sérieusement, c’est une femme dans les vingt-cinq ans, magnifique, superbement foutue qui dégage une puissante sensualité. Le genre de femme qui, depuis quelques temps, ne me laisse pas indifférente. Je ne suis pas lesbienne, du moins, je ne le pense pas, mais depuis que je connais Sophie, j’ai, de temps en temps, des pensées homosexuelles quand je suis avec elle. Je me verrais bien faire l’amour avec elle, mais je sais que ce n’est pas du tout quelque chose qu’elle pourrait envisager de faire, il n’y a qu’à entendre ses propos sur les lesbiennes. Il n’empêche que j’aimerais bien avoir une expérience sexuelle avec une femme, juste pour savoir où j’en suis par rapport aux femmes. Je regarde l’infirmière, il n’y a personne dans le couloir, et sans que je le réalise vraiment, je recule d’un pas et soulève mon tee-shirt jusqu’au-dessus des seins et fais un tour sur moi-même, dévoilant tout mon corps au grand jour.
–Magnifique, tu es magnifique, à ce soir.
Je lâche mon tee-shirt et la regarde s’éloigner un peu troublée. J’entre dans la chambre de Michel, il dort toujours. Je fais une rapide toilette et m’habille. Quand je sors de la salle de bain, Michel est réveillé.
–Bonjour sœurette.–Bonjour Michel.–Tu est déjà habillée ?–Oui, je dois faire des courses, de toute manière ça va être l’heure de tes soins.
Je sors de la chambre et me dirige vers la sortie de l’hôpital, dans le hall, je tombe sur l’infirmière qui a fini son service de nuit.
–Tu as laissé ton frère ?–Oui, je vais faire des courses et c’est l’heure de ses soins, je ne veux pas être là, je reviens dans deux ou trois heures.–Tu as le temps de prendre un café avec moi ?–Ok, tu as un endroit ?–Oui, chez moi.
Je la regarde, c’est ce que j’appelle du « rentre dedans », après ce qui s’est passé tout à l’heure, il n’y a aucun doute sur ce qu’elle veut. Mais elle est très attirante, et j’ai envie depuis un certain temps de savoir comment ça se passe entre femme.
–Ok, tu habites loin ?–Juste un quart d’heure en bus.–Prenons ma voiture.–Ok, tu es où ?–Suis moi.
Nous allons prendre ma voiture, elle me guide et cinq minutes plus tard, nous sommes devant son immeuble. Nous entrons dans l’ascenseur, elle appui sur le bouton du sixième étage, se retourne et me plaque contre la glace pour m’embrasser fougueusement. Je suis surprise par la franchise de l’attaque, je ne l’attendais pas si tôt. Toutefois, je réponds à son baiser et nos langues font connaissance dans une dance endiablée. Quand nous arrivons au sixième, elle me libère et ouvre la porte. Je la suis un peu comme un automate, je suis complètement retournée par son baiser, je me rends compte que j’en ai tiré un plaisir intense. Elle ouvre et me fait entrer. A peine dans le couloir, elle se jette de nouveau sur moi pour un nouveau baiser qui dure, dure. A bout de souffle, je me détache d’elle, elle me regarde tendrement.
–Je savais que tu aimerais.–Je voulais savoir.–Viens.
Nous allons dans sa chambre, une fois dedans, elle s’immobilise et me fait face. Je la regarde dans les yeux.
–Comment tu t’appelles ?–Julie et toi ?–Michelle.–Laisse-toi faire Michelle.
Elle me fait tourner sur le côté et descend le zip de ma jupe, déboutonne la ceinture et la laisse tomber à terre. Elle me remet en face d’elle, déboutonne mon corsage et me l’enlève. Je suis en string devant elle, les seins pointés sur elle.
–Magnifique, tu es vraiment magnifique, à toi maintenant.…/…
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