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Ma julie

Chapitre 4

Lesbienne
Nous nous positionnons de manière à ce que nos jambes se croisent et avançons jusqu’à ce que nos sexes se touchent et s’entremêlent. Nous ondulons lentement des fesses, nos sexes se frottent, se caressent, s’excitent mutuellement. Je sens mon clitoris frotter contre le haut de sa cuisse, comme je sens son clitoris frotter sur le haut de ma cuisse. Il ne nous faut pas beaucoup de temps pour jouir ensemble. C’est un plaisir intense, mais il n’atteint pas les sommets sur lesquels j’ai plané tout à l’heure. Nous finissons par nous lever, mais comme nous dégoulinons toutes les deux de cyprine, nous retournons prendre une douche. Cette fois, nous restons sages, il faut que je retourne voir Michel, il doit commencer à s’impatienter. Je vais enfiler mon string, mais je m’aperçois qu’il est vraiment un peu trop souillé. Je décide de ne rien mettre sous ma jupe, la jugeant assez longue pour pouvoir me passer de sous-vêtement. Mon téléphone sonne, je décroche, c’est Michel.
–Oui ?–Sœurette, ce n’est pas la peine de te presser, Sophie arrive dans cinq minutes, tu peux venir que vers quinze-seize heures ?–Tu es gonflé, quand tu es seul, je ne dois pas te quitter, mais quand Sophie est là, je ne compte plus.–Mais non sœurette, simplement j’aimerais rester un moment avec elle pour discuter un peu.–Ok, je comprends, j’arrive vers seize heures, les parents sont passés ?–Oui, maman est passée, elle est furieuse.–Et ça t’étonne ?–Bon, ça va, à plus.
Je raccroche, je dois avoir un drôle d’air car Julie vient vers moi et me prend dans ses bras.
–Que se passe-t-il ma chérie ?–Oh, une bonne nouvelle, Sophie vient voir Michel, il espère que ça va s’arranger avec elle, il me demande de venir plus tard, vers seize heures.–Super, tu vas pouvoir rester encore, viens t’allonger sur le lit, je vais m’occuper de toi.
Je m’allonge sur le dos, elle s’allonge à côté de moi. Nous nous enlaçons et nous caressons pendant un long moment. Je découvre l’amour saphique et j’en tire un immense plaisir. Je ne pensais pas que mon corps pouvait être à ce point comblé simplement avec les mains d’une femme sur lui. Mais le temps passe, il faut que je retourne à l’hôpital.
–Tu m’as dit que ta belle-sœur était avec ton frère ?–Oui, elle doit être là, mais je ne sais pas si elle est restée, ça dépend de ce qu’ils se sont dit.–Attends-moi, je me change et j’arrive.–Ne t’en fais pas, je ne suis pas très pressée.
J’enfile ma jupe, sans rien dessous, mon corsage et vais m’assoir sur le divan pour l’attendre. Une fois sa douche prise, elle s’habille et nous allons à l’hôpital dans ma voiture. Quand j’entre dans la chambre de Michel, Sophie est pratiquement couchée sur lui et l’embrasse passionnément.

–Je vois que tout va pour le mieux.
Elle se redresse brusquement et vient m’embrasser.
–Oui, je dois dire que je m’étais un peu emporté.–Non, tu as eu la bonne réaction, ce petit con ne sait plus ce qu’il fait quand il a un volant entre les mains.–Ça va sœurette, tu ne vas pas recommencer ?–Jusqu’à ce que tu comprennes.
Je vais lui faire une bise et je m’assoie sur le fauteuil d’accompagnement. Sophie se penche sur Michel pour l’embrasser de nouveau, se faisant, sa robe courte monte un peu et dévoile le bas de ses fesses. Pas de trace de culotte, soit elle porte un mini string, soit elle n’a rien du tout, il faut que je m’en assure. Je me lève et vais vers mon lit qui est juste sous elle. En me penchant, je vois bien ses fesses bien rondes, mais aucune trace de tissus entre elles, elle est nue sous sa robe. Cela me dégage certaines perspectives, je ne m’imaginais pas qu’elle puise faire ça. Je sors de la pièce pour rejoindre Sophie dans le hall, elle n’a pas encore pris son service.
–Elle est à poil sous sa robe.–C’est un bon point, elle reste jusqu’à quand ?–Elle repart dans un quart d’heure je crois, elle doit rejoindre ses parents pour faire des courses–Ok, je passe dans dix minutes, comme ça, je repartirais avec elle.
Je vais rejoindre Michel dans sa chambre, Sophie est toujours debout à côté de son lit, mais quand je rentre, elle rabat prestement sa robe sur elle.
–Et bien mon cher frère, tu as aimé le spectacle ?
Sophie est rouge comme une pivoine, elle évite mon regard. Je vais vers elle pour déposer une bise sur sa joue. Je remarque tout de même que ses seins pointent outrageusement sous le fin tissu de sa robe.
–Ne t’en fais pas, il lui faut bien un peu de réconfort.
Je vérifie que la caméra ne filme pas, je me mets derrière elle, passe mes mains devant et lui écarte les pans de sa robe. Elle ne bouge pas, je la sens même reculer un peu et se coller à moi.
–Petite sœur, tu sais toujours ce qui peut me faire plaisir.–Oui, mais maintenant, il faut que Sophie rejoigne ses parents dans un petit quart d’heure.
Je libère Sophie et vais m’assoir dans le fauteuil. Elle reste avec sa robe ouverte devant Michel, je peux une nouvelle fois vérifier la beauté de cette fille. Jolie, belle poitrine ronde, longs cheveux blonds coiffés en tresse, ventre plat et pubis bien bombé et glabre. Sophie regarde sa montre et referme sa robe. Quelques instants plus tard, on frappe à la porte de la chambre qui s’ouvre instantanément sur Julie.
–Bonjour, je viens vérifier si tout est en ordre.–Ok, je dois partir.
Julie fait un rapide tour d’horizon et suit Sophie qui s’en va. Nous restons seuls tous les deux. Il est bientôt dix-huit heures trente, et le repas va être servi. Nous discutons un peu, mais je sens que Michel n’est pas dans la conversation, il pense à autre chose. Le repas de Michel arrive, l’aide-soignante le fait manger. J’en profite pour aller chercher quelque chose pour moi et Michel qui ne va pratiquement rien manger du repas. Dans le hall, je tombe sur Julie qui m’attendais.
–Je peux te dire que cette fille est prête.–Prête pour quoi ?–Pour l’amour saphique, nous avons discuté un peu, et je peux t’affirmer qu’elle n’est pas du tout contre l’amour entre fille.–Comment tu le sais ?–Parce que je lui ai demandé.–A bon, mais comment ?–Je lui ai carrément dit qu’elle me plaisait et que j’aimerais bien la connaitre un peu mieux. Après un moment de stupeur, elle s’est arrêtée et nous avons discuté. Elle m’a dit qu’elle aimerait bien connaitre l’amour saphique, mais qu’elle n’avait jamais rencontré quelqu’un pour la guider. Tu penses bien que je me suis proposé. Quand je lui ai dit que la fille qui était avec elle dans la chambre me plaisait aussi beaucoup, elle m’a répondu qu’elle ne la laissait pas indifférente.–C’est vrai ?–Oui, tu lui plais beaucoup, mais elle n’ose pas te le dire.–Ça alors.–Je la vois demain vers quatorze heures chez moi. Je lui ai même dit que je pourrais ne pas être seule, mais ça n’a pas eu l’air de la déranger outre mesure. Tu pourras venir ?–Je ne manquerais ça pour rien au monde.–Ok, à demain si on ne se voit pas d’ici là, je serais derrière l’écran vers vingt-trois heures.–Ok, mais ne te fais pas trop d’illusions, à demain.–L’espoir fait vivre.
Je retourne à la chambre après avoir acheté ce qu’il faut pour nous deux. L’infirmière est partie, Michel est un peu énervé.
–Que t’arrive-t-il ?–Juste que Sophie ne pouvait pas rester, j’ai tellement envie qu’elle reste avec moi.–Tu veux qu’elle me remplace ?–Oui, au moins une nuit sur deux, j’ai bien vu que tu n’avais pas très bien dormi cette nuit, je ne veux pas t’imposer ça toutes les nuits.–On verra pour demain soir.
Je lui fais manger ce que j’ai acheté et je mange à mon tour. Nous nous installons pour regarder la télé. Vers onze heures, je vois le voyant de la caméra s’allumer. Je fais un signe discret de la main. Le voyant s’éteint et se rallume. Elle est là. Nous regardons la télé, dans ma tête tout se bouscule, comment je vais faire si Michel me demande de le faire pisser. Le faire devant la caméra, c’est de l’exhibition, et rien que d’y penser, je suis excitée. Je ne me connaissais pas ce côté exhibitionniste. D’un autre côté, je ne peux pas nier que de l’avoir masturbé hier m’a beaucoup excité, au point qu’il a fallu que je me masturbe. Je suis dans mes pensées à regarder la télé sans même assimiler les images. Je me lève et vais prendre mon tee-shirt de nuit. J’enlève mon corsage et ma jupe dans la chambre. Je sais qu’elle me regarde, je le fais ici pour elle. J’enfile mon tee-shirt en allant m’assoir.
–Oh la petite sœur, tu pourrais aller te changer dans la salle de bain.–Parce que ça te dérange de me voir nue ?–Pas le moins du monde, mais j’ai remarqué que tu n’avais pas de culotte.–Je n’avais pas envie d’en mettre. –Pourtant ce matin tu avais un string, je l’ai vu.–Mêle toi de tes affaires.–Pipi.–Tu veux pisser ?–Oui sœurette.–Et évidemment, c’est moi qui suis de corvée.–Evidement.
Je reste sur mon fauteuil un petit instant, mais je fini par me lever et enlever le drap. Le voyant rouge est allumé. Je prends le sexe de mon frère à pleine main et le guide dans l’urinoir. Je le serre un peu et le sens gonfler doucement.
–Tu me fais autant d’effet petite sœur.–Tais-toi.
Il a fini de pisser, je pose son sexe sur son ventre, et vais vider et nettoyer l’urinoir dans la salle de bain. Quand je reviens vers lui, son sexe est bien raide, il n’a pourtant rien pu faire pour le raidir. …/…
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