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Ma julie

Chapitre 6

Lesbienne
Le lendemain matin, je suis réveillée par une main entre mes cuisses. C’est Julie qui est là et qui me fait signe de la suivre. Je regarde le voyant, il est éteint. Michel dort toujours, je me demande comment il fait pour dormir avec ses membres suspendus à des fils. Je suis Julie dans le couloir après avoir enfilé mon tee-shirt.
–Tu vois, tu l’as fait.–Oui, et j’y ai pris plus de plaisir qu’avec Paul, je crois que je suis une super vicieuse.–Tant mieux, j’adore les vicieuses, mais j’ai cru comprendre que ton frère est au courant pour la caméra.–Oui, et depuis le début, il l’a tout de suite repéré quand on l’a amené dans la chambre.–Donc, il savait tout depuis le début, lui aussi c’est un vicieux.–Comme tu dis.–Tu vas bien, tu as une petite mine.–J’ai gambergé une bonne partie de la nuit, je ne sais plus à quelle catégorie de femme j’appartiens.–Tu te pose des questions sur ta sexualité ?–Oui.–Mais ma chérie, tu es bi, bisexuelle, tu aimes beaucoup les femmes, mais tu aimes aussi les hommes, tu es comme moi, et tu verras que ça se vit très bien à condition de l’accepter.–Tu as peut-être raison.–Bon, je te laisse, il faut que je rente, à tout à l’heure quatorze heures ?–J’y serais.
Je retourne dans la chambre et vais prendre une douche. J’entends la porte s’ouvrir, c’est une infirmière qui vient pour les soins. J’enfile mon tee-shirt et sors de la salle de bain. Elle est grande et très jolie, de longs cheveux noirs, une poitrine haute, une très belle silhouette, assez sombre de peau, certainement d’origine magrébine. Elle écarte le drap de Michel.
–Oh la vache.
Je vois ce qui l’a surprise, c’est le sexe de Michel en pleine forme, il dépasse son nombril et se dresse de temps en temps. L’infirmière regarde Michel qui lui sourit.
–J’ai envie de faire pipi.–Ok.

L’infirmière se saisi de sa bite à pleine main et le positionne sur l’urinoir. Je vois ses doigts bouger, elle tâte la bête. Michel la regarde avec un sourire en coin, l’air de lui dire « pas cap ! ». Elle ne bronche pas et me regarde en souriant.
–Il s’imagine que c’est ma première que je vois un homme dans cet état ?
Michel se renfrogne et finit de pisser. Elle sort un mouchoir en papier pour lui essuyer la goutte qui perle encore au bout de son gland qu’elle dégage en reculant la peau du prépuce. Il est toujours raide comme un bout de bois. Elle le lâche, mais sa bite ne touche pas son ventre, elle reste à un ou deux centimètres au-dessus. Elle le regarde avec un air narquois.
–Ça va mieux ?–Oui, merci.
Michel est blanc, je ne sais si c’est de rage, mais il fait un peu la tête. L’infirmière lui prodigue ses soins pendant que je termine ma toilette. Quand je sors de la salle de bain, elle le recouvre, j’ai juste le temps de voir qu’il bande toujours. Elle se dirige vers la porte, et au moment de l’ouvrir se retourne vers lui.
–Je peux dire que monsieur a de la constance, j’envie madame.–Ne vous méprenez pas, je ne suis que sa sœur.–Veuillez m’excuser.
Elle sort en souriant. Cinq minutes plus tard, arrive Manon. Personne ne l’attendait, elle était partie en vacances à Agde. Comme moi, elle ne peut retenir son rire en le voyant.
–Alors, il parait que Fangio a eu un problème, tu nous refais Monza cinquante-deux ?–Ça va, il y a assez de Michelle pour me chambrer.
Après m’avoir fait deux bises, elle se penche sur lui pour l’embrasser, sa jupe courte dégage ses jambes, mes yeux sont attirés par ces magnifiques cuisses et la naissance de ses fesses. Ce n’est pas la première fois que je vois ses cuisses, nous faisons du naturisme ensemble et je connais son magnifique corps par cœur, mais après mon expérience, je la vois autrement, comme une possible partenaire. Je la regarde dans cette jupe plissée assez courte et ce débardeur échancré sur ses seins nus, elle est très appétissante et mon corps réagit. Je réalise que ces deux jours ont complètement transformés ma vision de l’amour, ou plutôt du sexe. Les femmes m’attirent car maintenant je sais que je peux en tirer un plaisir plus intense qu’avec un homme, mais j’ai toujours envie des hommes, Julie a raison, je suis bi, et j’aime ça.
–Tu comptes rester longtemps ici Manon ?–Au moins jusqu’en début d’après-midi, je veux rester un peu avec mon petit frère chéri.–Ok, je vais vous laisser, il faut que j’aille à la maison pour me changer et faire des courses, je reviens vers les dix-sept heures, ça vous va ?–Très bien, à tout à l’heure.
Je les quitte et retourne chez nous. Je prends un bon bain, et me change. Vers onze heures, je téléphone à Julie qui me demande de venir tout de suite, elle a très envie de me voir. J’enfile une jupe moulante mi-cuisse et un Marcel, le tout à même la peau, rien d’autre. Je me sens toute drôle nue sous cette fine pellicule de tissu. J’arrive chez Julie un peu avant midi. Elle m’accueille en m’embrassant goulument, juste couverte d’un tee-shirt. Ses mains se promènent sur mon corps, elles font remonter mon Marcel jusqu’à mes épaules et finissent par le faire passer par-dessus ma tête. La jupe ne tarde pas à se trouver à côté, sur le sol. Son tee-shirt finit lui aussi à terre. Nous allons dans sa chambre sans même nous consulter, nous savons que nous sommes là pour ça.
Je m’allonge sur son lit, elle vient sur moi et se colle à ma peau. Nous sommes peau contre peau, seins contre seins, pubis contre pubis. Nos bouches se joignent pour un long baiser. Je sens mon sexe s’humidifier de plus en plus. J’aime cette sensation, je suis bien et je voudrais que ça ne s’arrête pas. Au bout d’une demi-heure de caresses nous décidons de déjeuner avant l’arrivée de Sophie. Nous déjeunons et prenons une douche. Nous avons à peine enfilé nos fringues que la sonnette de l’entrée retentie. Julie va à l’interphone et ouvre la porte du porche.
–C’est au sixième.–Ok.–Sophie est là dans deux minutes.
Deux minutes plus tard, elle est à la porte. Quand Julie ouvre, je vois les yeux de Sophie s’ouvrir.
–Tu es là ?–Et oui, ta belle-sœur est là, j’espère que ça ne te dérange pas ?–Non, enfin je crois, non, bien sûr que non.
Elle entre dans le salon, elle porte une robe moulante mi-cuisse et décolleté en V. Il est évident qu’elle ne porte rien dessous, je crois que je vais lui sauter dessus et me jeter sur son sexe et ses seins. Julie remarque mon trouble.
–Elle est belle n’est-ce-pas ?
Sophie rougit, elle me regarde en souriant.
–Je ne savais pas que tu aimais les femmes.–Moi non plus jusqu’à hier.
Elle regarde Julie.
–C’est toi ?–Oui, je suis la grande diablesse qui a converti ta belle-sœur au saphisme, et je compte bien faire la même chose avec toi. Laisse-moi faire.
Julie se rapproche d’elle, la fait tourner et fait descendre le zip de sa robe jusqu’à la taille.
–Je peux.–Oui.
Elle fait glisser la robe à terre, Sophie apparait dans toute sa beauté.
–Reste dans cette position.
Elle se déshabille et me fait signe d’en faire autant. Quand nous sommes nues, elle fait pivoter Sophie. Elle nous regarde, surtout Julie car elle m’a déjà vu nue très souvent. Julie pose ses mains sur ses seins, elle ferme les yeux. Je passe derrière elle et je fais descendre mes mains le long de son dos pour finir sur ses fesses.
–Suis moi.
Julie la prend par la main et l’entraine vers sa chambre. Je les suis. Elle la fait allonger sur le lit et vient s’allonger à côté d’elle, je m’allonge de l’autre côté. Sophie garde les yeux fermés, sa respiration est lente et régulière, elle attend. Je lui caresse les seins, ils réagissent instantanément. Julie lui caresse le ventre et descend vers son pubis. Mes mains se promènent sur ses seins et son ventre, celles de Julie sur son ventre et ses cuisses. Elle respire toujours calmement. Et puis, elle ouvre un peu ses cuisses. Julie glisse une main entre elles et remonte vers son sexe. Ses cuisses s’ouvrent un peu plus.
La main de Julie arrive sur ses lèvres, mais contournent la vulve pour remonter sur son pubis. Son ventre commence à bouger. Soudain, je sens une main sur mon sein gauche. Elle me caresse le sein gauche puis le droit pour passer sur mon dos et m’attirer à elle. Nos bouches entrent en contact et nos langues font connaissance. Son baiser et long et profond, je lui réponds avec passion en laissant ma main se promener sur son corps. Son ventre bouge de plus en plus, ma main ne rencontre aucun obstacle jusqu’à ce qu’elle arrive sur son pubis ou elle rencontre des cheveux. Quand je me redresse, je vois la tête de Julie entre ses cuisses, elle lui broute le minou. Sophie est de plus en plus excitée, son bas-ventre ondule sous les caresses de Julie. Je lui embrasse les seins en les mordillant un peu. Elle ne peut résister plus et explose dans un terrible orgasme.
–AAAAAAAAAHHHHHHHHH ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Elle est secouée de spasmes, sa tête va de gauche à droite, ses yeux sont grands ouverts. Je la caresse sur tout le corps jusqu’à ce qu’elle reprenne ses esprits.
–Oh mon dieu, c’était merveilleux.–Ne mêlons pas dieu à nos turpitudes, mais je crois que quelqu’un veut aussi goûter ton nectar, d’accord ?–Volontiers, c’était trop bon.…/…
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