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Ma julie

Chapitre 7

Inceste
Julie s’écarte et je prends sa place. Je m’approche de cette corole rose grande ouverte et y pose mes lèvres. Ma langue s’active sur ses lèvres en les léchant de bas en haut. Elle ouvre ses cuisses de plus en plus, libérant jusqu’à son anus. Je donne des petits coups de langue sur son clitoris, mais sans insister, je redescends vers sa vulve, aspire ses lèvres, plante ma langue dans son vagin, remonte vers le pubis, titille le clitoris pour redescendre vers son anus que je titille.
–Oh oui, oui.
J’insiste un peu sur l’anus, mais j’ai envie de la sentir jouir sous ma langue. Je remonte vers son clitoris. Je vois Julie qui embrasse ses seins. Quand je suis sur le clitoris, je l’aspire avec mes lèvres, son corps se cabre, elle explose de nouveau.
–AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Je ne la libère que quand je sens qu’elle se laisse aller sur le lit. Je lèche et embrasse son sexe, je ne veux pas laisser une seule goutte de son nectar d’amour.
–Oh lala, quel pied, vous êtes des déesses de l’amour saphique.–Merci ma chérie, mais tu as un corps qui répond comme un Stradivarius, c’est un plaisir de jouer avec.
Je dois dire que je suis passablement excitée par ce qui vient de se passer et que je sens mes cuisses bien mouillées. Sophie m’attire sur elle, nos peaux sont collées par sa sueur, elle m’embrasse puis m’allonge à côté d’elle. Sa main parcoure mon corps.
–J’en avais envie depuis si longtemps.–Moi aussi.–Laisse-moi te goûter.–Volontiers.
Elle se positionne entre mes cuisses grandes ouvertes. Sa tête descend doucement vers mon sexe, j’ai l’impression qu’elle s’enivre de mes effluves. Sa langue se pose sur mes lèvres puis s’enfonce entre elles. Ses lèvres m’aspirent mon nectar puis remontent vers mon clitoris. Sa bouche virevolte de mon clitoris à mon anus en passant par ma vulve. Je sens le plaisir monter, je me laisse aller et explose rapidement. Sophie se redresse et quitte mes cuisses. Je reste sur le dos, mais en me tournant, je la vois entre les cuisses de Julie qui ne met pas beaucoup plus de temps que moi à exploser elle aussi.
Nous avons fait l’amour toutes les trois jusqu’à seize heures trente, ce n’était que soupir et cris de plaisir. Il fallait que je retourne à l’hôpital pour libérer Manon et que Julie reprenne son service. Sophie a voulu nous accompagner. Arrivées à l’hôpital, je vais avec Sophie dans la chambre de Michel et Julie rejoint son service. Elle me glisse à l’oreille.
–A tout à l’heure sur l’écran.
–Peut-être.
Michel est très heureux de nous voir arriver. Manon est assise sur le fauteuil, elle nous regarde un moment, se lève, nous embrasse tous et s’en va, elle a un rendez-vous et ne peut rester. Nous discutons jusqu’à ce qu’une aide-soignante lui amène son repas. Nous allons acheter quelque chose avec Sophie.
–J’ai vécu un superbe moment avec vous tout à l’heure, jamais je n’ai joui comme ça, j’espère qu’on recommencera.–Ne t’en fais pas, on recommencera toutes les trois, et même que nous deux si tu veux.–Bien sûr, j’ai flashé sur toi dès que je t’ai vu, mais je n’osais pas entreprendre quelque chose avec toi, je craignais ta réaction.–C’est exactement la même chose pour moi, tu m’as tout de suite plu, mais, moi aussi, je craignais ta réaction.–On est quand même un peu conne, mais on va se rattraper.–Compte sur moi.
Nous achetons de quoi manger et retournons dans la chambre de Michel. L’aide-soignante l’a fait manger, elle range le plateau.
–S’il vous plait, j’ai envie de faire pipi.–J’arrive.
Elle pose le plateau prend l’urinoir et lui retire son drap. Sans hésiter, elle se saisi de sa bite molle à pleine main et la dirige vers le col de l’urinoir.
–Monsieur n’est pas en forme ?
Quand il a fini de pisser, elle l’essuie, le recouvre, reprend le plateau et se dirige vers la porte.
–Bonne nuit monsieur, mesdemoiselles.
Elle sort sans un sourire.
–Elle est vexée, je ne bandais pas.
Nous rigolons un bon coup, mais Sophie ne peut pas rester très longtemps, elle doit nous quitter au bout d’une demi-heure.
–Michelle, tu peux m’aider à refaire ma tresse ?–Bien sûr, viens avec moi dans la salle de bain, j’ai ce qu’il faut.
Nous allons toutes les deux dans la salle de bain, elle n’attend pas que la porte soit complètement fermée pour me sauter dessus et m’embrasser. Nos mains parcourent le corps de l’autre en passant sous le tissu de nos vêtements.
–Putain, j’en avais tellement envie.–Moi aussi.
Je m’accroupie devant elle, remonte un peu sa robe et plonge ma bouche sur son sexe. Elle ne met pas très longtemps à jouir en silence. Quand je me redresse, Michel nous appelle.
–Vous pouvez faire ça ici les filles.–Ok, on arrive.
Je défais rapidement la tresse de Sophie et nous sortons de la salle de bain. Sophie s’assoie sur la chaise et je commence à lui refaire sa tresse.
–Vous ne vous occupiez que de la tresse ?–Qu’est-ce que tu veux dire ?–Ne me prenez pas pour un débile mental, vous vous êtes vu arriver toutes les deux ?–Comment ça ?–Il est évident qu’il s’est passé quelque chose entre vous, il n’y a qu’à voir votre air serein.–Tu es psycho maintenant ?–Allez, dites-moi.
Nous nous regardons et finissons par lui dire ce qui s’est passé cet après-midi. J’ai peur que Michel ne parle de nous, mais il ne dit rien. Je me remets derrière Sophie pour lui refaire sa tresse, ses mains passent derrière elle et viennent me caresser les jambes et les fesses. Michel nous regarde très intéressé, il doit échafauder des plans plus ou moins honnêtes. Sophie finit par partir vers dix-huit heures trente, juste au moment où l’aide-soignante amène le repas de Michel. Je la suis pour acheter de quoi manger. Sophie m’a attendu.
–Qu’est-ce que tu fais demain ?–Je rentre à la maison vers huit heures, mes parents partent travailler à neuf heures. Je compte me détendre, cette nuit va être pénible, je dors mal dans ce lit.–Michel m’a demandé de rester demain soir, je te remplacerais.–Ok, merci.–Je peux passer demain vers neuf-heures et demi ?–Pour quoi faire ?–Devine.–Ok chérie, je t’attendrais, mais je serais surement dans mon bain, tu sonnes et tu entres, tu sais où est la salle de bain.–Ok, à demain, j’ai hâte.
Je la regarde partir dans sa robe moulante, je vois ses fesses bouger sous le tissu, je m’imagine les caresser, je mouille. J’achète ce qu’il faut et vais rejoindre Michel. Nous mangeons et regardons la télé jusqu’à ce que le voyant s’allume. Michel fait un signe à la caméra, le voyant clignote.
–Elle est là.–Oui–On lui fait une petite séance ?–Tu plaisante, pas ce soir.–Je suis sûr qu’elle aimerait bien qu’on s’envoie en l’air.–Tu es sûr que c’est pour elle que tu fais ça, ce n’est pas pour baiser ta petite sœur par hasard ?–Oui, un peu, mais j’aime bien me donner en spectacle et je sais que toi aussi.–Ok, donnons-lui un peu de spectacle.
Je me déshabille devant la caméra, je me positionne bien en face et ma caresse sur tout le corps, les seins, le ventre, les fesses, le pubis, j’introduis même un doigt entre mes lèvres, le voyant clignote.
–Je crois qu’elle aime.–je le pense aussi.
Le médecin a fait baisser un peu la jambe suspendue de Michel, elle est presque à l’horizontale, ça me donne une idée. Je découvre Michel, sa bite git entre ses cuisses, molle. Je m’en saisi et commence à le masturber. Quand elle commence à se durcir, je l’embouche pour lui prodigue une super fellation. Je ne cesse de regarder la caméra. Très vite, sa bite est suffisamment raide pour que je m’empale dessus. Je monte sur le lit, mais contrairement à hier, je fais face à la caméra et m’assoie juste au-dessus de sa bite. Je m’en empare, la redresse bien, me positionne au-dessus et descend lentement dessus tout en ne quittant pas des yeux la caméra. Quand je suis assise sur le pubis de Michel, le voyant clignote.
–Là, je suis sûr qu’elle a bien aimé.–Moi aussi.
Je monte et descend sur ce vit bien raide sur toute sa longueur, en amenant le gland au bord des lèvres pour qu’elle puisse l’apercevoir. Je monte et descend lentement, je veux que ça dure le plus longtemps possible. Je coule de plus en plus, je sens ma cyprine couler sur son pubis lisse. Il nous faut quelques minutes pour arriver au paroxysme et jouir. Cette gymnastique m’a u peu fatigué et je me dégage et descends du lit. Je vais prendre une douche et me couche sur le lit d’appoint sans me couvrir.
–Bonne nuit petit frère.–Bonne nuit petite sœur chérie.…/…
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