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Ma julie

Chapitre 10

Inceste
–Qu’est-ce que tu fais ici, tu n’es pas à ton travail ?–Non, il y a eu un problème informatique, ils en ont pour la matinée, je ne dois y retourner que vers quatorze heures, en attendant, j’aimerais bien approfondir notre relation.–Manon, j’ai l’impression que tu ne penses qu’au cul.–Pas toi ?
Je ne dis rien et la contemple dans toute sa beauté, c’est vrai que c’est une magnifique fille et qu’elle ne me laisse pas indifférente. Elle s’approche vers moi dans une démarche chaloupée qui fait valser sa jupe courte, dévoilant une grande partie de ses jambes. Quand elle est presque contre moi, elle pose ses bras sur mes épaules et m’attire à elle. Nous échangeons un long baiser. Ses mains viennent sur mon corsage et défont les boutons. Elle me l’enlève. Elle s’accroupie lentement pour m’embrasser les seins, le torse, le ventre tout en faisant glisser le zip de ma jupe qui atterrie sur le sol. Ses lèvres arrivent au niveau de mon pubis, des doigts se saisissent de l’élastique de mon string et le font glisser vers le sol. Je frissonne au contact de ses lèvres sur ma vulve. Sa langue me titille le clitoris, ses lèvres l’aspirent, ses dents le mordillent, je me laisse aller à jouir sous ses caresses. Elle se redresse et me regarde droit dans les yeux.
–J’adore ton sexe.–J’adore que tu adore.
Nous rions, mais elle en veut plus, elle me prend par la main et m’amène dans ma chambre. Elle me pousse sur le lit ou j’atterri sur le dos, se déshabille en deux secondes et se jette sur moi. Nos corps sont collés l’un à l’autre, je sens sa peau sur la mienne, je décide d’être passive et de ne rien faire, juste savourer et jouir du moment.
Nous passons la matinée à nous aimer, Manon est insatiable, elle ne s’arrête pas, il lui en faut toujours un peu plus, la découverte de l’amour saphique l’a transformé, elle ne pense qu’à ça. Elle retourne à son travail vers treize heures trente, je reste seule, le corps détendu, repue. Maman rentre en début d’après-midi, je suis dans ma chambre, nue au bord de la baie vitrée sous le soleil qui plombe. Je ne veux pas arriver au Cap sans une amorce de bronzage. Elle se déshabille et vient s’allonger à côté de moi.
–Tu aimes les femmes ?–Oui, et je dois dire que ça devient exclusif, les hommes ne m’intéressent plus beaucoup.–C’est ton choix ma chérie, je sais ce que c’est, moi aussi j’aime les femmes, mais j’aime quand même plus les hommes.–Papa est au courant ?–Bien sûr, tu t’imagines bien qu’au Cap, nous ne passons pas nos soirées chez nos amis à enfiler des perles. Tu es très jolie et très belle ma chérie, je dirais même appétissante.–Toi aussi maman tu es appétissante.
Elle se tourne vers moi et pose sa main sur mon sein gauche. Je suis parcourue d’un frisson.
–Tu aimes ?–J’adore.

Sa main remonte sur mon cou et se promène sur mon corps, elle va des épaules aux pubis en passant par les seins et le ventre. Quand sa main passe sur mon pubis, son auriculaire s’attarde un peu sur mon clitoris. Je sens mon vagin couler de plus en plus, je me liquéfie. Maman se penche sur moi pour poser ses lèvres sur mes seins. Sa langue me titille les mamelons et fait se dresser mes tétons. Sa bouche descend lentement vers mon pubis en m’embrassant et me léchant partout. Mon ventre ondule, mon corps se tend vers le plaisir, tout mon être attend le moment sublime de l’extase. Sa langue arrive sur mon clitoris, lui donne un petit coup et descend sur ma vulve. Maman est maintenant à genou entre mes jambes, sa tête enfoncée entre mes cuisses, sa langue léchant mes lèvres intimes. Elle me lèche, me suce, m’aspire, tout ça pour finir sur mon clitoris et me faire exploser de bonheur.
–AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH
Mon corps s’arque boute et devient dur comme de l’acier. Jamais je n’ai ressenti un tel orgasme, jamais mon corps ne m’a transporté dans un tel univers de plaisir. Je ne suis plus moi, je suis la chose de maman, un instrument de plaisir dont elle joue avec une grande maîtrise. Quand elle me sent de nouveau détendue, elle remonte sur mon corps et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons notre premier baiser d’amantes. Je suis submergée par un sentiment de plénitude, je suis dans les bras de ma mère, sous son corps et sa langue s’amuse avec la mienne. Je me laisse aller, je ne peux rêver bonheur plus complet.
Elle finit par s’allonger à côté de moi, je me penche sur elle pour lui faire exactement ce qu’elle vient de ma faire. Ma langue farfouille entre ses lèvres, remonte sur le clitoris, redescend sur le périnée. je lui remonte les jambes par-dessus mes épaules, cette position m’offre un accès à son anus. Ma langue donne de petits coups sur sa rondelle.
–Oh oui, oui
J’insiste un peu et la lèche sur toute la longueur de sa raie. Elle se tortille au point de compromettre mon équilibre. Je mets ma langue en pointe et l’enfonce le plus possible.
–Dommage qu’elle ne soit pas plus longue.
Je remonte sur sa vulve, enfonce ma langue dans son vagin, remonte un peu plus Haut. Au bout de dix bonnes minutes, elle explose dans un magnifique orgasme en me plaquant la tête contre son sexe et en me serrant la cou, à la limite de m’étouffer.
–OOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHH oui ma chérie, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii
Quand elle se détend, je la redépose sur le lit et remonte le long de son corps en sueur, nos peaux glissent l’une sur l’autre, jusqu’à ce que nos seins se compressent. Je l’embrasse passionnément. Je me laisse aller sur le côté, toujours face à elle. Je regarde son visage détendu, baigné de bonheur.
–Je t’aime ma petite chérie, je t’aime tant.–Moi aussi je t’aime maman chérie, je t’aime.
Nous restons enlacées toutes les deux au soleil qui chauffe de plus en plus. Je lui passe de la crème sur tout le corps en insistant bien sur son entre jambes, ce qui la fait jouir une nouvelle fois. Elle me fait la même chose, mais en ayant au préalable passé sa langue sur mon clitoris ce qui m’a fait exploser de plaisir. Vers dix-sept heures, maman me quitte et va prendre une douche dans sa salle de bain, j’en fais autant dans la nôtre. Papa et Manon arrivent quelques instant plus tard et nous prenons tous un thé sur la terrasse, Manon s’est déshabillée pour profiter du soleil, seul papa est resté habillé, il doit se rendre à un rendez-vous. Quand il nous quitte, maman va s’allonger sur une grande serviette. Manon se penche sur moi.
–Elle est belle hein ?–Magnifique.–J’aimerais tant lui donner du plaisir comme tu m’en a donné ce matin.–Et bien, qu’attends-tu ?–Pourquoi tu me dis ça ?–Parce que nous venons de faire l’amour toutes les deux.–Toutes les deux ?–Oui, vas-y, je crois qu’elle n’attend que toi.
Manon se lève et va vers maman, elle s’allonge à côté d’elle. Maman me regarde avec un grand sourire et se penche sur sa fille. Elle pose sa main sur son ventre et la caresse doucement. Manon ferme les yeux, elle jouit du moment sans bouger. Petit à petit son bassin s’anime, la main de maman glisse sur son corps, elle passe par les seins, le nombril, le pubis, les jambes sans s’attarder sur le sexe. Le bassin de Manon est de plus en plus mobile, elle tend son corps vers cette main qu’elle sait pouvoir lui donner un immense plaisir. Bientôt la main cède la place à la bouche et la langue. Manon ne se contrôle plus.
–Oh oui, oui, ma petite maman chérie, oui, oui
La bouche parcoure le corps de Manon pour finir entre ses cuisses et remonter sur son sexe.
–Ah oui, oui
Maman la saisie par les hanches et la soulève un peu pour mieux s’emparer de son sexe. Manon ne résiste pas plus et se lâche.
–AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiii, AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Son corps est tendu comme un arc, maman se déchaîne sur ce sexe liquéfié. Je vois qu’elle la boit comme elle m’a bu, elle aime notre nectar d’amour. Petit à petit Manon se détend, maman s’allonge à côté d’elle, je m’allonge de l’autre côté. Nos mains se promènent sur ce corps moite de plaisir. Ma main glisse et se focalise sur ses seins ronds et très fermes, d’adorables demi-sphères. Maman s’occupe plus du bas de son corps. Je sens son corps revenir au plaisir doucement, je me penche pour embrasser et aspirer un de ses seins, la main de maman est plus sur son sexe, je devine des doigts enfoncés dans son vagin.
–Oui mes chéries, oui, je vous aime, oui, je veux encore jouir, faites-moi jouir encore.
Je lui titille les seins pendant que maman se penche sur son clitoris pour l’exciter, elle décolle immédiatement.
–AAAAAAAAAAHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oh oui, encore.
Nous nous activons toujours sur elle jusqu’à ce qu’elle se détende et retrouve son calme. Elle reste sur le dos, les yeux fermés, le visage resplendissant de bonheur, la respiration lente et régulière, elle profite au maximum de cet instant de plénitude. Maman vient vers moi pour m’embrasser. Nos langues se battent, s’amusent, s’aiment, nos mains explore le corps de l’autre. Nous finissons par nous allonger le long de Manon, l’entourons de nos bras et restons à somnoler un peu.
Manon sort la première de sa léthargie, se redresse, me fait mettre sur le côté, positionne maman à soixante degrés, la tête entre mes cuisses et les jambes légèrement ouvertes. Elle se positionne entre les cuisses de maman et me présente son sexe devant la bouche. Je comprends ce qu’elle veut faire et m’active sur son sexe pendant que maman s’active sur le mien et Manon sur celui de maman. Je glisse un doigt dans sa rondelle, je vois qu’elle en fait autant à maman qui à son tour m’introduit deux doigts dans la rondelle après les avoir lubrifiés dans mon vagin. C’est une première pour moi, j’apprécie beaucoup, je donne un petit coup de rein pour lui faire comprendre qu’elle peut aller un peu plus loin. Je pars la première dans un magnifique orgasme, suivie par maman et Manon. Nous mettons un certain temps à revenir sur terre, en restant dans la même position. J’ai la vulve de maman sur la bouche, son odeur m’enivre et je donne de temps en temps des coups de langue. Manon m’en fait autant, en plus elle m’aspire le clitoris ce qui me fait partir de nouveau au septième siècle. Nous finissons par nous remettre côte à côte enlacées.
–Je vous aime mes chéries, je vous aime tant.–Nous aussi maman.
L’envie de manger nous fait lever et reprendre une vie normale.
Je ne suis retourné voir Michel que trois fois avant qu’il ne sorte de l’hôpital, je lui ai expliqué la nouvelle situation, il a eu du mal à accepter, il aurait bien aimé que je fasse une exception pour lui, mais je lui ai fait comprendre que c’était comme ça et point final. J’ai rompu avec Paul, je ne pouvais plus envisager de faire l’amour avec lui.
Je passais toutes mes après-midis avec Julie quand elle était de nuit, et les nuits quand elle était de jour. Nous sommes parties avec Aïcha passer nos vacances à Agde. Nous ne nous sommes pratiquement pas quittées, ça a été un mois de plaisir intense. Au retour des vacances, je suis allé m’installer chez Julie. Nous filons le parfait amour, mais sans exclusivité, nous sommes disponibles pour d’autres rencontres. Toujours avec des femmes et en particulier Manon Aïcha et maman pour moi, que je partage volontiers avec Julie. Maman a fait la connaissance de Julie et Aïcha, nous nous voyons très souvent, nous formons une joyeuse bande de cinq filles folles de sexe. Julie aime bien jouer avec un homme de temps en temps, Jamais chez nous, je la laisse faire, je comprends. Je me rattrape avec Aïcha qui s’est installée avec nous, elle fait partie de notre vie, elle se partage entre nous deux, je crois que c’est elle la plus heureuse de la situation.
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