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julie

Chapitre 5

Zoophilie
Ces souvenirs et l’attraction que m’offrait maman avec son chien me donnèrent envie de jouir, d’une main je me caressais le clito et de l’autre, je caressais mes fesses. Je l’observais, l’œil collé au trou de la serrure, de voir cette belle bite que maman suçait si bien me donnait l’envie de la recevoir non pas dans ma chatte, mais dans le cul. Peut importe que ce soit un chien, maman a raison. Mais rentrerait-elle, sa bite est si grosse et mon cul si petit, ma position accroupie me permettait après l’avoir humecté avec ma salive de me rentrer le majeur dans le cul, au risque de souffrir un peu j’introduis un deuxième doigt pour tester l’élasticité de mon anus, malgré mes deux doigts dans le cul, j’étais encore loin du compte, mais ce n’était qu’un début et j’aurais peut-être besoin d’aide. Pour l’instant, je me contentais de me chatouiller le clito en attendant que maman en finisse avec le chien.Cela faisait bien 15 minutes qu’elle le pompait, puis à un blocage du chien, elle emprisonna sa bite derrière la grosse boule et la maintient dans sa bouche, je vis ses joues se gonfler progressivement. Le chien venait de lui envoyer tout son sperme, probablement pour ne pas s’étouffer, rendant ses deux mains étanches, elle recracha une quantité impressionnante de foutre et s’installa confortablement sur le lit et dégusta ce liquide tout en gémissant, c’était dingue elle jouissait. Ecartant les jambes, le chien, bien dressé, léchait le foutre qui s’écoulait de sa chatte, pendant ce temps elle finissait de se nettoyer les mains avec sa langue, léchant chacun de ses doigts.De voir ce spectacle me provoqua une jouissance intense, pinçant mes lèvres pour ne pas hurler, tout mon foutre atterrissant dans ma main et je me mis moi aussi à lécher mes doigts, je buvais mon propre foutre.Je devais agir maintenant, prenant mon courage à deux mains, j’ouvris la porte brusquement, le chien lui léchait toujours la chatte, surprise ma mère rejeta le chien, je pris une mine étonnée et ressortit de sa chambre pour rejoindre la mienne. Quelques secondes plus tard, elle frappa à ma porte, mon plan avait fonctionné, nous entrâmes dans une longue discussion, essayant de me convaincre qu’elle n’était pas la seule à faire l’amour avec son chien, que sur internet c’était courant, je lui ai répondu que je voudrais bien voir ça. Un peut déconcertée par ma réponse mais pour appuyer sa plaidoirie, nous nous dirigeâmes vers l’ordinateur.Assise côte à côte, nous visionnons, une à une chaque image et parfois des vidéos, loin d’être écœurée j’en éprouvais un plaisir fou, ce qui n’échappa pas à ma mère et la réconforta. Machinalement, toutes deux avions mis la main sur notre chatte, je regardais ma mère se caresser et elle faisait de même.Dans une vidéo, une fille était entrain de boire le sperme d’un chien, aussitôt je lui demandais si c’était bon, ne sachant que répondre, je lui précisais qu’avant de rentrer dans sa chambre, je l’avais espionnée par le trou de la serrure et que je l’avais vue le boire. N’ayant pas d’autre choix que me répondre, elle m’avoua que depuis son plus jeune âge elle adorait le sperme et qu’avec un chien, c’était encore plus délicieux et l’avantage c’est qu’il en donne beaucoup. Comme nous étions dans les confidences, je lui répondis que nous avions les mêmes goûts, et que depuis un an, je vidais les couilles des mecs dans une cave près du lycée, précisant tout de même que j’étais encore vierge, que les mecs se contentaient uniquement de me donner leur sperme à boire. Ceux que je venais de lui dire était plutôt risqué, je pouvais très bien recevoir une paire de claques, mais elle n’en fit rien, se contentant seulement d’un léger sourire, elle me comprenait, peut-être l’a-t-elle vécu.Après ces quelques mots, j’étais soulagée, je pouvais enfin lui parler librement, elle aussi d’ailleurs, je le sentais bien, nous étions comme deux copines parlant de sexe hors normes. Nous avions toujours nos mains sur la chatte et d’une audace folle, je lui demandais si nous pouvions inter changer nos mains, je la chatouillerais pendant qu’elle ferait de même avec moi. Elle ne répondit pas mais se caressait toujours, j’approchais ma main de sa chatte et essayais de me frayer un chemin entre sa main. Ses yeux fixaient toujours l’écran qui continuait à nous distribuer des belles images zoophiles, lentement elle retira sa main pour me donner le champ libre, elle mouillait abondement, je recueillis un peu de sa mouille sur mon doigt et la portai à ma bouche, chose qui l’excita davantage, elle écarta les jambes pour m’encourager à recommencer. Mon doigt était dans sa chatte, très vite un deuxième, elle tendit le bras, posa sa main sur mon sexe et commença à le caresser, nous étions heureuses, ne quittant pas de vue les bites de chiens que nous voyons à l’écran, ma main était trempée, de nouveau ma soif me reprit et je me précipitai sous le bureau, lui écartai les jambes et commençai à avaler tout le jus qui en s’écoulait. Pour me faciliter la tâche, elle mit ses deux jambes sur les accoudoirs, ma langue pouvait ainsi la pénétrer et ramener son jus vers ma bouche, c’était divin.Elle était en plein délire, elle se concentrait sur un film vidéo, ne voyant pas le film mais le devinait car je l’entendais dire « Quelle est grosse, oui mon bon chien » à ce moment, je compris qu’il fallait que je tente quelque chose, j’introduisais deux doigts dans sa chatte puis trois, sa chatte pouvait en contenir bien plus, rapidement mon quatrième doigt et le pouce étaient dedans, à ce moment elle prit mon bras et s’empala dessus, j’avais ma main et une partie de l’avant bras dans sa chatte, je pouvais prendre son utérus dans ma main et le malaxer, comme je l’aurais fait avec une bite, j’aurais bien voulu le sucer. Elle prit mon bras et se pistonna la chatte avec, après quelques va-et-vient, elle le bloqua au font et elle prit un magnifique pied, je sentais son foutre se déverser sur mes doigts et lentement, je ressortais ma main, mes doigts en étaient couverts, une crème bien épaisse, presque blanche et un à un je léchais chaque doigt avec gourmandise, prenant soins de lui en laisser un peu, qu’elle s’empressa de faire disparaître en quelques coups de langue. Rapidement je jetais un coup d’œil sur l’écran pour savoir ce qui l’avait mis dans cet état, et je vis un dogue allemand avec une bite incroyable défoncer la chatte d’une jeune fille, pensait-elle à elle ou à moi ?Mais je n’avais toujours pas joui, elle s’allongea sur le sol et me proposa de venir m’asseoir sur sa bouche et de sa langue très habile, elle me titilla, et aspira le clito. Je lui suppliais de me mettre un doigt dans le cul, ce qu’elle fit volontiers l’ayant préalablement lubrifié avec sa mouille qui coulait toujours de sa chatte. Je me tortillais sur son doigt, m’écartant les fesses, elle comprit par cette invitation, qu’elle pouvait tenter un deuxième. Tout en me suçant le clito, ma mère avait ses deux doigts dans mon cul et pensant à la bite du chien que je voulais avoir dans le cul, je devais m’élargir le plus rapidement possible, la situation me paraissait bonne pour tester un troisième doigt et je m’introduis un doigt dans mon cul pour faire comprendre à maman ce que je recherchais. Comprenant, elle accentua son léchage de chatte pour diminuer la douleur et nous tirions chacune de chaque côté de mon anus. Ma rondelle s’habitua à ce jeu et pour mon plus grand bonheur, elle s’ouvrait d’avantage. Maman en profita pour introduire un troisième doigt, ce qui en faisait quatre avec le mien, j’y étais arrivée, les quatre doigts me paraissaient la grosseur correcte, je pouvais maintenant me concentrer sur ma jouissance et retirant mon doigt de mon cul, que maman remplaça immédiatement par l’un des siens, je m’écartais la chatte à la hauteur du clito et elle me lécha jusqu’à ma jouissance. Mon jus coulait dans sa bouche, elle retira doucement ses doigts de mon cul et me montra la bouche grande ouverte sa récolte, qu’elle ne tarda pas à avaler.A l’écran nous pouvions voir le dogue allemand déverser son sperme sur le corps de la jeune fille, vu la quantité, toutes les deux dans un réflexe, nous nous léchions les lèvres regrettant que ce bon jus ne soit pas dans notre bouche. Je ne pus m’empêcher de l’embrasser, nos langues se nouèrent dans un baiser passionné. Nous étions complices et que maintenant, nous pourrions assouvir ensemble tous nos fantasmes.
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