Elle mit le chien sur le dos, les pattes en l’air, il ne bougeait pas, il était d’une incroyable docilité, il était devenu notre objet sexuel. Elle posa sa main sur le fourreau et l’agita rapidement, je ne quittais pas la scène de vue, il fallait que sache comment sortir cette belle bite. Maman s’y prenait à merveille, je commençais à voir un petit bout rouge sortir, qu’elle se dépêcha de mettre dans sa bouche, en continuant toujours de le masturber, tirant le fourreau vers l’arrière. M’allongeant sur le sol, la tête entre ses pattes arrières, je reprenais ses couilles dans ma bouche, les yeux grands ouverts, je pouvais voir sa belle bite bien rouge grossir dans la bouche de maman, elle prenait enfin la forme que j’espérais tant, plus excitée que jamais, je lui remis la langue dans le cul, comme surprise de mon audace, ma mère me regardait faire tout en continuant son pompage de bite, malgré mon lavement de tout à l’heure, ma langue était toujours un peu salle, je la tendis à maman qu’elle s’empressa à mettre dans sa bouche, me l’aspirant avec gourmandise. Profitant que la bite du chien était libre, je me jetais dessus et quel régal, je l’avais enfin dans ma bouche, toute tremblante, je dégustais cette merveilleuse tige, m’empalant dessus au plus profond de ma gorge, maman comme une folle, s’en prenait à sa boule, ses couilles, sa langue parcourait chaque partie de son anatomie, dans la pièce, on entendait que nos bruits de succions, ayant fort apprécié le goût, elle plongea sa langue dans le cul du chien et tout en lui caressant les couilles, elle forçait son anus allant le plus loin possible, je l’entendais déglutir à chaque fois qu’elle ramenait sa langue dans sa bouche. Au bout de quelques instants, de petits jets sortirent de sa bite, la première giclée était pour ma bouche, me voyant ingurgiter, ma mère comprit et retirant sa langue, elle se précipita pour avoir sa part. Nous nous séparions ses petits jets, léchant chacune le visage de l’autre, les quelques gouttes qui pouvaient échapper à notre bouche. M’attendant à plus de sperme, elle me fit comprendre que le meilleur était à venir, mais pour l’instant le moment était venu de nous mettre sa bite dans le ventre. Elle le chevaucha, dirigea la tige vers l’entrée de sa chatte et s’assit dessus, je me baissais pour mieux voir, ses mouvements de bassin créaient sur le chien un déclenchement de rut et sa bite ainsi que sa boule ne cessaient de grossir, quel morceau, nous avions bien de la chance de posséder un tel phénomène chez nous.J’étais assez près de sa chatte pour lui pratiquer quelques coups de langue sur son clito et léchant par la même occasion son jus qui s’écoulait sur la boule du chien, trépignant d’envie, ce qui n’échappa pas à ma mère Elle se releva, libérant le sexe du chien que j’apercevais dans sa totalité, ce qui me fit pousser un cri de satisfaction, me faisant jeter sur sa bite, la prendre dans mes mains et la coller sur mon visage en lui administrant des petits baisers d’amour comme je l’aurais fait à une poupée. Ma mère se positionna derrière moi et d’un petit coup de langue sur mon anus, elle me dit « tu le veux », du regard que je lui jetais, elle comprit que, oui je le voulais, j’en avais tellement envie.Elle me demanda de reprendre la bouteille d’huile et prenant le chien dans ses bras, pour le maintenir debout, sa bite face à moi, je pouvais mieux m’apercevoir à quel point elle était disproportionnée par rapport à son corps. Me doutant bien que maman ne puisse résister longtemps à cette charge, je me précipitai sur sa bite, l’arrosant d’huile ainsi que mes fesses et me retournant, je me positionnais pour me la mettre dans le cul. Après le concombre, la bite fit son chemin, mon cul se dilatait à l’extrême, comment mes petites fesses pouvaient-elles accepter une telle bite, cela tenait du miracle, l’attrapant derrière sa boule, je me l’enfonçais en poussant des petits cris d’hystérique, de l’autre main, je me branlais le clito. Maman m’aidait en poussant des genoux le cul du chien, il n’y a pas de doute, elle voulait qu’il me défonce le cul, je pouvais l’entendre dire « ma chérie, comme tu as de la chance, j’aurais tant aimé subir la même chose lorsque j’avais ton âge ».Sa bite tapait au fond maintenant, elle ne pouvait pas aller plus loin, mon excitation était telle, que j’ai joui rapidement, maman faiblissait sous la charge et à mon grand regret, je retirais sa bite mais avant qu’il se referme, avec une certaine satisfaction, je lui montrais en m’écartant les fesses, la belle ouverture qu’il m’avait faite, et que maintenant, je pourrais me faire prendre le cul par les mecs dans la cave, ce que jusqu’alors, je leurs refusais. Lâchant le chien, elle se précipita entre mes fesses et de sa langue, elle visita mon anus bien dilaté puis, avant que le chien ne le fasse lui-même, elle lui nettoya la bite, décidément, comme moi, elle avait des addictions particulières. Le chien lui, avait toujours son foutre dans les couilles, je désespérais le boire. Ma mère n’en avait pas assez, elle voulait se faire prendre d’une manière plus bestiale, chose qu’elle n’avait pas encore faite, mais pour cela, elle avait besoin que je l’aide. Se mettant à quatre pattes, me demandant de positionner le chien derrière elle et tout naturellement, il grimpa sur son dos, donnant des coups de bite au hasard, comprenant qu’il n’y arrivera pas tout seul, je pris sa bite et malicieusement, sans demander l’accord de maman, je la plaçais devant son cul. Il bandait moins et la grosseur de sa boule avait bien diminué, à mon grand étonnement, sa bite rentra avec une grande facilité, ne lui connaissant pas d’amants, elle devait, elle ainsi, s’introduire je ne sais quels objets dans le cul, surprise mais au bout d’un moment ravie, elle prit même l’initiative de se rentrer également la boule dans le cul, tant que sa grosseur pouvait le permettre. Elle subissait ses coups de boutoir, il lui défonçait le cul à une vitesse dingue, je savais ce qu’elle devait ressentir, ne m’a t’il pas aussi visité le cul, mais à la seule différence, qu’en plus de sa bite, il y avait sa boule et ayant vu sa grosseur en action, je ne pouvais pas m’empêcher de penser, quelle salope pouvait être ma mère, elle une femme de grande classe et si belle, que tant d’hommes devaient en rêver, avait de tels vices, cette femme, ne pouvait qu’enfanter une fille comme moi. Hurlant de plaisir, elle était complètement dominée par le chien, elle était devenue sa chienne, quel changement de situation, il était son maître, chaque coup de bite était d’une force inouï, elle le voulait tout au fond, s’obligeant à se caler à l’aide des genoux et des mains, j’étais fascinée par le spectacle. Puis le chien s’arrêta brusquement, d’entendre les soupirs de maman, je compris que le chien lui arrosait l’intérieur du cul avec son jus. Après quelques moments d’attente, le chien ressortit et m’allongeant sur le sol et d’un geste de la main, je lui fis comprendre, qu’elle devait vider son cul dans ma bouche. Elle boucha l’ouverture de son anus avec sa main et elle m’enjamba, se positionna à la hauteur de ma bouche et s’accroupit, libérant une fontaine de foutre, la quantité était-elle, que je devais ingurgiter à grande gorgée pour ne pas que ça déborde de ma bouche, car il n’était absolument pas question que j’en perde une seule goutte. Ce chien lui avait pratiqué un véritable lavement, ce doux mélange prenait refuge dans mon estomac, jamais je n’avais ressenti une telle satisfaction. Sous le regard de maman, je finissais ma beuverie en lui aspirant le cul, faisant venir en moi les dernières gouttes. Une fois fini, nous nous embrassâmes de nouveau, elle regrettait que je n’en aie pas laissé un peu dans ma bouche, mais dans ma gourmandise, je l’avais complètement oubliée. Nous reprîmes notre discussion, elle voulait tout essayer, comme si en quelques semaines, elle voulait effacer toutes ses années de frustration passées avec mon père, m’avouant qu’elle aimerait participer également à mes rendez-vous dans cette cave, et que l’on pourrait emmener le chien avec nous, que cela plaira peut être aux mecs de voir deux belles salopes s’occuper d’un animal.
