Je ne sais combien cela a duré, l’acte sexuel à proprement parler n’avait pas encore eu lieu. Plusieurs heures de pures jouissances, tactiles et buccales, c’est cela le secret pour l’atteinte du paradis jouissif. Julie n’avait jamais connue une telle puissance , une telle force de jouissance sexuelle. Mon doigt finit par lui caresser les bords internes de cette chatte déjà béante, ma langue est venue lécher son bouton, puis elle s’enroula autour de son clitoris. Moment suave, havre de paix et de bien-être. Puis, cette langue inquisitrice descendit doucement sur ce minou, léchant consciencieusement les parois externes, puis internes de ce puit d’amour, avant de forcer le passage, le plus loin possible, des caresses à n’en plus finir, elle a jouit comme une femme fontaine m’abreuvant de cyprine, me couvrant de ce jus odorant et poisseux, ce qui fut une excitation garantie pour moi aussi ! Ensuite, ce fut un missile monstrueux qui demanda à rentrer dans cette antre chaude et juteuse en abondance, mon phallus glissa assez facilement dans son intimité, mais progressant centimètre par centimètre, je voulais qu’elle prenne conscience de cette colonne de chair qui prenait progressivement possession de son ventre et de son vagin. Enfin, mon gland turgescent et violacé, s’écrasa au fond de son antre buttant contre son utérus; mais, petite aparté: "savez-vous que la profondeur d’un vagin ne dépasse pas 10 cm? Au repos bien sur, mais il est très élastique, il peut doubler sa longueur pour accueillir nos verges souvent de bonnes tailles." :)Bref, elle ne fut pas longue à jouir une énième fois, mais moi je ne l’entendais pas comme cela, je me suis mis à la pilonner comme un fou, mes couilles claquaient contre son cul, mes coups de butoir étaient puissants, lui arrachant des cris de douleurs et de plaisirs mélangés.Finalement, c’est dans des râles de jouissance intense que j’ai fini par décharger tel un porc, dans son vagin, plusieurs jets longs et puissants de foutre chaud et épais. La copulation fut l’une des plus mémorable de mon existence. Pendant plusieurs heures je lui fis subir les assauts de ma queue, étancher ma libido, pour son plus grand plaisir, elle était devenue un objet sexuel, la plus grosse salope et pute que la Terre n’ai jamais portée. Je l’ai baisé, niqué, défoncé, pendant quatre heures, non stop ! Tellement excité que ma queue ne débandée pas ou très peu... Rapidement remise en forme par ma chérie, Elsa qui pendant toute la durée de nos ébats était présente, se branlant comme une vrai gouine ( qu’elle était ), ne ratant aucune occasion de me sucer ou de téter sa mère lui donnant parfois sa "foufoune" à lécher. Ma bite rentrait et sortait parfois entièrement en replongeant d’un seul coup dans son fruit, dans un coup de rein magistral et puissant jusqu’au fond de son antre.Des cris déchirants et des soubresauts secouaient son corps, lui entrouvant les portes du Nirvana... La conclusion fut de pratiquer une sodomie tout aussi jouissive, je l’ai laissé là, sans plus aucune réaction, elle était belle avec son sourire, repue, épuisée, perdue dans une brume de rêves et de plaisirs, elle finit par s’endormir rapidement, lovée entre mes bras, je l’ai regardé un moment avant de tomber moi aussi dans une abîme de sommeil sans fond, sommeil lourd et profond, qui va durer 12 heures non stop.
