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Julie, Maîtresse d'école

Chapitre 1

Trash
Retour au lycée Condorcet 1/3

Arielle Lalande est une jeune femme resplendissante. Dix-huit ans depuis le week-end dernier. Elle a les yeux bleus et une longue chevelure blonde ondulée. Un visage ravissant. Elle pratique un grand nombre d’activités physiques comme la natation et l’athlétisme, suscitant un intérêt tout particulier auprès des garçons de son lycée.
Comme à son habitude, Arielle se lève tôt le matin pour faire son jogging. Puis elle rentre à la maison afin de préparer ses affaires, grignoter un petit quelque chose et filer à son lycée. Arielle n’est pas native de la région. Elle vit seule avec sa mère, déménageant fréquemment à cause de son travail. Mais elle a su très vite prendre ses marques. Elle est actuellement en terminale, au lycée Condorcet. C’est un établissement très réputé. Le taux de réussite à l’examen du baccalauréat y est supérieur à beaucoup d’autres lycées français. Il a même reçu plusieurs prix pour la qualité de son enseignement.
Arielle prend le bus pour se rendre au lycée. Elle utilise la ligne numéro huit. Le trajet dure à peu près trente minutes. C’est peut-être long mais cela lui permet de prendre du bon temps avec son petit ami. Il s’appelle Eric. Lui aussi est élève au lycée Condorcet. Aujourd’hui, Arielle porte une tenue légère. Une jupe courte et un chemisier blanc. Cela semble mettre Eric dans tous ses états. Il fixe régulièrement les cuisses de sa copine, puis tente de glisser une main sous sa jupe. Arielle le repousse gentiment.
  – Lâche-toi un peu, lui souffle-t-il à l’oreille.  – Pas ici. Il y a trop de monde.
Eric n’insiste pas. Arielle se serre un peu plus contre lui, pose ses lèvres sur les siennes et lui donne un baiser pour calmer ses ardeurs. Il le lui rend. Les deux tourtereaux se bécotent durant tout le trajet. Enfin, les portes du bus s’ouvrent devant le lycée. Arielle et Eric descendent les marches et se dirigent lentement vers la barrière de l’établissement, main dans la main.
Arielle lui fait un signe de la main alors que la sonnerie retentit, emprunte l’escalier pour monter au niveau supérieur et rejoint son premier cours de la journée. Elle s’installe à une place, sort ses affaires et écoute les propos du professeur de biologie. Elle note tout dans son classeur, levant parfois la main pour poser une question. Le cours de biologie se termine au bout de deux heures. Arielle profite de la récréation pour retrouver Eric. Elle serre son corps contre le sien et lui susurre des mots doux à l’oreille. Les deux amoureux finissent par s’éclipser dans la classe de technologies alors inoccupée. Eric saisit Arielle par la taille et la pose sur un bureau, approchant un peu plus pour l’embrasser sur la bouche. Elle proteste un peu quand il glisse une main sous sa jupe.
  – Il n’y a personne ici, dit-il sur un ton affectueux. S’il te plaît…
Arielle finit par céder. Elle regarde Eric remonter sa jupe et tirer sur l’élastique de sa petite culotte pour mieux voir ce qui se cache en dessous.
  – Aaaah !
Elle ne peut s’empêcher de gémir lorsque son amant engage un doigt à l’intérieur de son sexe, la faisant trembler comme une feuille. La sonnerie qui signale la reprise des cours semble bien lointaine. Arielle écarte un peu plus les jambes. Eric est sur un petit nuage. Il prend beaucoup de plaisir à faire coulisser son index dans le vagin de sa copine, finissant même par apposer sa langue sur le clitoris de cette dernière. Arielle lâche un petit râle. Puis un autre. Sa respiration se fait plus rapide. Une boule se forme dans le creux de son estomac. Elle le supplie de continuer, ne prêtant pas attention à la porte qui s’ouvre.
  – Hum ! Hum !

Arielle pousse un cri de surprise en voyant le surveillant en chef. Elle allonge les bras pour repousser Eric, puis rabaisse sa jupe à toute vitesse.
  – Je… Ce n’est pas ce que vous croyez ! s’écrie-t-elle, le visage devenu soudain rouge.
Le surveillant n’a pas l’air de vouloir les écouter. Il les réprimande vivement et leur fait savoir de le suivre au bureau de la proviseure-adjoint. Arielle et Eric le suivent en silence.
Eric est le premier à entrer. Arielle patiente à l’extérieur, installée dans un fauteuil. Le surveillant est toujours là, en pleine conversation avec la secrétaire. Arielle craint la réaction de sa mère si jamais elle apprend la vérité. Elle essaie de trouver une solution à son problème lorsque la porte s’ouvre. Eric ne lui adresse même pas un regard. Elle veut l’interpeller mais la voix de la proviseure-adjoint surgit du bureau.
  – Mademoiselle Lalande, veuillez entrer, s’il vous plaît.
Arielle se dirige donc vers le bureau. Sa démarche est assez maladroite.
  – Veuillez fermer la porte une fois à l’intérieur, merci.
Elle suit les instructions de la proviseure-adjoint.
  – Asseyez-vous.
Le ton employé est sec. Arielle obéit à nouveau. Elle prend le siège le plus proche, examine la pièce dans ses moindres détails, très inquiète. Le bureau de la proviseure-adjoint est pratiquement plongé dans la pénombre. Les stores baissés ne laissent filtrer que très peu de lumière. Tout cela est très angoissant. Arielle sent même un léger frisson la parcourir.
  – Je ne peux tolérer un tel comportement, déclare la proviseure-adjoint après un long moment de silence.
Arielle pose son regard sur la proviseure-adjoint. A vrai dire, elle est très élégante. Proche de la quarantaine. Elle ne semble pas vraiment s’intéresser à la jeune fille, le regard tourné vers la cours de récréation. Arielle n’est pas rassurée.
Julie Jouannot a beaucoup changé depuis ses années au lycée. A trente sept ans, elle occupe désormais le bureau de son ancien tortionnaire. Une belle revanche pour cette femme au passé tumultueux. Elle a travaillé dur pour arriver à ce résultat.
  – Arielle Lalande, en terminale. Vous êtes nouvelle dans cet établissement.
Julie rejoint finalement son bureau, sans vraiment se presser. Elle sait que son allure lui donne un aspect intimidant. Elle porte une veste et une jupe qui descend à mi-cuisse, des collants noirs et des chaussures à talon.
  – Oui, Madame la Proviseure-adjoint.
Julie a son dossier scolaire sous les yeux. Elle ne peut s’empêcher de voir les similitudes entre elle et cette élève.
  – Vous seriez renvoyée sur le champ si jamais je suivais le règlement à la lettre…
Arielle s’enfonce un peu plus dans son siège, craignant le pire.
  – Mais cela va à l’encontre de ma pédagogie, continue Julie avec un petit sourire. J’ai peut-être une solution pour vous… Cela devra rester entre nous.  – Je ferais n’importe quoi, Madame ! Ne me renvoyez pas !
Julie lève les mains pour apaiser la jeune fille. Elle lui propose même une boisson.
  – Je suis ravie de l’entendre. Et il vous faudra suivre mes instructions à la lettre.
Arielle acquiesce d’un geste de la tête, trop heureuse de ne pas subir le renvoi. Elle pose la bouteille d’eau vide sur le bureau. Au bout d’une minute, sa vue commence à se troubler.
  – Je ne me sens pas très bien…  – Détendez-vous, mademoiselle Lalande, répond Julie après avoir posé son regard sur la bouteille d’eau. C’est le somnifère qui fait son effet.
Arielle n’entend pas les propos de la proviseure-adjoint. Elle essaie de quitter son siège mes ses jambes refusent de la porter. Elle tombe sur le côté, inconsciente au moment de toucher le sol.
Arielle se réveille dans la salle de biologie, attachée à une table de travail, les fesses en l’air, ayant pour seuls vêtements son soutien-gorge et sa culotte. Elle essaie de rassembler ses souvenirs mais les effets du somnifère ne sont pas encore estompés. Elle en profite alors pour examiner la pièce. Hélas, il fait trop sombre pour voir quoique ce soit. Les rideaux ont été tirés.
  – Qui est là ? demande Arielle, certaine d’avoir entendu le bruit d’une respiration.
Pas de réponse. Est-ce son imagination ?
  – Répondez, s’il vous plaît !
Arielle sent monter l’angoisse. C’est à ce moment précis que les éclairages de la classe entrent en action. La lumière est si dense qu’elle doit fermer les yeux pour ne pas être aveuglée. Elle reconnaît les lieux. La proviseure-adjoint est là aussi, assise à une table, les jambes croisées. Arielle la regarde sourire.
  – Vous avez versé quelque chose dans l’eau, se remémore-t-elle. Je ne comprends pas…
Arielle tire sur ses liens pour les défaire. Elle abandonne très vite, les chevilles et les poignées endolories à cause des frottements. Durant cet intervalle, la proviseure-adjoint en profite pour se rapprocher.
  – Du calme, confie Julie à l’oreille de son élève. Tu te souviens de notre conversation…
Arielle lève les yeux pour voir son interlocutrice.
  – Oui, je me souviens. Alors pourquoi suis-je attachée ?  – Cela ne durera pas, ma chérie. Un seul mot de ta part et tu es libre. Mais réfléchis bien avant de prendre cette décision.
Arielle songe aux conséquences en cas de refus. Si jamais cette affaire remontait aux oreilles de sa mère… Le renvoi serait le cadet de ses soucis. De son côté, la proviseure-adjoint enlève sa veste, puis laisse courir ses doigts le long de la table. Elle semble joyeuse.
  – C’est parfait ! La leçon peut donc commencer !
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