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Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Chapitre 3 : on remet ça

Le moment fatidique était arrivé. Nous nous étions réunis tous les quatre dans la chambre de Julie pour rebaiser ensemble. Le côté préparé et non spontané de la dernière fois engendra une toute autre ambiance. Ça, et surtout le fait que nous étions sobres. Nous étions néanmoins tous très excités.
Nous nous déshabillâmes et Julie commença par nous sucer. Elle nous pompa comme une affamée et fit rouler sa langue experte sur nos glands. Steve l’allongea ensuite sur le dos et l’encula par devant. Jean et moi nous plaçâmes de part et d’autre pour qu’elle continue de nous branler. Elle nous prit dans sa bouche de temps à autre.
Nous alternâmes chacun à notre tour, lui baisant sa chatte et son cul. C’était un pur régal. Maintenant que nous savions à quel point c’était une salope, nous la bourrâmes sans aucune retenue. Nous nous servîmes d’elle pour nous faire du bien sans penser à autre chose. Nous n’eûmes aucun scrupule sachant que c’était exactement ce qu’elle voulait. Elle n’hésitait d’ailleurs pas à nous le rappeler :
— Allez ! Baisez-moi ! Je suis votre pute ! Votre jouet ! Donnez-moi vos bites !
  Nous la prîmes dans toutes les positions. En missionnaire, en levrette, elle nous chevaucha aussi bien de face que de dos. Elle s’éclatait sur nos queues comme une chienne en chaleur. Elle était étonnamment resplendissante. Nous nous laissions tout simplement emporter par notre luxure.
Lorsque moi et Jean la pénétrâmes ensemble pour la première fois, elle hurla de bonheur :
— Putain ! Ce n’est pas trop tôt ! Vous auriez dû commencer par ça !
  On la ramona par tous les orifices pour la rendre complètement folle. À un moment, Jean la prit debout par devant en la portant à bout de bras. Steve et moi échangeâmes nos places pour lui remplir le cul. On la fit monter et descendre sur nos bites pendant qu’elle s’accrochait désespérément à nous.
— Putain, bande de salauds ! Vous me faites jouir ! Aaaaah ! Encore ! Encore !
Quand j’étais mis sur le côté, je prenais plaisir à la regarder en me branlant. J’assistais à un film porno en direct dont la star était ma meilleure amie. Cela me donna sur le coup une idée perverse : je sortis mon téléphone pour filmer la scène. J’allais avoir de quoi me masturber pour les années à venir.
Juju, la farouche, complètement soumise à nos bites, en train de se faire malmener par deux brutes. Elle se laissait totalement faire ; tout ce qu’elle voulait, c’était qu’on la prenne.
Steve prit le relais en tant que caméraman lorsque je volai sa place, et on enregistra ainsi tout le reste de nos ébats. Julie ne fit aucune objection. Cela resterait pour toujours entre nous de toute façon.
Jean me surprit en ayant l’idée d’une autre position complètement saugrenue. Il nous fîmes la porter tous les deux, ses bras autour de nos épaules, tandis qu’nous écartions chacune une de ses cuisses pour lui offrir sa chatte. Il la baisa ainsi en suspension comme un dératé. Elle avait l’air de s’éclater. Nous essayâmes chacun à notre tour. Après cela, nous la redéposâmes sur le lit, et continua de la ravager.
Je ne sais pas combien de temps nous avons copulé ainsi. C’était encore plus intense que la première fois. Nous l’étions pas pressés, vous voulions surtout en profiter. Mais au bout d’un moment, nous avions mal à la bite à force de nous retenir.
Julie faisait preuve d’une endurance admirable. Elle supportait nos assauts et en demandait toujours plus. Je ne pensais pas qu’il était possible qu’une fille aime se faire utiliser comme ça. Elle devait avoir un problème ; mais nous aussi, car nous adorions ça.
Julie pouvait sentir notre agonie. C’était facile pour elle, elle pouvait jouir autant qu’elle le voulait. Nous, nous n’avions droit qu’à un coup. Je ne sais pas si ce n’est par compréhension ou par perversité, mais elle nous encouragea à nous finir :
— Ne vous retenez pas, les garçons. Jouissez si vous en avez envie. Je suis là pour ça, pour vous servir de sac à foutre. Alors videz-vous quand vous le voulez !
Nous nous retînmes encore malgré tout. Je n’en comprenais pas moi-même vraiment la raison. Peut-être avions nous chacun notre petite fierté et craignions de jouir en premier ? Il est certain que c’était plus facile la dernière fois où nous étions tous alignés et que nous avions juste à la couvrir de foutre en même temps.
Elle était allongée sur moi. Je la pressais contre mon torse pour sentir ses seins écrasés. Steve s’amusait dans son cul tandis que Jean se faisait sucer. C’est ce dernier qui éclata en premier.
— Aaah ! Sale pute ! Je vais jouir ! Allez ! Prends !
Alors qu’elle se faisait limer par deux taureaux en rut, il lui agrippa les cheveux et se branla furieusement devant son visage. Il lui explosa à la figure en l’éclaboussant de sperme. Elle essaya d’attraper certaines de ses giclées en vol avec sa bouche comme une bonne petite salope.
Il s’installa ensuite dans un fauteuil et Steve lui fila le téléphone pour qu’il filme le reste de la scène. Nous la prîmes encore ainsi pendant quelques minutes ; comme si Steve et moi jouions à celui qui éjaculerait en dernier. Julie n’en pouvait plus et était devenue une poupée de chair. Je me demandais à quoi elle allait ressembler sur la vidéo, ainsi ravagée par les deux trous tout en étant déjà couverte de sperme. Elle ne disait rien, mais je pense qu’elle commençait à avoir hâte qu’on en finisse, et qu’elle avait surtout hâte de nous sentir décharger pour elle.
Je gagnai la partie quand je compris que Steve était en train d’éjaculer dans son cul. Il grognait de bonheur tandis qu’elle lui hurlait :
— Oh oui ! Mon salaud ! Vide-toi bien dans mon cul ! Donne-moi tout !
Au lieu de l’écouter, il sortit de son orifice et lui gicla sur les fesses. Certaines trainées l’atteignirent jusqu’en haut du dos.
Il ne restait plus que moi. Je n’avais enfin plus à me retenir. J’accélérai la cadence pour me faire finir dans sa chatte. Je me servis de ma petite pute qui gémissait sans arrêt. Du sperme commença à s’écouler de son cul et à tomber sur mes couilles. Je trouvais ça dégueulasse mais n’étais guère en position de m’en soucier. J’étais si excité que je lui criais des insanités :
— Raaah ! Julie ! Ca y est ! Je vais te remplir de sperme, petite salope ! — Vas-y, Benoit ! Fais déborder ma chatte ! Je veux que tu jouisses !
Je vins. Je retins mon grognement en lui mordillant l’épaule, puis lâchai toute ma sauce dans son vagin. J’étais plongé dans un bonheur sans fin tandis que je sentis mes bourses se vider par à-coups. J’essayai de la pénétrer plus en profondeur pour bien la remplir. Je la sentis secouée par un nouvel orgasme. C’était merveilleux de jouir ensemble. Si seulement je pouvais l’avoir rien que pour moi.
Elle s’écroula sur mon torse. J’étais moi-même bien trop faible pour pouvoir bouger. C’est fou comment on peut ignorer la fatigue quand on est excité. J’ai eu cette réaction étrange dans l’enlacer comme si j’étais son amoureux.
Jean s’approcha de nous pour prendre des gros plans. Il s’attarda particulièrement sur ses orifices. Mon sexe était toujours dans sa chatte alors que son cul béant dégoulinait de foutre. Des filets commençaient à s’échapper également de son vagin lorsque ma queue se mit à ramollir. Puis ce fut un flot assez conséquent qui en jaillit une fois qu’elle en sortit après être redevenue flasque.
— Putain... C’était... super... commenta-t-elle. Vous savez comment baiser une femme.
Après cela, nous prîmes chacun une douche et nous nous séparâmes. L’ambiance était calme et détendue. Nous ne dîmes rien de particulier. Nous étions simplement heureux d’avoir pris du bon temps. Avant de partir, Julie insista pour que je lui fasse une copie de la vidéo.
Cette vidéo, je la regardai chez moi pour voir le résultat, et c’était vraiment le pied ! Je rebandai juste à nous mater. J’adorais vraiment voir Julie en mode pute. Je me demandai quelle allait être sa réaction lorsqu’elle se verrait elle-même en train de se faire prendre comme une trainée.
Le lendemain à la plage, nous agissions à nouveau comme si rien ne s’était passé. Nous étions juste quatre amis qui profitions du soleil et de la mer parmi un groupe d’étudiants. Sans sous-entendu, ni arrière-pensée... À vrai dire, je crois que nous n’avions jamais été aussi soudés. Lorsque nous fûmes tous les quatre sur des transats et que les autres étaient un peu éloignés, Julie se tourna vers nous et nous sortit :
— Les mecs, je m’ennuie un peu. Ça ne vous tente pas d’aller rebaiser un coup tout de suite ?
Sa façon désinvolte de parler de ces choses-là me désarçonnait. Je m’attendais bien sûr à ce qu’on remette ça un jour ou l’autre avant la fin des vacances, la gêne était clairement passée sur ce sujet et nous en avions tous envie, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit si vite ni comme ça.
Bien sûr que tout le monde était partant ! Nous prîmes discrètement congé des autres et trouvâmes un coin tranquille en plein air. C’est là que nous la rebaisâmes tous les trois. Cette façon qu’on avait de passer de gens normaux à des animaux en manque m’épatait moi-même. Mais bon, nous ne faisions rien de mal. Nous profitions juste de notre jeunesse en nous faisant plaisir
Sans un mot, nous nous déshabillâmes, et après avoir échangé quelques baisers avec elle, je la mis à quatre patte et lui bourrai la chatte.
— Allez les garçons ! Allez-y ! Faites-moi sentir pute !
Il n’y avait pas besoin de préliminaire, on voulait tous juste tirer notre coup.
Steve et Jean se firent sucer pendant que je la ramonais, puis comme d’habitude, nous échangeâmes nos places à tour de rôle. Il n’y a pas à dire, nous ne nous en lassions pas. Le fait que ce n’était pas notre première fois nous rendîmes plus détendus et moins timide.
Elle était belle, elle était bonne, et nous prenions un pied d’enfer à la sauter. Nous avions tout de même de la chance que la plus belle fille de notre année soit aussi la plus salope. Notre salope rien qu’à nous. Si les autres mecs avaient su, ils auraient été vert de jalousie.
Steve la plaqua contre un arbre et l’encula. Il la fourra en lui tirant les cheveux. Elle, elle gueula de toutes ses forces en nous crachant des saloperies pour nous exciter.
— Allez ! Pète-moi le cul ! Soit pas timide bordel !
Jean et moi attendions impatiemment notre tour en nous branlant. J’eus le malheur de passer en dernier. Le plus dur, c’était de s’arrêter pour laisser sa place.
— Putain, vous en avez pas marre de faire la file ? se plaignit-elle au bout d’un moment. J’ai plusieurs trous, bordel ! Servez-vous en !
Cette petite pute réclamait carrément qu’on la prenne en double. Nous l’ignorâmes juste pour l’emmerder un peu, avant de l’enfiler Jean et moi. Elle le chevauchait de dos en s’empalant le cul sur sa bite, tandis que je la ramonais par devant.
— Raah ! Bande de salauds ! C’est trop bon, c’est trop bon ! — T’aimes ça, être remplie de queues, salope ?! grognai-je. — Ouiii ! Ouiii ! Allez ! Plus fort ! Je suis toute à vous ! — Allez, suce, sale chienne, la fit taire Steve en lui enfonçant son gourdin dans la bouche.
Elle jouissait. Sa chatte mouillait abondamment. Plus on la malmenait, plus elle aimait ça. Du coup, on s’en donnait à cœur joie.
— Allez salope, vociféra Jean. Tu veux nos bites ? Va falloir les prendre toi-même.
Je compris ce qu’il voulait dire et m’arrêta de bouger. Frustrée, elle remua du bassin pour se donner elle-même du plaisir. — C’est bien, enchérit-il. Tu obéis comme une vraie pute !
Nous la prîmes dans toutes les positions en la traitant comme notre objet. Nous lui donnâmes des ordres qu’elle exécutait sans tarder :
— Allez, suce ! — Mets-toi à quatre pattes que je t’encule ! — Allez, dit-nous à quel point tu nous veux, salope, où on arrête !
Sur ce, elle se lâcha :
— Non ! Pitié ! J’ai trop besoin que vous me baisiez ! Faites-moi encore jouir ! Je vous veux dans tous mes trous ! Remplissez-les de vos bites et de votre foutre ! Je veux être souillée ! Aaaaaah !
Vu qu’on était en extérieur et en pleine journée, nous n’essayâmes pas de nous retenir cette fois. Nous cherchions juste à l’utiliser pour décharger un coup.
Jean se vida dans son cul en premier. J’étais un peu réticent à l’enculer après ça, mais je mordis sur ma chique tellement j’en avais envie. Ça me faisait bizarre de baiser une fille déjà pleine de sperme d’un autre, mais cela la rendit encore plus salope à mes yeux.
Steve était dans sa chatte pendant ce temps-là, juste en dessous d’elle. Mais ni lui ni moi n’avions envie d’éjaculer comme ça. Nous la mîmes à genou et lui ordonnâmes de nous sucer. Elle fut obligée de goûter le jus de Jean sur mon chibre. Cela n’avait pas l’air de la gêner. Au contraire, elle avait l’air de se régaler.
Elle passa de l’un à l’autre avec instruction de nous faire jouir. Elle nous branla et pompa comme une assoiffée de sperme. Elle savait s’y prendre, c’était une vraie déesse.
— Juju, ne t’arrête pas. C’est bon, je vais venir ! l’avertis-je.
Je lui pressai la tête contre ma queue en la tenant par la nuque, tandis qu’elle m’engloutissait autant qu’elle le pouvait. Je me laissai complètement aller quand je sentis que mes couilles allaient éclater. J’explosai dans sa bouche en la nourrissant de mon sperme qu’elle but par gorgée.
Steve, qu’elle branlait toujours, éjacula peu après. Il enleva sa main pour la remplacer par la sienne et dirigea sa trique vers son visage. Il lui envoya son foutre alors qu’elle était toujours en train de m’avaler. Il lui en mit sur la joue, le front et le nez. Il se vida complètement dessus en grognant comme un animal tout en la traitant de tous les noms.
Elle recracha mon sexe ramollissant puis joua avec le jus de Steve en l’étalant et en le goûtant.
Nous pensions que c’était terminé quand Jean nous écarta brusquement tous les deux, le sexe bandé à nouveau, et se masturba devant elle.
— Raah, putain de chienne ! Tu vas me faire craquer !
Elle le fixait avec impatience. Il ne lui fallut pas longtemps pour éclater sur ses seins. Il avait encore de sacrées réserves, le salaud. Elle était recouverte de sperme. Du jus coulait sur ses tétons et faisait des trainées sur son ventre jusqu’à sa chatte. Je la trouvais magnifique.
Repus et épuisés, nous nous rhabillâmes. Julie partit se baigner dans la mer pour se débarbouiller un peu. Nous la rejoignîmes, prîmes du bon temps comme des jeunes adultes normaux, puis nous séparâmes.
Les jours qui suivirent furent fabuleux. Ce fut les meilleures vacances de toute ma vie.En apparence, nous passions notre temps à nous amuser comme tous les autres, mais dès que l’envie nous prenait, nous nous éclipsions dans notre coin pour baiser avec Julie, encore et encore. Nous n’en parlions jamais, mais nous savions tous que ce genre de relation ne durerait que le temps des vacances, et que lorsque nous rentrerions à l’université, tout redeviendrait normal et nous ne devrions plus jamais y faire allusion. Nous en profitions alors un maximum. Nous copulions comme s’il n’y avait pas de lendemain. Nous nous créâmes des souvenirs indélébiles, en allant parfois jusqu’à les graver dans des vidéos prises avec nos téléphones. Nous vivions une expérience unique, et nous voulions n’avoir aucun regret.
La fin approchait déjà, et je déprimais à l’idée de retourner chez moi. J’avais envie de rester ici pour toujours avec Julie. Cette dernière nous soumit une proposition étrange : pendant les deux jours à venir, nous ne la toucherions pas. Ensuite, par contre, pour la veille de notre départ, nous passerions toute la journée ensemble dans sa chambre à baiser sans retenue jusqu’à ce qu’on en puisse plus. Elle voulait que nous nous reposions et que nous reprenions des forces, histoire de finir de façon grandiose.
L’idée de ne pas la baiser pendant deux jours entiers nous semblait insurmontable, mais la récompense avait de quoi nous faire tourner la tête. Nous acceptâmes. Mais j’eus beaucoup de mal à tenir ma promesse. À chaque fois que je la voyais dans son maillot serré, avec ses seins fermes qui se ballotaient à chaque fois qu’elle courait, j’avais une envie sauvage d’elle. Seul dans mon appart, j’avais parfois envie de me branler en matant nos films. Je résistai en me convainquant qu’il fallait que je me préserve, et que c’était le but que nous soyons tous un peu frustrés pour augmenter notre plaisir lorsque nous nous soulagerions enfin.
L’attente fut très longue, mais le jour vint enfin.
À suivre...
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