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Julie, ma salope aux gros seins

Chapitre 1

Trash
Bonjour, je lis souvent sur le site et à mon tour je voulais faire part de ma folle histoire qui a débuté l’année dernière. Je m’appelle Vincent et je suis du Québec. J’ai 27 ans, je mesure 1m78, j’ai les yeux bleus, les cheveux bruns et je possède une petite bedaine de bière, alors on ne peut pas dire que j’ai le corps d’un sportif, mais je fais souvent du jogging afin de ne pas devenir un gros ! Donc, je suis une personne très normale et je gagne bien ma vie. Je possède ma propre compagnie d’ailleurs et c’est ma fierté !
Il y a une chose que je dois vous admettre avant de commencer, je suis une personne vraiment perverse et quelqu’un de solitaire. Donc, je regarde beaucoup de pornographie, je la collectionne même. En effet, je suis un vrai amateur de porno, j’en mange et c’est ma drogue ! J’adore les vielles salopes qui ont de très grosses loches et les femmes qui aiment se faire défoncer le cul. J’aime les femmes qui aime se faire humilier et plus c’est crade, mieux j’aime.
J’ai donc rencontré Julie, lorsque j’allais fréquenter un de mes lieux préféré, le club vidéo. En effet, une fois par mois, je vais acheter des vielles VHS pornographiques en vente au club vidéo. Nous sommes rendues à l’aire du HD et les vielles VHS ne sont plus d’intérêt. Elles sont donc à bas prix et j’en achète beaucoup. Ce soir là, il était donc 21 hre et il y avait peu de monde dans la place. Je pris donc mon temps et choisis sept films (Oui sept films !) Et lorsque j’allais voir le commis très rapidement afin de ne pas être vue par les autres afin de cacher les films que j’avais dans les bras, je suis rentré nez à nez dans l’une des plus belles femmes au monde! Mais quel femme, la première chose que j’ai remarqué chez elle était ses seins, il était plus que gros, il était énorme ! Selon mon expérience, je me suis dit qu’elle devait faire du bonnet G, et la camisole turquoise quelle portait les mettais en valeurs, il était gros et bien compacté dans sa camisole. À première vue, il paraissait faux, mais au mouvement de son corps, ils bougeaient. Elle avait les cheveux châtain, les yeux marron et portait un short blanc avec des sandales de mêmes couleurs. Elle devait être dans le début de la quarantaine et elle était en très bonne forme physique, ce qui me surprit vue la taille de ses énormes nibbards. Je rentrais donc en collision avec cette femme et toute mes Vhs tombèrent sur le plancher et son blu-ray aussi. Je dois dire que je ne me suis pas comporté en gentleman cette fois là et cela peu ce comprendre, la première chose que je fis était de ramasser toute mes vhs le plus rapidement possible afin qu’elle ne voit rien de ce que j’achète et je n’ai donc pas pris son blu-ray pour le lui rendre. C’était un film familial, j’en déduit qu’elle avait des enfants.
-Wow, vous vous faites une belle soirée ! Dit-elle en regardant après notre collision.
-Haha…Ouais, elles sont peu dispendieuse et à défaut de venir les reporter, je les achète…Désolé d’être rentré en contact avec vous, je regardais droit devant le caissier et je ne vous ais pas vue reculer !
— Il n’y a pas de quoi, vous savez, c’est normal ! Je peu comprendre. Un jeune homme comme vous ne veut pas être vue sortir de la section dans laquelle vous étiez !
-Oui en effet, je dis-je ! Je m’excuse, je m’appelle Vincent et vous ?
-Arrêter de dire désolé, moi c’est Julie, je vous souhaite une bonne soirée !
Elle s’en alla direction le caissier puis se retourna et me dit plus discrètement :
-…Oh, elle pointa la vhs du dessus, celui la est très bon, je m’en souviens !
…la salope! Elle pointait, un film dont la couverture montrait une femme aux énormes seins comme les siens qui tenaient deux bites dans chacune de ses mains et qui se faisait pénétrer par une autre.
Puis, j’allais la rejoindre vers le caissier. Elle se retourna à nouveau vers moi avec le sourire.
-Vous habitez dans quel coin ? me dit-elle curieuse.
-J’habite tout près, derrière le centre commercial pourquoi ?
-J’habite tout près aussi… Eh bien je vous demandais ça, il y a longtemps que je n’ai pas vue ce film ! Moi et mon mari, aimerions peut-être le revoir en souvenir du passé…peut-être que vous accepteriez de me le prêter une fois votre visionnement terminé ?
-Il n’y a pas de problème, vous pouvez me donner votre numéro et je vous contact ?
-Non désolé, je ne peux pas ! Vous donnez moi votre numéro. Je vous appel et on se rejoint à un endroit pour que vous puissiez me le donner.
-D’accord, je lui donnai donc mon numéro de téléphone cellulaire et elle quitta les lieux avec son film.
La chienne, me dit-je ! Elle veut le film, car elle veut faire de la baise sportive avec son mari, surement parce que ce n’est plus comme avant!
Je retournai donc chez moi avec son corps parfait dans mes pensés, en me masturbant la bite pendant le visionnement du film quelle me pointait ! Il est probable qu’elle ne m’appelle jamais pour le film, mais je décidai de lui laisser un cadeau à elle et son connard de mari, l’homme le plus chanceux du monde. Je jouis dans la boîte de la VHS, ne rembobina même pas la cassette et la mis dans sa boîte!
…Et 4 jours après, au travail, mon iphone vibrait.
-Allo ?
-Bonjour, c’est Julie, vous vous souvenez de moi ? La dame que vous avez heurtée au Club Vidéo avec vos cassettes XXX!
-Oui, je me souviens de vous…j’imagine que vous appelez pour le film ?
-Exact, j’ai parlé du film à mon mari, il s’en souvient même très bien. Elle jouait souvent dans notre magnétoscope, il y a une dizaine d’année. Nous aimerions le revoir, nous sommes prêt à vous l’acheter, est-ce que vous êtes d’accord pour 20$ ?
-Wow, j’ai bien fait de l’acheter au club vidéo à rabais, vous êtres un couple généreux, ça marche !
Nous nous sommes donné comme lieu de rendez-vous après le travail dans le stationnement du vidéo club. Hélas, étant donné que je suis propriétaire de ma compagnie et un homme sans personnes qui l’attendent habituellement à la maison, je suis souvent l’un des derniers qui quitte le bureau. Et lorsque je regardai l’horloge, j’étais en retard ! La VHS était chez moi et je n’avais pas le temps de m’y rendre. Je fonçai donc directement en face du Club vidéo et vue Julie de loin dans le stationnement. Elle portait un t-shirt mauve serré qui mettait toujours ses énormes obus en valeurs, elle avait cette-fois une pair de jean moulant et des espadrilles de jogging. De plus, elle avait des lunettes de soleil sur ses cheveux long pris par le vent, c’était bandant de la voir. J’arrivais dans mon VUS et de par ma fenêtre, je lui dis que la cassette était à la maison et qu’elle devait me suivre, je ne lui laissais pas le temps de vraiment me répondre qu’elle préférait attendre ici et je continuais mon chemin dans le stationnement pour qu’elle embarque dans sa voiture, ce qu’elle fit. Nous arrivèrent à ma maison et descendions de nos véhicule.
-Salut, tu ma téléphoner et la cassette était la maison, je n’ai pas eu le temps de venir la chercher, mais entre !
-D’accord, me dit-elle sortant un billet de 20$ de son sac à main
J’ouvris la porte, la laissa entré dans ma cuisine. Et là je ne sais pas du tout ce qui m’a pris mais je me transformai en mâle en rut. Je fermais la porte derrière moi et fonçais par derrière me blottir sur Julie. J’agrippais ses deux seins de mes mains très fort et plaçais ma verge dans le creux de la raie à travers son pantalon. J’ondulais du bassin sans m’arrêter et son premier réflexe était de se débâtir.
-Mais vous êtes fous ! Qu’est-ce que vous faites, lâchez-moi !
-Ta yeule dis-je brutalement à son oreille ! Tu es trop bonne, je te veux espèce de sale pute ! Tu vas m’obéir !
-Non, je vous en pris ! S’il vous plaît !
-Tu aime le porno hein ? Toi et ton mari, vous baisez plus comme quand vous étiez jeune c’est cela ? Je vais te baiser comme une salope aux grosses miches comme toi mérite d’être baisé et ton époux je l’emmerde ! TU VA ÊTRE MA CHIENNE!
Je la retournai vite comme l’éclair, et lui balança une gifle au visage et lui roula une pelle pendant de longue seconde tout en caressant ses gros seins ! Elle pleurait et je voyais que cela ne marchait pas ! Je décidai donc d’enlever complètement mes vêtements et la faire céder en me suçant. Je pris ça tête pour quelle se baisse.
-Tu va me sucer, immédiatement !
Son maquillage coulait et elle regardait mon pénis bander comme un âne.
-nonnnnn, dit-elle effrayer.
Je lui fermais sa yeule en plaçant ma queue pour pas qu’elle rouspète. Elle ne faisait pas de va et viens, alors je baissais donc carrément sa bouche la prenant par la tête en la traitant de pute qui aime mettre sa poitrine au nez de tout le monde. Heureux de ce que je faisais, je lui crachai au visage le sourire aux lèvres et fière de mon autorité.
-Enlève ton t-shirt, je veux les voir ! Toujours en lui baisant la bouche. Elle était devenue plus calme et elle céda, sans doute par manque d’énergie. Elle retira mon pénis de sa bouche pleine de bave et enleva son t-shirt mauve et dégrafa un soutien-gorge épais de couleur noir. Ses deux magnifiques loches n’était plus retenue par rien du tout. Ils étaient parfaits, Ce n’était que du bon gras capable de flotter dans tout les sens à l’air libre! Je me mis sur mes genoux pour me retrouver à son niveau et l’embrassa calmement cette fois, cela dura plusieurs minutes. Et enfin, Julie m’embrassa elle aussi. J’augmentai la cadence de nos langue, je lui léchais le visage comme un chien de compagnie liche le visage de son maître.
-Je suis fière de toi ! Dis-je….Parle, aller parle moi! Dit moi quelques choses !
Je plaçais ma main dans son entre-jambe à travers ses pantalons pour lui caresser le minou.
-….Mais tu mouille ?
-Bai…B…Bee…BAIIISSSSEEEE-MOI LES SEINS !!! Hurla Julie !
J’agrippais mes mains rapidement sur sa poitrine la couchant sur le sol. Elle ne me le dira pas deux fois, et je les malaxais dans tout les sens et violement ! Sa tristesse, c’était transformer en bonheur d’être traité de la sorte! J’embrassai et licha ses totons partout et dans tout les sens. Je voulais que ma bave soit imprégnée sur toutes leurs grosseurs. Je mordillais ses mamelles pour qu’il durcisse et j’aspirais très fortement chacun deux comme si je cherchais à les faires lever de leurs poids. Je leva mon torse pour admirer le spectacle, ils bougeaient coucher au sol comme de la gélatine incapable de s’arrêter! Nous étions sur le plancher de la cuisine, je me penchai pour ouvrir la porte du frigo et pris le lait qu’il y avait. Je coulai le lait de vache sur cette vache et je bus et lichais le lait qu’il y avait sur ses deux gros obus.
-Qu’est-ce t’attend ? BAISE-MOI LES AVEC TA QUEUE LEEE JEUNNEEEE! dit-elle sauvagement !
-C’est ça que tu veux hein ? Tu veux que je te les maltraite hein ?
-OUIIII dépêche toi ! dit Julie, respirant très fort !
-Grosse guenon, tu va te rappeler la branlette espagnole que je vais te faire!
Elle était dos sur le plancher et je me plaçai à l’entré de sa poitrine. Elle les prenait à deux mains, avec un regard de salope. Je lui enlevai les mains de sa position, voulant montrer que c’était moi qui commandait et pas elle ! Je claquais chacun deux comme si c’était son cul que je claquais.
-Plus jamais tu va m’appeler le jeune ! Dis-je
Puis je reniflais ma morve à deux reprises pour cracher sur ses mamelles et plaçait mes mains sur chacun d’eux, les empoignants.
-ET VOILÀ FOUTUE CHIENNE !
Je lui baissais les seins à la cadence le plus vite que je pouvais, c’était rapide, c’était brutal. Mon pénis n’était pas énorme et se perdait entre ses grosses totottes ! Elle hurla de plaisir et parfois, j’arrêtais la branlette pour lui baisé sa bouche de conne.
-VIENS DANS MA BOUCHE, dit Julie rempli de plaisir.
J’avais d’autre plan…
-JE VIENS, JE VIENS…JE VIEEENNNSSSSS, je me retirai de sa bouche et lui déversa mon foutre sur ses deux globes, fière de moi!
Je me leva pour regarder mon chef-d’œuvre et elle se leva à son tour. Elle me roula une pelle, ses seins avec mon foutre dessus venaient s’écraser contre mon torse. C’était un moment magique ! Elle s’assit sur une chaise de ma cuisine et en me regardant, elle badigeonna mon sperme sur ses nibbard. Julie était heureuse et lichais ses mains de leurs paumes jusqu’au bout des doigts pour ne rien manquer. Puis, elle remit sa brassière ne cherchant même pas à se laver. Elle voulait rester sale de la poitrine!
-Eh bien, je n’aurais jamais pût faire cela avec mon époux ! Je n’étais pas certaine au commencement, mais c’est vrai que j’ai accepté de rentré pour un film de cul ! Alors…
-Julie tu es maintenant ma salope à moi !
-Tu es incroyable Vincent, oui je suis ta salope ! Tu as été parfait ! Je veux que tu me traite comme une chienne ! C’était la première fois avec une telle cruauté ! Merciiii.
-Ce n’est que le début, je vais te baiser très bientôt et ce sera encore plus pervers et plus sales ! Mais avant de partir…Je descends au sous-sol où se trouve ma collection de vielles VHS XXX et lui donna le film.
-Je t’ai laissé un cadeau dans la boîte, dis-je
Elle l’ouvrit et constatait le sperme sécher sur le carton ainsi que sur la cassette. Elle prit la VHS avec sa main puis licha le foutre qu’il y avait, fière d’être ma pute !
Je lui demander de se libérer de ses obligations familial pour le samedi de cette semaine ! Elle devait trouver une raison et elle me répondit par l’affirmative !

...La suite si vous le voulez bien !
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