Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 26 J'aime
  • 0 Commentaire

Julien et ...

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
— Viens, j’ai hâte de sentir ces nouvelles sensations. — Oui, mais avant, je veux boire un peu encore ton élixir de plaisir, j’aime tellement ton odeur, ton goût que je pourrai presque m’en satisfaire, sans parler de ton warm-cream qui tel un ice-cream j’adore lécher.— Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. — gloup, rloup, miam, plouf, hiiiiiiii, gloup, rloup, miam, plouf entonne la fanfare du sexe de maman, la tire-lires débordante de bonheur. — Rlapp, rlapp, rlapp floup, rlapp, rlapp, rlapp floup, répond la langue de Séraphin, broutant avec acharnement cette moule délicieuse, sans oublier fuifuifuifui quand il déguste le warm-cream dressé sous ses caresses linguales. — Oh ! Putain, ce que c’est bon quand tu me faits reluire la moule. — Attends, je vais aussi honorer avec ma langue, l’entrée de service, tu me diras comme tu aimes. — Tu es un vrai cochon, tu vas devenir un lèche-cul. — Qu’avec toi mon amour. — C’est très agréable et cela me plaît, mais attends toi que je te rendre la pareille. — J’y compte bien.— Je vais partir, viens te cacher dans ma grotte, je veux sentir ton jet de Genève m’arroser les ovaires, engloutir mon ute russe, recrépir la grotte qui t’a vu naître.
Quelques coups de rein plus tard, une fois que la lance incendie a rempli son office, Séraphin remet le sujet sur le tapis, soit faire une partie carrée avec sa copine sur place. (enfin à trois plutôt triangulaire)
— Qu’en penses-tu ?, es-tu prête à essayer ?— Essayer pourquoi pas, mais ne la connaissant pas, je ne sais pas ce que cela risque de donner. Peut-être qu’elle n’appréciera pas. — C’est un risque courir. Demain, je vais lui demander.
Le lendemain, Séraphin retrouve sa copine à la sortie du cours.
— Cela te dirait de venir souper chez nous ? J’ai envie de te présenter à ma mère. — Oui, cela à avoir avec ta dernière question ? — C’est ouvert comme possibilité !— Je lui annonce qu’elle prépare pour 3 et non pour 2.
— Tu as de la chance d’avoir une cuisinière. — Pas qu’une cuisinière ! — Comment cela ? — Tu verras bien
Le soir venu, les deux tourtereaux arrivent dans le studio, ou la mère de Séraphin s’est mise sur son 31, très léger et dès qu’ils sont rentrés, elle se jette langoureusement dans ses bras pour lui souhaiter la bien venue.
— Maman, je te présente Josiane, ma copine. — Elle est très jolie, tu as bon goût mon fils.
Josiane, qui rougit sous ces compliments tend sa main sérieuse. Séraphin, trouvant ceci un peu trop cérémonieux la pousse vers sa mère et les prend les deux dans ses bras en les embrassant à tour de rôle.
— Mes deux amours, j’espère que vous vous entendrez bien. — Venez, j’ai préparé un souper avec ce que j’avais à disposition. . Josiane, il n’y a rien qui te retient ce soir et cette nuit ? — Non, mais j’aimerai pas vous gêner, je vois qu’il n’y a qu’un lit dans ton studio. Vous couchez dans le même lit ? — Eh bien oui, on ne peut pas faire autrement. — Alors on risque d’être trois, cela risque d’être chaud. Répond-elle avec un petit sourire narquois. — On ne peut rien te cacher, maman m’a avoué qu’elle n’était pas opposée à renouveler des expériences de jeunesses. — Je comprends mieux tes questions. — Tu y vois un inconvénient ? — Oh non, c’est une expérience à tenter et surtout que ta mère me plaît beaucoup, j’aime les femmes déjà un peu mures. — À table, fit la mère en enlevant son tablier de cuisine.
Une fois les entrées, derrière le col, le principal avalé et le dessert dévoré, la chose commence à se préciser.
— Je n’ai pas pris de vêtement de nuit, dit Josiane, — Je peux te prêter une nuisette. — Tu penses que l’on va la laisser longtemps, répond Séraphin avec un sourire malicieux. Le dernier à poil se fait sucer de partout par les deux autres.
Un peu surprise, Josiane, peut-être exprès se trouve la dernière à abaisser les derniers remparts de la pudeur et c’est avec avidité que le fils et la mère se jette sur leur proie.
— Tu permets que je te roule une pelle, dis la mère en tendant sa bouche vers Josiane.— Cela fais très drôle d’avoir une femme qui va me sucer le museau. Oui, j’aimerai bien essayer.
À ces mots, les deux femmes joignent leurs lèvres et agitent leurs langues, se léchant les lèvres et échangeant leurs salives. Là mère d’un mouvement bien déterminé empaume les seins de la copine de son fils et d’une caresse douce saisit les tétons de Josiane en tirant un peu dessus.
Et Séraphin pendant ce temps ?
Le petit polisson s’est glissé entre les cuisses de sa belle, la langue en avant, se dirigeant vers le théâtre des opérations qui commençait à sourdre telle une source de plaisir. Le clito, arrogant sortait de sa gaine, il faut dire que la belle avait une belle dégaine.
— Chéri, je t’en prie, bouffe moi mon minou gémit Josiane. — C’est bien mon intention.— Et moi dis la mère. Qui s’occupe de ma minette ? — On va faire un triangle équilatéral orienté, répond Séraphin, en émergeant des cuisses de Josiane, le menton barbouillé de mouille.
S’adressant à Josiane :
— Tu vas avoir l’occasion de goûter un grand cru millésimé de 45 ans d’âge et affiné dans des culottes de satins, mûri dans le cocon de sa forêt plus très vierge, pendant que je m’occuperai de ton petit oiseau. Profite de cette dégustation hors norme. — Maman, à toi l’honneur de déguster mon tatranka. (NDR biscuit tchèque formé de 6 plaquettes gaufrées fourrées au chocolat)
Après quelques lèches mémorables, Séraphin ordonne comme au quadrille pour changer de partenaires, là c’est pour inverser la direction des lèches. Si pour ma mère et moi, la situation était connue ou plutôt la sensation était connue ; pour Josiane, les ravages que causèrent les caresses de ma mère sur son pubis, la laissèrent pantelante, sa langue, telle une couleuvre butinait avec conviction le puits d’amour de Josiane, lui arrachant des soupires que le pont du même nom n’avait pas connus. Les reins sciées par des orgasmes à répétition, elle cria grâce pour un moment. Elle avait laissé mon boutefas, trop concentrée sur son plaisir. Il fallait que je rattrape le coche. Du coup, je me plaçais derrière maman et je la pris en levrette à défaut du temple de Sodome.
— Les amours saphiques, c’est bien, mais une bonne queue dans la tire-lires, c’est encore nettement mieux. Commente ma mère.
— Tout cela est bien beau, mais j’aimerai bien inviter mon frère cadet, il est encore pur, Tu serais d’accord de lui donner les premières leçons ?— Qui ? Demandent les deux ? — Pas toi Séraphin, tu as déjà tes cours à l’Uni, mais je demande à ta mère. Tiens au fait tu ne m’as pas dit son nom.— Marie, comme la vierge. — Tu es d’accord Marie ?— C’est oui deux fois, j’aimerai bien faire découvrir les méandres de l’amour à un jeune encore tout vert. — Il a quand même 18 ans, mais il est horriblement timide, cela va être très dure de le faire basculer.— On pourrait l’inviter dans un thé dansant, une boite de nuit peut-être le rebuterai, mais un thé dansant, il y a de tout, mais en principe pas de professionnels.— C’est une bonne idée, tu penses où ? — Cela fait longtemps que je n’y suis pas allée, mais il y avait un genre de bal musette aux Crapettes, peut-être qu’il a résister au rap. — Cela me dit quelque chose, je vais vérifier sur le net et si c’est bon on se retrouve en fin de semaine là-bas. Mais en attendant, j’ai bien envie de finir ce que j’ai commencé, c’est à dire libérer une certaine tension qui m’empêche de réfléchir sainement, quand j’ai les roupettes qui débordent, c’est pas optimal pour la réflexion.
Quelques coups de queue plus tard, la mayonnaise est en train de prendre et je sens que mes oeufs sont prêts à alimenter à nouveau le sanctuaire maternel. Ça y est, cela vient, ouf cela fait du bien. Tiens Josiane, tu peux prendre ma place, il y a à boire et à manger.
Là je commence à faire ma recherche sur Internet pour voir si je trouve ce sacré thé-dansant, Google frémit, tremble , gémit et ne trouve pas de solutions appropriées, il y a bien des Crapettes au fin fonds de tout loin, mais pas de thé-dansant. Je continue à chercher, fouiller, questionner je suis avide de voir ma mère faire son enseignement, je dois être un peu candauliste. Je trique comme un âne, rien qu’en y pensant et j’espère cependant ne pas être comme ce brave roi Candaule, cela ne lui a pas porté chance de proposer sa belle épouse à son officier, de cocu, il a passé rapidement au stade de cadavre. Voyant mon état, suite à mes réflexions, les deux coquines se précipitent pour s’occuper de mon jonc fièrement dressé.
Je sens que la nuit va être courte, comme ce chapitre.
Diffuse en direct !
Regarder son live