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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Julien

Chapitre 1

Inceste
Il y a cinq mois un coup cruel m’a frappé. J’ai pleuré, j’ai souffert, j’ai pensé mourir quand Robert, l’homme que j’ai le plus aimé de ma vie, m’a si brutalement délaissée. Et puis quelque chose d’inattendue m’a redonné l’espoir m’a rendu la force d’exister et de mieux m’épanouir. Voilà, maintenant je suis consolée, calmée heureuse.  A la mort de mon mari, j’avais quarante trois ans. Mon fils, malgré son air de collégien, était un gentil garçon, brillant qui prenait les affaires de son père avec brio. Il m’adorait. Il amenait souvent ses camarades. Ce fut un temps de folie. Pendant trois ans je ne peux pas dire que j’ai aimé. Je me suis laissée prendre par qui me plaisait, sans réflexion, sans calcul, indifférente aux sentiments que j’inspirais comme à leur durée probable. Mon fils ne vit rien. Il continuait à m’amener ses camarades que j’engageais à me prendre quelquefois à trois.J’étais inlassable. J’avoue que quand j’eus le bonheur de recevoir Robert, il me fixa. IL était beau et tout de suite je l’aimai. La brusquerie de ce coup de passion fut inouïe. Lui aussi m’aima. Pour la première fois je me sentais l’objet d’un sentiment ardent, profond, exclusif; pour la première fois je fus maîtrisée par une volonté plus forte que la mienne. Je fus dominée délicieusement. Mon fils eut beau me présenter des camarades je n’y pretais plus attention. J’ai passé les meilleures années de ma vie. Notre passion n’a pas défaillit. Tout ce qui n’était pas mon amant m’importais peu. Je fus d’une fidélité qui pourrait servir d’exemple.  Le rêve finit aussi brusquement qu’il avait commencé. Un matin je reçu un émail de Robert m’annonçant qu’il se mariait. Il se mariait avec une veuve plus jeune que moi. Je passai toute une journée et toute une nuit dans un état d’hébétude. Aucune pensée ne me traversa; puis la fièvre me prit, et, durant des semaines, je fus réellement "entre la vie et la mort". Quand les sens me revinrent, j’aperçu à mon chevet mon fils, qui m’avait veillée,me dit-on avec une sollicitude d’un être cher. Cette sollicitude ne se démentit pas un instant pendant ma convalescence, et, quand mon corps et ma tête furent hors de danger, ce fut lui encore qui soigna ma pauvre âme, qui la pansa par des douces paroles par mille délicates tendresses. Moi, je pleurais sans cesse. Véritablement, sans mon fils, je n’aurais pas eu le courage de vivre.  Le jour où je crus mes forces tout à fait revenues, j’osai tenter un épreuve qui, jusque là, m’avait épouvantée. Appuyée sur le bras de mon fils je marchais jusqu’à la grande glace qui est au bout de ma chambre et je m’y regardai. Ce n’était pas moi ce que j’y vis. C’était le spectre de la jeune femme que j’avais connue vivante et vibrante, amoureuse et aimée...Je poussai un cri de désespoir; je tombai dans les bras de mon fils. Il m’y serra passionnément, et, posant sa bouche sur mon oreille, il y glissa ces paroles qui descendirent en moi comme un baume: "Tu es toujours belle, toujours jeune,toujours désirable, je t’aime" Il me serra encore plus sa bouche glissa vers la mienne . Nous nous sommes embrassés . Il me souleva me prit sur lit et entreprit de me caresser partout . Il s’attardait sur mes seins que j’avais mis hors de mon corsage. Il me teta avec application. Je me levai et pris les opérations en main . jE lui enlevai sa chemise et lui caressai son torse puissant . SANS ATTENDRE je lui défait le pantalon et me saisit d’un sexe qui était fort appréciable.Je le pris à deux mains et le promenait sur mon visage , sur mon cou,entre mes seins. J’ai vu qu’il aimait ça.j’ai pris mes deux globes et les comprimés sur ce beau sexe.Nous avons joué comme ça un moment puis impatiente de le revoir je l’invitai à me prendre .il vint sur moi et je le guidai .Alors commença la pénétration petit à petit .Moi je poussai des gémissement de plaisir et passai mes jambes derrière son dos pour qu’il me prenne plus fort.___Oh! maman comme j’en avais envie depuis longtemps___vas-y ! enfonce le lime moi mon lucien La cadence s’accéléra . IL me triturait les seins et me dit : "ça y est je viens! je jouis! Oh! que c’est bon maman chérie"  A mon tour j’ai jouis . Nous nous sommes reposés puis son érection était plus belle à chaque fois ce fut une folle nuit avec mon Julien, mon nouvel amant.
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