Chapitre 6 : Jouons un peu Tous ensembles, nous répondirent en levant nos verres. « A une soirée mémorable ! » et burent chacun une gorgée. Je vis du coin de l’œil Laure pousser le dessous du verre de Kévin, ce qui à vrai dire n’était pas une mauvaise idée étant donné son niveau de stress. Mon assemblée est prête, il est temps pour moi de prendre les choses en main. Je leur fis signe de s’assoir sur le canapé, et m’installât entre Erika et Jean-Marie. « Bon eh bien, maintenant que nous sommes tous ici, je crois que nous devrions commencer par faire connaissance. Éric, tu veux bien être le premier ? Présente-toi rapidement et dis-nous ce que tu attends de cette soirée.-Bien sûr Ina. En tout cas je suis ravi de pouvoir enfin te voir en réel, et je voudrai te remercier de m’avoir choisi. Comme tu l’as dit, je m’appelle donc Éric, et je suis depuis plusieurs mois déjà un fervent admirateur d’Ina, qui moi et ma femme suivons quasiment quotidiennement. Pour être franc, j’attends vraiment de cette soirée qu’elle me confirme que tu es aussi chaude au lit que ce que tu laisses présager derrière ta caméra. À ton tour chérie.-Bonsoir à tous. Erika, la femme d’Éric. Tout comme lui, je suis fascinée par Ina, qui je l’espère me considère désormais comme une amie. J’espère simplement ce soir aider à lui faire passer une agréable soirée avec mon mari.-Je suis sûre que ça sera le cas Erika. » Elle me sourit en me prenant la main. Je me tourne ensuite à ma gauche pour faire face à Jean-Marie. « Hum, euh oui, moi c’est Jean-Marie, et je suis venu avec ma femme Claudine. On est venu pour la même raison.-Ce que veux dire mon mari, qui apparemment perd ses moyens aujourd’hui, ce qu’il est venu pour coucher avec une jeune fille sublime. Il phantasme depuis toujours sur les adolescentes, sachant qu’il n’a connu que moi et que nous nous sommes rencontrés après nos études. Ina, ce que mon mari n’ose pas dire, c’est qu’il attend avec hâte de vous voir à genoux devant lui pour lui prodiguer une fellation.-Je crois que pour cette demande, cela dépendra de vous ma chère Claudine. Kévin, Laura, voulez-vous ajouter quelque chose ?-C’est simple, mon frère puceau rêve de se taper mon sosie, c’est bien ça Kévin ? » Je crois qu’elle n’aurait pas pu refroidir plus l’ambiance dans la pièce, Kévin semblant désormais vouloir s’enfoncer dans son fauteuil et être à des kilomètres de cette pièce. C’est lui qui sera le premier. Je me lève pour lui faire face, et lui fait signe de se lever. Tout en lui dénouant sa cravate, je lui dis : « Kévin, ce soir, ce n’est pas à ta sœur que tu feras l’amour, mais à moi. Je me fiche de savoir si oui ou non tu as envie d’elle, mais je te promets qu’après ce que tu m’auras fait, c’est elle qui aura envie de toi. Maintenant, arrête d’être timide, et retire-moi ma robe. Je veux que tu sois le premier à voir ce que je porte en dessous. » Il ne semble pas oser, tétanisé devant moi, si bien que je prends ses mains et les pose sur mes fesses en lui souriant. « Eh bien, tu attends quoi ? La fermeture éclair est un peu plus haut non ? »
Je sens enfin ses main bouger, et chercher à tâtons la tirette, qu’il saisit et fait glisser doucement vers le bas. Ses mains, que je sens tremblantes, remontent vers mes épaules pour faire glisser les bretelles, la laissant ainsi tomber à mes pieds. Je me retrouve ainsi presque nue face à lui, mes tétons durcis par l’excitation. Son regard est plongé sur eux, pleins d’envie. « Tu aimes ce que tu vois ?-Oui Ina.-Tu aimerais les toucher, les caresser, les lécher ?-Oui Ina.-Alors tu attends quoi ? » A nouveau je prends ses mains, et les dépose directement sur ma poitrine. Sa nervosité rend ses gestes doux, tendres et légèrement maladroits. Je prends son visage entre mes mains, lui pose un baiser délicat, puis le dirige vers mon sein droit qu’il se met à téter comme un nourrisson. Cette sensation, après tant d’attente en constante ébullition, me procure un plaisir immédiat que je savoure en fermant les yeux, un petit gémissement s’échappant d’entre mes lèvres. « Hum, hum, n’étais-ce pas prévu que ce soyons nous les femmes, qui décidions du déroulement de la soirée ? » Je n’ai pas le temps de rouvrir les yeux, que Kévin s’est déjà rassit, la tête basse, rouge comme une pivoine. « Oui, merci beaucoup Laure pour ton intervention. » Tous me regardent, envieux. L’érection d’Éric déforme encore plus son pantalon, alors qu’Erika a glissé une main entre ses cuisses pour se caresser. Claudine elle, caresse délicatement le sexe de son mari, geste que ce dernier semble ignorer tant son regard est concentré sur moi, prêt à venir me dévorer. Mais c’est le regard accusateur de Laure qui me pousse à reprendre la parole.
« En effet, je vous ai informé que je ferai tout ce que vos femmes m’ordonnerons de faire. Pour commencer, je vous demanderai de noter sur les papiers que vous donnera Mika des préliminaires que vous aimeriez me voir pratiquer. Elle les tirera au sort les uns après les autres, et vous déciderez entre vous qui sera mon partenaire. Est-ce que cela vous convient ? » Tous acquiescent, sans un mot. Mika se lève pour distribuer à chacune trois feuilles et un crayon. Erika semble passionnée dans son écriture, un sourire en coin apparaissant régulièrement sur sa bouche, jurant avec l’air concentré de Claudine. Laura, quant à elle, a déjà fini d’écrire, me regardant fixement avec défis. Enfin, Mika passe récupérer les papiers et les mets dans un petit bol avant de se rassoir. « Bien alors, commençons. Mika, tu veux bien tirer le premier papier ?-Eh bien ça commence fort. À genoux, le visage proche du sexe sans le toucher, Ina masturbe pendant une minute …-Alors mesdames, qui sera l’heureux élu ? » Je les vois se pencher les unes vers les autres, discutant à voix basse. Enfin, Erika se relève et s’exclame en souriant : « Éric ! » Ce dernier semble aux anges. A genoux ce sera alors. Sans même me relever, je me mets à quatre pattes, et avance doucement vers lui, légèrement cambrée, en le regardant dans les yeux. Arrivée entre ses jambes, mes mains déboutonnent son jean, avant de le faire glisser en même temps que son caleçon. Immédiatement, sa bite dure surgit devant les yeux, et je la saisis sans attendre, ma bouche à seulement quelques millimètres de ses couilles. Elle n’est pas très grosse, 16cm je dirai mais bien dure entre mes mains. Je commence par l’effleurer de mes ongles, de haut en bas. Une goutte de pré-sperme apparait au bout de son urètre, que je décide d’étaler sur mes mains afin de les lubrifier, et de commencer des mouvements de va et viens. A chaque passage sur son gland, je resserre la pression, lui soutirant un gémissement sans équivoque. J’accélère de plus en plus, ma bouche presque colée. Je le sens se tendre, au bord de la jouissance, alors qu’aucun bruit ne nous perturbe. « La minute est écoulée Ina. » Il y était presque, heureusement. Je me relève, un peu étourdie et retourne à ma place. « Ça c’était une belle branlette. Pour le prochain, Ina, tu devras faire un lap-dance pendant deux minutes à …-Jean-Marie ! » Claudine s’est exprimée sans consulter les autres. Voyant que personne de semble émettre d’objection, je me tourne vers Mika. « Mika, pourriez-vous monter un peu le son de la musique s’il vous plait ?-Bien entendu ». Attrapant une télécommande, elle augmente le son, tout en mettant une musique plus langoureuse. Je me lève à nouveau, et me place face à Jean-Marie. Ses yeux ne semblent pas vouloir se décrocher de ma poitrine. Très bien. Doucement, je commence à bouger sensuellement au rythme de la musique, mes mains glissant le long de mon corps, tout en tournant sur moi-même. De dos, je me penche en avant et m’assoie sur les genoux de Jean-Marie, mes jambes écartées de chaque côté des siennes, bougeant le bassin pour me frotter contre sa braguette. Je finis par me retourner et me positionne en amazone au-dessus de lui. Son visage est à seulement quelques centimètres de ma poitrine et je sens ses mains se poser sur mes fesses. « Hum, hum, non, on ne touche pas. » Avec délicatesse, je prends ces dernières et les plaque contre le dossier du canapé. Je décide d’aller plus loin, et monte de haut en bas, simulant une pénétration. Il ne tient plus, et commence à chercher à libérer ses mains. « C’est finit Ina ». Il était moins une, je ne sais pas si j’aurai réussi à l’en empêcher. Pas que je n’en ai pas envie, mais ce n’est pas à moi de décider. « Maintenant, Ina, tu te feras retirer ton string, uniquement avec les dents, par … » Cette fois-ci, et encore une fois sans contestation, Erika s’exclame : « Ça, c’est pour Éric ! » Je n’ai pas le temps de réagir que ce dernier et debout, face à moi, sa queue dressée touchant mon ventre. Il commence par m’embrasser sur la joue, puis le cou. De petits baisers qui chatouille, juste suffisamment pour me faire dresser encore plus les tétons, qu’il ignore totalement, passant à mon ventre. Arrivé à mon entre jambes ses baisers se font de plus en plus rapides avant que, tournant son regard vers le mien, il ne saisisse entre ses dents l’élastique de mon string et le fasse glisser, son nez effleurant mon clitoris. Enfin, il se relève, mon string toujours entre ses lèvres, puis se rassoit et le tend à Érika. À ma grande surprise, cette dernière le porte à son visage pour le sentir, puis satisfaite, le range dans la poche du jean de son mari. « Un petit souvenir, si tu es d’accord. » J’acquiesce, puis me tourne vers Mika. Celle-ci me sourit. « Ne donnez pas tous vos vêtements Ina, où vous aurez bien du mal à rentrer chez vous en passant inaperçue. En attendant, les choses deviennent sérieuses. Ina, à quatre pattes sur le canapé, fait une fellation pendant 30 secondes à … » Oui, les choses deviennent sérieuses, et il n’y a que Kévin qui n’a pas encore été choisi. Et pourtant … « Jean-Marie ». C’est Laure qui, à ma grande surprise, vient de parler. Kévin n’a toujours pas bougé, la tête toujours basse. Je sais qu’elle position adopter. Jean-Marie lui n’a pas attendu, retirant immédiatement le bas, son sexe malgré son âge tendu fièrement. Il n’est pas plus grand que celui d’Éric, peut-être même plus petit, mais beaucoup plus large et épais. Je me dirige vers le canapé, et me positionne au-dessus d’Érika, mes fesses ouvertes à la vue d’Éric. Enfin le regard de Kévin se tourne vers moi, et c’est en le fixant que saisis d’une main la bite de Jean-Marie et la prends immédiatement de ma bouche. Je sens tous les regards posés sur moi tandis que je fais des mouvements de va et viens en lui caressant les couilles, mais il n’y a que celui de Kévin qui m’intéresse. Je veux qu’il sache que lui aussi je compte le faire jouir, peut-être même plus que les autres. « C’est finit Ina. Eh oui Jean-Marie, 30 secondes c’est court. Ah, voilà qui est intéressant. Ina, met toi debout. Ton partenaire fera glisser sur ton corps un glaçon avec sa bouche jusqu’à ce que celui-ci soit fondu. Alors, qui sera l’élu ? » Les filles, se lance des regards muets, et Claudine lance : « Kévin » Enfin, c’est son tour. Il se lève, raide comme un piquet, et se place face à moi. Mika me donne un glaçon, que je mets dans ma bouche, et articule difficilement :« Tu attends quoi, qu’il soit fondu ? » Ca y est, il a compris mes intentions, et approche ses lèvres des miennes. J’ouvre la bouche et lui donne, tout en lui caressant la langue avec la mienne, le glaçon. Il ne s’éternise pas, et commence à le passer sur mon cou, puis mes seins. Je frémis au contact de l’eau gelée sur mes tétons, tandis que des goutes coules le longs de mon ventre et se frayent un chemin entre mes lèvres intimes. Il continue à descendre, jusqu’à mon clitoris, où j’eu la surprise, plutôt que de sentir le glaçon, d’être caressée par sa langue. De dépit, je pris sa tête entre mes mains, et le tira vers moi pour l’embrasser. « Oulla, c’est chaud entre vous deux. Faites attention messieurs, ou il n’y en aura que pour lui. Ina reste debout, tu vas te faire masturber pendant 30 secondes par … -Éric !!! » C’est Laure qui a presque crié le nom. Je regarde Kévin dans les yeux pour lui faire comprendre ma déception. À peine le temps de tourner la tête qu’Éric m’embrasse en glissant une main entre mes cuisses pour commencer à jouer avec mon clitoris. 30 secondes, c’est court, et il ne perd pas de temps en enfonçant un puis deux doigts dans ma chatte. Il avait précisé être un expert dans ce domaine sur son « CV », et il n’avait pas menti. En quelque seconde, je sens un orgasme commencer à venir. Très vite un troisième puis un quatrième doigt se joignent, excitant mon vagin avec vigueur. J’y suis presque, je vais exploser. « Les trente secondes sont écoulée, veuillez retourner à votre place Éric. » Je cri presque de dépit lorsqu’il retire ses doigts pour retourner s’assoir, et c’est dans la bouche d’Érika que ces derniers finirent. Merde, j’y étais presque. « Ah, voilà qui est intéressant. Ina, à genoux, les yeux bandées, devra prendre dans sa bouche ce que son partenaire y mettra. Je rajoute une petite règle, comme récompense, si Ina trouve qui il est, c’est elle qui aura le choix de son dernier partenaire pour ce jeu. » L’idée est parfaite, et ce sera Kévin, sans hésitation. Mika se place derrière moi tandis que je me mets à genoux, et noue autour de mes yeux ce qui auparavant lui servait de ceinture. J’entends les femmes chuchoter pour décider de l’homme qui pourra profiter de moi, sans pour autant discerner le moindre mot. Enfin des pas s’approchent de moi, et je sens deux doigts s’enfoncer dans ma bouche. Ils sont longs, épais. Jean-Marie ? Les doigts sont très vite remplacés par des testicules. Je les gobe, et je les sens épilées. Qui cela peut-il être, alors qu’Éric et Jean-Marie avaient une légère toison sur le pubis. Je sens enfin le gland venir écarter mes lèvres. Il est épais, presque trop, et cette sensation je l’ai déjà connue il y a peu, j’en suis presque sûre. Deux mains se placent derrière ma tête et commencent à me donner un mouvement de va et viens. Il me pousse de plus en plus frénétiquement, et me baise littéralement la bouche, tandis que de la bave coule sur mon menton. Mon excitation quant à elle me pousse à mettre une main entre mes cuisses pour me masturber. Il finit par enfoncer entièrement son sexe au fond de ma gorge en me maintenant la tête, m’obligeant à respirer par le nez pour le pas étouffer. « Voilà qui devrait suffire, veuillez vous rassoir. Voici de quoi vous essuyer monsieur, nous ne voudrions pas faciliter la tâche de votre hôte en laissant des indices non ? ». Avec délicatesse, je sens Mika détacher mon bandeau. Toujours à genoux, je vois mes amants en face de moi, Éric et Jean-Marie en train de se masturber, alors que Kévin est lui toujours habillé. « Eh bien Ina, avez-vous une idée sur l’identité de votre partenaire ?-Oui Mika, je crois bien que c’était Jean-Marie ». Elle se dirige vers moi, un mouchoir à la main, et tout en m’essuyant la bave sur mon menton, s’exclame. « Parfait, une vrai experte. Alors, qui sera votre dernier amant pour ce jeu ?-Sans hésitation Mika, ça sera Kévin ». Ce dernier me lance un regard, plein de crainte et d’appréhension. « Vous ne pouviez faire de meilleur choix. Eh bien, regardons ce dernier papier. Ina, vous êtes une veinarde. Kévin, de toutes les manières que vous voulez, sans pénétration bien sûre, allez faire jouir Ina. » Enfin ! Je m’approche de lui, et m’assoie à califourchon sur ses genoux. Je sens sous le tissu serré de son pantalon, une bosse phénoménale qui me donne envie de lui arracher ce bout de tissus qui l’enserre. Son regard se plonge dans le mien, et avec une soudaine vigueur, il se lève et me porte, pour m’allonger sur le canapé. Sa main glisse sur mon corps, se dirigeant vers mon antre, tandis que sa bouche vient à nouveau exciter mes tétons. Il est hésitant mais doux, caressant mon clitoris dans un massage exquis. Il enfonce un doigt, puis deux, qu’il fait tourner dans mon vagin. Toute hésitation semble l’avoir abandonné, et avec fougue, il précipite sa tête entre mes cuisses. Il me lèche, comme un fou, comme s’il n’avait rien mangé depuis des mois, m’arrachant à chaque coup de langue un nouveau gémissement de plaisir. Ses doigts, eux, sont toujours en moi, mais leur douceur ont fait place à un acharnement nouveau. Je mouille de plus en plus, et il doit le sentir tant son énergie augmente de secondes en secondes. J’y suis presque, me cambre, et enfin, agitée de mouvements incontrôlables, je jouis d’un orgasme fulgurant et d’une puissance incroyable. Il dure, alors que Kévin ne semble toujours pas être rassasié de ma cyprine. Je n’en peux plus, me relève, le pousse à son tour pour l’allonger sur le canapé. Et tout en me plaçant au-dessus de lui, mes mains cherchant à tâtons le bouton de son pantalon, oubliant tout le contexte dans lequel nous nous trouvons, je lui ordonne : « Baise-moi ! »
