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Junon - Sexe et guerilla

Chapitre 1

Trash
(Récit que j’ai publié sur un autre forum que je fréquentais précédemment, et légèrement remanié)**
Dans un pays lointain nommé Ixstoria, un peuple a pris les armes pour lutter contre la dictature et la corruption. Après trois ans de lutte acharnée, la bataille décisive se joue dans la capitale, Sextra, où les insurgés affrontent les troupes demeurées loyales au gouvernement.
*****


    La progression dans le centre-ville de Sextra, quoique coûteuse en vies humaines, avait été menée tambour battant par la redoutable Junon. Unique officier féminin de l’Armée des insurgés, sa poigne de fer était au moins aussi réputée que son incroyable beauté. La reconquête de la ville, décisive dans cette guerre, était sur le point d’aboutir lorsque la Guerillera -c’est ainsi qu’on la surnommait parfois - tomba à la tête de ses troupes face à une barricade bloquant l’accès au centre névralgique des opérations adverses. La prise de ce secteur signifiait, à n’en pas douter, la victoire finale. Une mitrailleuse et quelques mortiers, cachés derrière une fortification et dotés d’un bon angle de tir sur toute l’avenue principale, étaient le dernier rempart à franchir pour que triomphe la démocratie. Et l’ennemi n’entendait pas laisser les forces de Junon recevoir si facilement les lauriers de la victoire.


    Pris sous une grêle de balles et d’obus, la belle et ses fantassins n’étaient qu’à cent mètres tout au plus de leur cible. Mais le feu roulant adverse bloquait toute velléité d’assaut. Chaque homme qui osait sortir du trou où il avait pu trouver refuge se faisait littéralement cisailler par les projectiles adverses. Peu à peu, Junon voyait ses hommes tomber. Certains agonisaient en déversant leur tripes sur le bitume fissuré, et d’autre étaient vaporisés instantanément dans l’une ou l’autre explosion tombant du ciel comme une pluie de mort. Ce chaos indescriptible n’était que vacarme et sang. Impossible de donner des ordres pour une action claire. La Guerillera cherchait désespérément une faille à exploiter. Depuis le cratère d’obus où elle s’était couchée, elle ne pouvait qu’entrevoir ce qui se déroulait aux alentours. Il était évident que l’ennemi l’avait prise, elle, la chef héroïque de la résistance, pour cible prioritaire. Il suffisait qu’elle pointe le moindre millimètre dans son corps hors de son refuge pour voir fuser les balles autour d’elles. Pourtant le temps pressait. Chaque seconde passée dans cet zone mettait en danger toute la troupe. Elle vit, sans pouvoir les aider, une petite escouade de ses guerriers parvenir à s’approcher du camp ennemi. Ils réussirent à se positionner derrière un tas de décombres, proche de son refuge.
    Dans une tentative aussi courageuse que désespérée, un soldat sortit une grenade de sa besace. D’un geste il fit comprendre qu’il avait besoin d’un tir de couverture pour jeter son projectile derrière la barricade adverse, et aussitôt, Junon épaula son fusil-mitrailleur pour canarder la meurtrière d’où l’engin de mort crachait une grêle de balle. Risquant le tout pour le tout, le grenadier quitta sa position retranchée et d’un bond, se plaça à portée de lancer. Il dégoupilla son "ananas", fléchit le bras pour prendre son élan...et fut fauché par une rafale de mitrailleuse. Chutant à la renverse, il laissa la grenade dégoupillée s’échapper de sa main et rouler en direction de Junon. Celle-ci, sous le feu ennemi, ne pouvait rien faire si ce n’est regarder la mort s’approcher d’elle sous le crépitement des impacts.


    Au moment fatidique, un autre soldat, sorti de nulle part, se jeta sur la grenade dans un roulé-boulé, s’en empara et la jeta de toutes ses forces en direction de la barricade. Il était temps! Quelques centièmes de seconde après, arrivé au plus haut point de sa trajectoire, à mi-chemin entre le valeureux lanceur et la ligne ennemie, le projectile explosa en l’air, projetant forces alliées et ennemies à terre. Junon vit son sauveur être projeté en arrière par la déflagration et se retrouver étalé à terre tout près d’elle. Elle n’entrevit, dans le souffle de l’explosion, que le nom "Explorer" écrit en grand sur l’écusson qui ornait son épaule. Le vaillant combattant ne présentait pas de signe de blessure mais gisait sur le sol, complètement assommé. Junon ne s’intéressa pas davantage à lui, mais plutôt au cours de la bataille. Elle vit tout autour d’elle, et y compris sur la barricade adverse, que tous les soldats reprenaient à grand peine leurs esprits à la suite du "shell shock". Il n’y avait pas un instant à perdre: Junon émergea de sa tranchée et fonça sur la position renforcée, suivie par les quelques soldats que la déflagration n’avait pas assommés ou assourdis. Elle escalada les obstacles et se trouva alors au dessus des servants de la mitrailleuse, qu’elle tua sans sommation d’une courte rafale. Elle tira encore et encore sur tout ce qui bougeait, avançant implacablement sur la ligne adverse. Menés par une Junon ivre de sang, les insurgés s’emparaient mètre après mètre de la position ennemie. En quelques minutes, les forces opposantes furent massacrées, et pour mettre un terme définitif au tirs de l’ennemi, la Guerillera tira sur le stock de munition qu’ils conservaient dans un recoin de leur ligne renforcée.


    Explorer, toujours à terre, ne releva la tête que pour voir une violente explosion embraser la barricade. Il comprit aussitôt que la bataille était gagnée. Un silence de mort s’abattit sur le champs de bataille, à peine rompu par les cris de blessés agonisants. Puis on vit émerger Junon au sommet de la barricade. L’explosion l’avait couverte de crasse noirâtre, et la veste de son uniforme était partiellement déchirée et brûlée, ouverte de telle sorte que ses seins n’étaient plus guère cachés. Elle trônait au sommet des fortifications calcinées, et admirait avec une fierté hautaine son oeuvre de mort. Alors, pour signifier à tous la fin victorieuse du combat, elle prit au porte-drapeau de l’escouade son fanion et l’agita vers le ciel. Instantanément, les hurlements glorieux des survivants se firent entendre!

    Seul Explorer, se relevant avec peine, ne s’époumonait pas. Membre de la Légion du Nord, surnommée à très juste titre "Légion sanguinaire" après la terrible bataille de Saint-Helm, la victoire lui était bien égale. Les guerres menées au nom de la politique n’étaient pour lui qu’un vaste mensonge, auquel il participait plus volontiers pour laisser libre cours à sa violence que pour une cause dite "noble". A voir Junon, les seins nus, portant le drapeau au sommet de cette barricade sous les yeux émus de toute la compagnie, il pensait moins à la victoire de la démocratie qu’à la satisfaction de ses envies primaires...En transe, extatique, la Guerillera secouait de gauche à droite le fanion de la victoire, puis elle jeta un regard contemplatif à sa troupe, à tous ces hommes qui s’époumonaient en hourrah. Dans la foule des regards anonymes, ses yeux croisèrent ceux de Explorer. Elle perçut en lui quelque chose de différent. Là où l’on ne voyait qu’admiration dans les visages, elle vit en cet homme qui l’avait sauvé d’une grenade, une émotion bien différente. Quelque chose d’animal. Quelque chose qui suintait l’adrénaline, la dopamine et l’ocytocine. Un mélange détonant que l’on nomme aussi désir, fougue et rage. Comme si, lui ayant évité un trépas sanglant, il s’octroyait, pour toute récompense, le droit de la prendre.


    Puis, soudainement agrippée, levée et portée en triomphe par les fantassins de la révolution, elle perdit de vue son étrange sauveur. La foule l’emportait dans un brouhaha général. Elle eut toutes les peines du monde à se dépêtrer de cette marée humaine, peut-être parce que les soldats prenaient plaisir à poser leurs mains sur elle. Chaque homme de la compagnie vint aider à la lever vers le ciel. Beaucoup aidaient en portant son fessier, d’autres tentaient de toucher ses seins. Occupée à tenir sa veste d’uniforme déchiquetée fermée pour cacher sa poitrine, elle luttait à grand peine. Elle ne toucha finalement le sol à nouveau que lorsque les officiers, à force d’ordres hurlés et de discours enflammés, parvinrent à capter l’attention générale. Les hommes n’eurent soudain plus aucun intérêt pour l’héroïne du jour lorsque le commandement clama, dans les haut-parleurs installés sur les blindés, que la solde des guerriers serait doublée en célébration de cette victoire. Chacun pourrait rentrer chez lui, chacun serait couvert de gloire, chacun serait riche après la guerre...Ces vaines promesses, Junon n’en avait cure. Elle profita de ce que la joie des hommes les emportait vers d’autres sujets pour s’éclipser à l’abri des festivités, des mains baladeuses et des vivats. Tout cela n’était que futilité au yeux de celle qui avait tant de fois frôlé la mort.


    Subrepticement, elle faussa compagnie aux troupes, et alla s’asseoir au calme dans un nid de mitrailleuse abandonné. Perdue dans ces pensées quant au carnage qui venait d’avoir lieu, Junon entreprit de rassembler ses munitions et de résoudre l’enrayement de son fusil. Elle n’entendit pas venir derrière elle un soldat isolé. Alors qu’elle se penchait sur la culasse de son arme, une main vint brutalement se plaquer sur sa bouche tandis qu’une autre lui déroba son fusil. La guerrière porta la main à sa ceinture pour agripper son poignard, mais l’agresseur lui saisit le poignet et lui fit une clé au bras. Elle se retrouva en fâcheuse posture et comprit avec angoisse les intentions du soldat lorsqu’il commença à lui toucher un sein sous sa veste, en l’embrassant de force dans le cou. Mais tandis qu’elle luttait désespérément, un coup sourd se fit entendre derrière elle, et la tentative de viol cessa instantanément. L’homme qui tentait de lui nuire s’effondra à côté d’elle. Elle recula en rampant sur son postérieur, repoussant l’agresseur avec ses pieds, et vit Explorer bondir sur lui, une pierre dans la main. Avec une violence que seuls les temps de guerre connaissent, le sauveur de Junon fracassa le crâne de la brute coup après coup. Les sons sourds devinrent des bruits de craquements humides lorsque la pierre entama l’os, et un ultime assaut fit jaillir un morceau de cervelle ensanglanté. Le liquide rouge et chaud inonda le sol jonché de délabres et macula le pantalon d’Explorer qui, bien qu’ayant tué sa proie, continuait frénétiquement de réduire sa tête en purée. Il leva la pierre dégoulinante d’hémoglobine une ultime fois, mais constatant qu’il ne restait plus grand chose à fracasser, la jeta aux pieds de Junon. Il la regarda, essoufflé et grimaçant, tandis qu’elle se relevait sans un mot. Pas un remerciement, pas même une trace d’émotion dans ses yeux. Elle lui tourna le dos et s’avança à l’intérieur de l’hôtel délabré qui dominait la rue.


    La moitié de la façade du bâtiment s’était écroulée, mais la porte principale tenait toujours debout. Elle entra à l’intérieur, suivie de quelques pas par Explorer. Il la perdit de vue au moment où elle passa le seuil de l’entrée, et marcha d’un pas leste pour la rattraper. A peine eut-il à son tour pénétré dans l’hôtel qu’un couteau vint se poser sous sa gorge. Un bref instant, il échangea un regard avec Junon, qui le tenait en respect. Puis promptement il la frappa au bras pour éloigner cette lame de son cou. Elle riposta par un coup de poing porté au visage, qu’il bloqua tout aussi rapidement dans la paume de sa main. Elle tenta de lui porter un coup de couteau au ventre mais il lui agrippa l’avant-bras. Bloquant ainsi les deux mains de la belle, se tenant tout contre elle, il l’embrassa de force sur la bouche. Elle le mordit jusqu’au sang pour toute réponse. Explorer lâcha sa proie et recula. Il porta sa main à sa lèvre inférieure pour constater qu’il saignait. Junon le saisit à la gorge sans lui laisser le temps de réagir, posa sa bouche sur sa lèvre pour téter son sang en l’embrassant d’une bien étrange façon. Explorer sa laissa brièvement faire avant de la repousser en la giflant au visage. Elle lui donna une claque brutale en retour. Un bref instant, l’un et l’autre attendirent mutuellement une réaction, prêts à bondir, à frapper, à mordre...Puis comme rien ne se passait, Junon cracha dédaigneusement le sang qu’elle avait sucé de la bouche d’Explorer, et tourna les talons. Mais il ne l’entendait pas de cette façon...


    Il la tira par le bras dans un couloir au hasard, et la plaqua contre un mur de tout son poids pour l’y embrasser langoureusement. Forçant l’entrée de sa bouche sans vergogne, il eut le temps de faire trois tours de langue avant qu’elle ne le repousse en le giflant contre le mur opposé. C’est alors elle qui sauta sur lui. Elle s’accrocha à ses épaules et noua ses cuisses autour de ses hanches, ne laissant à Explorer que le temps de lui agripper les fesses. Elle prit alors avantage de ce corps à corps pour insérer à son tour sa langue dans la bouche de son amant, qui n’offrit aucune résistance. Elle prit le temps de gouter à ses lèvres, avant d’y glisser sa langue aussi profondément qu’elle le pouvait. Explorer lui palpait les fesses sans retenue. Il la laissait mener la danse entre leurs bouches, enroulant sa langue à la sienne pour se laisser guider. Mais son esprit n’était plus obnubilé que par une seule chose: enfoncer son sexe dans cette chatte brulante, qu’il devinait du bout des doigts à travers le tissu du pantalon de Junon.


    Rassemblant ses forces, il bondit pour revenir contre le mur initial y coincer de nouveau son amante qui poussa en gémissement en sentant son dos heurter les briques branlantes du couloir dévasté. Cela plut à Explorer. Il éprouva une certaine puissance en voyant qu’il pouvait faire mal à sa partenaire. Il voulait lui montrer ce qu’était un homme viril. Il voulait se faire le maître de l’invulnérable Junon, que tant d’yeux ont convoitée sans qu’aucune bouche masculine n’ait, disait-on, jamais pu la toucher. Alors, comme s’il la pénétrait, Explorer faisait onduler son bassin contre celui de la belle. La grosse bosse rigide qui déformait son pantalon venait heurter l’entre-cuisse de Junon, dont le dos, à chaque assaut, ripait contre le mur. Elle poussait de petits gémissements de douleur nimbés d’un plaisir diffus. Sa fente se faisait humide sous le frottement féroce du tissu militaire. Sa vulve s’ouvrait de plus en plus en recevant les coups de rein assénés par Explorer. Cette barre rigide, dont le volume laissait peu de place à l’imagination à travers le pantalon, suscitait un désir animalesque chez Junon. Elle ne tenait plus: griffant le torse de son mâle pour que la douleur le fasse cesser, elle parvint par un habile jeu de hanches à se libérer de son emprise et à reposer pied à terre. Explorer l’attrapa néanmoins par le poignet, puis l’emmena vers la porte la plus proche, qu’il défonça d’un violent coup de pied. Tirant la Guerillera sèchement à lui, il la poussa à l’intérieur.
    La pièce était sans doute, avant la guerre civile, une magnifique petite chambre d’hôtel. Une explosion avait fait s’effondrer le mur du côté ruelle, laissant le jour pénétrer par un trou béant, et la poussière s’était vaporisée sur le grand lit dont la couverture rouge n’étaient plus désormais qu’un amas de débris grisâtre. Un petit bureau avait résisté à la dévastation, mais tout ce qui avait pu être posé dessus n’était plus que poussière et désordre sur le plancher bancal.


    Explorer passa dans le dos de Junon et lui embrassa la nuque et le cou de force. Elle se tortillait pour lui échapper, mais l’homme la tenait d’une poigne ferme. Sa bouche lui harcelait la joue, l’oreille, la gorge. Elle parvint à tourner la tête suffisamment pour lui échanger un baiser qu’elle acheva par une cruelle morsure sur la lèvre inférieure. Explorer eut un glapissement de surprise et de douleur qui décrocha un ricanement insolent à son amante. Il la retourna pour lui faire face et lui saisit les seins sous les lambeaux de sa veste. Ses grandes mains, rudes et audacieuses, enveloppèrent la poitrine de la belle et la pressèrent éhontément. Elle lança un regard de défi à Explorer en posant une main en représailles sur son entre-jambe. Elle se mit à malaxer ce qu’elle devinait être ses couilles à travers le pantalon avec le même comportement, bestial et prédateur, que lui prenait pour malaxer ses seins. Il y plongea son visage et embrassa cette poitrine opulente sans aucune retenue. Le nez au chaud entre ces collines, il promenait sa langue alternativement à gauche et à droite avant de dévier sur le téton droit de Junon pour le sucer avec gourmandise.


    La Guerillera ne se laissa pas désemparer. Elle agrippa la chevelure d’Explorer et l’étouffa dans ses seins. Il prit d’abord cela pour un jeu et gaspilla son souffle à embrasser la peau de son amante goulument, mais il comprit bien vite qu’il lui faudrait lutter pour sortir de cette entrave, sous peine d’être asphyxié. Il poussa alors Junon pour la faire choir sur le lit qui se tenait derrière elle, et brisa sa prise en se retrouvant au dessus d’elle. Profitant du déséquilibre, il se saisit des poignets de la belle pour lui tenir les bras tous deux à l’équerre. Il termina alors ce qu’il avait entreprit et téta le sein gauche de la fière guerrière, qui luttait à peine et gémissait au contact de cette bouche virile sur la pointe de son buste si généreux.


    Il se décala tout en léchant son sein afin de venir à genoux à côté d’elle, sans toutefois la laisser se redresser. D’une main ferme, il la saisit à la gorge pour l’étrangler et la plaquer dans le matelas crasseux. L’autre main, sa main droite, la plus agile, celle qui avait tant donné la mort en pressant une gâchette, il l’enfonça sous le pantalon kaki de la belle, et lui caressa énergiquement la chatte sans autre forme de procès. Elle ne portait rien sous son uniforme, et déjà, Explorer pouvait sentir un petit filet de mouille perler sous ses doigts. Cela ne l’encourageait que davantage à frotter la vulve gonflée de Junon, dans un mouvement circulaire endiablé qui passait de ses lèvres vaginales à son clito en glissant agilement. Il prit un instant pour titiller particulièrement ce petit bourgeon d’amour sous la pulpe de ses longs doigts, n’hésitant pas à le vriller en tous sens, avant d’enfoncer sans prévenir son majeur et son index dans la fente brûlante de son amante, et à la marteler bestialement.


    Elle hurla de surprise et de plaisir et en faisant aussi soudainement pénétrer, mais Explorer, craignant que les soldats passant par la ruelle adjacente n’entendent ce cri, posa sa bouche sur celle de Junon et l’embrassa sensuellement pour la faire taire. De sa langue, elle repoussait ce baiser, mais de ses mains, elle agrippait de nouveau la chevelure de son amant pour qu’il ne la quitte pas. Il lui enfonçait ses doigts aussi profond qu’il le pouvait, plaquant sa paume de main sur le clitoris turgescent de la belle en tachant de toucher le fond de son vagin. Là, il tortilla ses doigts en tous sens pour visiter chaque recoin de l’antre humide qui s’ouvrait un peu plus à lui. Son pouce se posa exactement sur le bouton à plaisir de la Guerillera et le fit rouler tandis qu’elle était caressée de l’intérieur. Même en lui roulant des pelles avec une fougue presque rageuse, Explorer ne parvenait pas à masquer les gémissements sonores de la belle. Il décida alors qu’il était temps de la baiser vite et fort, avant que ses éclats de voix n’attire des curieux. Il se leva du lit, profitant de sa torpeur, et lui retira son pantalon pour dévoiler sa fente trempée. Puis le rustre soldat défit la chemise de son uniforme, qu’il jeta dans un coin, puis desserra la boucle de sa ceinture dans un cliquetis sonore, laissant tomber son pantalon sur ses chevilles avant de le retirer avec empressement. Les impressionnantes cicatrices qui parsemaient son torse robuste, mais peu épais faute de manger à sa faim, n’attirèrent que brièvement les yeux de Junon. Déjà son regard se fixait sur l’énorme sexe dressé de son amant. Gonflé et rigide, les veines à fleur de peau, cet épieu lui sembla aussi menaçant qu’une matraque. Elle eût un mouvement de recul quand Explorer saisit son engin à une main pour le guider vers sa chatte. Mais le redoutable soldat eut tôt fait de venir à elle, de la plaquer d’une main impérieuse sur le lit, et d’enfoncer ce gland massif entre ses chairs délicates. Un coup de rein violent acheva le travail en propulsant sa hampe vigoureuse dans les tréfonds du bas-ventre de la guerrière.


    Promptement, le mâle déchaîné trouva ses appuis en agrippant les hanches de Junon, qui ouvrait les cuisses en grand afin de se faire plus accueillante pour le chibre massif qui la remplissait. Les mains autour du ventre de la belle comme les serres d’un oiseau de proie, Explorer se mit à osciller frénétiquement du bassin pour la culbuter bien à fond. Combinant l’amplitude offerte par la position, et la force décuplée par son propre poids en assénant des coups de reins, il limait la pauvre Guerillera de toute sa hardiesse, et de toute la longueur de son membre. Son gland heurtait les tréfonds de la belle qui encaissait cette fougue en criant sans retenue. Et plus elle criait, plus il la baisait comme une brute. Il cherchait à la faire jouir comme d’autre creusent en quête de pétrole. La profondeur de ses assauts dans le vagin de Junon n’avait d’égale que leur cadence effrénée.


    Le pilonnage frénétique dura pendant de longues minutes. Le torse d’Explorer, contre lequel ballottaient les seins de Junon, luisait de transpiration tandis qu’il râlait et grognait comme une bête. Elle s’évertuait à le regarder avec insolence, lui signifiant qu’il pouvait continuer de la buriner à loisir, mais son expression crispée traduisait nettement les sensations exacerbées que lui procurait le martèlement de sa chatte par un phallus aussi surdimensionné. Néanmoins, forts de ses instincts guerriers, Explorer n’entendait pas se laisser toiser de la sorte par cette téméraire femelle. Il comptait bien la conquérir, la soumettre, l’asservir. Il recula un tantinet, vidant la chatte de Junon subitement, et avec une force décuplée par le bouillonnement d’hormones, il retourna la soldate littéralement comme une crêpe. Avant qu’elle n’ait compris, elle se retrouva à quatre pattes, la croupe proéminente et la tête dans la poussière du matelas délabré. Elle tenta bien de s’échapper, mais son tortionnaire sexuel eut tôt fait d’attraper ses cuisses et de les entraver de ses mains puissantes, assénant à la belle une fessée sonore comme un avertissement contre toute tentative de rébellion.


    Décrire ce qu’elle ressentit alors n’est pas tâche aisée. Une grosse barre rigide s’engouffra dans son vagin tandis que les mains d’Explorer bloquaient ses hanches, de sorte qu’elle reçut pleinement le choc de son membre bandé au fond de la chatte, sans aucun amortissement. Un claquement de chair humide retentit, provenant à la fois du choc entre le ventre masculin et le cul féminin, et de l’assaut des testicules gonflées contre la vulve écartelée. Junon eut d’abord le souffle coupé, puis un cri émana de sa gorge. Elle sentait son sexe rempli au-delà du possible. Et Explorer ne bougeait plus, il maintenait son organe virilement planté au fond d’elle comme un drapeau sur une terre conquise. Puis, telle une machine se mettant en marche, implacablement, il commença à osciller du bassin pour limer la fente de sa proie.


    Les mouvements amples du guérillero accélérèrent puis se maintinrent à une cadence solide. Le rythme était soutenu, les assauts très agressifs. Encaisser un tel volume dans son intimité n’était pas chose facile pour Junon. Tantôt cela générait, depuis les tréfonds de son ventre, un déferlement de plaisir qui la faisait gémir. Tantôt, quand Explorer assénait avec rage un coup plus intense que les autres, elle croyait sentir ses chairs se déchirer sous la pression qu’exerçait le phallus de son amant en elle. Le résultat de cette cascade de plaisir et de douleur se mut bientôt en un orgasme incontrôlable qui fit hurler l’héroïne pourtant si taciturne. Cela motiva encore davantage son mâle à la mettre à mal en lui martelant la chatte à grands coups de son viril madrier. Il lui faisait l’amour comme un animal en rut, déchaîné par les cris de jouissance qu’elle poussait sans discontinuer. Peu importait à Explorer, à présent, qu’on puisse entendre leurs ébats dans la ruelle, pourvu que chacun de ses coups de queue frénétique soit couronné d’un hurlement suraigu. Rien ne semblait pouvoir apaisé la guerrière dans son plaisir ou le guerrier dans sa fougue, si ce n’est, après cet interminable martèlement, la fatigue des muscles.


    Après un ultime assaut, Explorer, trempé de sueur sur laquelle la poussière de la pièce dévastée venait se coller, resta planté au fond de la croupe de son amante, et s’effondra sur elle pour reprendre son souffle. Puis au bout d’une petite minute, il sortit son organe de l’antre soyeuse et se laissa choir à côté de la belle. Il pensait, en s’affalant sur le matelas, qu’il ne prenait aucun risque à se reposer un peu, et qu’elle peinerait au moins autant que lui à retrouver ses esprits, mais là fut son erreur. Junon n’eut qu’une enjambée à faire pour s’installer à cheval sur l’homme qui venait de saccager son vagin. Elle planta ses ongles dans le torse scarifié de son amant, et guida d’une main son membre imposant de retour dans sa chatte brûlante. Loin d’avoir été rassasiée, elle comptait bien s’offrir un second orgasme...en prenant cette fois les commandes des opérations. Lessivé par ses efforts, Explorer s’abandonna à sa cavalière, laissant sa tête renversée en arrière et ses bras grands ouverts sur le matelas, prêt à subir le plaisir d’une folle cavalcade sexuelle. Mais la guerrière aux seins nus n’entendait pas laisser sa monture profiter paisiblement du spectacle. Ses ongles, comme des griffes, torturaient la chair de son amant. Elle laissa choir si fort son bassin pour s’empaler sur le dard dressé d’Explorer que ce dernier eu un mouvement de défense en contractant ses muscles abdominaux. Son gland venait de s’enfoncer dans les tréfonds étroits de la belle. Junon le plaqua dans le lit grinçant à la seule force de ses doigts plantés dans le torse de sa victime. Puis elle se mit à osciller des hanches en tous sens, ses ongles suivant le même mouvement et visitant la chair d’Explorer. Plus il tentait de résister, et plus les fesses de la belle remuaient, tantôt de bas en haut comme pour clouer l’amant supplicié dans le lit, tantôt d’avant en arrière pour faire visiter à son sexe les recoins inexplorés de la chatte étroite qui le détenait en elle.


    Entre les griffes de la Guerillera, Explorer devait se contenter de subir. Elle le chevauchait en prenant plaisir à lui donner de violents coups de reins. Elle ressentait son membre l’empaler en s’asseyant dessus à chaque fois, puis elle le laissait ressortir doucement avant de s’abandonner à nouveau à la gravité pour mieux le recevoir dans la profondeur de son vagin. Elle s’octroyait tout le plaisir en forniquant avec cet épieu dressé, et offrait à Explorer un mélange de torture et de plaisir. Elle pénétrait sa peau comme il pénétrait sa fente: rudement, profondément, bestialement. Il luttait sans vraiment résister, voulant montrer à son amante qu’il savait endurer. Pire! Il lui assénait de puissants coups de bassin par en dessous pour la fourrer davantage qu’elle ne pouvait recevoir. Elle retira alors ses ongles et pris appui sur ses épaules pour déchaîner la fureur de son entre-cuisse. La chevauchée devint épique, tout le lit délabré en subissait les conséquences. Les grincements se firent des craquements tandis que Junon montait en descendait frénétiquement sur la dague virile d’Explorer. Ce dernier lui agrippa les seins et les malaxa sans vergogne. Il titilla ses tétons. Il la savait proche de hurler son plaisir et n’allait pas se priver de l’y encourager. Il entreprit de la marteler par en dessous, et, pareil à une mitrailleuse déversant une pluie de balles, il gratifia la Guerillera d’une pluie d’assauts enragés. Le claquement frénétique et humide des testicules du mâles sous les fesses de la belle fut bientôt couvert par des gémissements difficilement réprimés. Pendant une ou deux minutes, Gourmande se senti défaillir, ses yeux se fermèrent, ses mains se crispèrent et sa fente s’ouvrit comme une fleur perlante de rosée pour se faire matraquer. Explorer donna ses dernières forces dans ce déferlement de sensations, et Junon senti que sa jouissance, à lui non plus, n’était pas éloignée. Alors, le regard embrumé par les effets de l’orgasme, elle se leva du membre de son amant, s’agenouilla à côté de lui et englouti son sexe dans sa bouche.


    Avant que le mâle n’ai comprit, son sexe était déjà empoigné d’une main ferme et son gland était aspiré dans la bouche de Junon. Pas question de subtilité: la belle oscillait de la nuque pour monter et descendre tout en branlant la base de cette hampe vigoureusement. Elle suçait Explorer si fort et si brutalement que parfois ses dents ripaient sur le gland massif de son épieu, lui arrachant un râle de douleur entre deux cris de plaisirs. Elle adorait ça, et resserraient parfois ses dents pour le seul plaisir de faire insidieusement souffrir son partenaire du bout de ses incisives. Mais cela n’empêcha pas le rugueux soldat de sentir ses testicules bouillonner d’un spasme incontrôlable. En sentant son membre se raidir, Junon le suça avec une frénésie renouvelée. Sa bouche se mua en ventouse que rien n’aurait pu empêcher d’emprisonner le sexe d’Explorer. Celui-ci, ne pouvant plus résister, déversa de puissants jets de sperme brulants sur la langue de sa sensuelle tortionnaire. Il n’en finissait pas, jet après jet, de remplir la bouche de Junon, et elle ne cessait pas un instant de lui sucer la queue rageusement.




    Lorsque la dernière goutte de foutre eut été aspirée hors des bourses du soldat, la Guerillera se releva, avala tout en déglutissant, s’essuya la bouche du revers de la main, attrapa ses vêtements déchirés et s’en alla sans un mot ni un regard à Explorer. Lui, épuisé et envahi par le plaisir, la regarda avec circonspection. Il ne tenta pas de la retenir...il savait qui était Junon. Il resta un instant étalé sur le lit, se remettant plus difficilement de ses émotions que de l’explosion de grenade dont découlait, finalement, toute cette histoire.



    Elle savait que désormais et à jamais, elle hanterait les rêves les plus inavouables de cet homme qui tour à tour l’avait sauvée et baisée. Explorer ne sut jamais vraiment si elle lui avait infligé le souvenir éternel de cette étreinte pour le punir de l’avoir désirée...ou le récompenser de l’avoir protégée...
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