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Jupiter, Bribri d'amour et leurs copains...

Chapitre 2

Vraiment rien à voir avec ce que nous avons chez nous !

SM / Fétichisme
Le cortège se déplaçait doucement sous le crépitement des flashs, en direction de l’immense salle où devait se tenir les festivités lorsqu’ils se firent apostropher…— Baiseuses, baiseurs… vous vous faites spolier le fruit de vos orgasmes et votre jouissance par les grands fornicateurs capitalistes, les banques de sperme, le monde de la pornographie… et tous les autres exploiteurs en tout genre du sexe ! Oui, oui, oui… Ils sont tous là devant nous, les salauds… Coupons-leur la bite ou le clito, émasculons ces obsédés sexuels, ces pervers et autres dépravés !... Oui, oui, oui… Et puis ensuite, une fois que vous en aurez terminé avec ces grands proxénètes du CACA40, baisez-moi comme une grosse chienne en chaleur !...
[Ndr : Je dois vous avouer, chers lecteurs, que malgré toutes mes recherches sur le sujet, je suis bien incapable de vous dire ce qu’est exactement le CACA40 !? Est-ce une congrégation de scatophiles ?... Mystère ?!]
Enfin, revenons à notre histoire !C’était une femelle grande et maigre, à l’allure dégingandée, qui vociférait tout en pointant du doigt le valeureux Jupiter. Juste derrière elle, un petit comité d’excités qui agitaient des drapeaux rouges et scandaient des slogans à l’encontre de la caste dirigeante…   
— D’où elle sort, celle-là ?!— Mais, monsieur Jupiter, elle fait partie des invités… c’est…— Je sais très bien qui c’est !... C’est juste que je ne supporte pas ces cloportes, ces déchets de la société, ces illettrés et autres alcooliques qui veulent nous empêcher de vivre pleinement notre luxure entre gens de bonne société !Et puis s’avançant vers le groupe de perturbateurs, il s’adressa à l’un d’entre eux de façon hautaine...— Vous croyez que vous m’intimidez, avec votre boxer qui laisse penser que vous êtes membré comme un âne ?! Mais moi, j’ai un string vibrant et la vraie « Agent 69 », moi !... Commencez déjà par baiser dur comme je l’ai fait toute ma vie… pour pouvoir vous offrir un vrai costume de Zorro comme moi !— Euh… chéri… le costume de Zorro… je crois que… enfin, c’est moi ta Bribri d’amour, qui te l’ai offert pour ton dernier Noël !... Et puis pour ce qui est de baiser dur… euh… pas tout le temps quand même, mon petit bichon !...— Mais… euh… chérie !?...
Jupiter venait de se faire prendre en flagrant-délit de mensonge devant tous ses copains et il n’aimait vraiment pas ça. Sa pression intérieure était en train de monter et il était tout proche d’exploser, de faire une grosse colère… mais heureusement, madame Nobody vola à son secours tout en fixant avec gourmandise les attributs virils du syndicaliste en face d’elle, obnubilée par la taille de ceux-ci.— Arrêtez, hein ! Parce que nous d’abord, nous savons vraiment ce que c’est le sexe… plus que vous ! Et puis qu’avec mon mari, nous avons fait des partouzes et visité des clubs échangistes en pleine campagne… hein mon roudoudou, que c’est vrai ?! Que même j’y allais toute seule des fois… et que je me faisais baiser par plein de blacks et de rebeus en gang-bang !— Ah, toi aussi ?!... Moi, j’ai toujours fantasmé sur les grosses queues d’arabes mais il ne fallait surtout pas que mon petit papounet l’apprenne car il aurait à coup sûr tourné de l’œil. Tu me diras, il m’a reniée quand il a appris que j’avais un ami pédé…Puis, se tournant vers le beau et viril syndicaliste un peu décontenancé par la situation, la Comtesse de Montre-tout pris son plus beau sourire carnassier…— Dis, beau gosse… ces derniers temps, j’adore me faire prendre bestialement par des ouvriers en bleu de travail. Vous m’excitez grave avec vos mains pleines de cambouis et votre odeur de sueur… Ce n’est pas parce que nous ne sommes pas de la même caste que vous que je ne peux pas comprendre votre sexualité ! Je suis d’ailleurs capable de m’abaisser à votre niveau d’éducation, de m’intéresser à « Plus belle la vie… » et « L’amour est dans le pré ! »
[Ndr : J’ai moi-même été surpris de découvrir qu’à des années-lumière de chez nous, il existait aussi de tels chefs-d’œuvre télévisuels !?]
Elle roula sa langue entre ses lèvres de façon obscène, pour allumer un peu plus encore le bel étalon.— Alors, coco, on se le fait, ce petit happening sexuel ?— Et puis moi aussi !... Je peux toucher votre zizi car je n’en ai jamais vu d’aussi beaux et d’aussi gros de toute ma vie ?! Hihihi !!!... renchérit madame Nobody toute excitée.— Volo etiam gustus hoc magnum hordeum sugar…
[Ndr : Pour ceux qui n’ont pas eu l’immense privilège de littéralement se faire chier en cours de latin, je vous propose une traduction des plus approximatives des propos de Bribri d’amour : « Je veux bien aussi goûter à ce gros sucre d’orge… »]
Jupiter tentait de se contenir mais il fulminait intérieurement de ne pas être le centre d’intérêt de ses comparses de la caste dirigeante et même sa Bribri d’amour n’avait plus d’yeux que pour le sexe d’un gueux. Ce qui l’acheva, ce fut d‘apercevoir à l’autre bout du lupanar le fameux Playmobil, journaliste vedette de la télévision d’état, interviewer Méchant Con.C’en était trop pour Jupiter, qui entra dans une colère noire, proche de l’hystérie.— C’est ma partouze à moi !... Mes copains milliardaires m’ont dit que ce serait moi le chef, moi le futur grand ordonnateur de notre monde, compris !? Alors quand je dis qu’on commence à baiser, on commence à baiser !... Compris ! Je veux libérer les énergies, aller de l’avant, moi… gicler mon foutre dans vos gueules, moi !— Mais, mon petit bichon, calme-toi ! Ta Bribri d’amour va te faire un gros câlin…— Non !... D’abord, c’est moi le chef et je vais faire des ordonnances… une pour virer Playmobil, une pour qu’on me gonfle « Agent 69 » tout de suite, et puis une autre pour pouvoir inféoder tous ces gueux et les obliger à baiser jours et nuits. Et quand ils ne banderont plus ou qu’elles ne mouilleront plus… tous virés !... Je ne cèderai rien, ni aux fainéants de la bite et du cul, ni aux… ma Bribri d’amour, je veux mon canard vibrant !...D’un seul coup, sans prévenir, Jupiter fondit en larme et se jeta contre Bribri d’amour, la tête dans les lanières en cuir de la robe d’un grand couturier de là-bas dont j’ai malheureusement oublié le nom. En tout cas, c’était bien un véritable drame qui se jouait là… et tous les journalistes présents dans le palace accoururent pour saisir cet instant dramatique et, bien sûr, celui très émouvant qui s’en suivit, où Bribri d’amour consola son prince charmant.Tout le monde fût soulagé par ce dénouement heureux… Un article était d’ailleurs déjà en bouclage dans ce qui est à peu près l’équivalent de notre « Paris-Match » chez eux, avec un titre d’une grande simplicité : « Jupiter et Bribri d’amour, un couple uni pour affronter toutes les turpitudes de la vie et du pouvoir ! »
[Ndr : Tant d’émotion m’avait presque fait oublier de vous expliquer ce qu’est une ordonnance, étant donné que notre bon vieux système parlementaire ne fonctionne pas comme ça, faisant confiance au libre arbitre et à la clairvoyance de nos élus du peuple pour voter les lois. L’ordonnance est donc… ce qu’on pourrait appeler un « fait du prince », une loi décidée unilatéralement par un pouvoir en place en s’asseyant sur les principes de démocratie – cette fois-ci, la nôtre qui vient des grecs… pas celle de très très loin dans cet autre monde.]
Bon, bon… je m’égare ! Revenons à notre histoire de ce monde très très éloigné aux mœurs étranges. Bribri d’amour avait déroulé son fouet de dresseuse de fauves et elle le faisait claquer dans l’air tel le contremaitre de l’Égypte antique sur le dos de ses esclaves. Elle haranguait la salle, le ton impérieux de ses paroles ne laissant pas de place à la contestation…— Tous à poil !... Je veux voir vos queues et vos chatounes ! Je veux que ça baise dans tous les coins, que ça hurle de jouissance de tous les côtés !... D’ailleurs, ceux que je choppe à bander mou ou à simuler l’orgasme auront droit à mon fouet… vous entendez, bande de dépravés !? Et puis je veux quelqu’un pour gonfler « Agent 69 » pour mon petit Juju adoré…
Hormis l’irrespectueux Méchant Con et quelques gueux l’accompagnant, tous les autres invités et leurs proches s’exécutèrent rapidement, faisant voler leurs habits à travers la salle.
L’orgie géante pouvait enfin vraiment commencer !
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