Je m’appelle Sarah, et je vais vous raconter l’histoire de ma vie sexuelle qui a basculé quand j’avais 19 ans. J’étais alors depuis un an et demi avec Benoit, mon copain, avec qui tout se passait bien, il était assez beau, sans pour autant être un grand canon et attentionné. Mais surtout, il était bon au lit, il avait bien compris qu’il n’avait pas qu’une queue, mais aussi une langue et dix doigts dont il savait se servir. Avec lui l’orgasme était au rendez-vous à chaque fois, même plusieurs fois à chaque rapport, et en plus, il était vraiment bien membré, 20 cm lorsque je l’ai mesuré ! Bref, c’est un très bon coup. L’histoire prend ses origines un soir au lit après l’amour, il nous arrivait souvent de parler sérieusement de sexe à ce moment-là, c’était le meilleur moment pour nous, l’occasion si prêtait et nous n’avions pas les idées altérées par le désir pressé. A ce moment-là, nous discutions de nos envies, nos fantasmes, nos préférences… Ce soir, la discussion l’avait amené à m’avouer qu’il aimait bien prendre le contrôle et dominer.Je n’étais pas étonné par cette révélation, déjà parce que nous parlions souvent de fantaisies que nous ne ferions probablement pas, ensuite, parce que j’avais déjà pu remarquer qu’il aimait bien avoir les commandes au lit, il prenait les initiatives et était très actif, mais je ne me laissais pas diriger tout le long. Il me demanda si cela m’intéressait de tenter un rapport de soumission, quelque chose de soft, pas de bondage ni d’accessoires SM, juste une attitude homme dominateur et femme soumise au lit. Je déclinais son offre, avec une gêne difficile à dissimuler, il n’insista pas, et nous nous sommes couchés. J’ai appris de mes parents que dans un couple, l’égalité c’est important, je concevais mal une relation amoureuse impliquant la soumission féminine, même si c’est juste au lit. Je n’étais pourtant pas une sainte-ni-touche, ma vie sexuelle était déjà bien présente avant de rencontrer Benoit, lorsque que je n’avais pas de copain, les aventures d’un soir ne me faisaient pas peur, je n’hésitais pas à être très coquine au lit et offrais volontiers une douce gâterie à mon homme lorsqu’il était excité et que nous n’avions pas trop de temps. Avec Benoit, les jambes en l’air c’est presque tous les soirs. Mais être soumise, je ne l’avais pas envisagé. J’y ai repensé dès le lendemain, j’étais un peu chamboulée qu’il m’ait demandé ça. Cette histoire me travaillait, il aimait dominer et je ne le laissais pas faire, je pensais ne pas le satisfaire, pourtant, rien n’avait changé après cette discussion, il ne semblait pas frustré, il semblait toujours aussi comblé. Est-ce que je me faisais des idées ? Que ce soit mon imagination ou non je culpabilisais.Les jours passaient et ma réflexion sur ce sujet évoluait, je ne culpabilisais plus, j’étais maintenant curieuse. Je me mis à aller voir sur internet à quoi ressemble la domination sexuelle, entre les films porno, les récits érotiques et les blogs et forums il y avait de quoi voir !Habituellement, nous sommes plutôt compréhensifs coté porno, nous en regardons tous les deux de temps en temps et aucun ne s’en cache à l’autre. Mais là, il s’agissait d’un fantasme dont j’avais un peu honte, aussi m’informais-je en secret, lorsqu’il était absent et en utilisant la navigation privée. Dans la pornographie, la vision du sexe est majoritairement d’un point de vue masculin, on y trouve bien plus de femmes au service du plaisir des hommes que l’inverse, cela ne me choque pas, le porno c’est pas la vrai vie de toute façon. Mais tout ceci finissait par me faire envie et par m’exciter, Mais cela restera dans le domaine du fantasme ! C’est ce que je pensais au début, mais l’envie de me lâcher, de m’abandonner à lui comme j’ai pu lire dans les récits sur internet devenait de plus en plus forte au fil des semaines, je me disais maintenant qu’il fallait au moins que j’essaye, pour pas mourir idiote. Au final, je me décidais enfin, je réaliserais son fantasme, ou plutôt notre fantasme à présent, lors de son prochain anniversaire, ce sera une surprise. Je luis dit que je préférais que la fête à proprement parler, avec les amis et la famille se passe la veille au soir, il n’y vit pas d’inconvénient cela se passa ainsi. Le jour de sa fête d’anniversaire arriva, cela se passait chez ses parents, son appartement n’étant pas très grand, ils lui prêtèrent la maison et en profitèrent pour partir en amoureux pendant quelques jours. La soirée fut animée et un peu arrosée, elle prit fin vers 4 heures du matin. Nous sommes allés nous coucher dans la chambre de Benoit (que ses parents avaient gardé en l’état au cas où) et les invités dormirent ici répartis dans la chambre des parents, la chambre d’amis et le salon ou il y avait un canapé et des matelas rajoutés pour l’occasion. Ayant bu, j’étais d’humeur très coquine, au moment de nous coucher je me mis à caresser son pénis à travers son caleçon, j’ai pensé pendant un instant à m’offrir comme soumise ce soir-là au lieu du lendemain, mais j’y renonçais, je voulais que ce soit bien fait et sans personne aux alentours.Comme il me vit sur le point de dire quelque chose :— Qu’y a-t-il ?— Rien, rienCe soir-là nous avons tout de même fait l’amour comme d’habitude, en tentant d’être silencieux, même si je pense que nos invités ont dû entendre le lit bouger sévèrement. Le lendemain soir, nous étions toujours chez ses parents, mais seuls, et le moment tant attendu pour moi dut venu. J’avais peur de ce qu’il pourrait penser de moi, peur de regretter, mais je pris quand même mon courage à deux mains.— J’ai un autre cadeau d’anniversaire pour toi ce soir !— C’est quoi ?— Tu te souviens que tu m’as dit vouloir me dominer au lit, et bien j’accepte d’être soumise à tes désirs toute cette nuit.Je m’offrais complètement à Benoit, je voulais tellement le faire, au moins une fois, juste pour essayer !
