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Justine - Baby-sitting de rêve

Chapitre 14

SM / Fétichisme
En arrivant chez Chrystelle nous trouvions Xavier sur la terrasse lisant un journal financier devant un verre de bourbon glace. Descendant du petit cabriolet, perchées sur nos talons hauts nous dirigions vers le petit salon d’été baigné de soleil couchant.
— Bonsoir mon chéri, s’écria Chrystelle— Bonsoir, voila enfin les deux plus belles femmes de la soirée.— Bonsoir Xavier, j’étais troublée de me retrouver devant mon idéal masculin dans ma tenue hyper provocante.— Justine vous avez donc acceptée notre invitation …
Un peu surprise du vouvoiement je ne répondais pas. C’est Chrystelle qui prit les devants :
— Mon chéri Justine a accepté de m’être totalement soumise pour la soirée, et peut être même la journée de demain. Elle a accepté sa condition et sait que je pourrais tout lui imposer, mais à tous moment elle pourra si elle le souhaite interrompre nos jeux. Dans ce cas ceux-ci seront terminés et ne recommenceront jamais.— Parfait Madame, vous avez une heure pour préparer votre soumise nous partirons à 19h30.— Viens ma chérie.
Chrystelle me tendit la main pour m’entrainer dans la maison. Nous avions chacune les paquets de nos emplettes à la main. Nous nous dirigions vers la chambre parentale, celle la même où tout avait commencé avec Chrystelle et Xavier.Les paquets jetés sur le lit, Chrystelle me demanda de me déshabiller complètement, ce qui compte tenu de la légèreté de ma tenue fut rapide. Une fois totalement nue elle me demanda de venir la déshabiller à son tour. Pour rien au monde je n’aurais laissé ma place, elle est tellement belle, si sensuelle dans cette tenue de cuir rouge.Toutes les deux debout face au grand miroir je défais sa veste courte en cuir rouge découvrant un délicieux balconnet de dentelle noire. Puis passant dans son dos je dégrafe la petite jupe la faisant glisser sur ses hanches elle me dévoile le reste de ce magnifique ensemble un large serre taille avec jarretelles et son mini string. Ses jambes sont gainées de bas nylons noirs avec de fines coutures à l’arrière des jambes. Le galbe de celles-ci n’en est que mieux sublimé, d’autant qu’elle porte toujours les sublimes escarpins noirs vernis aux talons aiguilles. Je prends plaisir à la dévêtir, toujours dans son dos je dégrafe le balconnet libérant ses seins superbe. Ce 90b me semble toujours plus imposant que le mien alors que nous faisons la même taille. Mes doigts fins parcours les lobes sur les cotés lui arrachant un frisson. Ses yeux brillent en suivant leur parcours dans le miroir. Je m’accroupie dans son dos pour faire glisser le mini string ficelle sur le serre taille puis le long des jarretelles, et enfin le longs de ses jambes gainées de nylon. Elle l’enjambe lentement, une puis deux toujours avec ses talons hauts. Elle me sourit dans le miroir, et ce dirige vers le petit fauteuil devant sa coiffeuse. Elle s’y assoit et me tends sa jambe droite. Je la déchausse délicatement puis remontant mes mains le long de sa jambe, faisant crisser ses bas, je me saisis de l’attache de la jarretelle pour la défaire. Je recommence sous la cuisse et je peux maintenant rouler le bas nylon pour l’ôter complètement. Je recommence l’opération à l’identique sur la jambe gauche. Mes yeux reviennent sans cesse sur son sexe exposé. Elle se relève enfin, dans son dos je dégrafe la ceinture de dentelle la libérant ainsi de son serre taille. Elle est nue, nous sommes nues devant le miroir. Elle se tourne face à moi, et très délicatement dépose sur mes lèvres un tendre baiser, passionnément.
— à partir de maintenant Justine, tu me vouvoieras et m’appelleras Maitresse jusqu’à la fin de notre jeu.— Très bien Maitresse, comme il vous plaira.— Tu apprends vite c’est bien. Viens me laver.
Nous entrons dans la salle de bain, Chrystelle m’indique qu’elle s’est douchée en début d’après midi et qu’un simple rafraichissement sera suffisant. C’est donc avec un gant de toilette humide d’eau tiède et de savon que je parcours son corps sublime. D’abord les jambes longues et fines puis son buste m’attardant sur ses seins dont je prends plaisir à faire darder les tétons. Elle semble apprécier mais ne fait aucun commentaire. Ma main glisse entre ses seins parcours son ventre plat pour filer entre ses cuisses. Elle me fixe dans les yeux, elle est excitée, ses jambes s’écartent légèrement.
— Maitresse souhaite-t-elle que je lui donne du plaisir ?— Petite garce je t’ai demandé de me laver, tu seras punie pour ton audace. Nous allons être en retard, dépêches toi.

Je finis de la laver un peu déçue de son attitude, mais aussi inquiète de la punition qu’elle me réserve. Je la sèche avec une serviette tiède, elle est belle. Dans le grand miroir de la salle de bain elle corrige légèrement son maquillage et sa coiffure. Ses cheveux blonds remontés dégagent parfaitement son cou si fin si gracieux.De retour dans la chambre elle me demande de m’habiller avec ma tenue en dentelle blanche, alors qu’elle se dirige vers le dressing pour passer la sienne.Je sors de mon sac la magnifique guêpière en dentelle blanche brodée de perles et strass que Chrystelle m’avait offerte ainsi que les accessoires indispensables avait-elle dit pour porter avec. Des magnifiques bas blancs ornés d’une large jarretière en dentelle et d’une fine couture ainsi que les mini soquettes en dentelle blanche ornée d’un petit nœud de satin blanc, les mitaines assorties et la paire d’escarpins vernis blancs dont les talons aiguille de 10 cm me cambrent outrageusement. Je passe la guêpière, fixe les bas passe les petites soquettes de dentelle par-dessus et me chausse des escarpins qui me cambrent outrageusement. Sur le lit la délicieuse robe vichy rose et blanche avec un jupon en dentelle blanche que maman m’avait offerte. Je suis en train de passer les mitaines lorsque Chrystelle réapparait du dressing.J’ai le souffle coupé, elle est divine. Elle porte une robe en dentelle noire totalement transparente qui dévoile l’absence de sous-vêtements à l’exception d’un large porte-jarretelles de dentelle noire tendant de magnifiques bas noirs en nylon. Elle est perchée sur des escarpins noirs à bride enserrant ses chevilles dont les talons culminent à au moins 10 cm.Sûr de son effet, elle ne me laisse même pas reprendre mon souffle.
— Tu n’es pas prête, et bien tu resteras ainsi, cela sera ta punition.
Je baisse les yeux rougissante n’osant imaginer quitter la maison dans cette tenue et encore moins me rendre à une quelconque soirée ainsi exhibée. Je vois Chrystelle mettre dans son sac, les bracelets de cuirs et métal que nous avons achetés cet après midi ainsi que d’autres petites choses que je ne connais pas. Elle ouvre mon sac et me demande :
— J’espère que tu as apporté le petit jouet que je t’ai offert ?— Heu non tu ne m’avais rien dit.— TU ? mais comment me parles-tu. — Oh pardon Maitresse, je crois que je mérite une punition.— Xavier tu peux monter, j’ai besoin de toi.— J’arrive ma chérie.— Toi tu te mets à 4 pattes sur le lit.
Je venais de prendre position un peu honteuse. Prête, tout du moins le croyais-je à subir ma première punition de la soirée. Le miroir sur ma gauche me renvoyait l’image d’une jeune libertine dans sa tenue de dentelle blanche, offerte aux regards de ce couple. Xavier venait d’entrer dans la chambre, un large sourire en m’apercevant ainsi offerte.
— Humm c’est pour moi ?— Xavier allons tu sais très bien qu’avant une séance chez le Marquis il est totalement proscrit de consommer. Cette petite garce m’a manquée de respect, elle doit être corrigée.— Je suis à ta disposition pour cela. Je serais le bras armé de ta sentence ma chérie.— Pour une première se sera une fessée, disons 10 claques, 5 sur chaque fesse.— Acceptes-tu Justine ?— Oui Maitresse, un peu hésitante, mais gardant confiance en mes amis.— A toi de jouer Xavier, Justine tu compteras chacune des claques à voix haute. Je ne veux rien d’autre que les chiffres, par de cris ni de jérémiades.
Xavier vient se positionner dans mon dos. Il appuya sur le bas de mon dos pour me forcer à me cambrer davantage. Sa main passe sur mes fesses, les caressant doucement. Les jarretelles de ma guêpière tendues me striaient le cotés des fesses. Alors que je me relâchais en regardant la scène dans le miroir, je vis la main de Xavier s’élever et s’abattre sur ma fesse droite violement, m’arrachant un cri de souffrance et de surprise.
— J’ai dit pas un mot, juste les chiffres Justine. Celle-ci ne comptera pas !
Une deuxième sur l’autre fesse, toute aussi violente.
— Un …— Voila qui est mieux
Puis un enchainement encore plus fort de 4 claques, m’arrachant des cris que j’essayais d’étouffer, tout en comptant … 2 … 3 … 4 … 5 me tortillant pour essayer d’apaiser le feu naissant de mon cul rougit. Xavier semblait prendre pitié de moi, sa main me parcourait le postérieur en une caresse apaisante. Puis de nouveau la pluie des coups secs donnés à la volée … 6 … 7 … 8 … 9 … et 10. Je m’effondrais sur le lit, sanglotant essayant de reprendre mon souffle, me calmant, essayant d’oublier le feu de mes fesses.La main de Xavier posée sur mes fesses me parcourait lentement, m’aidant à me calmer. Elle glissait entre mes fesses alors que je me décontractais, passant le long de ma raie.
— Mademoiselle semble apprécier, elle est toute mouillée.— Je n’en doute pas … Retourne toi Justine, Xavier va te donner du plaisir avec sa langue … mais je t’interdits de jouir tu le feras lorsque je t’y autoriserai.— Oui Maitresse … toujours sanglotant.— Et essuies moi ces larmes tu n’es plus une enfant !— Oui Maitresse.
Xavier se positionne entre mes cuisses, ses mains posées de parts et d’autres de mon sexe jouent avec les jarretelles de dentelle blanche de ma guêpière. Il dépose un bisou très tendre sur le haut de mon pubis lisse. Tout doucement ses baisers descendent pour parcourir mon sexe, où il est vrai mon plaisir est déjà naissant. Très doucement sa langue remonte le long de ma fente m’arrachant un râle de plaisir. Je passe mes mains dans ses cheveux. Un petit coup sec de cravache sur ma main, administré par Chrystelle détourne mon attention.
— Tu te laisses faire, je t’offre un moment de plaisir par la langue de Xavier, tu n’as pas à faire quoi que ce soit avec tes mains. Laisses les le longs de ton corps et concentre toi pour ne pas jouir.
Je repositionne mes mains le long de mon corps. La langue de Xavier a pris possession de mon antre de plaisir. Je me sens fondre sous ses attaques répétées sur mes petites lèvres et mon bouton d’amour. Il glisse sa langue dans mes sucs de plaisir, s’abreuvant à ma source, me faisant grimper le long de l’échelle du plaisir. J’ondule sous cette langue à sa rencontre, essayant de la guider encore mieux dans la recherche de mon plaisir. C’est un artiste il me mène tout près du nirvana pour ensuite me laisser retomber, semblant prendre un plaisir divin à me frustrer au plus haut point. Au bout de 10 minutes de ce traitement je ne suis que plaisir seul l’orgasme pourrat me libérer de la tension qui habite tout mon corps. Je suis cambrée essayant de résister mais cherchant le contact de cette langue sur mon clito pour enfin me libérer.
— Très bien Xavier je coirs que cela suffit. Laisse-la.
Xavier se retire. Il me laisse ainsi pantelante de désir, totalement frustrée de n’avoir pu me libérer. Je suis comme folle de rage, comment peut-on m’infliger ce supplice cette frustration extrême.
— Allez Justine débout remet de l’ordre dans ta tenue, nous partons.— Très bien Maitresse.— Xavier dans le tiroir de mon chevet vous prendrez le plug anal, que Justine portera jusqu’à sa présentation au Marquis.— Je vais le lui mettre Maitresse Chrystelle.
Xavier va chercher le petit objet de métal brossé orné d’un brillant de la grosseur d’une petite pièce de monnaie. Il me le tend pour que je le prenne dans ma bouche afin de la mouiller et de le réchauffer un peu.
— Prends appui sur la coiffeuse et écarte bien les jambes ma belle.
Je me positionne totalement offerte et indécente face au miroir de la coiffeuse. Xavier pose sa main sur ma fesse droite meurtrie, je me contracte.
— Laisse toi faire mon ange ne me complique pas la tache je ne voudrais pas être obligé de te punir de nouveau.
J’essaye de me décontracter, je sens la pointe du petit objet qu’il positionne sur mon œillet je force légèrement il pousse. Je le sens me pénétrer et venir se positionner alors que mon muscle anal l’enserre. La frustration née de l’absence de jouissance et la présence de cet objet au plus profond de mon petit trou sont le sommet de mon humiliation.Xavier me fait relever et me tourne face à lui.
— Tu es parfaite Justine, la soirée va être divine.— Merci Xavier …— Bien c’est finis ces enfantillages, nous allons être en retard. Xavier tu nous conduis nous passerons par la ville que Justine profite de son voyage, pour s’exhiber aux passant.

Installée à l’arrière de la magnifique berline allemande de Xavier je me sens à la fois protégée mais aussi délicieusement offerte dans ma tenue de libertine. Assise fesses nues sur le cuir fauve de la banquette les légères trépidations de la route me rappellent la présence du plug dans mon conduit le plus secret.La circulation s’intensifie nous approchons de la ville. Lyon en se début de soirée c’est ornée de mille feux et comme par hasard le premier passe au rouge alors que nous arrivons et qu’une grappe de piétons attend patiemment de pouvoir traverser. La voiture s’immobilise les visages inconnus me découvrent indécente dans la dentelle blanche je baisse les yeux ne pouvant soutenir leurs regards. Déjà ils s’éloignent je me sens fondre sur le cuir. La frustration née lors du superbe cunnilingus que Xavier m’a prodigué sans aller jusqu’au bout, se rappelle à moi. Ma main droite gainée de sa mitaine de dentelle blanche est posée sur ma cuisse juste à la hauteur de l’attache de la jarretelle de la guêpière de dentelle blanche tendant le bas nylon blanc lui aussi. Nerveusement mes doigts jouent avec l’attache le petit nœud de satin blanc, mais cela ne fait que monter mon désir de me laisser aller à des caresses plus intimes.La voiture reprends sa route la conduite de Xavier est parfaitement souple. Un nouveau feu rouge nous nous arrêtons, un bus s’immobilise à nos cotés je n’ose regarder à ma droite. Je sens les regards sur moi je ne relève pas les yeux. Ma main glisse vers l’intérieur de ma cuisse je passe sur ma peau nue, juste au dessus du bas blanc. La présence de mes doigts gainés de dentelle m’excite, si je pouvais je les poserais sur mon petit bouton qui n’attend que cela. Je me mords la lèvre inférieure, mon souffle s’accélère.Chrystelle a tout compris elle se retourne et me fixe droit dans les yeux.
— Mais tu ne penses donc qu’à cela ?— … je rougis, comme un enfant que l’on surprend alors qu’il allait faire une bêtise.— Approche tes mains. Elle fouille dans son sac et en sort une paire de menotte ornée de strass et mes les passe aux poignets. Et maintenant tu te tiens tranquille— Oui Maitresse.
Je repose mes mains sur mes cuisses le métal des menottes et froid je frissonne. Elles sont belles brillant de mille feux sous les lumières de la nuit. Un petit cadenas lui aussi orné de strass et fixé à la chainette les reliant entre elles. Le parcours dans la ville le long des quais est rapide nous sortons en direction de la vallée d’Azergue. Les belles maisons en pierres dorées sont allumées tout est beau le début de nuit est étoilé.
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