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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 5

Inceste
Justine, Jérôme, Rex et la famille.
Ch5. Les nouveaux jouets de nos parents.

Où allions nous ainsi ?
Emportés par cette chose toute nouvelle, ce plaisir charnel, indécent, nous ne pensions quasiment plus qu’au sexe et au plaisir. Justine, coquine, avait un je-ne-sais-quoi de pervers poussant le vice partout. Quand nous sortions en ville, elle portait des tenues de plus en plus provocantes. Elle jonglait entre minijupes, micro-shorts et leggings ; elle les choisissait les plus moulants et les plus courts possible. Pour les leggings, c’était comme une seconde peau montrant tous les détails son anatomie, moulant ses fesses et sa chatte comme si elle avait été peinte à la manière du body painting. Pour les shorts et les minis, voire les micro-jupes, c’était exactement la même chose : les jupes ras-du-cul et les shorts déchirés lui rentraient dans le cul, lassant voir le début de ses fesses ; les gens se retournaient sur son passage.
Un jour, il s’est produit un évènement que nous espérions et attendions avec une certaine impatience ; nous faisions tout pour que cela arrive. Je vais vous le raconter.
Alors que Justine était indisposée – une histoire de filles – j’en profitais pour parfaire mon épilation avec la ferme intention de la lui montrer, et de lui faire la même chose.
J’ai oublié de préciser que nous occupons l’étage de la maison familiale avec la salle de bain dont nous ne verrouillons jamais la porte ; quant à nos parents, ils ont une suite au rez-de-chaussée avec salle d’eau.
Nous faisions le plus souvent possible notre toilette ensemble. Alors que j’allais prendre ma douche, Justine entra dans la salle de bain et découvrit le résultat de mon travail d’esthéticien en herbe. C’est avec humour qu’elle me traita de petit branleur en me faisant remarquer que je ressemblais plus à un pré-ado qu’à un homme ; par contre, elle me dit beaucoup aimer et trouver ça excitant. J’en profitai pour lui demander d’en faire autant ; elle accepta avec enthousiasme, et nous passâmes à l’action. Une fois épilés, douchés, crémés et parfumés, alors que nous étions en admiration devant l’immense miroir de la salle de bain reflétant l’image nos corps imberbes, la porte s’ouvrit. Dans l’embrasure, notre père en peignoir, l’air surpris et embarrassé à la fois, nous dit :
— Mais qu’est-ce que vous faites là ? 
Justine, avec une répartie sans faille, lui sortit un :
— Et toi ? Tu n’as pas de salle d’eau en bas ?— Si... mais... je ...— Tu voulais prendre un bain ou nous voir à poil ! C’est cela, hein ?
Visiblement très embarrassé, il ne répondit rien ; Justine, avec son air espiègle, reprit :
— Bon, tant que tu es là, entre et donne-nous ton avis sur notre épilation.
Un échange de regards entre nous et nous savions d’ores et déjà ce qui allait se passer.
Papa entra et referma la porte derrière lui. Une bosse se formait au niveau de son bas-ventre ; elle déformait son peignoir, et il s’en rendit compte.
— Je vais vous laisser... je ne peux pas rester ... Vous êtes magnifiques, tous les deux.— Non, tu ne vas pas partir ; on ne fait rien de mal, à moins que... lui répondit-elle en fixant le bas-ventre de papa.
Elle savait parfaitement où elle allait l’emmener : son caractère malin lui permettait de retourner les situations. Tout en se rapprochant de papa, elle enchaîna :
— Je vois qu’on te fait de l’effet...
Elle ouvrit doucement le peignoir de papa, passa ses mains dessous et commença à caresser le torse velu et sculptural de notre père. D’un geste rapide elle fit glisser le vêtement au sol : il se retrouva entièrement nu, le rouge aux oreilles. Il ne dit rien. J’enviais son corps d’athlète taillé dans le roc : c’était un ancien rugbyman, mais il ne pratiquait plus depuis un moment, trop occupé par son travail. La taille de sa queue en demi-érection me fit envie. Je savais d’où je tenais la taille de la mienne.
Justine poussa un « Waouh ! » à la vue du membre qu’elle prit en main et commença à le masturber lentement. Celui-ci se mit à grandir et à se redresser jusqu’à la verticale.
— Justine ! Mais qu’est-ce que tu fais ? s’exclama-t-il en la repoussant d’une main.— Je vais te sucer et peut-être te faire l’amour, lui dit-elle avec désinvolture.— Mais tu n’as pas le droit, c’est de l’inceste ! Tu imagines si ta mère apprend ça ? — Maman ? Tu as de la chance d’avoir une femme fidèle. Tu n’es jamais là pour t’occuper d’elle et de nous à cause de ton putain de boulot, toujours parti on ne sait où.— Il faut bien que je rapporte de l’argent pour que vous ayez tout ce dont vous avez besoin.— Certes, mais nous avons surtout besoin de toi, de ta présence, de tes câlins, même si on est grand. Maman aussi a besoin de toi ; mais ne t’inquiète pas, nous sommes là pour te remplacer. Allez viens, Jérôme, allons voir maman !
Il resta là, planté telle une statue. Il ne répondit que :
— Mais vous n’allez pas descendre comme ça !— Si, bien sûr ! Et même que nous allons faire l’amour avec maman. Prends ton bain tranquillement ; nous, on s’occupe de tout.
Elle me prit par la main et m’entraîna dans l’escalier pour rejoindre maman.
Justine avait l’art de retourner les situations en sa faveur ; quand bien même elle avait tort, elle pouvait prouver le contraire. Ainsi nous, complètement fautifs dans cette histoire, devenions les offensés.
Papa, directeur commercial dans une grosse boîte de matériel de télésurveillance, était toujours en déplacement : il croyait être le seul à pouvoir faire tourner la boîte.
Nous l’avons planté dans la salle de bain pour aller rejoindre maman qui se trouvait dans la cuisine. Elle nous vit arriver main dans la main et remarqua immédiatement nos modifications corporelles.
— Vous savez que vous êtes magnifiques ainsi, sans poils ? Je vais sans doute vous imiter. Mais vous êtes un peu fous de vous promener ainsi : il y a votre père !— Ne t’inquiète pas, il nous a vus. Il est en haut, il prend un bain.
Nous l’avons entraînée vers le canapé pour lui expliquer ce qui venait de se passer. Notre récit accompagné de caresses avait commencé à la mettre en émoi quand mon père apparut, pimpant et parfumé, le peignoir entrouvert. Nous étions nus, blottis dans le creux des bras de maman.
— Justine, viens avec moi, dit mon père en tendant la main.
Elle se leva, docile, et le rejoignit sur le canapé d’en face où il venait de prendre place. Il prit la parole :
— Il faut que nous parlions tous les quatre.
La discussion fut un peu houleuse au début car il eut du mal à admettre que nous puissions penser qu’il nous délaissait pour son travail, mais avec l’aide de maman il finit par lâcher prise et promit qu’il allait déléguer pour être plus présent. Vint ensuite le problème des rapports que nous avions eu avec maman, et d’éventuels rapports que nous pourrions avoir tous ensemble. Là, nous lui avons sorti notre théorie hautement psychologique qui dit ceci :
    – Nous nous aimons, donc nous avons le droit de faire l’amour.    – Nous sommes majeurs, et par conséquent libres de faire ce qu’il nous plaît.    – De toute façon, personne ne sera au courant.    – Cela ne durerait pas ; ce n’est que passager.    – On n’a rien à faire de l’opinion des autres.
Et pour conclure nous avons trouvé un argument irréfutable : ils sont nos parents, et ont selon la loi l’obligation de parfaire notre éducation... sexuelle comprise. Après un long silence, papa nous dit :
— Allez préparer l’apéritif, je voudrais parler à votre mère.
Nous nous sommes éclipsés en cuisine pour préparer ce fameux apéro. Après avoir fait quelques toasts, coupé du saucisson et disposé cacahuètes et autres fruits secs dans un plateau spécial apéro, maman nous a appelés. Nous avons disposé bouteilles, verres et amuse-bouche sur la table du salon puis, sur leur invitation, nous nous sommes installés moi à côté de maman et Justine avec papa. Prendre l’apéro entièrement nus avec nos parents avait quelque chose de sexy et d’étrange à la fois. Après avoir trinqué, papa nous dit :
— Nous avons réfléchi : va pour l’éducation sexuelle. Mais que voulez-vous savoir en termes de sexe, au juste ? J’ai le sentiment que vous en savez déjà beaucoup.— Tout ! Nous voulons tout connaître. Nous savons qu’il y a plein de pratiques, mais nous ne savons pas comment les aborder, lui répondis-je instantanément.— Vous savez que cela peut aller très loin ?— Nous vous faisons confiance, tout simplement ; mais faites-nous tout ce que vous voulez, s’il vous plaît.— Très bien, mais soyons discrets. Allons, trinquons ! répondit-il.
Pendant cette discussion, Justine s’était emparée du sexe de papa et le masturbait tranquillement ; lorsqu’il eu pris du volume, elle l’emboucha. Maman me suçait. Elle ne me l’avait encore jamais fait ; c’était sublime ! Elle me caressait le gland avec la langue, aspirait et pompait bruyamment. Justine en faisait autant à papa qui me regardait fixement. Que pouvait-il bien penser ? Était-il jaloux de me voir ainsi, ou au contraire prévoyait-il quelques épreuves à nous faire subir ? Il interrompit le jeu.
— Je vais vous montrer quelque chose. Buvez un peu et suivez moi, nous dit-il avec un large sourire.— Éric, nous avons deux jolis jouets, tu ne crois pas ? demanda maman à papa.— Oui, ils m’ont l’air d’être doués ; tu leur as déjà appris des choses, je suppose ? Allez, venez.
Ils se levèrent et nous précédèrent. Nous sommes passés par la cuisine et la buanderie pour arriver dans le garage. Papa se dirigea vers une porte fermée à clé qui donne sur une pièce que papa avait aménagée en atelier : avant d’avoir son poste de directeur, il était passionné par les modèles réduits et en fabriquait. Je l’ai vu construire des avions et des bateaux en bois ; certains étaient radiocommandés. Mais depuis longtemps cette porte était restée fermée à clé, et la clé, je n’avais jamais réussi à la trouver.
Papa ouvrit la porte, nous dit de nous retourner. Après un court instant, je sentis qu’on me mettait un bandeau sur les yeux, puis on me prit la main ; je reconnus celle de papa qui me tirait. Il me plaqua contre un mur. J’étais terriblement excité, je bandais comme un Turc.
Il y eut un bruit de chaînes. On me mit des bracelets aux chevilles et aux poignets ; puis, accompagnés par un bruit de cliquets, mes poignets s’élevèrent en l’air. Je sentis qu’on m’immobilisait les pieds ; je ne pouvais plus bouger.
Le bandeau disparut. Je découvris Justine à côté de moi, dans la même posture que moi. Sur le mur d’en face, le placard à outils était accroché au mur. Papa y rangeait, suspendus à des pointes, son outillage de modélisme. À la place des outils, un tas d’objets provenant d’un sex-shop étaient suspendus. Je bandai de plus belle.
— Alors, mon nouvel atelier vous plaît-il ? demanda papa.
Pendant ce temps, maman nous titillait les tétons d’une main et de me broyait les couilles de l’autre ; papa s’occupait aussi des tétons et de la chatte de Justine : c’était le comble du bonheur.
— Bien ! Nous allons vous laisser contempler le spectacle pendant que nous allons boire un coup. Tu viens, chérie ? dit-il à maman.
Ils sortirent, fermèrent la porte à clé, nous laissant ainsi attachés dans cette pièce. Justine et moi nous sommes regardés, étonnés par la tournure que prenaient les évènements. Ils nous avaient bien caché leur jeu...
Je me mis à détailler la pièce : nous étions attachés au plafond par les poignets emprisonnés dans des bracelets en cuir prolongés par des chaines, et les pieds au sol, également pris dans des bracelets.
Comme éclairage, des bougies parfumées tentaient de masquer l’odeur de bois et de peinture.Au milieu l’établi, il y avait avant un tour à bois ; il était recouvert de coussins. Des anneaux étaient également fixés en bas des pieds. Je ne mis longtemps à comprendre qu’il était là pour attacher quelqu’un sur le ventre. Je m’imaginais déjà à plat-ventre dessus en train de prendre une fessée.
Dans une armoire aménagée en penderie, des tenues noires étaient suspendues, mais je n’arrivais pas à distinguer ce que cela pouvait être.
Après un bon moment, la porte s’ouvrit et maman apparut, suivie de papa. Elle nous dit :
— Nous avons réfléchi à l’éducation que vous allez recevoir. Vous pouvez constater qu’ici il y a tout ce qu’il faut pour vous punir de vos bêtises ; et là, je crois que vous battez tous les records !— Oui, mais, papa, on fait ça par amour ! s’exclama Justine.— Ne me prenez pas pour un imbécile : vous n’avez que le vice dans la peau ! Vous serez nos soumis et devrez faire tout ce que nous vous demanderons, et subir ce que nous déciderons.— Mais qu’allez vous nous faire ? m’écriai-je.— Regardez, là, dans l’armoire : vous avez des romans du marquis de Sade. Je pense que cela vous éclairera !
Il avait parlé d’une voix puissante ; il semblait très en colère contre nous. Il nous affirma que nous serions attachés, fessés et fouettés si nous ne faisions pas ce qu’ils nous demanderaient. Il nous dit que nous serions leurs jouets : il nous était désormais interdit de nous livrer à toute pratique sexuelle sans leur ordre ou leur accord sous peine de représailles.
Nos parents nous ont expliqué qu’ils n’étaient qu’à moitié étonnés de notre comportement ; vu leur goût pour le sexe, ils nous dirent que ça devait être héréditaire. Puis ils nous précisèrent que c’était un jeu de rôle ; nous sommes entrés à fond dans leur jeu. Il nous demanda notre accord et nous donna un mot de passe pour arrêter tout acte si nous ne voulions ou ne pouvions pas le faire, nous avons accepté avec joie et enthousiasme, et même prêts à signer un contrat si besoin. Nous allions être les esclaves sexuels de nos parents : notre fantasme était en train de se réaliser, nous jubilions !
Une fois libérés, nous sommes retournés au salon, nous avons continué l’apéro mais notre statut d’esclaves nous obligeait à le prendre à genoux. Papa nous indiqua que nous n’avions plus le droit de porter de vêtement à la maison ni dehors dans le jardin. Pour être certains que nous ne tricherions pas, nous avions dû descendre et ranger tous nos vêtements dans l’armoire de la pièce qui devenait la salle de punition. C’est maman qui choisirait nos tenues pour sortir.
Notre première épreuve a été de les sucer à tour de rôle. J’ai dû tailler une pipe à papa ; son sexe était énorme. Justine léchait maman. Maman a joui dans ma bouche, et papa a éjaculé dans celle de Justine qui a dû avaler sa semence.
Le soir de cet évènement, Justine et moi avons été autorisés à dormir ensemble, nous voyions l’avenir avec une perversité délicieuse, seule la venue de nos cousins nous dérangeait, mais...

[À suivre]
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