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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 10

Inceste
Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Ch10. Footing à la rivière.

Pendant les huit jours qui suivirent, ce fut un véritable festival de parties de jambes en l’air. Nous avions eu l’autorisation de nos parents d’être nus pour profiter de la piscine, mais dans une fausse recommandation, nous devions le faire dans un esprit naturiste uniquement. Justine et moi voulions aller encore plus loin, bien évidemment.
Un jour, j’eus la bonne idée de lancer un pari : faire un jogging dans les bois et se baigner à la rivière, et pour corser la performance, nous devions le faire entièrement nus de la tête aux pieds. Courir pieds nus était pour Justine et moi un réel plaisir, une sensation de liberté totale, de sentir le sol, les cailloux, l’herbe, parfois humide, et finir dans la rivière.
Justine, coquine comme toujours, approuva et encouragea Colombe à relever le défi. Elle lui dit que nous (les garçons) allions perdre et que les perdants auraient un gage. À la demande de Colombe sur les risques de ce défi, Justine répondit qu’à part croiser quelqu’un, il n’y avait aucun risque, et qu’elle savait parfaitement gérer la situation au cas où. L’idée de croiser le chemin de « vieux » nous amusait, les commentaires allèrent bon train. Charly imaginait de voir un couple de retraités tomber en syncope à la vue de nos corps parfaits, ou presque.
L’idée fut adoptée à l’unanimité et le pari relevé. Profitant d’un après-midi où nos parents étaient partis faire quelques courses, nous décidâmes de passer à l’action. Nous disposions d’au moins deux à trois heures avant leur retour. Fin prêts, nous sortîmes par la porte située au fond du jardin et donnant directement sur le chemin qui mène au bois.
Avant de s’enfoncer dans les bois, le chemin est un peu à découvert. Un coup d’œil pour être certains que la voie était libre, et nous partîmes en trottinant. Les filles devant, nous pouvions admirer leurs fesses se balancer au rythme de leur pas. Nous, nous faisions l’objet de leurs railleries, du genre :
— Alors les mecs, pas trop gênés avec vos bites qui pendent lamentablement ? Faites gaffe de ne pas vous la coincer, s’exclama ma sœur.
Et Colombe d’en rajouter :
— Hé ! Vous devriez vous branler pour la mettre à la verticale, se serait plus facile pour courir ! Ah-ah !
Elles pouffaient de rire.
— Et ma bite dans ton cul pour avancer plus vite, ça te tente ? lui répondis-je.
— Non merci ! répondirent-elles en chœur.
Nous suivions le chemin, à l’ombre des arbres. L’endroit était frais ; le sol était parfois doux, parfois rocailleux. De temps en temps, des racines dépassaient et mettaient la plante de nos pieds à rude épreuve ; cela n’ôtait rien au plaisir de courir nus et pieds nus. Nous n’avions rien avec nous, ni clefs, ni téléphones. Pas de musique, sauf le chant et les conversations des oiseaux qui rompaient le silence ; nous ne parlions pas. J’aimais beaucoup cette sensation de bien-être et de sérénité. Je venais souvent seul courir ici pour me ressourcer.
Au détour d’un virage, nous sommes tombés nez à nez sur un couple de jeunes adultes. Justine leur fit un large sourire et un « bonjour ! » tonitruant, laissant le couple pantois. Ils nous rendirent la politesse et se retournèrent sur notre passage avec un large sourire. Nous avons continué notre chemin comme si de rien n’était. La rivière était proche ; nous entendions le doux bruit du ruissellement de l’eau. Les filles se mirent à courir, et Justine nous cria :
— Les derniers arrivés auront perdu !
Évidemment, le temps de réagir et malgré l’énergie que nous avons déployée pour les rattraper, ce fut peine perdue et nous arrivâmes les derniers. Nous avons plongé dans l’eau fraîche et rattrapé les filles, ce qui engendra un chahut digne de gamins de dix ans, puis nous sortîmes de l’eau et nous allongeâmes sur l’herbe au soleil.
Les filles se chuchotèrent quelque chose à l’oreille ; ça avait l’air de beaucoup les amuser. Je supposai quelles devaient nous vanner comme il faut. Justine s’adressa à nous :
— Bon, les mecs, comme vous avez perdu à la course, vous avez un gage : c’était prévu.— Ah oui ? Et tu vois ça comme ça : vous avez triché, et c’est nous les perdants ? Et c’est quoi, ton gage ? demandai-je.— Simple : vous allez faire un combat, ici, dans l’eau, où vous voulez. Le premier qui immobilise l’autre a gagné l’obligation d’enculer l’autre ; donc tâchez de bander. Ça vous va ?
Les deux filles étaient mortes de rire ! Je répondis :
— Et si on refuse ?— Vous ferez ceinture pour le cul, et nous nous amuserons toutes seules. Si vous le faites, vous aurez une récompense ; à vous de voir... conclut-elle.
Devant cet ultimatum, le choix était simple : soit on le faisait et les filles passaient à la casserole, soit on ne le faisait pas et on se la mettait sur l’oreille. Pour moi, le choix fut vite fait : « Allez, mec, tu te bouges. Et puis si je me prends un coup de bite dans le cul, rien à foutre : c’est déjà fait ! » me suggéra ma conscience. Je dis à mon adversaire :
— Prépare ton cul, mec : je vais te faire péter la rondelle !
Je m’agrippai à lui pour le renverser ; je n’avais pas l’intention de me faire sodomiser devant les filles. Mais le cousin ne voulait pas non plus se laisser faire ; le combat était sérieux et sans merci. Je m’aperçus rapidement que plus nous combattions, plus nous bandions ; les filles nous encourageaient par des « Allez les gars !... Attrapez-vous la bite ! »
Au bout d’un moment, j’ai failli me prendre la bite du cousin dans le cul ; j’étais en sueur, nos mains glissaient sur nos corps. Je réussis à le prendre par les couilles ; il a crié de douleur. J’ai tiré, et il a basculé sur le sol. Enfin j’avais réussis à le renverser ! Je lui bloquai la tête contre le sol en lui tenant la nuque. À quatre pattes, le cul en l’air, je lui saisis la taille et l’enculai avant même qu’il ait eu le temps de réagir. Il hurlait presque ; une jolie simulation ! Les filles étaient aux anges. Elles applaudissaient et nous criaient des « Oh oui ! C’est bien, ça ! Vas-y, Jérôme, encule-le ! » Encouragé par les filles, je pistonnais mon cousin qui hurlait à la mort mais bandait comme un Turc.
— Stop ! Ça suffit. Venez vous asseoir là, cria Justine en montrant le sol devant un arbre. Vous allez rester là sans bouger, sans vous toucher ni quoi que se soit ; nous allons vous offrir votre récompense. Viens, Coco, à nous deux.
Nous nous sommes installés bien sagement, adossés à un tronc d’arbre. Devant nous, les filles étaient assises en tailleur, face à face. Leur profil était magnifique, les tétons pointant d’excitation, les seins ronds et fiers. Dommage, je ne voyais pas leur minette.
Elles commencèrent à se caresser les mains, les bras, puis les seins. Les visages se rapprochèrent à se toucher, et du bout des lèvres elles se firent un premier baiser doux, sensuel ; les langues se cherchèrent, se touchèrent. Se caressant les seins, elles s’attrapèrent les tétons et les pincèrent en gémissant. Les langues se touchaient à nouveau, entrant dans une bouche, ressortant comme enroulées l’une autour de l’autre, rentrant dans l’autre bouche. On aurait dit un ballet ; c’était d’un érotisme torride.
Je bandais comme un beau diable ! J’aurais aimé participer, mais ma sœur nous avait interdit de bouger, alors je pris mon mal en patience ; je ne fus pas déçu.
Colombe s’allongea sur le dos. Justine, sur elle, continuait à l’embrasser ; les yeux fermés, elles savouraient leur plaisir. Leurs tétons se frôlèrent, pointant comme des pics, jouant entre eux. Je ressentais presque leur plaisir, celui que Justine et moi avions quand nous nous faisions cela. Justine quitta les lèvres de Coco et alla goûter le lait improbable de sa cousine ; Colombe se tordait dans tous les sens, ses mains couraient partout sur son corps et sur celui de Justine pour finir dans ses cheveux qu’elle massait avec vigueur en gémissant.
Justine poursuivit son exploration buccale ; passant par le nombril, elle rencontra le mont de Vénus imberbe de sa belle. Il eut droit à quelques coups de langue savamment appliqués, puis Justine enfourcha Colombe et lui présenta son intimité qui fut littéralement happée par la bouche gourmande de sa partenaire. Un jeu saphique débuta ; tête entre jambes, elles gémissaient, couinaient. Mon cousin et moi, d’un regard, constatâmes que nous bandions comme des ânes ; l’envie de me masturber devenait quasi insupportable.
Je ne savais pas ce qu’elles avaient en tête, mais ce spectacle – le premier du genre – était un délice d’érotisme torride ! J’avais chaud, je transpirais.
Nous n’entendions plus que leurs miaulements, puis Justine se leva, prit la main de Colombe, l’aida à se relever, et elles se dirigèrent vers nous. À notre grande surprise, elles s’accroupirent en même temps, Colombe face à son frère et Justine face à moi, engloutirent nos phallus gonflés de désir et se lancèrent dans une courte fellation. À croire qu’elles avaient répété une chorégraphie, elles se levèrent pour venir s’empaler sur nos bites baveuses.
Après quelques va-et-vient, elles furent emportées par un puissant orgasme ; je sentais le vagin de ma sœur se contracter sur moi. J’étais au bord de l’éjaculation, je me retenais, il le fallait. Elles se retirèrent et reprirent leur fellation ; je ne pouvais plus attendre, j’allais exploser ! En une fraction de seconde, j’éjaculai dans la bouche de Justine. Elle continua sa fellation, c’était un plaisir extraordinaire ; elle n’avala pas mais se releva, tout comme Colombe. Elles se regardèrent en se masturbant, ouvrirent grand la bouche comme pour se prouver qu’elles avaient bien gardé le précieux nectar, puis l’avalèrent. Se précipitant l’une vers l’autre, elles se roulèrent une galoche d’enfer et partirent en courant se jeter dans la rivière.
Une fois remis de nos émotions, nous les rejoignîmes. Une grande complicité venait de naître entre nous. Nous jouions dans l’eau, mais il fallait rentrer ; et c’est tout mouillés et ravis que nous reprîmes le chemin du retour. Sur le sentier, nous avions croisé à nouveau le jeune couple : ils étaient nus, et visiblement ce n’était pas pour rien ! La demoiselle nous dit :
— Vous avez été magnifiques ; vous faites de bien jolis couples. Merci.— Mais pourquoi ? Vous nous avez vus ? demanda Justine.— Oui, c’était très... très excitant. Pas vrai, chéri ?
Son mec ne répondit rien ; il était évident qu’ils nous avaient matés, et plus !Colombe prit Charly par la taille et dit :
— Allez, viens chéri, on rentre.— À bientôt ; et peut-être que la prochaine fois, nous pourrions nous joindre à vous ?
Ma sœur et moi nous sommes regardés, interrogatifs, puis elle répondit en s’adressant à moi :
— Pourquoi pas ? Tu en penses quoi, mon chéri ?— Si ça te fait plaisir, pourquoi pas ?
Comme ils avaient un téléphone, nous leur avons donné notre numéro, et nous sommes rentrés discrètement à la maison par la porte du fond du jardin. Nous prîmes un bon bain dans la piscine puis un rafraichissement, et c’est installés nus sur des transats au bord de la piscine que maman nous découvrit.
— Éric, viens voir ! Ici, il y en a qui ne se refusent rien ! s’exclama-t-elle.
Mon père arriva et découvrit le spectacle.
— Eh bien, ici, la vie est belle !— Euh... Pardon, oncle Éric. Nous... on...— Ne vous cassez pas la tête : ici, c’est normal d’être ainsi, vos cousins vous l’ont dit. Alors profitez, car je pense que chez vous cela n’est pas possible. Et appelez-moi « Éric » : c’est mieux.— Oui, ton... Éric ; mais si nos parents apprennent ça, ils ne vont pas être contents, déclara Charly.— Pour vos parents, ne vous inquiétez pas : vous êtes majeurs, et donc libres de faire ce que vous voulez. Sonia, on leur tient compagnie ?— Si tu veux. Viens m’aider à préparer l’apéro, et nous allons faire un barbecue ; qu’en pensez-vous, les enfants ?
Nous répondîmes un « Cool ! » à l’unisson. Nos parents s’éclipsèrent, nous laissant seuls avec nos cousins. Les voyant inquiets, nous leur avons confirmé que cela resterait entre nous, que nous étions très souvent nus entre nous, et que parfois on se faisait des câlins. Colombe intervint :
— Tu es en train de me dire que vous vous faites des caresses avec vos...— Nos parents ? Oui, ça arrive. Tu sais, nous sommes très complices.— Oui, mais c’est dégueu ! Faire ça avec les parents, tu imagines ça, Charly ? intervint Colombe.
S’ils savaient... Le cousin commençait à bander. Justine reprit :
— En tout cas, ton frangin a l’air d’apprécier...et toi aussi : tu mouilles.— Vous êtes une famille de pervers !
Maman apparut, nue, portant un plateau avec des verres. J’adorai ses rondeurs, ses courbes gracieuses, ses seins lourds pendant à peine ; son épilation intégrale était très sexy. Charly la dévorait des yeux, elle l’excitait. « Première bandaison de débutant ! » pensais-je.
Papa la suivait, nu aussi, portant un plateau avec une bouteille de champagne dans un seau et tout un tas d’amuse-gueule. Il fit le service et nous trinquâmes. Cette fois, c’était au tour de Colombe de rester immobile, bouche bée, le regard accroché au sexe de mon père. Elle sursauta quand il leur dit :
— N’êtes-vous pas bien, ainsi ? Je suppose que vous n’avez jamais fait une telle chose.— C’est vrai, t... Éric ; mais ça fait un peu bizarre malgré tout, dit Colombe.— Vous allez vous habituer rapidement ; et puis vous n’êtes pas si timides que ça, ou je me trompe ?
Nos cousins rougirent tout à coup ; mon père s’engouffra dans la brèche :
— Et vous n’allez pas me dire que le soir vous êtes restés à vous regarder dans le blanc des yeux tous les quatre ; car moi, à votre âge, j’en ai croqué des filles... et des mecs aussi.
Là, ils passèrent au rouge écarlate. Moi, j’eus un choc : la vidéosurveillance ! Putain, pourvu qu’il ne nous ait pas vus, mon cousin et moi en train de nous sodomiser...Mon père remit le couvert :
— Je m’en doutais ; vous vous êtes amusés tous les quatre ? Vous avez aimé ? Eh bien, tant mieux ! Profitez, et ne soyez pas inquiets : personne ne sera au courant de ce qui se passe ici.
Les cousins sifflèrent leur champagne cul sec, sans doute pour se donner du courage avant répondre. C’est Colombe qui commença :
— C’est vrai : on a fait des bêtises ; mais tu as raison, c’était vachement bien. Je dois dire que c’est la faute de ces deux-là (elle nous désigna, Justine et moi) : ce sont des sacrés cochons, et un peu pervers aussi. — Tu n’aimes pas, peut-être ? lui demandai-je.— Si, c’était super ; vous êtes complètement fous ! continua Charly.
Un clin d’œil à Justine, à papa et maman, et je repris :
— Et vous n’avez pas encore tout vu... Comme vous avez l’air d’aimer, on peut aller plus loin. Je vous ressers du champagne ?

[À suivre]
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