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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 17

Inceste
Elle ne répondit rien ; le rouge aux oreilles, elle tirait au maximum sur sa robe qui ne descendit pas plus pour autant. Tournant les talons, elle sortit et se dirigea vers le portail. Caché derrière le rideau de la fenêtre, je pouvais admirer le spectacle ; et quel spectacle !
Justine se dirigea vers le portail, l’ouvrit et salua le livreur avec une légère révérence. Je pouvais les entendre grâce au visiophone. Lui, il roulait des yeux exorbités et bafouilla un je ne sais quoi d’inaudible ; elle lui demanda de venir jusqu’à l’intérieur et le précéda. Il la suivit, le regard hypnotisé par le cul de ma sœur ; j’essayai d’imaginer à quoi il pouvait bien penser. Il était sûrement en train de se dire qu’il allait se la faire, mais s’était-il aperçu de la différence par rapport à hier ? Ils pénétrèrent dans le séjour ; il déposa les pizzas sur la table et me salua en me dévisageant sans un mot.
C’était un jeune homme d’une vingtaine d’années, très certainement des îles polynésiennes, fort bien gaulé ; sa chevelure châtain mi longue et soignée encadrait au visage fin aux sourcils épais.
— Bonjour, vous avez toute la commande ? lui demandai-je.— Oui... mais...— Mais quoi ? Un problème ?— Non, mais hier, elle m’a... dit qu’aujourd’hui...— Ah ! Elle t’a dragué ?
Il avait les yeux rivés sur elle, comme envoûté. Puis il me fixa et répondit :
— Ce n’était pas elle qui m’a reçu hier ? — Non : c’était moi. Je t’ai plu, puisque tu es revenu : je me trompe ?— Non, c’est vrai, vous m’avez foutu la trique et...— Alors, OK, va pour le pourboire. Et ton prénom, c’est... ? — Moi, c’est Michel, et je... mais... enfin...— Le pourliche : en nature. Ça te va ? Justine, déshabille-toi !
Le regard de Justine s’illumina, sa bouche devint gourmande, ses mains touchèrent le tissu de sa robe et elle se toucha les seins et les fesses. Puis elle se lança dans un strip-tease chaud et évocateur en se caressant ; elle ondulait, effleura la bouche du livreur, fit remonter le bas de sa robe et dévoila son pubis nu. Ce spectacle me mit en émoi ; le pantalon de Michel laissait apparaître une belle proéminence sous sa ceinture. Justine s’en était aperçu et se jouait de la situation : elle le frôlait, lui touchait tout le corps, et surtout la partie qui l’intéressait le plus. La coquine allait l’amener là où elle voulait : vers le plaisir, c’était une évidence, mais à sa façon. Elle fit glisser sa robe au sol et se retrouva entièrement nue, s’agenouilla, défit la ceinture du pantalon de Michel et extirpa le sexe au bord de l’explosion.
— Suce-le ! ordonnai-je.
Elle s’était presque jetée sur le membre tendu ; attrapant d’une main le sexe tendu, elle l’emboucha avec une gourmandise telle que j’ai cru qu’elle allait l’avaler en entier. Elle le suçait avec frénésie dans des grands « Slupss... ! » Elle lui malaxait les testicules à tel point qu’il se tordait de plaisir ; il avait pris sa tête à deux mains et accompagnait le mouvement de va-et-vient. Ce spectacle était simplement savoureux ; voir ma sœur sucer un étranger était jubilatoire.
Quant à moi, je bandais comme un Turc ; j’avais une envie folle de me masturber. J’avais très chaud. Je me suis déshabillé entièrement, arborant ma queue ; Michel me détailla de la tête aux pieds et fixa ma bite que j’astiquais avec frénésie. Installé confortablement sur le canapé, la bite en main, je me caressais et admirais Justine enflammer le jeune livreur.
Accroupie, elle faisait remonter ses mains le long du corps de Michel, puis se leva et joua un instant avec les petits tétons de son partenaire. Ils s’embrassèrent tout d’abord avec timidité, puis ils se rapprochèrent, serrés l’un contre l’autre, corps contre corps ; Justine ondulait, faisant rouler le sexe du beau livreur contre son pubis nu et imberbe. Si je n’avais pas su qu’ils venaient de faire connaissance, leur comportement aurait laissé à penser qu’ils étaient de vrais amoureux. J’eus comme un frisson, un courant glacé accompagné de picotements dans mon dos ; je sentais monter en moi une vague de jalousie, mais ma position de maître reprit le dessus.
— Michel, viens ici t’asseoir à côté de moi. Toi, Justine, masturbe-toi, là, devant nous ; mais interdit de jouir !
Michel me rejoignit, la queue à la main, raide comme un bâton. Je dois convenir que lui aussi était bien monté : une belle bite longue et fine au gland boursoufflé par le désir. Une idée me vint en tête.
Justine, face à nous, se caressait comme l’aurait fait une actrice porno, passant ses mains partout sur son corps en insistant sur sa chatte brillante et dégoulinante de son jus. Elle en préleva une partie avec ses doigts qu’elle lécha avec gourmandise en enfonçant ses doigts l’un après l’autre dans sa bouche, les léchant comme s’il s’agissait d’une glace. Son autre main caressait ses seins et torturait ses tétons gonflés et durs de désir ; elle miaulait, sa respiration devenait plus profonde : je savais qu’elle était proche de l’orgasme.
— Justine, viens t’empaler sur Michel. Moi, je vais t’enculer.
Elle me fixa du regard et son visage s’éclaira : j’avais touché sa corde sensible. Elle adorait la double pénétration. Nous la pratiquions souvent, mais aujourd’hui il y avait une grande différence : habituellement la deuxième bite était un gode, mais ce jour là elle avait droit à deux vraies bites.
Elle se dirigea vers Michel, le prit par la main et l’emmena s’installer sur l’épais tapis en laine placé devant la cheminée ; faire l’amour sur un tapis en laine épaisse et devant un feu de cheminée est magique, on l’a fait. Elle le fit s’allonger sur le dos et s’empala sur le sexe offert. Il n’y avait aucune parole, sauf ses soupirs ; elle se cabrait en s’enfonçant sur le pieu de Michel. Je me suis installé derrière elle. Recroquevillée sur elle-même telle une grenouille, elle m’offrait son intimité déjà ouverte, ou plutôt pas encore refermée (elle était restée longtemps avec le string et ses deux godes).
C’est sans aucune difficulté que mon membre glissa en elle. À travers sa paroi intestinale, je sentais la bite de Michel ; nous nous agitions à un rythme désordonné. Elle prit l’initiative du mouvement, et ce fut l’extase ; elle gémissait en suivant la cadence qu’elle imposait. Mes mains sur ses hanches, je l’accompagnais dans son mouvement jusqu’au moment où elle arriva à l’orgasme. Je sentais son corps vibrer, elle ondulait, transpirait, râlait comme une bête ; j’adorais l’entendre râler, elle entrait presque en transe. Je savais que dans ce cas-là, il fallait lui en donner encore plus : je lui bloquai la taille à deux mains et la pistonnai comme un forcené jusqu’à ce qu’un second orgasme l’envahisse.
Au second orgasme, toujours empalée sur Michel, elle s’écroula sur lui et resta inerte un instant, puis elle l’embrassa avec la fougue qui la caractérise quand elle est heureuse et satisfaite. En général elle poursuivait par une fellation ; c’est ce qu’elle fit. Elle glissa le long du corps de Michel, mordillant au passage ses tétons, puis les embrassa. Sa langue continua sa course pour atteindre le gland violacé par l’envie ; elle le lécha et l’emboucha. Par de lents mouvements de va-et-vient, elle faisait encore monter le désir chez Michel ; je le savais car elle me faisait la même chose. Elle accéléra le mouvement ; Michel gémit à son tour, et moi je me branlais.
Il fallait que je me soulage. Sans la prévenir, je l’ai enculée et pistonnée avec force ; le maître possédait son esclave, je jubilais. Michel et moi avons éjaculé quasiment en même temps ; elle laissa échapper un « Hum... ! » au moment fatidique et eut un nouvel orgasme. Elle se redressa, repoussa avec sa langue le liquide qui envahissait sa bouche pour le laisser s’écouler sur sa poitrine, et l’étala sur ses seins.
Les sonneries de nos portables se firent brutalement entendre simultanément ; je saisis le mien, plus proche. Un SMS de maman : « Nous serons à la maison dans une heure ; vous êtes là ? »
— Merde, Justine, les parents arrivent !
Michel nous regarda à tour de rôle fixement :
— Mais... vous êtes frère et sœur ? 
Et pan dans le mille ! Nous étions démasqués. Que faire ? En vérité, nous n’avions pas vraiment le choix ; et puis, de toute façon, nous avions dit au départ – souvenez-vous – que l’avis des autres, nous n’en avions rien à faire.
Tout en répondant « Oui » à maman, je répondis :
— Bah oui, nous sommes même jumeaux pour tout dire ; cela te pose un problème ?
Son visage fermé et contrarié s’éclaircit d’un coup ; il semblait ravi de la situation.
— Non, non, vous faites ce que vous voulez, et vous avez de la chance ; moi, je n’ai pas de frangine pour m’amuser.— Bon, il va falloir ranger un peu. On boit un coup et on attaque. Michel, tu bois un truc ?
Je servis à boire. Tout en mangeant un morceau de pizza, nous parlions de nos exploits et de nous. Michel demanda s’il pourrait revenir ; Justine lui dit un oui enthousiaste, et nous nous sommes rhabillés. Justine remit sa robe et proposa de le raccompagner ; nous nous sommes serré la main en nous disant « À la prochaine fois ! » et ils sortirent. Moi, je filai ranger l’atelier.
Au bout d’un long moment, ma sœur n’était toujours pas rentrée ; j’allai voir par la fenêtre de la salle ce qu’elle pouvait bien faire, et là, surprise ! Ils étaient tous les deux en train de se galocher ; Michel avait une main sous la robe de Justine et elle en avait aussi une dans le short de Michel. Je ressentis tout à coup un nouveau choc ; j’eus, l’espace d’un instant, envie de sortir et de lui mettre ma main dans la gueule : je me rendis compte que j’étais jaloux.
Justine empruntait l’allée pour rentrer à la maison ; j’étais contrarié quand elle fit son entrée, et elle s’en aperçut immédiatement.
— Que t’arrive-t-il, mon frérot ? Tu n’es pas bien ?— Si, ça va, ce n’est rien.
Je n’osais pas lui avouer mon sentiment. Elle ne releva rien, mais à son regard je compris qu’elle avait deviné. Elle enchaîna :
— Allez, on met de l’ordre avant l’arrivée des parents. Montre-moi tes fesses que je voie dans quel état elles sont.
Je me retournai sans dire un mot et j’enlevai mon tee-shirt ; j’étais nu.
— Bon... j’y suis allée un peu fort. Et moi, c’est comment ?
Elle laissa glisser sa robe au sol et se retourna ; je pouvais admirer ses jolie fesses toutes rondes et fermes. Elles étaient bien colorées, et même un peu striées.
— Alors ?— C’est un peu rouge et strié. On peut mettre de la pommade anti-coups et du fond de teint, ça masquera.— Tu as raison : pommade et fond de teint, c’est parfait. On range en vitesse et on s’occupe de ça.
Nous avons tout rangé, terminé de maquiller les traces de nos exploits et revêtu notre vêtement préféré juste avant l’arrivée de nos parents. C’est en maxi tee-shirt que nous les avons accueillis.
Pour rappel, ils étaient partis en week-end pour voir des amis qui pouvaient peut-être nous embaucher ou nous trouver du travail. Pour nous lancer dans la vie, papa n’hésitait pas à faire jouer ses nombreuses relations ; il se démenait comme un diable et nous avait même payé notre permis de conduire.

[À suivre]
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