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Justine, Jérôme, Rex et la famille.

Chapitre 18

Inceste
Une fois installés sur la terrasse, un rafraîchissement à la main, ils nous expliquèrent tout en détail. Le résultat était simple : ils nous avaient trouvé à tous les deux une place dans un grand hôtel de la Croisette, à Cannes. Pour moi, une place à la réception comme garçon d’étage ; pour Justine, serveuse au restaurant de l’hôtel, mais après une formation. Concrètement, je partais le surlendemain matin par le train : j’avais juste le temps de préparer mes affaires. Justine partirait deux semaines plus tard pour débuter son stage dans un hôtel du même nom, mais à Paris.
Je peux vous garantir que l’idée ne me convenait qu’à moitié : pour la première fois nous, jumeaux, allions être séparés, et ce jusqu’à son arrivée l’hôtel de Cannes ; et cela devait durer un, voire deux mois. Si Justine avait l’air de prendre ça assez bien, moi j’étais très contrarié : adieu notre éternelle complicité et nos parties de cul ; j’étais dégoûté.
Nos parents avaient fortement insisté pour que nous mettions toute notre énergie dans ces emplois car un bel avenir pouvait se dessiner dans cet établissement. Papa insista sur le fait qu’il était maintenant temps de penser à notre avenir, et que maintenant il fallait passer à autre chose, sans faire plus de commentaires.
Avec l’aide de maman je préparais mes valises ; j’avais la gorge serrée, et mis à part pour le côté pratique des choses, nous échangions peu. Maman s’en aperçut. Nous étions seuls ; elle me serra contre elle. J’avais le nez entre ses seins. Il y avait cette odeur, un mélange de parfum et de sueur ; je l’ai enlacée. Elle me repoussa un peu, me regarda droit dans les yeux, me déshabilla et me dit :
— Viens, mon chéri, une dernière fois.
Elle s’agenouilla, prit mon sexe en bouche, et tout en me malaxant les testicules elle me pompa. J’étais bien ; ma queue grandissait dans sa bouche. Elle me caressait la taille, les fesses, les cuisses, et elle me pompait doucement. Sa langue jouait avec mon gland, faisant monter en moi le désir, puis ce picotement si doux dans mes boules qui roulaient sous ses doigts. Je posai mes mains sur ses épaules et les caressai avec douceur. Je sentais que le moment où j’allais tout envoyer approchait, je me retenais le plus possible ; elle s’en aperçut et fit rouler encore mes testicules, les écrasant presque. Mon jus sortit puissant par saccades ; sa bouche continuait à aspirer et je me répandais en elle. Elle continua ; j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais... C’était bon ! Mon ventre se contractait par à-coups, et elle continuait.
Sa main attrapa ma verge toujours dans sa bouche et me masturba avec force ; mon plaisir se transforma en un véritable supplice. J’adorai ça : deux éjaculations coup sur coup. La bite embouchée, le gland prisonnier de ses dents, la hampe astiquée et les couilles pressées comme des citrons : j’éjaculai à nouveau ; c’était terriblement bon ! Elle me rendit ma liberté, se releva, me regarda, ouvrit la bouche pour que j’admire sa langue mélanger sa salive et mon sperme, puis elle avala le tout.
— En souvenir, mon chéri, me dit-elle.
Le lendemain, je me suis levé à l’heure du laitier. Fin prêt, ils m’ont accompagnés tous les trois jusqu’à la gare. Les adieux sur le quai ont été pour moi et Justine poignants. Le « À bientôt » était triste et larmoyant : nous perdions nos parties de cul, mais surtout notre complicité de jumeaux.
Dans le train, mes yeux voyaient le paysage sans le regarder ; mon esprit était ailleurs. Ce départ avait un goût amer avec un sentiment d’abandon ; j’allais me retrouver seul.
Papa m’avait assommé de recommandations et j’avais la lettre qu’il m’avait demandé de remettre à un certain M. Philippe en arrivant. « C’est ton passeport pour l’avenir. » m’avait-il dit. Comment allais-je y arriver seul, dans cette ville de la Côte d’Azur et cet hôtel cinq étoiles où règnent le luxe, les exigences des clients, des stars ; je me sentais perdu. Certes, Justine allait arriver dans deux mois ; c’est ce qui me réconfortait. Je nous voyais tous les deux dans le studio loué par papa, en attendant de trouver mieux. Pourquoi nous avait-il trouvé du travail si loin ? Près de chez nous, il y avait d’autres restos qui embauchaient certainement.
Mon seul réconfort était l’arrivée de Justine dès son stage terminé et le salaire alléchant. « Pour bien débuter dans la vie. » avait souligné papa. Je pris la résolution de m’accrocher à cette nouvelle vie en attendant le retour de Justine ; je nous imaginais faisant l’amour comme des fous. Quand je sortis de mes pensées, Marseille était passée et je pouvais admirer le magnifique paysage de la Côte d’Azur sous le soleil. Arrivé à la gare de Cannes, je fus accueilli par une pancarte portant mon nom qui s’agitait au bout du bras d’un homme élégamment habillé. Il me conduisit directement à l’hôtel, puis dans le bureau du fameux M. Philippe qui me donna toutes les consignes et me fit miroiter que si je m’investissais dans l’hôtel, je pourrais grimper rapidement les échelons.
Au fil du temps, je me suis parfaitement intégré et je bénéficiais des nombreux et généreux pourboires de riches clients. Le studio était assez proche (je faisais mon footing pour aller et revenir à l’hôtel) et était confortable et suffisant pour deux.

Avec Justine, nous échangions quelques messages par textos ; nous n’avions ni l’un ni l’autre le temps de vraiment dialoguer, et puis le terme des deux mois approchait. Je lui envoyai un SMS en lui disant « L’appart est prêt, je t’attends, envie de toi, jtm » Elle me répondit instantanément « Je ne viens pas, je t’appelle dès que je peux. » Je lus et relus le message ; le ciel venait de me tomber sur la tête ! Seul sur mon lit, j’ai pleuré, j’étais désespéré. Elle ne pouvait pas me faire ça, elle n’avait pas le droit : on s’aime, merde !
J’ai attendu son appel longtemps ; à minuit mon téléphone sonna : c’était elle.
— Allô... Justine ? Qu’est-ce qui se passe ?— Écoute, Jérôme, je n’ai pas beaucoup de temps, alors tu vas m’écouter, d’accord ?— Oui, sœurette, je t’écoute, explique-toi.— En fait, un soir j’ai surpris les parents en train de parler de nous et papa a dit « C’est mieux comme ça. » Je suis entrée et j’ai demandé ce que cela voulait dire. Il s’est trouvé con, et maman lui a demandé de m’expliquer ; ça a duré toute la soirée, et j’ai chialé.— Pourquoi ?— Ils l’ont fait exprès : il n’avait jamais été question que nous soyons ensemble à Cannes, et c’est de notre faute.— Ah bon, et puis quoi encore !— Oui, quand ils sont partis et que nous nous sommes amusés comme des fous – en tous cas, je ne vais pas l’oublier de sitôt, ce week-end : c’était génial – en réalité, ils ont tout vu. Nous avons cru désactiver la vidéosurveillance, eh bien non.— Comment ça ? J’avais débranché le jus et les batteries ; tu plaisantes ! — Non, papa m’a expliqué que c’était un nouveau système expérimental et censé être inviolable qui a été installé à notre insu, et ils ont tout vu, en direct, avec le téléphone de papa.— Merde ! Vraiment tout ?— Oui, tout. Et je me suis pris un savon : on a été trop loin, Jérôme. Ils m’ont ouvert les yeux, et c’est pour cela qu’ils nous ont séparés.— Tu n’as qu’à descendre : tu es majeure, et tu fais ce que tu veux ; c’est ce que nous avons toujours dit, non ?
Je ne m’attendais pas à ça : les parents ont tout vu. Tout à coup, j’avais des bouffées de chaleur ; j’étais mal.
— Jérôme, je ne peux pas venir, je...— Qu’y a-t-il encore ?— Jérôme... je... je suis amoureuse.
Alors là, c’était la fin du monde ! Ma gorge se serra ; j’avais envie de pleurer, de hurler, d’étriper ce salaud qui me piquait ma sœur.
— C’est qui ? réussis-je à dire.— Michel... Bon, et puis on avait bien dit que cela s’arrêterait un jour ; eh bien voilà, on ne joue plus, Jérôme, tu comprends ça ? On... ne... joue... plus !
Je sentais qu’elle me filait entre les doigts. Je me doutais que cela se terminerait un jour, mais sans oser y croire. Pour ne pas perdre la face, je lui répondis :
— Tu as raison : il faut qu’on arrête tout ça. C’était vachement bien... Tu es heureuse au moins ?— Très. Et toi, tu t’es trouvé une fille ? Des belles filles, ce n’est pas ce qui manque sur la côte.— Non, je n’ai personne...— Alors trouve-t-en une ; et quand tu en auras une, je descendrai avec Michel. Il est adorable et on s’aime. Je suis désolé, frérot ; bisous.— Bisous...
Elle avait raccroché. Au son de sa voix, elle pleurait, et moi aussi.

[À suivre]
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