Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 49 J'aime
  • 1 Commentaire

Karviol en prison

Chapitre 3

Gay
Première journée en prison: Boisson à  la carte
Je fus réveillé par l’arrivée des plateaux du petit déjeuner. En ouvrant les yeux et en me redressant je vis que mon cauchemar continuait. J’étais bel et bien toujours emprisonné dans une cellule de 20 M2 avec trois mâles, brutes en rut qui voulaient se servir de moi comme vide-couilles perpétuel.. Durant trois jours j’étais désormais interdit d’avaler autre chose que leur sperme....— Tu viens prendre ton p’tit déj’ Paulette?" L’invitation venait de Moussa un colosse noir qui était devenu mon fan le plus collant. Une sensation affreuse de soif rendait ma langue cartonneuse. Mes lèvres êtaient sèches. Je n’avais rien bu depuis hier matin et un début de mal de tête commençait à  me prendre les sinus. Je m’assis sur le bord du lit pour constater que les trois compères s’étaient attablés et avaient joyeusement attaqué les plateaux-repas, dont le mien évidemment. Ils étaient tous les trois en slip, leurs torses puissants et poilus m’apparurent. Devenais-je une tapette? Une odeur insupportable de café chaud titillait mes narines. Je me levai en trainant les pieds, l’œil trouble.— Mais qui voilà ?" Ironisa Abdul, torse nu, en me dévisageant d’un air narquois. Lorsque je voulus m’assoir à  côté de lui sur le banc fixé au mur, il posa sa main sur l’assise et fit non de la tête. Je restai interloqué. Ils croquaient à  belles dents des tartines avec leurs mugs en alu à  la main... et ils allaient vraiment m’interdire de manger!— Passe sous la table, salope...." conclut Marcel avec un clin d’œil qui adoucissait un peu le ton. " Tu n’as pas oublié au moins?"— ..." Je secouai la tête. Comment me sortir de cette ignominie? Mon mal de crane cognait au rythme de mes palpitations cardiaques.— A ta place je ferais vite, maintenant c’est boisson à  la carte, mais après... le bar sera fermé!" menaça-t-il avec un regard dur. Une érection commençait à  déformer mon slip bien malgré moi, j’étais obligé d’y passer. Il me tenait. Trois jours sans rien absorber c’était la mort assurée. même en les suçant tous trois fois par jour j’aurais du mal à  échapper à  une déshydratation importante. Le chantage était ignoble, mais je devais m’y soumettre. Je pliai les genoux et fermai les yeux, submergé de honte, tandis que mon pénis tendait mon string-ficelle.— Oh mais tu y prends goût grosse salope" faisait Abdul, ravi.Je marchai à  quatre passes pour m’engager sous la table, lorsque Marcel dit:— Stop!... Et... qu’est-ce qu’on dit à  ses amis?"Le message était clair, je devais m’avilir encore plus. Une pente savonneuse infinie s’ouvrait devant moi. Je déclarai donc d’une voix blanche ce qu’il voulait entendre:— Merci de m’autoriser à boire votre sperme, Messieurs" Mes joues s’empourpraient de honte et ma verge durcit encore.— Mais de rien connasse, commence par moi." Conclut mon bourreau. Je me faufilai entre leurs genoux et m’accroupis face à  ses cuisses. Je glissai ensuite ma tête jusqu’à  son entrejambe toute chaude et embrassai sa virilité. J’honorais l’objet qui m’avait vaincu. Il devenait mon Maitre. L’odieux engin ne pourrait plus se passer de mes douceurs, j’en devenais l’esclave attitré, la chose à  jouir. La pute gratuite.Lorsqu’il eut prit assez de vigueur, je le fis sortir du slip, et couvris le gland de baisers. J’avais vraiment soif et peu de salive. Je le pris sur ma langue et je fis coulisser d’avant en arrière entre mes lèvres sans trop serrer par manque de salive. Je trichai de la main droite en accompagnant mes va et vient d’une masturbation manuelle. Pour compléter le tout je caressai ses cuisses de ma main gauche restée libre, j’explorai un peu son ventre et ses fesses avant de prendre ses testicules et les faire jouer entre mes doigts. ils étaient lourds et gonflés, je percevais les tortillons de l’épididyme à travers la peau ridée du scutum. Je ne pouvais guère faire mieux, sans salive et avec les lèvres encore fatiguées de hier. Fort heureusement, il ne tarda pas à  jouir. Je m’appliquai à ne laisser perdre aucune goutte de liquide, puis suçai longuement son méat urinaire en massant la verge pour extraire les dernières sécrétions.    Je rangeai l’engin mâle à  sa place et me tournai vers les jambes d’Abdul. — Y’a pas à dire, un intello c’est le top" exulta Marcel.Je massai les cuisses puissantes au poils rêches du noir tout en approchant de son slip qui sentait fort.. Je frottai mon nez sur son pénis à  travers la toile, en respirant par la bouche pour couper mon réflexe de répulsion. Je tirai délicatement le bord du slip avec mes dents pour libérer l’animal sombre. Des poils chatouillaient mes narines. Puis je plaquai le membre semi-érigé contre son ventre et le frottai avec mon front pour économiser ma salive. Enfin je pris le gland en bouche, et je massai des deux mains ses testicules à  travers le slip. J’effectuai des brefs aller-retour, sur son gland uniquement, grâce à l’humidité du sperme de Marcel. Il semblait apprécier et l’œuf chaud s’allongeait dans ma bouche, j’accélérai soudain en aspirant fort. Deux secondes plus tard il râla, je ne tardai pas à  avoir la cavité buccale bien remplie. J’avalai puis nettoyai consciencieusement.  Restait Moussa... dont l’hygiène était la plus douteuse. Je décidai de lui retirer entièrement son slip, il se souleva un peu pour me faciliter l’opération. L’odeur était pourtant difficile à  supporter. Je le pris entre mes lèvres sans préliminaires pour endiguer les effluves aigres, il grossit peu à  peu sous mes tendres morsures. Ma bouche était un peu moins sèche, mais pas tant que ça, je songeais que le sperme étant salé, j’allais peut-être m’épuiser pour rien, finalement!!! Son sexe devint très épais et il éjacula sans crier gare. De surprise, je laissai échapper quelques goutes que je lapai sur ses cuisses. Il semblait se masturber souvent et finalement j’appréciai son sperme moins musqué, presque doux.— T’es une bonne chienne" commenta Moussa tandis que je rangeai sa verge pour reculer de dessous la table.— Oui une très bonne chienne" ajouta Abdul en posant au sol une assiette où il avait versé une demi-tasse de café.— M..merci Messieurs" fis-je sans hésiter, en me précipitant pour laper ce cadeau inattendu. je le fis si vite et si bruyamment qu’ils éclatèrent tous les trois de rire.— Ce petit déjeuner m’a donné une forme d’enfer" déclara Marcel en se levant. Il me flanqua un méchant coup de pied aux fesses en criant: " debout lopette, tu vas faire le ménage de la piaule ce matin? Je te nomme "souillon à  vie"!!"Docilement, j’empilai les reliefs du repas sans pouvoir y toucher et rangeai les plateaux en attente vers l’entrée. Puis j’entrepris de faire les lits, ramasser les papiers au sol, passer un coup de balai, puis récurer à quatre pattes avec du savon le sol gras. Je fus ensuite assigné à  laver à  la main dans l’évier minuscule leurs sous vêtements et sous-vêtements qui en avaient grand besoin, au moins je serais le premier à  en profiter... Mais quelle torture de manipuler tant d’eau alors qu’on me refusait de boire!Midi arriva très vite, j’étais épuisé. J’avais parfois le regard trouble et le mal de tête me reprit très vite. Lorsque les plateaux arrivèrent j’allai me placer d’office sous la table, pressé de boire ce qu’on m’accorderait. Toute dignité m’avait quittée, je cherchais juste à survivre. Les trois détenus conversaient gaiement en mangeant. Je dus les sucer longtemps car ils avaient déjà joui le matin, mais j’obtins à nouveau assez de sperme et n’en perdis pas une goute. Au sortir de la table Abdul me fit mettre à  genoux à côté de lui, puis il versa un demi-verre d’eau au creux de sa main. Mon orgueil était mort depuis longtemps: J’inclinai la tête et lapai comme un chien le précieux liquide pour tenir jusqu’au soir, je léchai humblement la main caleuse qui me nourrissait pour la seconde fois avec autre chose que du sperme.— Très bonne chienne" me félicita-t-il avec un sourire. Les deux autres pouffèrent. J’étais pitoyable, assurément. En détresse totale j’allai m’allonger.Je dormis d’un sommeil agité toute l’après-midi, ponctuée par la visite d’un gardien qui s’entretint par le passe-plat avec Marcel. Je ne pus rien savoir de la teneur de leur propos. Que mijotait-il?Vers 18H30, le retour des plateaux me vit précipiter sous la table comme un chiot avide du lait de sa mère.— Eh bien? Tu y prends goût on dirait! " Se moqua Moussa en s’attablant le premier " Ça tombe bien moi aussi!!!"Je baissai donc son slip à  moitié et commençai par lui, je ne l’aimais pas du tout, mais j’appréciais désormais ses éjaculations abondantes, douces et très précoces. Il tarda pourtant un peu à  jouir ce soir, ce qui laissa amplement le temps aux deux autres pour s’attabler. J’enchaînai avec Marcel, qui tint à ses acolytes des propos inquiétants à  mon sujet, expliquant que des gardiens voulaient me donner un bouteille d’eau demain en échange de menus services. Mais que faire? Je bandais ferme à  la perspective d’être aussi le vide-couilles d’une troupe en uniforme. Mon esprit était désormais aux abonnés absents, j’agissais comme un robot. Marcel finit par jouir mais avec peine et peu abondamment. Je terminai entre les cuisses d’Abdul, je le soignai très longuement pour lui témoigner mon immense reconnaissante au sujet du café, espérant secrètement quelque nouvelle gâterie. Il finit donc par jouir dans un râle qui récompensa mon attention toute particulière. Lorsque je sortis de sous la table, il me regarda et brandit son mug plein d’eau. Pivotant il posa ses deux pieds nus sur le sol devant moi, puis versa l’eau dessus. J’hésitai une seconde puis m’empressai de lécher ses deux pieds. Ils agitait ses orteils dans la flaque d’eau pour les ré humidifier. Je les suçai un par un puis lapai le sol de chaque côté de ses pieds, me félicitant d’avoir lavé le sol au savon le matin même. Lorsque je me redressai enfin, je pus lire le regard méprisant des trois taulards. Je sus que je venais de descendre encore d’un étage dans ma descente vers les enfers.Après avoir débarrassé la table, dépendu et plié le linge propre, et je nettoyai consciencieusement l’évier et le wc. Je devenais mécaniquement la femme de ménage de la chambrée. Je me couchai, ôtai docilement mon slip, épuisé, et m’endormis, malgré un mal de tête persistant.
Diffuse en direct !
Regarder son live