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Karviol en prison

Chapitre 4

Gay
Deuxième jour: mon règne pour une bouteille d’eau
Un violent mal de tête m’éveilla très tôt. Au bout de quelques secondes je réalisais que j’étais toujours en prison, à la merci des caprices sexuels de mes 3 codétenus, devant lesquels j’avais totalement abdiqué en 24H. J’étais devenue la pute et la femme de chambre, motivé par la peur doublée d’un état de déshydratation avancée dû à l’interdiction de m’alimenter.
Je me levai sur la pointe des pieds et vérifiai que tous dormaient. J’attrapai un slip sur une pile de linge et m’assis sur les toilettes. Je laissai le slip pendre dans l’eau quelques secondes, puis regagnai mon lit silencieusement. Je pressai l’étoffe pour en tirer quelques centilitres d’eau, malgré mon dégoût. Lorsqu’il y eut plus rien à en tirer, je cachai le vêtement sous mon sommier et me rendormis.Je fus à nouveau réveillé par l’arrivée du petit déjeuner. Mon mal de tête persistait mais semblait atténué. Je me levai, enfilai mon string, saluai les trois brutes déjà installées et repris ma place sous la table. J’avais considérablement amélioré mes techniques en 48h, mais je mis un certain temps à leur faire cracher leur sperme. Je me remis ensuite au rangement au ménage, tandis qu’ils lisaient et écoutaient de la musique. Ils semblaient moins virulents avec moi, leurs instincts basiques probablement purgés par mes soins attentifs. Je lavai avec difficulté à cause du grillage les vitres sales de la fenêtre, puis j’entrepris de faire la poussière... ce n’était pas du luxe!Lorsque midi arriva j’étais épuisé et j’avais chaud, mais j’étais incapable de transpirer. Mon mal de tête se fit lancinant. Durant le repas, je me jetai fébrilement sur leurs queues et les pompai goulûment les unes après les autres. Ils se moquèrent copieusement de mon empressement et ils me firent sentir ma veulerie. J’eus beaucoup de mal à les amener à jouir, sauf peut-être Moussa que je commençais vraiment à apprécier pour sa générosité naturelle et spontanée... Lorsque je sortis de sous la table, Marcel me parla:— on va venir te chercher tout à l’heure. Si tu es bien obéissant tu auras droit à une bouteille d’eau. C’est cool, non?"— Merci Monsieur" fis-je, la bouche pâteuse.— Viens ici! J’ai à bouffer pour toi, chiennasse" Ordonna Abdul. Il prit de la purée de pommes de terre dans mon assiette intacte et enduisit à l’aide d’une grosse cuiller son torse poilu, ses avant-bras et son ventre avec la purée. J’en avais les larmes aux yeux. Quelle infamie. Quelle perversion. Je me redressai écarlate de confusion et m’approchai de lui. — Merci Monsieur" ajoutai-je mesurant ma chance et ma déchéance. Mon sexe recommençait à palpiter. Malgré mon dégoût je me mis à le lécher avidement pour pouvoir manger ma purée. Parfois je devais sucer ses poils emmêlés. Son odeur mâle musquée me pénétrait les fosses nasales et s’inscrivait dans mon cerveau, gravant dans mon instinct ce mot nouveau: femelle! Je fis à nouveau le tour de ce corps mâle velu pour ne laisser aucune trace de purée. J’étais moralement en morceaux. Lorsqu’ils se levèrent de table, je me mis aux tâches ménagères comme une automate.Vers 15h la porte s’ouvrit et un gardien m’appela. Il me fit sortir. Je m’étais toujours en slip, bizarrement il ne me fit pas habiller, Il me fixa les menottes aux poignets dans le dos. Nous suivîmes des couloirs, puis je pénétrai dans une cellule sans fenêtre. Il me fit agenouiller, puis me banda les yeux. J’entendis le zip de sa braguette. Boire, boire , boire. J’étais en boucle. Je pinçai l’extrémité de son pénis du bout des lèvres, l’agaçant ainsi quelques secondes. ils se dressait par saccades, effleurant ma joue. Je le cherchai à tâton, le bec grand ouvert comme un oisillon maladroit, puis le canalisai délicatement. Je le fis coulisser très lentement quelques coups pour le faire bien raide, puis m’élançai dans une folle cavalcade. Boire, boire, boire!!!! Il gémissait.— Hola, hola! T’es une vraie folle toi" s’écria-t-il surpris et ravi. L’instant d’après il jouissait me remplissant la bouche. J’avalai tout goulûment puis le lapai comme un chat, à force d’insister il reprit de la vigueur.. J’écartai mes genoux pour mieux me glisser sous lui et lui suçai le nœud avec une ardeur nouvelle. En quelques minutes il explosa une seconde fois pour ma plus grande satisfaction. Boire, boire, boire. J’embrassai ses testicules fiévreusement, tirant sur les menottes qui me cisaillaient les poignets dans le dos. Mes genoux étaient douloureux. A force de mordiller et lécher ses boules, je sentis que j’arrivais à lui redonner vie. Je le suçai donc très longuement et ils se vida une troisième fois dans un râle.— Oh putain con! Alors là ... c’est du grand art. Tu es une belle salope, toi. Attends, ici on va te donner ce que tu aimes!"La porte claqua, je restais menotté, aveuglé à genoux. La soif et la faim me faisaient trembler les mains et les pieds. Les hommes se succédèrent un par un durant plus d’une heure, j’en perdis le compte. Je pus les faire jouir deux ou trois fois chacun, jusqu’à parvenir à étancher ma faim. Enfin un groupe de trois clôtura les réjouissances, ils me filmèrent à tour de rôle pendant que je les pompais avec plus de vigueur au fur et à mesure que mes forces revenaient. Les remarques obscènes fusaient, mais j’étais dans un état second. Ils me ramenèrent à ma cellule, titubant, les genoux en compote et la mâchoire endolorie. Lorsque je fus à l’intérieur je fus débarrassé de mes liens et le gardien posa une bouteille d’eau minérale au sol. Sans attendre d’autorisation je me jetai dessus et bus avidement, accroupi au sol, comme un singe. Je la vidai d’un seul trait. Puis sans un regard pour mes tortionnaires ravis, j’allai m’effondrer sur ma couche. Je ne me réveillerais que le lendemain matin, totalement épuisé.
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