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Karviol en prison

Chapitre 5

Gay
Troisième jour: Douche froide
Lorsque je fus réveillé par l’arrivée matinale du petit déjeuner, tous étaient déjà installés à table. Je restai un moment sur le lit, les yeux mi-clos et je repassai le film des jours précédents dans ma tête, mon incarcération, l’attitude des gardiens, les 3 taulards, leur emprise immédiate sur moi, mon éducation à la soumission... Hélas je n’avais pas rêvé! J’étais toujours dans cette cellule et je devrais y rester jusqu’à mon procès dans un premier temps ce qui pourrait prendre un an voire plus. Mon calvaire ne faisait probablement que commencer...Je me levai d’un pas trainant enfilai mon string et saluai mes bourreaux en marmonnant. Je traversai la chambre et commençais m’agenouiller, résigné. Comme je m’apprêtai à passer sous la table à quatre pattes, Marcel me fit signe de m’assoir à côté de lui. Je m’assis donc docilement et entamai avec circonspection mon premier petit déjeuner... café et tartines que je savourai discrètement. Personne n’avait pioché dans mon plateau: bon ou mauvais augure?Ils étaient occupés à se disputer à propos du prochain match OM-PSG, je me gardai bien de dire quoi que ce soit."Sais-tu qu’on est jeudi et que c’est le jour de la douche?" fit soudain Marcel en s’adressant à moi...— Heu, non je savais pas" fis-je, étonné...— Tu resteras avec moi chérie, ok?— Oui Monsieur, dis-je docilement.— Tu comprends pourquoi?— Heu... Je restai stupidement sans pouvoir dire quoique ce soit, je ne voyais aucune explication.— Tu es une bonne pute pas vrai? Sourit-il d’un air sadique qui découvrit toutes ses dents pas très branches.— Je sentis la honte m’envahir. Je dus rougir tellement qu’il rit.— Les nouvelles vont vite en taule.. tu vois.. quasiment tout le monde sait ici... t’es qu’une chaudasse de première!!! J’voudrais pas qu’tu t’fasses violer ma belle!Je crus que j’allais m’évanouir. Mon cœur et ma poitrine se serraient si fort que je n’arrivais plus à respirer. Je fermai les yeux puis tentais de me reprendre, pris de vertige.— Eh oh! PAAAFF!" Une gifle douloureuse me remit bien vite de mes émotions! "Je me fous de tes états d’âme ok?" Cria Marcel. "Tu resteras avec moi, bien planqué derrière moi, t’es ma meuf alors c’est moi qui dis à qui tu dois faire une pipe ou non, c’est clair?— Ou..ui, oui, t... très clair", fis-je... très vite, craignant l’arrivée d’un nouveau "taquet", comme on dit ici.— Ben voilà! C’est pas dur hein? Allez... T’as fini le p’tit déj’?"Il se leva. Suis-moi au chiottes! Il poussa la porte crade, baissa son jeans et s’assit sur le trône pas très net, lui non plus... "Eh bien? entre! connasse! t’attends quoi?!"J’entrai donc craintivement et rouge de confusion.— Grosse pute... Tu jures? T’as pas joui depuis qu’on t’a tripoté à ton arrivée j’espère? fit soudain Marcel avec un regard dur.— Je fis "non" de la tête, incapable d’esquiver la grossièreté et le mépris de la question.— Bon parfait! Allez, allez! viens me faire une tit’ pipe chérie!Comme un automate je m’agenouillai face à lui, puis m’approchai sur les genoux de ses cuisses poilues et ouvertes. Suffocant sous les odeurs lourdes, je pris sa verge et l’embouchai; m’efforçant de ne rien laisser voir de mon dégoût, histoire d’éviter une seconde gifle. Mais un coup de pied dans mon mollet gauche accompagné d’un grognement furieux me fit déchanter.— Eh! Attends! Mets le mains dans l’dos! la pute!!!Je retirai mes mains de son entrejambe et croisai mes poignets docilement sur les reins. Je sentis qu’il passait un objet fin autour et tira sèchement, j’entendis un cliquetis mat et ressentis un serrement. Mes mains étaient solidement attachées dans mon dos à présent... En tirant discrètement, je compris très vite que j’étais totalement réduit à l’impuissance. Je suçai son chibre avec application afin qu’il durcisse, penchant mon buste pour le prendre en l’aspirant entre mes lèvres. Je salivai abondamment et faisant coulisser entre mes lèvres serrées... comme une femme experte. A cette idée et bien malgré moi, je sentis mon érection naître. Je le pris de plus en plus profondément en bouche, sentant son sexe complètement érigé, lorsque soudain... il tapa sur mon crâne.— Stop! Arrête! Tourne toi ! Allez c’est bon! hop!!! Montre moi ta chatte de salope!Surpris, je relâchai son membre, et détournant le regard pour ne pas croiser ses yeux, je me tournai à genoux, avec difficulté dans le chiotte étroit. Puis je me penchai en avant pour lui présenter mes fesses. Il me poussa rudement et mon front vint heurter le sol avec un bruit mat, étant privé de l’appui de mes mains. Lorsqu’il me posa ses mains caleuses sur le dos, je sentis un frisson me parcourir. Ses paluches brûlantes caressèrent mes fesses longuement, massant mes lobes. Ma respiration s’accélérait, je gémis, livré à sa lubricité mon corps réagissait! Je bandais comme une âne, honteux de prendre du plaisir à me faire palper le cul comme une catain.— Ah putain! quel cul! Mais c’est qu’ t’aime ça en plus! Quelle pétasse!!!! Hein?! Et il me claqua les fesses d’une claque magistrale. Ensuite... Je l’entendis cracher et un liquide chaud roula sur mon anus. Je poussai un petit cri de surprise lorsque je sentis un doigt chaud sur ma rondelle.— Oh que voilà une belle chatte!! Une très jolie chatte de salope! Je vais t’apprendre comment l’utiliser! Moi!!! ... tout comme je t’ai appris à te servir de ta petite bouche de pute! Cette chatte va tous nous rendre fous!— Aaahh, je gémis sentant son majeur chaud jouer avec mon petit trou. Et pénétrer en moi. Il entrait, ressortait, tournait en moi, puis se mit à étirer mon anus en de rudes tractions. Je ne savais plus ou j’étais, humilié et pantelant de désir. Gémissant. Un second doigt se joint au premier et il continua encore quelques minutes avant de retirer ses doigts. Laissant un vide froid.— Parfait t’es bien chaude là! Allez! Viens t’enculer sur ma bite ma belle! Lâcha-t-il soudain. Dépêche salope!"J’étais fou de désir frustré, mon petit sexe raide palpitant dans mon string ridicule. Les jambes tremblantes, je me relevai maladroitement, toujours privé de l’usage de mes mains... A reculons, jambes écartés, je vins m’assoir lentement sur ses cuisses, tendant les fesses en arrière jusqu’à sentir son gland brûlant. Impossible de l’atteindre avec mes mains liées si serrées, même en me contorsionnant. Je commençai donc à presser ma rondelle plus fort contre lui et je sentis qu’il me pénétrait un peu. J’étais déjà bien ouvert et son gland était encore tout gluant de ma salive alors.... il m’ouvrit facilement. Une légère douleur vite estompée par une sensation de chaude plénitude. Mon statut de femelle se confirmait pleinement et j’en redemandais à présent!Je me laissai descendre sur son mandrin tout chaud, il glissait en moi éveillant de voluptueuses sensations inconnues jusqu’ici. Je tenais mes cuisses fléchies pour bien m’empaler sur lui. Mon anus se contractait sur sa tige dure et j’en redemandais! Je me mis donc à onduler des reins comme une femme, en gémissant. Ses mains dures caressaient mes hanches, mon dos, mes épaules, mes fesses... Je perdais toute pudeur et glapissais d’un plaisir veule. Poussant sur mes cuisses plus vigoureusement j’accélérai mes déhanchements pour m’empaler plus activement, pressé de jouir. Et je le sentais lui aussi très excité maintenant, son pénis semblait palpiter en moi! Ses doigts rudes s’emparèrent de mes tétons érigés de désir et il me les tordit cruellement. Je me lançai dans une course folle à cheval sur ses genoux, martelant mes entrailles sur sa queue dressée... soudain dans un râle, ma prostate pilonnée de mille braises explosa! Mon corps agité de soubresauts, je sentis les spasmes de la jouissance resserrer mon anus irrésistiblement sur le pieux divin... je criais sans retenue... Marcel poussa un râle et déchargea son sperme chaud dans mon colon. Je restai quelques instant hors d’haleine, assis sur lui. Comblé.Marcel rompit le silence en me claquant la cuisse droite: "Allez debout ma belle, ouste!" Je me relevai lentement, comme sonné. Il me poussa sur le côté pour passer et je baissai le regard pour fuir son sourire satisfait. Puis il me repoussa en arrière pour que je m’assoie sur le wc. Je fermai les yeux cramoisi de honte pendant qu’il se lavait les main et le sexe dans le minuscule la-mains du wc.Lorsque je les rouvris, Moussa était face à moi, le pantalon baissé. Pas besoin de me faire un dessin, il voulait sa part lui aussi, mes cris indiscrets avaient dû l’exciter car sa verge était à demi tendue. Impatient il me tira par les cheveux, je posai mes lèvres sur sa tige et fis coulisser son prépuce pour décalotter le gland déjà violet. Je pris l’œuf chaud dans ma bouche et le léchai vigoureusement en serrant mes lèvres. Je savais qu’il allait me défoncer, et ma "chatte" dégoulinante de sperme en palpitait d’avance. Lorsqu’il me fit lever je me tournai sans me faire prier et me penchai en avant, écartant bien les jambes et offrant mon cul de salope."Oh ben mince" fit-il ravi et me pénétra sans autre forme de procès. Son gros chibre m’arracha des gémissements déchirants. Il me fit l’amour avec une douceur inattendue, je le sentis coulisser en moi délicieusement. Il me pilonna les entrailles durant quelques minutes et il jouit soudain se se vidant dans un spasme inondant mon rectum déjà bien rempli. Frustré je le sentis se retirer, me laissant sur ma faim. Il me fit redresser et assoir sue le wc sans ménagements, puis je dus sucer son sexe infect... complètement impuissant et livré à sa volonté.— Nettoie tes saletés salopes!" éructa-t-il... Je m’exécutai en réprimant mes haut le cœur et tirant sans espoir sur mes poignets immobilisés. Une fois sa verge propre, il se rajusta et sortit.Je restai assis et silencieux. mon anus me brûlait. je sentais leur sperme descendre et commencer à cheminer vers la sortie. Mes tétons torturés et rouges me procuraient des élancements voluptueux qui maintenaient mon ventre en excitation.C’est alors que la longue silhouette d’Abdul s’encadra dans la porte des toilettes. Je baissai instinctivement les yeux, honteusement. Je sus dès cet instant que j’allais souffrir énormément.
(A suivre si vous le décidez)
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