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Karviol en prison

Chapitre 1

Gay
Je m’appelle Paul Karviol ; j’ai 28 ans. Je travaillais pour une grande banque. Originaire d’une famille aisée, ma vie a toujours été facile et douce. Je suis blond aux yeux bleus, de taille moyenne, pas très musclé et, je l’avoue, un peu efféminé, ce qui ne m’empêche pas d’avoir un beau succès auprès des femmes. Après de brillantes études, j’ai été embauché par un établissement financier réputé pour leur faire gagner de l’argent. Beaucoup d’argent, même ! Mais je n’ai pas tardé à mettre mon intelligence au profit de ma cupidité. J’ai détourné habilement de mes comptes clients des sommes de plus en plus élevées pour les faire travailler brièvement sur le Forex, en spéculant sur l’argent métal qui flambait. J’ai accumulé des gains considérables en 18 mois ; mais un jour les autorités américaines ont sciemment modifié les règles et, comme d’autres spéculateurs, je me suis fait déchirer par le retournement de la tendance. Non seulement j’ai perdu les 10 millions d’euros que j’avais capitalisés, mais aussi 30 millions qui ne m’appartenaient pas. Dans l’incapacité de couvrir mes pertes, j’ai tenté de masquer en puisant sur des comptes dormants... Plusieurs clients n’ont pas tardé à découvrir le "pot aux roses" et à porter plainte. J’ai été arrêté et mis en prison dans l’attente de mon procès. Mes ennuis n’allaient pas s’arrêter là...
Après avoir été déféré aux Baumettes, je passai par l’administration qui me mit en fiche et me photographia. Ensuite je dus transiter par l’accueil des nouveaux détenus, dans une salle sécurisée, en présence de cinq gardiens peu amènes. Je fus prié de me mettre nu, inspecté, filmé. Une certaine gêne s’est installée chez moi : le regard des gardiens sur ma peau blanche et glabre, ourlée de fins duvets qui luisaient sous les projecteurs, tandis que le froid qui me faisait frissonner. Tous mes effets personnels, ma belle montre, ma gourmette et ma chevalière me furent confisqués et rangés dans un casier métallique. Je touchais le fond. Du moins, je c’est ce que je croyais.
Un début d’érection vint augmenter mon embarras. Mais lorsqu’un homme me fit pencher et enduisit mon anus d’un gel bleu, mon sexe s’est mis à triquer vraiment dur bien malgré moi. Il insistait bien avec ses doigts couverts d’un gant en latex, faisant jouer mon anus et l’assouplissant. Lourd regard des hommes en uniforme... L’un d’eux ordonna: « Penche-toi ! » J’obtempérai, mort de honte, en espérant que mon érection passe inaperçue, mais il poussa sur mon buste pour me faire pencher beaucoup plus bas, puis décala mes pieds de petits coups de botte pour élargir le compas de mes jambes. Ecartelé et bien ouvert, le cul bien offert, j’étais dans la confusion totale. Il se plaça lentement derrière moi, puis il écarta les lobes de mes fesses et introduisit un scanner anal pour contrôler mes entrailles. L’objet était glacé ; je frissonnai. L’examen dura : il s’amusait visiblement à prolonger l’opération inutilement puisque je n’avais rien caché là de toute évidence... L’écran en noir et blanc n’affichait que des viscères gris et des os blanchâtres. Je sentais peu à peu mon ventre me brûler d’un feu inconnu ; ma verge se redressait raide et oscillait entre mes cuisses glabres. Quel spectacle lamentable je devais offrir !
Enfin il posa sa main gauche sur mes fesses pour extraire l’objet de sa main droite lentement, très lentement, tout en me caressant de l’autre main. Je me redressai écarlate de confusion et baissai les yeux pour ne pas croiser les visages goguenards.« Voilà un joli petit pédé… » fit l’un. « Ouaip, elle a un bel avenir ici, cette petite salope » répondit l’autre. Je ne savais plus où me mettre et, outré, je commençai à bafouiller : « Vous... n’avez pas le droit ; je... porterai plainte contre... » Une claque sur mon cul vint ponctuer mes protestations. « Mets ta tenue, ma belle ! Je crois que tu vas adorer où tu vas tomber ! C’est vraiment dans la bonne équipe ! » « Ha-ha !... » Tous rirent en chœur. Je décidai de me taire pour ne pas risquer d’autres sarcasmes.Humilié et inquiet, j’abandonnai mes protestations et ravalai ma hargne pour enfiler un T-shirt taille S et un pantalon en 38 en toile orange simple. Seules consolations, ils semblaient neufs et sentaient bon la lessive. Le sol carrelé et froid sous mes pieds nus, je mesurai mieux la stupidité qui m’avait amené ici, alors que j’étais promis à un bel avenir doré à l’extérieur.
Nous prîmes plusieurs couloirs et ascenseurs avant d’arriver devant une série de portes métalliques sales, qui ne devaient jamais voir le savon ni la peinture.« Tous au mur ! » beugla un de mes tortionnaires à travers la porte. L’œil rivé au judas, il attendit. Bruit de clés ; un grincement. La porte s’ouvrit sur une pièce étroite de 15 à 20 m2 maximum. Au fond, une fenêtre étroite et haute, au verre dépoli et grillagée des deux côtés. Le long de chaque mur, deux lits superposés. Trois hommes nous tournaient le dos, alignés le nez contre la fenêtre.On me poussa sèchement par derrière et je pénétrai dans la cellule. Ce fut plutôt elle qui me saisit, d’ailleurs. Une odeur de transpiration, d’urine et de pieds me saisit à la gorge. Dans la faible lueur, je distinguai des lits défais, des papiers sales au sol, un évier simple dans un coin, et un WC dans l’autre coin. « Voilà de la compagnie ! Amusez-vous bien, les enfants ! » cria le gardien tout en refermant la lourde porte.
Je vis les trois dos se retourner lentement. Comme j’aurais voulu revenir en arrière ! Comme j’aurais aimé retrouver mon bureau climatisé, mon fauteuil en cuir et ma secrétaire multilingue... (lol)Trois visages hirsutes me faisaient face : un homme âgé avec des cheveux gris, un grand de type arabe, la trentaine environ, et un Noir bedonnant sans âge, peut-être la petite quarantaine.« Bonjour » fis-je poliment. « Salut... » Un sourire venait d’éclairer ces faces de brutes mal rasées. Le vieux s’approcha avec un large sourire sur lequel je me mépris. Et lorsqu’il me tendit la main, je la serrai sans conviction. À ma grande surprise, il me la retint fermement, m’attirant vers lui. Les deux autres s’approchèrent de chaque côté. J’étais cerné ! « Comment tu t’appelles, toi ? » Des yeux noirs et lubriques me détaillaient. « P... Paul, moi c’est Paul » bredouillai-je maladroitement. Le vieux me serrait toujours la main à en briser les os et m’amena sous son nez. Il pencha la tête vers moi et inspira... « Mmmhh, tu sens bon ma... petite Paulette ! ». J’étais tétanisé (je garderais le sobriquet de Paulette des années ensuite). Sourire des autres, intéressés. L’Arabe l’imita et huma mon cou d’un geste gourmand. Le Noir qui sentait la sueur me renifla aussi. La gorge nouée, j’étais prêt à pleurer, comme un enfant agressé dans la cour de récréation. Sauf qu’appeler maman ou la maîtresse ne me servirait à rien ici. Les règles de la prison sont différentes ; j’allais les apprendre dans la douleur.
« Mourir debout ou vivre à genoux ? » pensai-je. Tel était le deal qui s’offrait à moi. Aurais-je le courage de mourir debout ? C’était autre chose que de lutter contre les caprices des marchés... Je n’ai jamais su me battre. De toute éternité. À l’école, aussi loin que me souvienne, j’étais bon élève et m’abritais volontiers sous l’autorité professorale.J’étais trop près du plus vieux maintenant pour pouvoir le frapper d’un coup de genoux dans les parties, et les deux autres auraient tôt fait de me tabasser. Mon cerveau angoissé tournait à toute vitesse, cherchant vainement une issue. Ils devinèrent ma révolte. Le Noir ajouta : « Tu as le choix : soit tu es bien gentil avec nous et on te traitera pas trop mal ; soit tu fais ton bouffon, et là on te pourrira à mort ». L’Arabe sourit : « On peut faire de ta vie un enfer ; tu saisis, lopette ? » et il posa sa main sur mes fesses. J’avais le souffle coupé ; leurs odeurs fortes me donnaient envie de vomir.
« Mais tu bandes, cochonne ? » s’exclama le vieux en me tirant contre lui de sa main droite et en palpant mon entrejambe de sa main gauche. Je perdis contenance et me mis à pleurer. Le pire, c’est que je bandais vraiment. Ces trois mâles au faciès de brute autour de moi, à l’intérieur de ma sphère intime, c’était déjà un viol. J’étais déboussolé et perturbé. Ma tête me criait de hurler, mordre et de griffer, mais mon ventre se flattait d’être l’objet d’admiration de ces hommes frustres.Mes larmes semblèrent faire passer un moment d’émotion chez les trois détenus, mais de courte durée. Un silence s’installa ; ils me regardaient, sûrs d’eux à présent. Ils savaient leur proie proche de céder : ils allaient pousser leur avantage immédiatement, je le sentais.Le vieux chuchota tendrement mais de manière menaçante à mon oreille : « À genoux, ma Paulette ; dépêche ! »C’était l’instant fatidique. Si je le faisais j’étais fichu. Si je ne faisais pas, ce serait la guerre et ils m’auraient de toute façon. Combien de temps allais-je pouvoir leur résister ici dans ce milieu clos ? Trois jours ? Trois semaines ? Trois mois ? Si j’en prenais pour trois ans... toute résistance semblait vouée à l’échec.
Une claque appuyée sur les fesses me fit sursauter. « Ohé ! On n’a pas la nuit, Ralouf ! » cria l’Arabe. Le Noir m’empoigna par les cheveux et me secoua la tête. « Tu veux que je t’éclate, connasse ? »J’étais cuit. J’étais à genoux une seconde plus tard, tremblant. L’ordre suivant ne me surprit pas : « Désape-toi ! Fissa ! Fissa ! Nardin’ ! » Ils étaient pressés, maintenant. En sanglotant, je quittai donc ce qui me restait de dignité masculine, ôtant mon T-shirt facilement, puis mon pantalon en me contorsionnant, ce qui les amusa quelques secondes.
« Aah… on va enfin pouvoir faire connaissance ! Moi, c’est Marcel » ironisa le vieil européen en caressant mon visage ; il pouvait avoir entre 50 et 60 ans. « Moi, c’est Abdul ; j’adore les Blanches, mais ici y’en a pas... » précisa-t-il en me triturant les tétons à m’en faire mal. « Et moi, c’est Moussa » conclut le Noir en flattant mes cheveux. « Moi, j’aime les blondes ; tu vas essayer de les remplacer, OK ? » ajouta-t-il en jouant avec mes boucles dorées, qui bizarrement avaient échappé à la tonte. Avaient-ils de complicités chez les gardiens ? Cette idée me désespérait et me paralysait ; inutile de crier "au secours", c’était l’évidence. Marcel reprit la parole.– Un règle simple ici : tu m’obéis ; point barre ; et t’auras pas d’ennuis. Si tu désobéis, je te corrigerai, tu regretteras d’être né. Ici, c’est moi qui commande. Tu m’as bien compris ?La peur et l’appréhension avaient gelé mes cordes vocales. Une gifle vint les réchauffer !– Ouilleuu ! pleurnichai-je, abasourdi.– Tu me réponds, sale petite pute ?Entre deux sanglots, j’émis un « Ou… oui » Une seconde gifle plus appuyée acheva de me rendre la parole.– Oui, quoi ? fit-il, menaçant.– Oui j’ai bien compris, achevai-je en m’abritant des mains dans la crainte d’un nouveau taquet retentissant.– Le dernier qui m’a désobéi ici, je l’ai saigné : il est parti pour l’hosto... C’est pour ça qu’il y a une place libre, tu captes ? précisa-t-il avec un sourire cruel.Ses yeux noirs semblaient souligner la véracité du récit.– Tu me serviras sans discuter. En mon absence, c’est à Abdul et Moussa que tu dois obéir. Un seul faux pas et tu morfles ; je me ferai une joie de te faire souffrir ! C’est clair, pétasse ?
Je pleurais en silence et hochai peureusement de la tête. J’étais vaincu avant même d’avoir combattu. Lamentable. Il m’attrapa par l’oreille et cracha :– J’ai pas bien compris la réponse à ma question, petite pute ! Les mots orduriers me pénétraient profondément et me faisaient sentir tout petit. Le trader redoutable avait disparu, laissant place à la peur. Sous l’effet de la douleur je grimaçai un « Ouiii » aigu qui ne lui plut pas.– Oui qui ?– Oui M… Marcel ? La douleur se fit plus vive sur mon pavillon. Marcel attendait plus d’efforts, visiblement.– Oui... Monsieur ? tentai-je alors.Il lâcha mon oreille, avec un ricanement.– Je vois que tu apprends assez, vite, c’est prometteur… Il est à vous, les gars, juste à la bonne température ! fit-il triomphant, en s’éloignant vers les lits superposés.Il s’allongea comme un grand fauve souple et resta à nous observer d’un regard attentif.
– Debout !L’ordre sec venait de l’Arabe ; je me levai en tremblant. Il se serra contre moi. Il me massait les fesses d’une main tout en pinçant alternativement mes tétons. Je sentais son souffle dans mon cou, partagé entre des sensations incroyablement voluptueuses et un dégoût radical.– J’aime bien ton cul : une vraie gonzesse !Il insistait au bas de mes reins, tirant sur mes duvets délicats. Le Black malaxait pendant ce temps-là mes testicules de la main droite à m’en faire mal. J’étais devenu un simple objet sexuel ; je gémis de douleur et de plaisir, chose que je ne pus empêcher.– Quelle chienne !! ricana Abdul ; tu aimes ça, hein ?Cette évidence faisait chauffer mon bas-ventre bien malgré moi. Moussa baissa son pantalon et commença à se masturber lentement.– Réponds !Abdul m’étirait le sein droit douloureusement pour me faire abjurer ma dignité.– Pitié… parvins-je à articuler pour éluder la question perfide.– Réponds-lui ! Alors ? Tu aimes ça ? renchérit Moussa en me serrant plus fort les testicules.– N... Non ! articulai-je, toujours partagé entre douleur et plaisir.– Mauvaise réponse ; réfléchis bien… annonça Moussa en accentuant la pression à la limite du supportable, faisant rouler mes gonades l’une contre l’autre d’une poigne de fer. Je gémis d’un cri long étouffé et éjaculai sur sa main. Un orgasme flash qui me laissa pantelant entre leurs mains chaudes et calleuses.– Oh, quelle cochonne ! Tu m’as giclé dessus… Allez, ne dis pas que tu n’aimes pas§!!! Tu aimes, hein, salope ? dit-il en essuyant son poignet sur mes cheveux. Puis il se saisit à nouveau de mes parties génitales.– Oui, ouiuiiii... couinai-je, vaincu une nouvelle fois sous l’effet de la pression redevenue horriblement douloureuse sur les pauvres boulettes...– Ben voilà ; c’était pas si dur, quand même !! triompha Abdul qui se mit à me sucer et grignoter les seins, m’arrachant de nouveaux gémissements tandis que ses doigts s’égaraient dans ma raie... Moussa avait lâché mes boules et j’aperçus un sexe long, épais et noir, couronné de rose qui s’agitait à hauteur de mon nombril…– Oh, mais oui ! Tu veux la voir, la lune, chérie ? ironisa-t-il en poussant ma tête vers le bas pour que mon visage se trouve à la hauteur de son gland.Je me trouvais pour la seconde fois de la journée courbé en avant, en face cette fois d’un sexe noir que je détaillais avec horreur et fascination. Les doigts de Moussa allaient et venaient lentement, étirant un gland de plus en plus rouge. Je voyais le méat urinaire s’ouvrir et se fermer au gré des palpitations manuelles. Abdul n’avait pas perdu de temps et me caressait langoureusement le dos, comme il l’eût fait avec une femme, allant de mon cou à mes reins, en passant par mes épaules et mes hanches. Parfois, il explorait mes cuisses, les frottant vigoureusement. Je sentais son sexe dur à travers le tissu de son pantalon entre mes lobes fessiers. La main forte de Moussa se glissa derrière ma nuque et il me frotta son gland contre les joues et le front. Une odeur forte me parvint, et je sentis l’humidité pré-orgasmique perler à son extrémité. Aucun doute : je l’excitais tant qu’il allait jouir, pensai-je avec horreur.
– Aaahh, quelle grosse puuuuteee ! gémit soudain le Noir. Et, hypnotisé, je vis son sexe palpiter une seconde dans le vide avant que de longs jets de crème blanche ne me jaillissent au visage. Moussa s’égoutta sur mon nez. J’étais encore sous le choc, les narines emplies d’une odeur douceâtre et écœurante, lorsque je vis apparaître Abdul, la verge à la main. Son sexe était plus long mais plus fin que celui du Noir, d’une teinte plus claire aussi ; ses bourses étaient haut perchées et poilues. Il m’agrippa par les cheveux pour me caler tout contre son gland qui empestait l’urine. À peine le sperme dégoulinant de Moussa avait-il quitté mes yeux et mon nez en se fluidifiant qu’Abdul éjaculait à son tour dans un cri. Il me gratifia d’un foutre plus gris et plus gélatineux, qui s’accrocha à mon front et à mes mèches blondes. Après un soupir de satisfaction, il s’exclama haut et fort : « Oh, j’en pouvais plus ; tu m’as excité comme pas possible ! On va bien s’amuser avec toi, je sens ! »Moussa rit d’un rire sonore comme pour approuver et alla se coucher sur son lit qui grinça sous les 100 kilos du monstre. Abdul rangea son pénis encore un peu bandé et marcha jusqu’à la table fixée au mur ; il se laissa tomber sur un tabouret fixé au mur, les yeux toujours fixés sur moi.
La voix de Marcel s’éleva pour commenter :– Alors, Paulette, tu as vu tes nouveaux amis !! Je sais que tu as aimé qu’ils te servent l’apéro ! J’espère qu’ils te plaisent bien. Allez, t’inquiète pas ; tu vas adorer la suite, ma poule. Viens me voir ici...Je me redressai et marchai d’un pas résigné jusqu’au pied du lit superposé. Je sentais la fraîcheur des jus couler sur mon visage empourpré par la honte. Le sperme coulait à présent le long de mon cou et sur mes pectoraux. Il me lança au visage un slip blanc, qui resta collé : c’était un string pour homme, d’après la forme.– Voilà ton nouvel uniforme pour le jour. La nuit, c’est à walpé uniquement. Si tu sors de la cellule, tu auras le droit de remettre ta tenue. Masse-moi les pieds maintenant, ma chérie.
Il prit un roman et commença à lire sans plus s’occuper de moi. J’enfilai le slip rapidement et m’approchai avec dégoût de l’extrémité du lit. Une odeur forte parvenait à mes narines délicates ; je commençai à masser délicatement les pieds déformés par l’âge, me retenant surtout de ne pas vomir.Moussa avait coiffé son iPod et se trémoussait sur son lit, tandis qu’Abdul avait pris le journal et lisait à la petite table. Rien ne laissait deviner la scène qui venait de se produire. Je venais d’être rebaptisé (à coup de sperme) en 30 minutes de "trader terreur des marchés" à "vide-couilles doublé d’un valet de pied". L’ascenseur social vers la cave ; et encore, je n’allais probablement pas tarder à visiter les (multiples) sous-sols...

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