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Kate ou la tentation du hérisson...

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’ai senti venir l’explosion. Le spasme annonciateur d’une libération toute proche. Il a grogné une dernière fois en lâchant une n-ième vulgarité...
— Salooooope...
Je ne l’entends presque pas. Concentrée. Il tire sur la laisse pendue à mon cou comme pour raccourcir le peu de liberté qu’il m’accordait et dans l’instant, je sens sa main qui appuie sur ma tête. Coincée.Sa queue vibre. Plantée au fond de ma bouche. À travers ma langue, je perçois la vibration de son membre parcouru par le foutre en approche... comme un gémissement au-dessus de moi et sa semence qui s’écrase sur ma luette. La sensation de chaleur et l’odeur de sperme qui me remplissent la bouche. Je ferme les yeux... plaisir que celui de sentir l’abandon de ce mâle que je pompe depuis un moment. Plaisir de cette victoire. La pression de sa main sur ma tête s’accentue. Il râle. D’autres contractions de son membre. Il finit de se vider dans des spasmes successifs et rapprochés...J’ai la bouche pleine de son sperme. Gras. Lourd. Épais. Et si odorant. Il m’avait promis qu’il ne se masturberait pas avant notre rencontre. Sa queue encore dans ma bouche. Elle tressaute. Je ne ressens plus de tension dans ses cuisses. Mes mains le caressent. Son souffle court, haletant. J’ouvre les yeux. Regarde plus haut. Il est affalé contre le dossier du canapé dans lequel il est assis. La tête de côté, les yeux clos...Il lâche la laisse. Je recule doucement ma tête en enserrant bien mes lèvres d’un rouge carmin autour de sa hampe...sa main sur ma tête me laisse faire...Son sexe glisse luisant hors de ma bouche... sur son gland, ma langue dessine des arabesques pour mieux le nettoyer... je me redresse. Son sperme toujours en bouche. J’attends.
Il ré ouvre les yeux. Me regarde.
— Putain de salope...
Sa queue danse doucement devant moi...Sa poitrine se soulève un peu plus régulièrement. Il reprend ses esprits...
— T’es une sacrée pompeuse ma belle...
Je lui souris.Fière du compliment caché dans cette nouvelle insulte.Oui, je t’ai fait jouir mon salaud. Avec ma bouche. Oui. Ne te l’avais-je pas promis ?Il me considère un instant.
— T’as fait comme on avait dit ?

J’acquiesce d’un hochement de tête...
— Montre...
J’ouvre la bouche, toujours assise à genoux entre ses jambes.J’ouvre la bouche et regarde vers lui.Il voit son foutre. Ma langue qui baigne dedans.
— Putain de garce...
Il se penche. Enfonce un doigt dans ma bouche. Il le ressort couvert de foutre et le passe sur mes lèvres...
— Vas-y !
Son ordre claque.Alors d’un coup de menton, je renverse ma tête et avale son sperme... salé.Il me regarde faire, les yeux ronds.
— Ouiiiii... c’est bon çà...t’es une vraie chienne tu sais ?
Oui. Je le sais.Je le regarde. La télé derrière moi continue de diffuser un match de foot. La pelouse verte éclaire son torse et son visage d’une belle teinte idoine.Ni beau. Ni laid. Mais une belle queue. Il ne m’avait pas menti. Moi non plus.
— Lève-toi que je te mate...
Oui. J’ai mal aux genoux à force d’occuper cette position.Je prends appui sur ses cuisses et me redresse complètement... debout, perchée sur mes talons de 10 centimètres, je le domine de toute ma hauteur.Il me regarde. Ses yeux vont et viennent de mes escarpins à mon visage...
— T’es sacrément gaulée ma belle...
"Merci" lui dis-je dans un petit sourire.
— Tes cannes feraient bander un mort...
Il se redresse du fond du canapé. Nu. Son sexe est à présent mou et comme recroquevillé. Comme quoi mes jambes ne feront pas tout me dis-je...Il porte sa main sur ma cuisse... Caresse mon bas... remonte jusqu’à l’attache du porte-jarretelle...
— Approche...
Un pas. Mes talons claquent sur le vieux parquet.Sa main monte encore... la pulpe de ses doigts sur ma peau nue... je ferme les yeux... mon cœur s’emballe comme il se rapproche de mon entrejambe...
— Écarte tes jambes...
Le son de sa voix... Comme un léger tressautement. Il n’est pas encore à nouveau en mesure de bander. Je le sais. Il le sait. Mais il en a envie. Et moi, j’en meurs d’envie.Le fait de l’avoir fait jouir une première fois a fait disparaitre mes doutes. Je crève d’envie qu’il me prenne. Qu’il me baise. Ici. Maintenant. Dans cette pièce qui fait office de salon.Sur cette table crasseuse et recouverte de restes d’un repas pris il y a longtemps. Sur ce canapé affaissé. Même dans ce qui tient lieu de salle de bain s’il y tient. Je m’en fiche.Je veux juste qu’il me baise. À fond.Sa main glisse encore...mon Dieu que c’est bon...ses doigts viennent enserrer mon sexe. Tendu. Raide à en crever. Mon gland est violacé d’envies inassouvies. Le cockring qui emprisonne la base de mon sexe et tient écartées et tendues mes bourses me lance. Qu’importe. Il me branle. D’abord doucement. Puis plus rapidement.
Je renverse la tête en arrière. Comme prise d’un vertige. C’est si bon...Sa voix.
— Tu bandes comme un cerf ma belle...
Mon dieu oui.
— T’as envie de jouir ?
"Ouiiii.." lui reponds-je dans un souffle...Sa main continue d’astiquer ma hampe. De l’autre, il parcoure, de la pointe de son index, la peau tendue à rompre de mes bourses. Le cockring remplit son rôle. Je me damnerais pour pouvoir éjaculer.
— Si je continue à te branler, tu vas jouir ?
Je perçois la question malhonnête, mais je ne puis plus rien y faire...
— OUI...
’Regarde-moi quand tu me parles !"Sa voix qui se fait plus intense... je reporte mon regard vers lui... je tangue sur mes escarpins... sa main me branle toujours.
— Oui...— Oui qui ?
Les yeux dans les yeux.
— Oui monsieur...
Comme nous l’avions convenu.’Là, tu vas jouir ?"
— Oui monsieur
Alors prestement, il abandonne ma queue...
— Non...Pas maintenant petite salope...
Je reste comme pétrifiée devant lui. Le sexe raide et douloureux. Les bras ballants. Mes yeux l’implorent. Mais lui me sourit. Sa queue est toujours morte...elle lâche encore un peu de semence qui vient couler sur sa cuisse et le canapé.
— Tu jouiras quand je t’aurai défoncé le cul. Pas avant.
Je respire fort. Cherche à reprendre le contrôle de mon corps que je lui avais un temps abandonné. Le collier me serre le cou. Non qu’il m’empêche de bien respirer, mais je sens sa présence. Et cela me gêne.
— Pousse-toi de là pétasse. Tu m’empêches de voir le match...
Je m’écarte sur le côté en me retournant à demi pour jeter un œil à la télé. Des types en short courent après un ballon. La belle affaire. Je me suis tapé une heure de bouchon pour venir dans ce pavillon merdique de Garges-lès-Gonesse... C’est pas pour voir un match de foot.
— Va dans la cuisine me chercher une bière !
La cuisine. Son bras indique une pièce de l’autre côté de la salle à manger.
— Pis fais-toi une beauté. Hésite pas !
Le salaud. J’inspire profondément et vais dans la cuisine. Le frigo doit avoir 20 ans. Sale. Presque vide. L’évier déborde d’assiettes et de casseroles sales. Le néon qui pend du plafond émet un bourdonnement annonciateur de sa fin prochaine. Dans un coin, un pack de bière. Je traverse la petite pièce. Mes talons claquent sur le carrelage d’un autre âge. J’aime m’entendre marcher. Je ramasse une cannette et retourne dans le salon.Il est toujours affalé dans le canapé. Là où je l’ai laissé et là où je l’ai trouvé lorsque je suis arrivée. Il était déjà nu. Ne s’était pas levé pour m’accueillir. M’avait désigné du bras, la salle de bain où je me suis changée. Escarpins. Bas noirs. Pas couture. Porte-jarretelles. Une jupe ultra courte qu’il m’a fait vite retirer. Comme le chemisier. Ma perruque brune. Mon maquillage. Belle. Salope. Avide de le faire jouir.De sa main, il joue avec sa queue en matant le match. Pas encore la forme. Non.Je lui tends la cannette.Sans me regarder, il s’en empare et l’ouvre prestement.
— Va te pomponner...
Je me dirige vers la salle de bain. Agacée. L’entrée avec la porte principale. Dehors le vrai monde. Pas celui de Kate.De l’entrée je l’entends crier :
— Tu bandes encore ma belle ?
Salaud. Ma queue est toujours raide. Je ne la sens plus.
— Oui monsieur !— Vais te défoncer le cul ! Tu vas prendre cher !
Salaud. "Mais quand " ai-je envie de lui répondre.,. Mais je m’en abstiens. Consciente que sa phrase n’appelait pas nécessairement de réponse.Je traverse le hall d’une enjambée.La salle de bain. Dans le miroir mon visage. La perruque est en place.J’aime mon cou cerclé du collier et la laisse qui y pend.
Mon sac. Le rouge à lèvres. Juste un fil pour rehausser. Je l’applique d’un trait non sans avoir retiré les restes de traces de sperme.Mon torse imberbe est affreusement plat. Je ne l’aime pas. Raison du chemisier. Je me trouve plus sexy avec. Mais ce con me l’a fait ôter.Mon regard se porte sur mon sexe. L’idée de me branler me traverse l’esprit, mais je l’écarte... le jeu...le reflet de ma queue étranglée par le cockring et de mes bourses pendues au-dessus de mes jambes gainées de noir me fouette et m’excite...Du salon me parvient le son diffus de la télé. J’attrape dans mon sac, le paquet de préservatifs. Pour le salaud. Pour sa queue. Pour mon plaisir. Pourvu qu’il bande encore.Un coup de peigne pour remettre quelques mèches à leur juste place et je traverse à nouveau l’entrée au jour blafard pour revenir dans le salon. Le mâle est toujours dans le canapé. À l’écran, une pub. Il l’éteint à l’aide d’une télécommande.Il tourne sa tête vers moi alors que je jette la boite de préservatif sur le canapé. Il l’ignore.
"Alors ? Remise à neuf ?" Et il éclate de rire.
— Approche...
J’entre et en quelques enjambées, le rejoins. Il bande. Pas beaucoup, mais clairement, il bande. Dans mon ventre, la tension me serre les tripes. Je veux sa queue. Il le sait. Il en joue.
— T’as vraiment des putains de cannes ma salope...
Il porte sa main à son sexe et se branle un peu...
— Fais voir comme tu bouges...danse pour moi...excite-moi...
Mes yeux sont fixés sur sa queue. Je me fous complètement du reste. Maintenant, il me la faut. Alors je tente d’esquisser quelques mouvements de ce qui s’apparente à une danse. Sur des talons de 10 centimètres. Autant dire que c’est très approximatif. Mais le type semble apprécier. Il astique sa queue un peu plus vite en ayant les yeux braqués sur moi.
— Mouais....pas mal, pas mal !
Il sort sa langue et se pourlèche. Ses yeux sont rivés sur ma hampe tendue par l’envie et l’anneau qui la contraint.
— T’sais quoi ? Ben t’as une belle queue ma belle...si j’étais pédé, je te la boufferai bien...
Et il éclate d’un rire gras.Salaud. Je me fige. Me tourne pour lui montrer mon dos. Me penche en avant. Porte mes mains à mes fesses et les écarte."C’est ça que monsieur préfère ? " m’entends-je lui dire...Je suis en folie. Je suis dans mon élément. Kate est à sa place. J’en suis certaine. Ce con va me baiser. Je vais jouir et le faire jouir.Je l’entends geindre brièvement, et l’imagine les yeux fixés sur mon trou. La queue à la main à se branler.
— Putain de garce...
Je me redresse et me retourne en souriant. Sa queue a repris un volume honorable. Il attrape la boite de préservatif, la déchire, s’empare d’un sachet qu’il ouvre avec les dents. Il respire bruyamment. Il déroule rapidement la capote sur sa queue et se lève. C’est la première fois que je le vois debout. Nous nous faisons face. Je le domine de ma taille et de mes talons. Un peu plus de deux mètres. Lui plafonne à un petit 1,75.Il me regarde droit dans les yeux en levant la tête vers moi.
— J’vais te casser ton p’tit cul ma belle...
Et il me pousse de sa main sur mon torse. Je recule sous la pression. Un pas. Bruit de talon sur le plancher. Il avance.Autre poussée de sa main. Un autre pas. La télé à gauche. Non ça va. Tout droit. Il avance aussi. Me regarde toujours.Je bande comme un cerf conscient que l’accouplement n’est pas loin. Il est relativement petit, mais costaud. Le contraire de moi, longiligne, mais fine. Presque maigre. Mon cœur bat la chamade. Encore une poussée. Plus franche. Je manque de basculer. Juste le temps de faire un pas en arrière et je sens que je heurte le bord de la table. Elle tremble et des verres s’entrechoquent. Il suit mon mouvement. Coincée contre la table, je ne peux plus reculer. Si j’en avais l’envie. Mais non, pas le moins du monde. Il fait un dernier pas, m’attrape le bras et me fait opérer un demi-tour. Aussitôt, je sens sa peau contre moi. La chaleur de son ventre contre moi. Sa bite vient battre contre ma cuisse. Ses mains attrapent mes hanches.
— Penche-toi !
L’ordre claque à mes oreilles.Oh oui...je me courbe sur la table du salon, jetant loin devant moi mes mains qui, dans le geste, balayent quelques vestiges d’un repas ancien. Mes doigts se referment sur ce qui faisait office de nappe. Une forte odeur de vinasse m’agresse le nez.La position m’étire les muscles des jambes. Elles sont raides et me font presque mal.Ma tête appuyée sur la table, je le sens toujours coller à moi.
— Écarte les jambes salope !
J’obtempère en ouvrant mes jambes. J’aimerai me voir. Courbée sur la table. Les jambes ouvertes. Posée sur mes talons.Je me ferai bander.
— J’vais te faire couiner...
Je sens sa main qui se pose sur mon dos. Comme pour m’appuyer le torse contre la table. Son autre main qui caresse l’intérieur de mes cuisses. Il malaxe ma cuisse. J’entends sa respiration forte. Sa main glisse sur ma cuisse, remonte et soudain je sens qu’il attrape mon sexe et le tire vers le bas et en arrière. Je crie de surprise et de douleur.
— Ta gueule !
Sa main se referme un peu plus encore sur ma hampe. Je me tords pour essayer d’accompagner le mouvement, mais je suis coincée par sa main qui bloque mon dos et le bord de la table.Je gémis. Mes jambes tendues me font mal. Il me branle fermement en maintenant ma queue verticale et en arrière. Je suis partagée entre la douleur de la position qu’il m’impose et l’idée de total érotisme de la position que je tiens. J’aimerai me voir. Son pouce écrase mon gland quand sa main remonte. Salaud. Je suis douleur et plaisir. Alors sa main sur mon dos glisse vers mes fesses. Je sens une pression sur mon trou. Elle s’accentue. Je creuse mes reins autant que je le peux. Il me pénètre. Son doigt s’enfonce sans résistance. Penché sur moi, collé à moi, sa bouche contre mon oreille.
— Là....déjà bien ouverte ma chienne...
Il se décolle et se met à me branler alternativement le cul et la bite. Je suis inondé de sensation mêlée. Mes mains cherchent à s’agripper à la nappe qui se dérobe...et puis il cesse tout mouvement. Libère mon cul et lâche ma hampe. Je n’ai que le temps de voir une de ses mains attraper la laisse à mon cou que déjà je sens qu’il me tire en arrière, qu’il me redresse. Mes jambes se dérobent, libérée de la tension. Je m’appuie sur la table pour ne pas trébucher... Déjà il me tire encore et me retourne pour lui faire face. Sa main me pousse contre la table...
— Allonge-toi
La bite à la main, il me regarde poser mes fesses au bord de la table. Sa queue raide a repris son volume initial. Je me laisse tomber en arrière sur la nappe. Mes bras envoient balader ce qui restait de cannettes, de bouteilles et d’assiettes. Je relève mes jambes pour poser la pointe de mes talons sur le bord de la table. Cuisses écartées. Mon sexe violacé tape mon bas ventre. Je le vois s’emparer d’un coussin à la couleur douteuse et qui trainait par terre près du canapé. Il me le jette. Je l’attrape au vol et le glisse sous mes reins.Il s’approche la main toujours sur sa queue qu’il branle lentement. Il se place entre mes cuisses, son souffle à nouveau court, rapide. Je veux sa queue. Je veux qu’il me baise. Là. Tout de suite. Maintenant. Mais lui prend son temps. Il me regarde. L’instant dure comme une éternité. Sa main continue d’astiquer son membre. Je suis à bout. Je ne sens plus mon sexe. Je veux jouir. Me libérer de cette tension. Je redresse la tête. Plante mes yeux dans les siens. J’ouvre la bouche, sors ma langue et la fait courir sur mes lèvres. Je lève la jambe et pose mon talon sur sa hanche. Ses yeux sont comme deux billes rondes."Viens..." Je murmure ces mots et accentue la pression du talon sur sa hanche pour l’inviter à s’approcher encore. Encore.Il grogne quelque chose d’incompréhensible, mais s’approche. Son gland se pose sur ma rondelle.Je le vois guider sa queue et pousser. Alors je m’ouvre à son vit. La tête renversée en arrière, la bouche grande ouverte, je râle de plaisir alors que son sexe me remplit. D’une franche poussée, il glisse en moi, dilate mon conduit et vient se planter dans mes entrailles...
— Putain de truie...
Sa voix au bout de moi. Il peut m’insulter autant qu’il le veut. Son sexe me comble. Pantin désarticulé, je ré-ouvre les yeux pour le voir coller à moi. Il attrape mes cuisses que j’enroule autour de lui. Alors il recule son bassin et son membre me quitte doucement... sensation infinie de vide... j’ai la bouche grande ouverte... mes mains vont chercher le bord de la table au-dessus de ma tête... je m’accroche alors qu’il commence à me baiser. Lentement au début puis très vite plus puissamment. Sa bite entre et sort. Ses couilles tapent mes fesses lorsqu’il s’écrase au fond et son gland reste au contact de mon anus lorsqu’il se retire pour mieux revenir. Le salaud me baise à fond. Et j’aime çà. Nos ahanements se mélangent. Je regarde son visage rougi par l’effort. La transpiration qui lui vient. Nos yeux sont connectés. Chacune de ses poussées irradie mon corps de plaisir. Alors pour l’encourager, je passe et repasse ma langue sur mes lèvres. Il semble comme possédé. Son bassin imprime une cadence folle.
Et j’ose.
— Baise-moi bien ! Encore ! Encore...
Il grogne et porte sa main à ma poitrine.Il pince mon téton et m’arrache un cri lors que son membre une nouvelle fois me remplie
— Vais te baiser à mort salope !
L’insulte me galvanise. Je serre mes jambes plus fort autour de lui. Ma tête explose de sensations. Je me mets à labourer ses reins de mes talons. Doucement d’abord. Comme un cheval que l’on flatte pour lui indiquer la cadence. Puis plus fort. Il gueule. Comme une bête. Nos cris se mêlent sans se répondre.
— Ahhhh... putain de chienne...tu me niques le dos ! Salope !— Oui... vas-y ! donne-moi ta bite ! Baise-moi plus fort !
Son visage rougi par l’effort, la bouche grande ouverte, il continue de me prendre avec force. Mais ses mouvements rythmés du début ont fait progressivement place à une succession de coups de boutoir violents mais sans continuité. Mes jambes l’enserrent et mes talons lui lacèrent le dos à chaque fois que son gland vient au fond de moi. Il cri à chaque fois que mes escarpins l’entaillent un peu plus.
— Tu me niques le dos !
Sa voix est comme brisée. Je me redresse un tout petit peu pour mieux le regarder. Son membre me remplit. Immobile en moi. Mes talons sont posés sur son dos que j’imagine sanguinolent. J’esquisse un léger sourire en sortant une nouvelle fois ma langue pour l’exciter. Il éructe avant que sa main s’empare prestement de ma hampe. Sans me quitter des yeux, il se met à me branler à toute vitesse. La douleur est insupportable. Mon vit tendu depuis trop longtemps et entravé par le cockring disparaît presque entièrement dans sa main. Je crie et me contorsionne. En vain. Fichée sur sa hampe et allongée à sa merci, je ne peux plus que m’abandonner à son supplice. Sa main va et vient sur ma tige. Et c’est à ce moment qu’il se remet à me baiser à grand coup de reins. Je n’ai plus la force de le talonner. Mes jambes sont comme deux chiffons noirs sans tenue.Il me pilonne en force et me branle dans un va-et-vient endiablé. Je suis allongée, les yeux grand ouverts. Mon bas-ventre est en feu. Je perçois à peine mon foutre gicler alors qu’il tire de sa main sur la peau de ma hampe. Les spasmes me parcourent. Je sens ma semence retomber sur mon bas-ventre. Mes bourses tendues me lancent alors qu’il abandonne mon sexe... Sa queue me perfore les reins. Je ne sens plus rien. Je ne suis que douleur et plaisir mélangé. Et c’est presque à demi inconscient que je l’entends crier sa jouissance :
— Ahhhhh putainnnnn...je... jouiiiie...
Il se retire en un instant, je le vois arracher le préservatif, se branler et dans le moment son foutre jaillit et retombe sur moi... Il se vide en plusieurs giclées en accompagnant chacune d’une vocifération...
— Iaaaa...puuuutainn...
Il finit de secouer son sexe au-dessus de ma cuisse, il le frotte sur mon bas comme pour le nettoyer... Il reprend son souffle, m’insulte...
— Putain de baise...
Je l’entends affalée sur cette table, le cul grand ouvert, le sexe encore douloureux. Il se tient debout à peu près au même endroit que lorsqu’il me baisait. Il titube légèrement. Se penche par terre. Ramasse ce que je reconnais être mon chemisier et le frotte contre son dos, ses reins...je vois le blanc de mon chemisier se teinter d’un rouge sang. Il le voit. Me regarde. Un instant je crois qu’il va s’énerver, mais non. Il jette le chemisier près du canapé et se met à faire le tour de la table. Il s’approche de moi. Je me redresse doucement. Mon sexe a perdu de sa superbe. Rouge. Luisant. Il tient encore par le cockring qui le contraint. Mon cul me lance. Mes bas sont déchirés. J’ai le bas ventre et le torse recouvert de nos foutres qui y stagnent ou coulent.
— Approche...
Je le regarde me présenter son sexe à moitié flasque. Je comprends. Me penche vers sa queue. L’embouche. Il avance pour l’enfourner un peu plus. Ma langue le nettoie doucement. Il bouge un peu pour accompagner mes aller et venue, puis après un petit moment de ce traitement se retire...
— Ca suffit...
Il tend sa main vers mon visage et passe son pouce sur mes lèvres. Il étale mon rouge à lèvres autour de ma bouche en souriant.
— Bonne salope...
Presque une gentillesse.Je le laisse faire tout en débloquant le cockring. La sensation de libération est immédiate... un soulagement se propage de mes bourses et de mon sexe qui du coup, se remet à couler...
— Fais-moi une place...
Je suis surprise. Je me décale vers le milieu de la table. Il y grimpe. La table semble prête à rompre sous notre poids. Mais non. Il s’installe tête-bêche sur moi. Pose ses genoux de part et d’autre de ma tête et me tend son sexe. Je lève la tête, donne un coup de langue sur son gland. Il grogne. Abaisse son bas-ventre et laisse son vit entrer dans ma bouche. Puis je le sens s’allonger sur moi. Je relève mes jambes avec difficulté. Je perçois sa main qui attrape ma queue et tout de suite après sa bouche qui l’enveloppe... Nous nous pompons doucement mutuellement. Nos bruits de sussions se répondent. Non que nos sexes soient en état. Juste le plaisir de nous manger. De nous soulager d’une tension. Je caresse avec précaution le bas de son dos ou je perçois les traces de l’action de mes talons. Il geint. Abandonne ma queue qui retombe sur mon bas-ventre. Il glisse sa main sur ma cuisse, puis sur mes fesses. Enfonce un doigt dans mon anus encore ouvert...
— Putain... je t’ai bien défoncé le cul...t’es pas prête de le voir se refermer ! T’as le fion éclaté salope !
La gentillesse aura été de courte durée me dis-je. Je n’ai pas le loisir de répondre. Il resserre ses cuisses autour de ma tête pour me bloquer et immédiatement, ma bouche se remplit de l’urine qu’il déverse. Chaude. Âcre. Le salaud me pisse dans la bouche sans m’avoir prévenu. Je l’entends rire.
— Ah ah ah ! Ça t’apprendra à me défoncer les reins salope !
Le flot m’envahit. Je ne peux pas bouger. Sa queue est plantée au fond de ma gorge. Même molle, elle occupe l’espace. J’essaie de recracher ce qu’il émet par la commissure des lèvres. Y parvient plus ou moins. J’éructe. Manque de m’étouffer. Sa pisse coule sur mes joues, mon menton, dévale mon torse et vient mourir sur la nappe qui s’humidifie rapidement.Suis forcée d’avaler une gorgée de sa miction avant que la source ne se tarisse. Il dessert ses jambes. Je bascule la tête sur le côté et crache l’urine. Je tousse, crache et tousse encore comme pour faire disparaitre toute présence. Lui s’est redressé.
— Ca va en dessous petite garce ?
La question n’appelle pas de réponse. L’odeur d’urine dans ma bouche demeure. Et celle émise par ce qui a coulé est forte. Elle prend la tête. Je suis épuisée. Par le jeu. Par le plaisir et la douleur. Je me sens sale. Je suis sale. Mais en même temps, j’ai aimé. Oui. J’ai aimé. Il me faut l’admettre.
— Tu pues la pisse !
Enfoiré.Il claque ma cuisse d’une main et descend de la table. Il s’éloigne en se dandinant et disparaît dans la cuisine.Je suis morte. Quelques minutes d’anéantissement. Je me redresse. Roule sur le flan. Bascule. Me retrouve debout contre la table. Le bruit de mes talons. Clac. L’urine sur mon torse coule plus bas et rejoint les restes de foutre que ce salaud n’a pas retiré en me suçant. J’ai les jambes qui flageolent. J’entends dans la cuisine des bruits de robinet d’eau. Ma queue est d’une rougeur inquiétante. Je ne sens plus mon cul. Ce con a raison. Il me l’a défoncé. Un pas. Clac. Un autre. Clac. La tête me tourne. Lui est toujours dans la cuisine. Encore une enjambée. Je ramasse mon chemisier taché de sang et ma jupe courte. Je lui laisse les préservatifs. Je traverse le salon, l’entrée ou je vois à travers la porte vitrée que la nuit est tombée. Je vais devoir me taper les embouteillages du retour. Chienne de vie. Je souris en pensant que je pense à des choses si futiles alors que je viens de me faire baiser comme une reine.La salle de bain me tend les bras. Enfin, ce qui ressemble à une salle de bain. Il y a un lavabo et une douche. Dans un état merdique. Mais bon. Comme je suis sur le pas de la porte je regarde mon reflet dans le petit miroir. Pas fraiche la demoiselle. Le rimmel a coulé. Le rouge à lèvres a été étalé par mon mâle. La perruque part sur le côté. Tout un tas de liquide coule et sèche sur mon torse. Mes bas sont déchirés et tachés. Je m’excite à me voir ainsi. Mon sexe qui ne bougeait plus tressaute. Bon signe. Tiens me dis-je, je n’entends plus l’autre salaud. Je me retourne. Ce salaud est là. Derrière moi. Il me sourit et dans l’instant attrape la laisse toujours pendue à mon collier.
— Alors...tu croyais que tu allais t’en tirer comme çà ?
Je crie sous la tension de la laisse. Il me tire en arrière et me ramène dans le salon. Juchée sur mes talons, je titube et m’efforce de suivre son pas. Il arrive près du canapé. Se baisse. Je suis obligé de le suivre dans ce mouvement. Prestement, il m’amène au sol.
— À quatre pattes salope !
Il se tient près de moi, debout. Je lui jette un regard. Vois qu’il bande à nouveau. Impressionnant. Ce con ne m’avait pas menti.
— T’es vraiment un sac à foutre toi !
Cette fois, je lui réponds. Consciente que cela ne sert à rien, mais fière de lui montrer que je contrôle un tant soit peu les choses...
— Ben on dirait que le sac à foutre te fait bien bander non ?— Vais te finir sale pute !
Alors fièrement je lui tends ma croupe douloureuse. Lui se place derrière moi et une nouvelle fois s’enfonce dans mes reins.Mon cul est ouvert. Il n’a aucun mal à le pilonner à demi assis, accroupi sur moi. Il me baise sans pause. Sans attention. Je ne résiste pas. M’abandonne à son rythme. Je n’entends plus les torrents d’insultes qu’il me déverse. Je ne sens plus que la douleur de la pénétration. Les brûlures qu’il m’inflige en me pénétrant avec rage. Mes bras ne me soutiennent presque plus. J’ai les genoux qui me font mal. Lui me redresse en tirant sur la laisse. M’étrangle. Sa verge me perfore à un rythme forcené. Je perçois son souffle lointain dans un mélange de conscience et d’abrutissement. Et lui continue son travail de sape. Une machine. Il me baise violemment. Comme pour exorciser ses pulsions. Et dans les méandres de mes pensées submergées par la douleur et la fatigue, je garde présent à mon esprit que c’est ma sensualité, ma féminité qui ont permis à ce porc de me baiser ainsi...maigre consolation alors qu’il redouble d’insultes et de pression sur sa hampe. Je vais abandonner. M’écrouler. Le laisser utiliser mon corps.
Ma chair. Mais sans moi. Je me surprends à bander comme un âne. Est-ce cela qui me sauve ? Aujourd’hui encore, je ne saurai le dire avec exactitude. Sans doute.La sensation de bander à nouveau tandis que ce mâle me couvre sans attention en attendant simplement que je demande grâce, me fait me rebeller. Profitant d’un moment de pause dans ce flot d’insultes, je trouve la force de lui jeter :
— Tu baises bien ta salope, regarde ! tu me fais bander !
Il s’interrompt dans son mouvement de pilonnage. Interloqué peut-être. Sa queue est fichée dans mes reins. Ses couilles contre moi. Maintenant. Après je ne pourrai plus. Alors je rassemble mes dernières forces et dans un mouvement aussi vif que possible, je lance mon bras droit sous moi vers l’arrière en demeurant en appui sur le seul bras gauche. Effort surhumain pour moi dans mon état. Il n’a pas le temps de réagir avant que ma main n’attrape sa paire de couilles. Je l’enserre vivement et applique une pression intense dessus. Il hurle.
— AHHHHHH...put...
Il ne finit pas sa phrase. Hurle de douleur encore comme ma main libère et resserre à nouveau ces bourses. Il tente de reculer. Je le libère. Il recule d’un bond, libère mes reins et va s’écrouler sur le sol un mètre plus loin. Épuisée, je tombe moi-même au sol, le souffle court, meurtri. Nous nous regardons. Les deux blessés. Mais bandant. Il sue à grosses gouttes.Sa main posée sur ses couilles. Je ne sens plus mon cul. Nos regards se croisent. Nous nous jaugeons mutuellement. Évaluons nos forces et nos faiblesses. Il parle le premier en riant :
— Wouh...sacrée baise ma belle...
Je prends cela pour un compliment.
— Oui...
Il bande encore fortement. Moi aussi.Il me tend la main.
— Vient que l’on se finisse...
Je crains le piège. Mais son regard semble cette fois en accord avec ses paroles. Alors je me redresse et rampe jusqu’à lui. Il est assis contre la porte. Il glisse de la porte, s’allonge et tient sa queue droite. Je me place près de lui. Me retourne. Passe sur lui et approche mon trou de sa hampe. Ouverte comme je le suis, il n’a aucun mal à me reprendre. Je glisse sur sa queue. En crabe. En appui sur les talons et mes bras. Je suis épuisée et cette position n’est pas facile à tenir. Je me pose sur ses couilles. Doucement. Il gémit. Sa main vient trouver ma queue et il commence à me branler. Je relève mes fesses et glisse sur sa queue. Doucement. Sa main m’astique au même rythme. Je le baise docilement. Mais très vite les forces m’abandonnent. Je ne parviens plus à me hisser sur sa hampe. Mes cuisses ne répondent plus. Assise sur lui. Fichée. Je ne peux plus me soulever. Sa main continue de me branler bien que je ne bouge plus. Je sens l’éjaculation arriver. La boule glisse de mon ventre, dévale ma hampe et explose.
Je me vide dans des spasmes rapides et dans un grognement... je suis à bout. Lui non. Sa queue est raide dans mes reins. Mais je ne peux plus. Je le lui dis.Alors il me bascule sur le flanc. Se positionne derrière moi. M’empale une nouvelle fois et cette fois avec attention, se met à me besogner. Je ne bouge plus. Incapable. C’est lui qui me soulève la jambe et la tient relevée. Il me baise régulièrement, sans violence. Presque avec attention. Je sens son souffle dans mon dos. Puissant, mais docile. Je ne puis que subir sa virilité. Et après quelques minutes, il se tend une dernière fois et libère sa semence dans le préservatif au fond de moi...il grogne. Éructe aussi. Se raidit. S’abandonne en moi.Je l’entends s’écrouler derrière moi.Je ne sais combien de temps nous sommes restés ainsi emboités et allongés à même le sol. Complètement exténuée, je me suis relevée. J’ai titubé jusqu’à la salle de bain. Cette fois sans surprise. J’ai pris mes affaires. Ai glissée dans la nuit. Je ne connais pas son prénom.
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