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La « Lancenoir »

Chapitre 2

Hétéro
2) Un marché.
Elle regarda la photo consternée, ouvrant la bouche en un « oh » d’effroi, Amadou en profita pour enfoncer sa langue dans cette bouche ouverte aux quatre vents. Prise par surprise, Léa en écarquilla les yeux comme une biche prise dans les feux d’une voiture. Se reprenant de sa paralysie, elle chercha à agiter sa langue pour éviter celle d’Amadou fourrée dans sa bouche. Mais cette dernière était bien trop agile et épaisse pour lui laisser un endroit ou se cacher.
Où qu’elle se réfugie, la langue d’Amadou la pourchassait, engloutissait la petite langue de Léa. Elle sentait la chaleur montée dans son corps à mesure qu’elle se sentait envahie, leurs langues remuèrent ainsi une minute sans qu’elle ne cherche plus à se dégager. En fait elle ne s’aperçut qu’Amadou ne la serrait plus qu’au moment où il lui posa la main sur ses fesses et commença à lui peloter le derrière. Elle allait chasser cette main baladeuse, mais c’est Amadou qui prit l’initiative de la séparation, et avant que Léa ne marque sa désapprobation, il se recula.
« Ah ! Une bouche bien fraîche. J’adore ça ! »
Léa profita de ce moment pour se réfugier dans la salle de cours. Elle était un peu affolée, il allait falloir qu’elle règle ce malentendu au plus vite. Elle ne pouvait quand même laisser ce… ce rustre se reprit-elle, la tripoter comme du gigot. Et puis, elle devait expliquer à ses amies que ce n’était pas sa faute si Amadou pensait qu’elle était sa petite amie. Et ça allait être compliqué. Elle avait vu Ludivine, sa voisine de classe et plus proche amie dans le couloir au moment où Amadou l’avait embrassé. Il fallait qu’elle lui explique les circonstances.
Mais sa copine ne rentra que quand la prof était déjà dans la salle de classe. Et, à peine Léa avait-elle prononcé : « Ludivine, je ne sais pas ce que tu penses que tu as vu, mais… » celle-ci répondit sèchement : « Attends, j’écoute le cours ».
Pendant toute l’heure qui passa, Ludivine ne lui donna pas une chance de s’expliquer. Léa ennuyée, ne pouvait écouter le cours sans que ses pensées ne dérivent sur la façon dont elle pourrait se justifier auprès de sa meilleure amie. Elle réfléchissait aussi à la manière dont elle allait expliquer à Amadou qu’ils ne pouvaient pas rester ensemble… et si possible sans le vexer. S’il le prenait mal, Dieu sait ce qu’il pourrait raconter sur son compte. Et puis une autre pensée tournait dans sa tête ; le baisé qu’Amadou lui avait donné. Cette énorme langue qui lui avait rempli la bouche, la façon dont sa propre langue s’était trouvée démunie, la salive sucrée qu’elle avait goûtée… elle sentait alors la chaleur montée en elle, et pensait vite à autre chose.
Au bout d’une heure, le cours de philo finissait, la prof leur demandant de réfléchir sur une citation de Lévi-Strauss : « La tolérance n’est pas une position contemplative. C’est une attitude dynamique, qui consiste à prévoir, à comprendre et à promouvoir ceux qui veulent être tolérants. »
Ludivine sortit immédiatement de la salle, ne faisant aucun cas des explications embarrassées de Léa. Cette dernière ferma alors rapidement son sac, et se précipita à sa suite. Mais à peine était-elle sortie, qu’Amadou la saisit par les épaules.
« Alors ma douce, on est pressé de me retrouver.— Euh… Je voulais voir Ludivine, lui dire que…— Oublie cette godiche. Qu’est que tu veux faire maintenant ?— Faire ? Écoute, j’ai réfléchis pendant le cours… et tu vois… je pense qu’il faudrait revoir notre attitude tu comprends… Heu… On s’est mal compris et… »
Mais alors qu’elle s’expliquait, elle remarqua que son vis-à-vis se grattait le cul et ne semblait faire nulle attention à ce qu’elle disait. Elle en fut décontenancée, elle ne se souvenait pas que quiconque ait montré autant de vulgarité et de désinvolture à ses paroles. Elle fut encore plus choquée quand il lui dit :
« C’est super chouette tout ça, on va dehors tranquille, tu seras mieux pour me dire tes trucs de gonzesse. »
Et il l’entraîna, une main lui enlaçant l’épaule. Léa se rendit compte qu’Amadou n’avait pas écouté un mot de ce qu’elle lui avait dit, et qu’il allait être difficile de lui faire entendre raison. D’ailleurs pendant qu’ils descendaient l’escalier menant à la cour, il fit part de sa vision de leur couple :
« C’est chouette qu’on soit ensemble. Tu vois, les gens me trouvent un peu agressif des fois, ou vulgaire. Mais c’est faux, je suis sensible, tu sais… Enfin, je suis quand même viril ! Oui… sensible, mais viril. Ne me fais pas dire ce que j’ai pas dit ; avec moi les nanas n’ont pas à se plaindre, tu vas vite t’en rendre compte. Ça, l’autre lopette d’Amédée évidemment, il peut pas en dire autant. Je suis pas sûr s’il est pédé ou puceau, et je sais même pas ce qui est le pire… Mais heureusement que je t’ai choppé avant. Tu t’imagines avec lui ? Beurk ! En tout cas les gonzesses, je suis capable de les écouter aussi, tu vois. Elle raconte leurs conneries, et moi je supporte ça. Stoïque. No problème… même si ça dure plusieurs minutes ! Je suis trop patient en fait… Mais je vais te dire un secret, pendant qu’elles parlent, je pense à la manière dont je fais les défoncer. Tiens, là, quand tu racontais je sais plus quoi, je te voyais avec ma queue bien profond dans ta gorge. Hé ! Le prends pas mal ! T’étais sexy avec tes lèvres autour de ma bite… Tout ça pour dire, que je suis un peu ce qui se fait de mieux comme mec, patient, de l’imagination et puis évidemment, ce qu’il faut pour que ça ne reste pas de l’imagination... »
Il continua à se "vanter" ainsi jusqu’à ce qu’ils arrivent dehors, Léa que le discours macho à la con d’Amadou avait mise sur les nerfs fut alors assez directe :
« Écoute, je vais être franche. On peut pas être ensemble. Je t’kiffe pas. Tu piges ? »— Trop drôle ! T’es comique toi quand tu le veux. J’aime ça, les meufs qui ont de l’humour. On va super bien s’entendre.— Mais je suis sérieuse ! »
Brusquement la face souriante d’Amadou commença à changer, son ton se fit plus rude et son visage plus menaçant.
« Attends, t’es en train de me dire que tu t’es foutu de ma gueule ? — Non. C’est pas…— Tu crois que je vais dire à mes potes, que la petite bourge m’a jeté au bout de dix minutes ? Parce que tu sais ce qu’ils se mettraient à penser ? Que je suis une baltringue. Que j’assure pas.— Je suis désolé s’ils pensent que…— Et c’est pas possible ça, tu vois… J’ai ma réputation… Alors si tu veux casser avec moi, il faut que ce soit moi qui décide que j’en ai assez de toi.— Bon ça suffit. J’ai pas à supporter ces conneries. Tu t’arranges comme tu veux avec tes potes, moi je m’en vais. »
Léa, un peu effrayée par le ton d’Amadou n’avait qu’une envie, s’éloigner de lui. En finir au plus vite.
« Tu sais quoi, je crois que t’es vraiment raciste au fond, tu peux pas supporter de rester deux minutes avec moi, un noir… Quand je te tiens par les épaules, j’ai l’impression que tu veux partir, comme si j’étais sale.— Non, je t’assure. J’suis pas raciste, c’est n’importe quoi.— Tu sais quoi… on baise. Comme ça je suis content, moi je te dérange plus et on est quitte. Et puis ça prouve que t’es pas raciste...— Non, mais... tu me prends pour quoi ? Une salope ?— Ben ouais, tu dis que tu veux sortir avec moi, et puis non, et puis si… C’est ce qui s’appelle se comporter comme une salope, tu trouves pas ?— J’ai jamais dit… » Léa secoua la tête se reprenant « De toute façon, si tu crois que c’est en me parlant comme ça que tu vas me ‘’baiser’’, tu te fourres le doigt bien profond là.— Ah, tu commences à réagir un peu… j’aime ça. Mais tu vois, si on baise pas, tu vas être considéré comme une sale fasciste, et ça, ça ne va pas plaire à tes amis bobo ça non ? La meuf qui dégueule les noirs, ça fait mauvais genre. Quant à moi je vais passer pour une traviole, et je veux pas ça. Et ce n’est pas comme si t’étais vierge non ?— Non, mais… »
Amadou se rapprocha de Léa, presque à lui murmurer dans l’oreille.
« Et puis t’as envie de savoir, non ?— savoir quoi ?— Qu’est-ce que tu crois ? Si elle aussi énorme qu’on dit. »
Il prit la main de Léa et la plaqua sur son entrejambe. Léa chercha immédiatement à retirer sa main, mais avant ça Amadou lui laissa bien le temps de sentir. Et ce qu’elle sentait c’est que sa main n’avait pu qu’effleurer la baleine.
« T’es vulgaire.— Ouais… Mais tu penses un peu à ton futur ?— Oui, et il sera sans toi !— Ouais, d’accord, mais alors ce sera un avenir de p’tites bites, de baises minables… Tu vois Amédée avec ses pantalons à la con ? Tu crois qu’il va te faire grimper au rideau ? Non, si tu veux sentir quelque chose, tu devras t’acheter un gros gode noir.— T’en sais rien qu’Amédée…— On prend les douches après le sport, alors je sais. Et au fond tu le sais aussi, hein… Et quand t’en auras marre de te faire enfiler par du micro-pénis et de faire semblant de jouir tu feras quoi ? Au moins que t’aies envie de ça ? Passer le reste de ta vie comme une frustrée ?— Non, mais…— Mais ? Alors tu le tromperais, tu serais vraiment une salope qui trompe son mec ?— Non, je…— Non, non, non, j’entends que ça « Non ». Mais t’as envie de sexe là. Et tu refuses, alors que tu ne le tromperais pas si on baisait maintenant. Avant que tu sortes avec lui. Ce serait une occasion unique. De quoi te faire des souvenirs pour cinquante ans.— Une occasion unique…— Et après le soir, quand tu seras au pieu avec ton avorton de fiancé et sa bite de lapin, tu pourras penser que tu t’es fait sauter par un black monté comme un taureau. Et que t’as aimé ça…— Je ne sais pas si j’aimerais ça…— Oh si, tu vas prendre ton pied comme jamais, mieux que la drogue ! Et après, je ne t’ennuierais plus. Même si je passe pour un baltringue, je saurais qu’on a baisé, ça me suffit. Alors, tu marches ?— On baise une fois, et tu me laisses tranquille ?— Je te générais plus. »
Oui pensa-t-elle, si elle se tapait Amadou, elle en serait débarrassée, il la laisserait tranquille. C’était une brute, on ne pouvait pas discuter avec ce genre de type, il fallait les calmer par d’autres moyens tentât-elle de rationaliser. Était-ce se comporter comme une salope ? Peut-être, mais, elle devait bien admettre qu’Amadou semblait gaulé comme elle n’aurait jamais pensé voir ça dans sa vie. Et quand il l’avait embrassé elle s’était sentie comme fiévreuse et maintenant qu’elle était tout contre lui, elle brûlait d’envie qu’il lui roule un nouveau patin. Ce n’est pas comme s’il la dégoûtait, et qu’elle aurait à faire ça à contrecœur, ce n’était pas le genre de coup dont elle voulait se vanter auprès de ses amies... un noir... Elle n’avait jamais imaginé s’en taper un... mais maintenant qu’il était là, qu’elle avait goûté à ses lèvres, et que tout resterait secret…
— Alors t’es une grosse facho, ou on se…— OK.— C’est bon, t’es d’accord ?— Oui, quand ça ?— Quand ça ? Ben tout de suite ! Vu comme tu changes d’avis toutes les cinq minutes…
La serrant par les côtes, il l’amena dans le local à vélo. Bien qu’il n’y ait jamais de vélo dedans… c’était juste un repaire pour fumeur de joint, ou pire… Il y avait d’ailleurs deux amateurs de chichon quand Amadou entra :
« Je vous laisse dix secondes pour foutre le camp. »
Les deux camés ne finirent même pas leur fumette et partirent vite fait. Léa ne put qu’être admirative devant la persuasion radicale d’Amadou. Il lui suffisait d’ordonner pour qu’on lui obéisse. Elle se rendit compte qu’elle-même avait fini par lui obéir… Elle en éprouva du respect. Auparavant, elle ne le considérait que comme une bête sauvage, mais maintenant si elle le trouvait toujours bestial, c’était à un lion qu’il ressemblait. Amadou la tira sèchement par la main, la faisant pénétrer dans la pièce. Elle n’était encore jamais entrée dans le local, mais elle ne fut pas surprise qu’il pue la marijuana. L’endroit était plongé dans la pénombre, l’ampoule au plafond était cassée et la clarté ne provenait que de quelques briques manquantes dans le mur qui laissaient passer des rayons lumineux.
Arrivée au centre de la pièce, Amadou colla sa bouche contre la sienne. Il l’embrassa profondément. Ses mains passèrent sous son chemisier, et remontèrent vite jusqu’à son soutien-gorge. Les doigts d’Amadou la faisaient frissonner. Elle les sentit passer dans son dos, lui détacher l’attache du soutien-gorge en une fraction de seconde. Il commença alors à lui peloter les seins. Ses grosses mains agrippaient ses nichons, il les pressait, les manipulait comme un boucher soupèserait de la viande. Il finit par commenter :
« Pas mal, on ne dirait pas comme ça, mais tu ferais une bonne pouliche »
Il lui agrippa l’arrière de la tête et fis entrer sa langue dans ma bouche. Elle était contre lui, se sentant fébrile face à son corps musculeux. Il recommença à la peloter. Léa ne faisait rien pour l’en empêcher. Il continua à s’amuser avec ses nichons, mais finit par s’en lasser. Il passa alors une main sous sa jupe touchant sa culotte, Léa frémit d’impatience...
Elle sentit qu’elle devait agir, ne pas le laisser seul maître de la situation. Elle commença à lui enlever son tee-shirt. il la laissa faire. Elle tâta ses pectoraux, passant et repassant sa main dessus, impressionnée par leurs duretés.
Dans ce lieu mal éclairé si ce n’est par de fins rais de lumières passant à travers les briques, elle ne voyait par la peau d’un noir profond d’Amadou. Seulement le blanc de ses yeux. Elle sentait et touchait son corps, et il n’en était que plus imposant. Amadou, lui, voyait bien la peau laiteuse de Léa, et il se délectait à l’avance de jouir de sa proie. Après l’avoir bien paluché, il lui enfonça un doigt dans l’abricot juteux, il lui sembla bien mûr et décida qu’il était temps pour lui d’inverser les choses :
« Baisse-toi, retire mon jogging » souffla-t-il à l’oreille de Léa.
Léa se baissa impatiente de voir le sujet de ses interrogations. Elle lui retira son jogging, elle toucha alors à son caleçon ; il était bourré à craquer. Elle y toucha prudemment, ayant peur que le contenu ne lui explose à la gueule.
« Allez, ouvre le paquet maintenant, lui intima Amadou. »
Aussitôt toujours les jambes pliées, le visage près du sous-vêtement elle descendit le slip. Ce fut un jaillissement. Comme un diable-dans-la-boîte ! Le gourdin se déplia instantanément et lui cogna la tête, la faisant chuter par terre.
« Touche-moi ça. C’est du matos de compétition. »
Il faisait trop noir pour qu’elle évalue la taille de l’engin. Elle se rapprocha, toucha le sexe, essayant de se faire une idée de ses proportions. Mais dans le noir aucune estimation ne lui fut possible, le chibre lui semblait tout simplement interminable ! Elle se demanda avec inquiétude si ce morceau allait pouvoir entrer en elle. Car face à ce monstre, elle se sentit réduite à peu de chose. Et dire qu’il devait avoir cette bite bandée depuis plusieurs heures, déjà prêt à la baiser. Elle se sentait si frêle d’un coup.
Amadou n’avait plus aucun habit sur lui. Fier de lui, il la laissait s’ébahir devant sa masculinité dressée.
Léa, elle, hésitait. Elle était encore excitée, voir même plus, mais elle se sentait aussi comme une proie. Elle savait qu’il s’agissait du dernier moment où elle pouvait encore fuir. Après ça… Même si tout revenait comme avant, elle aurait toujours l’impression d’avoir été soumise, matée par la puissance sexuelle d’Amadou. Ça l’excitait plus que ça ne l’inquiétait, elle avait envie d’être sous le joug de cet homme à l’ahurissante virilité.
Ce dernier n’avait aucun doute, il voyait le regard apeuré de Léa, mais il savait qu’il allait la baisser. C’était inéluctable, il y avait des loups et des brebis, il allait être temps de prendre possession de son dû. Depuis qu’il avait reçu le mot de Léa qu’elle lui avait envoyé par erreur, il s’amusait avec elle comme un chat avec sa souris. Et il savait comment cette histoire allait finir, il allait se faire un plaisir de défoncer cette petite bourgeoise coincée, la mettre à genoux, et la faire supplier et puis... il s’amusa à la pensée qu’elle n’avait encore aucune idée de ce qu’il allait lui faire par la suite...
« Mets-toi à poil !»
Comme si elle n’attendait que cet ordre pour se mettre en mouvement, elle obéit, déboutonnant sa chemise. Dans l’obscurité elle avait l’impression qu’il n’y avait personne, tant la peau d’Amadou était trop sombre. Et pourtant elle était excitée sachant qu’un homme la voyait toute nue.
« Plus vite que ça ! T’es là pour baiser, pas pour un strip-tease »
Elle s’exécuta, faisant vite tomber ses vêtements les uns après les autres. Ce n’est qu’après avoir retiré sa culotte qu’elle sentit une main se poser sur elle, prouvant qu’elle n’était pas seule dans l’obscurité. Un homme était là, avec elle… et elle allait se faire tringler.
Il la souleva par les hanches comme si elle n’était qu’un ballon gonflable. Et il positionna, son gland contre l’entrée de sa chatte. Léa était tellement mouillée qu’il entra facilement, comme si elle était huilée. Mais entrer était l’étape la plus simple, il allait maintenant devoir la pénétrer de tout son membre, et ça, ça demandait du travail... Amadou commença à la laisser tomber progressivement sur son sexe. Les parois du con de Léa frottant contre la branche d’acier d’Amadou et la faisaient gémir. À chaque fois qu’Amadou relâchait son étreinte, Léa sentait le mandrin s’enfoncer de plus en plus profondément en elle. Elle se sentait devenir un complément à la gigantesque bite qui la pourfendait, comme si sa chatte n’avait été conçue que pour l’accueillir. Au départ, elle se contenta de geindre à l’entrée du colossal phallus dans son intimité, mais lorsqu’il l’eut enfoncé sur la moitié de sa bite en elle ne pouvait plus que couiner comme une souris prise au piège. La douleur se mélangeant au plaisir à mesure que la bite la perforait de part en part.
Lorsqu’Amadou arrêta de la laisser glisser contre son piston, elle prit conscience que sa chatte ne pouvait faire entrer plus du membre turgescent en elle. Mais cela ne gêna pas Amadou, il avait l’habitude. Il commença à soulever Léa le long de sa bite avant de la laisser retomber. À chaque fois sa chatte se faisait défoncer par le coup de boutoir, et la bite pouvait s’enfoncer un peu plus en elle.
Léa avait la sensation d’être à un manège, propulsée dans les airs avant de retomber. Sauf que durant tout le mouvement elle sentait sa boîte-à-mouille s’électriser. Elle en avait les yeux révulsés de bonheur… jusqu’au moment où elle s’écrasait, le fond de sa chatte contre la verge d’acier. Alors, elle criait. Elle était foudroyée, mais ce n’était pas un éclair qui la traversait. Non, elle se faisait défoncer purement et simplement.
Après avoir été fracturer une demi-douzaine de fois de plus sur le chibre, Léa put prononcer ses premiers mots en haletant :
« Putain, ohhhh, comment elle peut être aussi grosse…? OHHHH ! je crois que je vais mourir !— C’est une bite de noir ma jolie. » Et sans lui laisser le temps de rajouter quoi que ce soit d’autre, il la baisa à nouveau.
Léa comme pour éviter de s’empaler complètement s’agrippait instinctivement au dos d’Amadou, sa poitrine frottant contre son torse musclé, elle était en nage. Sa chatte avait des spasmes incontrôlables, elle eut un orgasme au cours d’une pénétration. Mais quelques secondes après, elle sentait qu’elle n’allait pas tarder à en avoir un second. Son corps n’était plus qu’une chiffe molle qui montait et descendait, elle mouillait tellement que l’on entendait de la cyprine tombée au sol. Amadou lui-même commençait à ne plus pouvoir se contenir, il sentait que sa bite avait besoin de lacher la purée, les parois du con de Léa pressuraient sa bite, il arrêta ses mouvements un moment.
« J’ai jamais baisé une chatte aussi étroite, j’ai du mal à croire que t’étais pas pucelle. »
Devant l’arrêt du marteau-piqueur, Léa fut comme en manque. Le sexe d’Amadou lui emplissait la foufoune, mais le manque de mouvement rendait cette occupation douloureuse, elle avait besoin qu’il la pistonne.
« Qu’est-ce que tu attends ! Baise-moi ! — Ah oui, tu aimes ça la bite ?— Oui oui ! JE t’en prie, fourre-moi viiiittte ! Je veux ta bite, ta belle bite noire !!— C’est que je suis fatigué.— Non ! j’en veux encore ! Active-toi sale nèg… dépêche-toi ! — Tu veux que le sauvage te saute, hein ?— Remue ta queue ! Vite !»
Amadou commença à la remonter le long de sa bite, alors que Léa commençait à perdre le contrôle de ses paroles
« Vas-y ! Mais vas-y sale sauvage ! Baise-moi !»
Il lui donna alors un coup de bite fulgurant tout en la laissant chuter le long de sa bite. Ses couilles touchèrent les fesses de Léa… son énorme manche tout entier était entré ! Léa cria comme une damnée sous le choc. Elle serra Amadou de ses frêles bras comme si sa vie en dépendait. Elle sentit alors le sperme entré en elle… elle se sentit gonfler, le flot ne semblait pas s’arrêter, comme si un tuyau d’arrosage lui était collé dans la fente. Finalement Amadou commença à retirer sa bite. Léa avait l’impression d’être une bouteille qu’on débouchait. Puis elle sentit l’air entrer dans sa chatte, elle se vida alors du sperme. Une première masse de liquide blanc chuta directement sur le sol. Puis elle sentit le reste commencer à lui couler le long des jambes. Amadou la reposa à terre, et elle s’écroula en tentant de rester debout. Elle s’était fait labourer, ses jambes ne lui répondaient plus. Elle se trouve accroupie au-dessus de ce qui lui semblait une petite mare de foutre. Elle avait beau avoir pris la pilule ce matin, Léa se demanda si cela pouvait vraiment être efficace quand elle se faisait remplir de semence comme une baudruche.
Elle finit par ramper jusqu’à son sac et put prendre une pochette de mouchoir. Elle dut en utiliser la totalité rien que pour absorber les coulées de sperme sur ses jambes. Lorsqu’elle remit sa culotte, elle savait que dans les dix prochaines minutes sa lingerie ne serait plus qu’un torchon à foutre à mesure que tout le sperme qui était resté dans sa grotte humide retomberait.
Amadou, lui, s’était déjà rhabillé. Et il regardait la jeune fille à la peau lactée se nettoyer de son sperme avec plaisir. Dans le noir, on pouvait voir ses dents se découvrir à mesure que son sourire s’élargissait... La proie était ferrée.
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