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Le larbin de service

Chapitre 1

SM / Fétichisme
LE LARBIN DE SERVICEContactez-moi sur le blog : le divan et l’escarpin
Prénom : GuillaumeParticularité : puceau Domicile : Pensionnat de Charles Depirelette, Bâtiment A, chambre 54.
Pensionnat de Charles Depirelette :
Six classes de trente garçons, répartis dans le bâtiment A et B.Cinq classes de vingt filles dans le bâtiment C.Un réfectoire et une cour en commun.
Début de mon histoire.
Je m’appelle Guillaume. Je n’ai toujours pas de petite amie. Il faut dire que le contexte scolaire ne m’aide pas vraiment. Les filles existent, mais dans un bâtiment à part. Frustration dans le caleçon, au pensionnat de Charles Depirelette.
Mon quotidien de la semaine consiste à passer 8h par jour en classe à rêver. Imaginer des plans plus ingénieux les uns que les autres pour aborder Laura. Elle a de magnifiques yeux marrons en amandes avec de longs cils. Tous les soirs, quand je commence à entendre ronfler mes deux colocataires de chambre, j’en profite pour glisser une chaussette sur mon sexe en érection. Je me soulage en pensant à Laura pendant quelques minutes avant de m’endormir. Il y a quelque chose que je ne comprend pas. Plusieurs de mes camarades ont une petite amie au sein du pensionnat. Bien entendu, cela se fait à l’insu des professeurs et surveillants. Mais c’est un fait, certain ont une petite amie. Eux ! Sans être prétentieux, je pense être légèrement plus intelligent que la moyenne, en tout cas pour ce qui concerne la conception de plans pour aborder une fille ! Il me manque alors quelque chose d’important : la réalisation. Je n’ai jamais osé mettre en action un seul de mes plans. J’ai trop peur de l’échec et de l’humiliation qui pourrait s’ensuivre. Mais je pense que les choses vont changer. Depuis quelques jours maintenant, il me semble que Laura m’ait remarqué. A chaque fois que nos regards se croisent dans la cour ou au réfectoire, je la voit chuchoter et rire avec ses amies en me désignant discrètement. Cela me donne confiance. Il me faut donc trouver le moyen d’aborder Laura à labris des regards.
Dans la cour, il y a trop de monde. Dans le réfectoire, il y aurait un créneau idéal. Les repas sont servies de 11h30 à 12h30. Après le départ des élèves, le réfectoire est nettoyé jusqu’à 13h00 par une section d’élèves de service. Cette section est composé de 10 filles et 10 garçons. Nous sommes de service à tour de rôle. Mon idée initiale était d’attendre que je tombe de service en même temps que Laura. C’est ridicule, je dois forcer le destin! J’ai glissé un mot dans son casier pour faire croire à un petit changement de planning. Voilà, c’est plus direct ! Aujourd’hui, avec 18 autres élèves, Laura et moi sommes de service en même temps. C’est le moment d’attaquer !
Jeudi – 12h35 – Le premier jour du reste de ma vie.
Le réfectoire se vide doucement. Je suis encore à table avec les autres élèves de service. Laura est assise à côté de moi ! Je n’ai rien mangé du repas et su à grosse gouttes ! Je n’y arriverais jamais, j’ai trop la trouille de cette princesse. Le sol résonne maintenant d’une marche impériale en escarpins. Madame Delaroconde, la responsable, vient à notre rencontre pour nous attribuer les différentes tâches. C’est une petite dame de 50 ans, toujours habillée en tailleur strict et petits escarpins.
Après quelques rapide secondes de débriefing, nous voilà toutes et tous consignés à une tâche précise. Sauf Laura et une de ses amies qui sont restés à table ! La responsable ne leurs à pas donné de tâches. Je suis apparemment le seul surpris. Les autres élèves de service, quand à eux, c’est la présence de Laura et de son amie qui semble les surprendre. Maintenant que j’y pense, je n’ai pas le souvenir d’avoir vu un jour Laura passer la serpillière ou faire la vaisselle.
Le ménage commence donc. Je suis chargé de passer la serpillière. Dans tout le réfectoire ! Généralement c’est une tâche pour plusieurs élèves, mais aujourd’hui, Madame Delaroconde a décidé qu’un seul élève serait nécessaire au bon accomplissement de cette tâche et c’est tombé sur moi. C’est une chance en réalité. Nous ne sommes donc plus que trois en salle. Laura, son amie et moi. Il va toutefois falloir faire vite, je n’ai qu’une demi-heure pour nettoyer l’ensemble de la salle à moi tout seul. Mais je dois commencer par aborder Laura, je ne sais pas pour combien de temps elle va rester à table et je dois profiter de cette occasion.
Armé de mon seau et de mon balai, je commence à nettoyer le fond de la salle. Je dois attendre la bonne occasion. Mais qu’est ce que je fou putain ! Il n’y a pas de bonne occasion, c’est à moi de créer la situation qui … merde, j’en crois pas mes yeux ! Laura, toujours à table avec son amie, s’amuse à verser quelques miettes de pain à ses pieds. Elle me regarde et me sourie. Je rougis et plonge mon regard timide à l’intérieur de mon seau comme pour me cacher.
– Tu attends quoi pour venir ramasser larbin ?
Ma gorge se resserre, elle m’a appelé « larbin » ! Lorsque la nuit avant de me coucher, je pense à Laura, j’aime fantasmer sur le fait d’ être son serviteur dévoué. Mon rêve se réalise enfin ! Le destin est incroyable ! J’accoure dans la direction des filles et m’agenouille pour ramasser les miettes aux pieds de Laura. Je les entends pouffer de rire à me voir à genoux à leurs pieds.
– C’est bien, tu es un bon petit chien !
Mon sexe se tend dans mon slip ! Je suis en train de me faire humilier par ces deux filles et ça m’excite ! Je n’ose pas les regarder et encore moins parler. J’espère simplement que personne ne va entrer dans la salle, me laissant ainsi profiter de ce moment magique aux pieds de Laura.
– Tu croyais t’en sortir comme ça ? J’ai reçu un mot me disant que j’étais prévu au planning aujourd’hui. Tu m’as déjà vu faire le service depuis que je suis ici ?
Les escarpins de Madame Delaroconde résonnent sur le carrelage.
– Tout se passe bien? demande la responsable à Laura tout en me regardant.
– Oui. Je m’en occupe, tu peux y aller maman.
Maman ! J’ai bien entendu ! Je comprend pourquoi Laura n’a jamais eu à tenir un balai ou une serpillière. Je comprend maintenant pourquoi les autres élèves de services semblaient surpris de la voir à table avec nous. Étais je le seul à ne pas connaître le lien de parenté entre la princesse et l’impératrice ? Madame Delaroconde m’adresse un sourire condescendant et tourne les talons.
– Je suppose que tu commence à comprendre larbin. Au fait, je te présente ma cousine Lucie.
– Salut larbin.
Je n’ose pas répondre et continue de ramasser les miettes de pain. Lucie se lève et va chercher le seau d’eau et le balai serpillière que j’ai laissé au fond de la salle. Je suis seul avec Laura quelques instants.
– Tu me dégoûtes larbin. J’avais remarqué tes petits regards sur moi. En me moquant de toi avec mes copines, je pensais que tu comprendrais. Jamais je ne pourrais fréquenter un truc comme toi. Je suis sur que tu te masturbes en pensant à moi. Tu aurais du te contenter de ça au lieu de m’inscrire au planning pour passer la serpillière ! Une de mes sbires t’a vu. Putain, j’ai honte !
Laura se lève d’un bon furieux et arrache le balai serpillière des mains de Lucie qui vient d’arriver.
– Je vais te la faire bouffer !
Sur ces mots, elle prend le balai et plaque la serpillière sur mon visage. Je suis toujours à genoux, à ses pieds et je me laisse faire. Il me semble que je suis enfin à ma place – au pied de Laura – et dans mon rôle – le jouet de Laura.
– Regarde ce débile ! Il se laisse faire ! s’étonne Lucie.
– Tiens ! Bouffe bien la serpillière sale chien ! s’exclame Laura
Elle pose un pied sur ma poitrine. Avec ses mains elle s’amuse à bien passer la serpillière sur mon visage. Son autre pied se pose maintenant sur mon sexe.
– J’en étais sur ! Il bande ! crie Laura.
– Tu penses à la même chose que moi ?
– Oui. On va enfin pouvoir démarrer notre club !
Laura laisse tomber le balai au sol et saute dans les bras de sa cousine.
– Bon écoute larbin, tu finis de nettoyer, nous on dois y aller. Sache que je te pardonne pour ce que tu as fait. Je te pardonne car tu vas nous permettre de réaliser un projet. Apparemment ça ne te dérange pas d’être à genoux devant des filles et te laissait faire ainsi. J’ai une petite réunion ce soir avec des copines en chambre 47. Tu me donnes ton numéro de portable, on aura besoin de toi !
Lucie éclate de rire.
Je donne immédiatement mon numéro de portable à Laura.
– bon et bien à ce soir larbin, je t’appellerai.
Sur ces mots, Laura se lève et donne un grand coup de pied dans le seau, l’eau s’écoule sur une bonne partie du carrelage.
– Allez éponge moi tout ça, sale clébard !
Les filles éclatent de rire et s’en vont, me laissant à mon ménage … et à mes espoirs! Ce soir je vais entrer dans ce fameux club privé de Laura ! Je n’attendais pas autant de cette journée.
A suivre …
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