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Latin, langue vivante ?

Chapitre 1

Inceste
Après plusieurs années à fantasmer sur ma tante Liliane, nous avons fini par passer à l’acte.
Liliane est ma tante, elle a une bonne cinquantaine d’années mais elle est très bien conservée. Depuis quelques années, elle ne fait pas l’unanimité dans la famille. Après son divorce, elle a beaucoup changé : elle a commencé à prendre soin de son physique, est devenue aguicheuse, s’habille plutôt court et sexy, ce qui fait parfois jaser dans la famille, mais de mon côté j’ai commencé à fantasmer sur elle à partir de ce moment là. Entre les envieux, les jaloux et les autres, on entend dire d’elle qu’elle est devenue une « mangeuse d’hommes ». De son côté, elle se fiche pas mal de ce qui peut se dire sur elle, et elle joue volontairement sur cette nouvelle image de séductrice, voire d’allumeuse, à coups de sous-entendus et d’insinuations implicites, toujours sur un ton « second degré » qui fait penser à des plaisanteries, mais en gardant son sérieux. Si ça ne plait pas à tout le monde, personnellement ça m’excite. Comme si ça ne suffisait pas, Liliane ne cache pas son corps : elle fait du topless sur la plage et il m’est arrivé quelques fois de l’apercevoir à poil, en train de se changer ou sortant de la douche par exemple, et cela n’a jamais eu l’air de la déranger ni de la gêner.
En règle général, je ne la vois que trois à quatre fois par an (j’habite en région parisienne et elle en province) et nous nous entendons très bien depuis son "changement". Alors qu’avant j’étais totalement indifférent, aujourd’hui nous sommes presque "copains", et j’essaie de jouer le même jeu qu’elle (pas trop devant la famille, évidemment) : j’en rajoute un peu à ses sous-entendus, je joue au mec "intéressé" quand elle fait la séductrice, etc. Et inévitablement, je ne pense alors qu’à une chose : la sauter ! Mais, jusqu’au mois dernier, ça ne restait que des paroles (c’était quand même ma tante, et puis la famille n’était jamais loin…)
Il y a quelques semaines, j’ai reçu un email de Liliane me disant que, pour son boulot, elle devait se rendre une journée à Paris et qu’elle aurait aimé se faire loger la nuit précédente plutôt que de prendre une chambre d’hôtel. Elle me disait qu’elle avait pensé demander à mes parents mais que, si j’avais la possibilité de la recevoir plutôt chez moi, « on rigolerait sûrement plus ! ». À l’idée de passer une nuit seul avec elle j’étais déjà excité, et je lui ai donc répondu par email qu’il n’y avait évidemment aucun problème, que ça serait avec plaisir et qu’on se rigolerait bien. Puis j’ai ajouté : « Mais je n’ai qu’un grand lit et je dors toujours tout nu, j’espère que ça ne te dérangera pas ! » Ce n’était pas vrai mais je savais qu’elle le prendrait bien, j’espérais même qu’elle en rajoute, et je voulais tenter le tout pour le tout pour concrétiser mes fantasmes. Comme je l’espérais, elle m’a répondu le lendemain en me remerciant, et en ajoutant : « Pas de problème, moi aussi je dors toute nue. Mais parfois dans mon sommeil j’ai les mains qui se baladent, j’espère que ça ne te dérangera pas ! » J’étais encore super excité. Les jours suivants, nous nous sommes échangé quelques emails pleins d’allusions, et je me persuadais que nous serions capables de ne pas laisser la farce s’arrêter là et que nous irions jusqu’à passer effectivement la nuit à poil dans le même lit. Et j’espérais plus si possible… J’ai donc continué les envois de messages, auxquels elle répondait toujours de façon aussi engageante.
Le soir en question, j’ai accueilli Liliane chez moi et lui ai fait visiter mon appartement qu’elle n’avait jamais vu. J’espérais qu’elle continue son numéro et qu’elle fasse semblant de ne pas voir le clic-clac du séjour, et c’est ce qu’elle a fait. Quand je lui ai montré la chambre, elle a dit : « Alors c’est là que nous allons passer la nuit ? » J’ai acquiescé et elle a ajouté : « Je peux laisser mes affaires ici ? » Nous avons donc continué à jouer le jeu. Nous avons pris l’apéro, puis nous avons diné en buvant une bouteille de vin : je ne voulais pas trop boire, mais je comptais quand même sur les effets désinhibants de l’alcool pour nous aider à aller au bout de la plaisanterie. Ma tante était la même qu’à son habitude : sexy et aguicheuse. De mon côté, j’essayais de me détendre et je jouais le jeu. A la fin du repas, c’est elle qui a dit : « Bon ! Il va falloir qu’on aille se coucher ! » Nous nous sommes levés, elle s’est dirigée vers la chambre et je l’ai suivie. Elle s’est assise sur le lit et a commencé à se déshabiller comme si de rien n’était. Je l’ai alors imitée en tentant de garder mon sérieux. Elle s’est relevée pour enlever son haut et sa jupe et se retrouver en dessous, puis elle a retiré son soutien-gorge tandis qu’il ne me restait plus que mon caleçon. Elle a alors dit « Bon. Alea jacta est » et elle a enlevé son slip. J’ai alors baissé mon caleçon en disant : « Je ne savais pas que tu parlais latin ! » Nous étions alors tous les deux à poil dans ma chambre, et Liliane a dit : « C’est la seule chose que je connais en latin ». J’essayais de rester impassible et j’ai demandé, l’air de rien : « Et qu’est-ce que ça veut dire ? » Je savais très bien ce que ça voulait dire, mais j’essayais de discuter naturellement. Elle s’est rassise sur le lit et a répondu : « le sort en est jeté. » J’ai alors décidé de ramener la conversation vers des plaisanteries plus osées. Je me suis assis à côté d’elle et j’ai dit en souriant : « Ah ! Moi, le seul mot latin que je connaisse, c’est cunnilingus ! » Liliane a répondu, du tac au tac : « Et qu’est-ce que ça veut dire ? » J’étais comme un fou : j’étais complètement nu avec ma tante à discuter de cunnilingus ! Mais je commençais à être de plus en plus à l’aise, et j’ai enchaîné : « Comment dire… C’est… Je ne trouve pas de termes ! C’est bizarre, parce que je sais parfaitement ce que c’est mais je n’arrive pas à l’expliquer par les mots… » Elle a dit : « Ben mince, alors ! J’ai bien envie de savoir, moi ! » Et elle s’est penchée en arrière pour se poser sur ses coudes, à moitié allongée sur mon lit. Je n’ai pas lâché prise et j’ai continué : « Je comprends. Et ça me gêne de te laisser dans l’ignorance… Je vois bien un moyen de parer à ça, mais… » Elle a souri, puis elle a dit : « Ah, ben s’il y a un moyen pour que je reparte moins bête, il ne faut pas hésiter. C’est important d’apprendre des choses ! » J’ai souri et j’ai dit : « Ben, il faudrait que je te montre, alors… Mais… » Et elle a enchaîné : « Mais quoi ? » J’ai répondu : « J’aurais besoin de ta participation. » Elle s’est redressée en prenant un air très sérieux et a demandé : « Je t’écoute. Dis-moi ce que je dois faire ! » Je me suis mis debout face à elle et, en prenant un ton professoral, je lui ai dicté ce qu’elle devait faire : « Tout d’abord, il faut que tu t’allonges sur le dos. » Elle s’est alors allongée de tout son long sur mon lit, les jambes serrées. J’ai continué : « Maintenant, il faut que tu écartes les jambes autant que tu peux, en relevant les genoux. » Et elle s’est exécutée. J’étais dans un état d’excitation hallucinant : ma tante Liliane était allongée face à moi, totalement soumise, les jambes écartées, m’offrant son sexe ! J’ai continué sur le même ton en m’approchant d’elle : « C’est tout ce que tu as à faire, je m’occupe du reste ! » Elle a répondu « Je suis impatiente de savoir ! » J’ai approché un doigt de son vagin en disant : « En latin, le cunni, c’est ça. » Puis j’ai inséré mon doigt, que j’ai ressorti aussitôt pour le porter à ma bouche en disant : « Et lingus, c’est ça. » J’ai posé le doigt sur ma langue et je l’ai léché. « Et cunnilingus, c’est ça ! » J’ai alors porté ma bouche vers sa chatte et lui ai léché le clitoris. Nous sommes restés un long moment dans cette position, et ma tante poussait des petits gémissements de plaisir tandis que je lui léchais langoureusement le clitoris en enfonçant mes doigts dans son vagin. J’avais à présent une érection monumentale et je me délectais de la chatte de Liliane. Elle a alors eu quelques petites contractions qui laissaient deviner qu’elle était sur le point de jouir, ce qui est arrivé. Je me suis arrêté là et ai fait remonter ma langue sur son ventre, puis sur ses seins pour lui sucer les tétons. Elle m’a alors repoussé sur le côté, m’incitant à m’allonger sur le dos. Elle m’a saisi la bite puis s’est redressée pour aller se placer entre mes jambes. Elle a commencé par me lécher le gland en me branlant doucement, puis elle a engouffré ma bite dans sa bouche pour la sucer avec un appétit dévorant. Elle suçait merveilleusement bien et j’ai fini par jouir dans sa bouche. Elle a avalé mon sperme et a continué à lécher ce qui sortait comme si elle ne devait pas en perdre une goutte. Puis, tout en continuant à me caresser la bite, elle s’est allongée à côté de moi.
Peut-être aurions nous été embarrassés par ce qui venait de se produire si nous étions restés allongés comme ça sans rien dire, et je pense que Liliane l’a senti et que c’est pour cette raison qu’elle a tenté de détendre l’atmosphère en disant : « Au fait, je t’avais dit qu’il m’arrivait d’avoir les mains baladeuses pendant ton sommeil ? J’espère que ça ne te choquera pas si ça arrive cette nuit. » Elle me caressait toujours délicatement la bite et les couilles, et j’ai répondu : « Je pense que je supporterai. » J’ai alors porté une main sur elle pour lui caresser tout le corps : les seins, les hanches, le sexe, les jambes… Et j’ai ajouté : « Et si, par le plus grand des hasards, il arrivait que j’ai la langue ou le sexe baladeurs, tu ne m’en voudras pas ? » Elle a alors écarté les jambes tandis que je lui caressais la chatte, et a répondu : « Au contraire ! Peut-être même que j’en redemanderai. » Je commençais déjà à rebander et je me suis redressé pour me placer entre ses jambes. Je l’ai attrapée par les hanches et j’ai enfoncé ma bite dans sa chatte encore bien humide. Nous avons baisé dans cette position, avant qu’elle ne me renverse sur le lit pour venir me chevaucher en faisant de super mouvements du bassin pendant que je lui caressais les seins et lui suçais les tétons quand elle se baissait pour porter la poitrine à ma bouche. Ensuite, le l’ai incitée à se mettre à quatre pattes pour venir la prendre en levrette. Après quelques minutes de baise presque bestiale dans cette position, j’ai à nouveau éjaculé dans ma tante.C’était fini pour ce soir là.Après une petite toilette, nous nous sommes couchés.
Le lendemain matin au réveil, j’ai eu droit à une bonne pipe matinale qui met de bonne humeur. Puis Liliane est partie. Je ne l’ai pas encore revue depuis, mais nous nous échangeons pas mal d’emails tout-à-fait explicites désormais, où nous nous disons clairement que cette nuit était géniale, que nous ne regrettons rien et que, tous les deux sommes prêts à recommencer dès que possible en étant bien d’accord que cette aventure est purement sexuelle.
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