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Laure fille soumise

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Laure, fille soumise
— chapitre deux -


Deux jours que laure est perturbée. Les images quoique floues lui reviennent constamment en tête. Elle se demande comment elle a pu en arriver la, ce qui va lui arriver, elle n’en dort plus, elle se sent nauséeuse.
La vie doit continuer, mais le cœur n’y est pas, comme un manque. Ce téléphone ne sonne pas, il ne sonnera peut-être jamais trop de questions, aucune réponse laure est perdue et ça commence à se voir.Trois jours que ce cauchemar a eu lieu. A-t-il eu lieu? laure n’en est plus très sure. Si certains flash sont clairs, il n’y a pas de cohérence, c’est embrume. Elle n’est pratiquement pas sortie de sa chambre.
Ses jours sont fait d’attente d’un coup de ce téléphone noir et ses nuits de rêves tordus toujours à connotation sexuels. Elle se réveille mouillée la entre ses cuisses, ouverte, prête a quoi ??Maintenant, c’est un vrai manque qu’elle subit.
7h du matin, laure est réveillée, elle a passe une nuit difficile, je suis folle se dit-elle, il faut que je me reprenne a tout pris, que je retourne en cour dès lundi.
Elle décide de se lever, son père déjeune. Il est inquiet, ce n’est pas dans les habitudes de la jeune fille de manquer les cours.
Ils échangent peu de mots. Laure décide de se bousculer, ce samedi sera une journée active. Le petit déjeuner fini, elle file dans la salle de bains pour éviter l’envie de se recoucher.Son reflet dans le miroir lui fait peur. Elle a les yeux cernes, rouges comme si elle avait passe la nuit à boire ou a se défoncer.Elle file sous la douche et se passe l’eau chaude sur son corps. Elle respire et se détend enfin. L’eau lui fait du bien. Elle passe le pommeau de douche en mode jet fin pulse. Les jets la fouettent littéralement par secousses. Laure monte la température et approche le pommeau de son entre jambe. Elle tend le ventre en avant, éloigne le jet et passe en mode rotatif. Des vagues alternées viennent lui masser sa toison. Elle approche le pommeau et c’est son clitoris qui ressent la chaleur et la puissance des rouleaux d’eau chaudes. Il gonfle, se tend et sort de son capuchon. Les lèvres serrées et les cuisses tendues, laure se concentre sur la montée du plaisir. Fébrilement elle repasse en mode pulse. Son clitoris offert est flagelle. Jamais elle n’avait cherche à jouir d’une manière si violente. Elle rapproche encore plus le pommeau. Bourreau et victime, elle s’inflige ces coups de fouets avec plaisir et douleurs.L’instant ultime approche, elle tremble, ne pense qu’a son orgasme qui monte, monte en elle. La bouche grande ouverte dans un cri muet elle écrase le pommeau sur son sexe et dans une tentative ultime le pose a l’entrée de son vagin. Les jets remplace ses doigts, pénètre en elle et son plaisir éclate. En pleure, laure s’écroule les jambes fauchées, emportant serre dans sa main le rideau de douche qui déclipse un a un les anneaux de sa barre pour la recouvrir comme un voile de petite mortuaire.
Il lui faut de longues minutes pour reprendre ses esprits. Elle coupe l’eau, se relève et remet le rideau en place, honteuse. Elle grelotte, elle a froid. Enveloppée dans son drap de bain, elle marche vers sa chambre avec lenteur. Elle ouvre son armoire les yeux submerges de toutes ses émotions. Elle enfile un string, se glisse dans son jeans et passe un t-shirt sur ses seins nues. Alors qu’elle est prête à redescendre, elle entend un vrombissement qui vient de sa table de nuit. Elle ouvre le tiroir et découvre le portable noir qui vibre d’un appel. Son sang se glace, mais elle décroche à une vitesse folle malgré la peur.

— comment allez-vous?
— euh, bien et vous?
— ce n’est pas ton problème. Par contre, ton problème est d’être prête pour mes instructions, réserve ta soirée dès à présent.
La voix raccroche. Laure reste sans voix. Que va-t-il lui arriver?Assise sur son lit, elle regarde ce téléphone, cette porte sur l’inconnue et ses démons enfouis au fond d’elle. D’un coup elle sursaute au son de l’annonce d’un message arrive.Elle lit : "36 rue de l’abreuvoir. code 6699. 3ème étage. Porte gauche. 18h00 précise, aucun maquillage"finalement la journée ne va pas être si active, comment se concentrer avec une telle nouvelle?
Son père est parti au golf comme tous les samedis, elle est seule pour la journée,
Laure fait les cent pas, traîne, regarde la télé, surfe sur le web mais son esprit est tout a ce soir. L’heure tourne la pression monte. Elle se fait chauffer quelques pates pour le midi qu’elle ne mange finalement pas. Laure se sent mal.
17h00, elle décide de se mettre en route même si elle sera très en avance.Le bus va trop vite. Laure est stressée. Elle a peur d’arriver trop tôt et son cœur bat de plus en plus fort. Sa main est crispée sur le portable.Elle descend à l’arrêt. Le soleil est éclatant et l’éblouie. Elle se dirige vers le n° 36. C’est un immeuble neutre des années 60 en béton, dans un quartier banal, rien d’effrayant jusqu’ici, même si laure est paniquée.
Elle reste plantée devant l’entrée regardant sa montre dix fois par minute en attendant les 18h00 pétante pour oser entrer.
Enfin, il est l’heure, avec une énorme boule au ventre et proche du malaise. Laure compose les quatre chiffres au digicode et pousse la lourde porte.Dans l’ascenseur, elle appuie sur le numéro 3. L’ascenseur démarre dans une secousse et comme un supplicie sur son tombereau, l’emporte vers sa destinée comme a l’échafaud. Le palier est petit avec un tapis rouge. La porte est là, noire vernie. Laure approche son doigt en tremblant, se pose sur le téton de la sonnette en laiton. Elle reste la, interdite. Dans une grande inspiration, elle appuie. Une douce sonnerie qui résonne en elle comme les trompettes de Jéricho se fait entendre. Son cœur bat encore plus fort, il va exploser... elle entend le bruit feutre de pas qui se rapproche.
Une femme ouvre, la quarantaine, simple habillée d’un pantalon noir moulant et d’un chemisier bleu avec des petits talons, une femme habituelle. Laure est presque surprise de la découvrir.
Très gentiment la femme l’invite à entrer.Passez au salon, je vous rejoins tout de suite. Laure pénètre dans une pièce joliment décorée, très classique voir un peu kitch. Elle se croirait presque chez sa tante de Boulogne. Elle s’assoie dans un fauteuil profond et confortable. La femme revient avec une tasse de thé. Elle s’assoit en face d’elle et lui tend la tasse. Buvez, c’est du Darjeeling du meilleur cru. Laure boit a petite gorgée le breuvage parfume. La douceur des volutes la rassure et le liquide chaud commence à lui faire du bien. Laure se détend, pour la première fois depuis trois jours elle se sentirait presque bien.
-quel âge avez-vous?
— 21 ans,
— vous faites quoi dans la vie?
— je suis étudiante...
La femme la questionne, laure répond sans retenue, franchement comme à une amie.
Après quelques bavardages, la femme lui propose :
— je vous trouve très jolie, vos yeux et vos cheveux sont magnifiques, mais que diriez-vous si je vous mettais en valeur si je vous coiffais avec un peu de maquillage en plus.
-si vous voulez.
Laure se lève, elles passe dans une petite chambre contiguë, la femme l’invite à s’asseoir devant la coiffeuse.— je vais commencer par m’occuper de vos cheveux.La femme commence à la coiffer avec douceur. Elle lui brosse lentement les cheveux en continuant à la questionner gentiment sur sa vie, ses goûts, elle sépare en deux parties la masse de cheveux blonds de laure et en fait deux couettes qu’elle attache chacune de deux élastiques surmontes d’une paire de cerises rouges. — voila, vous voici rajeunie dit la femme assez fière de son travail.
Laure sourit, même si c’est désuet et presque ridicule, elle trouve le résultat plutôt joli. Les deux femmes se regardent dans la glace et éclatent toutes deux en un fou rire.
— maintenant que diriez-vous d’une manucure.
Laure apprécie ce salon de beauté improvise, la femme s’assoit a ses cotes et commence par lui limer les ongles, elle coupe les petites peaux résiduelles et entame une french manucure.
-vous en avez déjà porte?
-oui, j’aime beaucoup le résultat mais c’est un peu cher donc je ne le fais que pour les grandes occasions.
-croyez-moi, c’est une grande occasion.
Cette réflexion met laure mal à l’aise, elle se rappelle ce qui l’a amenée ici. Pourtant très vite la femme réussit à détourner l’attention de laure en la complimentant sur ses jolies mains.
Les ongles posent, elle lui propose :
-rouge cerise c’est parfait non? Laure lui sourit en approbation. Très méticuleusement, la femme lui recouvre les ongles de vernis, laure est impressionnée de la qualité de travail, une professionnelle n’aurait pas fait mieux.bien, dit la femme. Nous allons passer au vêtement. Laure frémie, d’un coup la réalité de sa présence ici lui revient. Levez vous et venez devant le miroir. Laure s’approche d’un miroir qui occupe le pan entier d’un mur. Des spots places au dessus l’aveugle presque. La lumière est franche, blanche et ne laisse aucune ombre. La femme se place derrière laure et elle reste en attente. Laure ne sait pas quoi faire comme ça debout. Un grésillement se fait entendre venant d’un haut parleur cubique pose au sol. Une voix lui dit "bonjour laure" laure reconnaît aussitôt la voix de l’homme a la canne.
-déshabille-toi.
Laure est gênée, les larmes lui monte aux yeux, elle lutte pour ne pas se laisser submerger. Lentement elle retire son t-shirt laissant apparaître ses jolis seins fermes. Elle continue en faisant tomber le jean, elle maintenant simplement vêtue de son string devant cette grande glace, les bras cachant légèrement ses seins et son pubisma chère, voulez vous bien aller chercher la tenue choisie pour notre travailleuse. Autant l’homme est agréable avec la femme, autant il est sec et froid avec laure.Toi !! Enlève moi tes mains de la. Tu te crois ou, au séminaire ??? Retire ce string ridicule.
Penaude, laure retire son string et se force à rester les bras le long du corps. La femme ramène un petit tas de vêtement dans ses mains que laure distingue mal.
Elle lui tend un string et des bas.
Mets ça pour commencer. Laure découvre un minuscule string ficelle blanc dont le triangle est en résille, elle l’enfile, il ne cache rien on distingue clairement sa légère toison. Ensuite, elle passe les bas, ils sont assortis : blancs en résille, auto-fixants. La maille est serrée mais fine, ils affinent considérablement les jambes de laure qui bien que gênée admet qu’ils sont très jolis.
Ensuite, elle reçoit une jupe, courte plissée, rouge. Laure est surprise en découvrant la taille sur l’étiquette : 14 ans!
Bien que fine, laure à du mal à rentrer dedans et a zipper la petite fermeture du cote. Le résultat est humiliant, la jupe recouvre à peine les fesses de laure alors qu’elle se tient droite, chaque pas même petit découvre la naissance de ses fesses. Autant dire qu’il est indécent de se baisser ou de faire n’importe quel mouvement un peu ample. La jarretière de ses bas- résille est largement en dessous de la jupe laissant apparaître une large bande de peau nue.
La femme lui fait chausser des talons aiguille de au moins 15 cm. c’est à la fois ridicule et obscène. Il suffit qu’elle se baisse à peine pour que l’on voitson string, la femme s’en amusela femme lui passe un soutien gorge blanc. Il est assez joli en broderie anglaise. Par contre, à l’emplacement des aréoles il est découpé en rond laissant le bout des seins libre et un drôle de petit mécanisme entour l’ensemble. Une fois enfile la femme passe devant et arme sur chaque seins le mécanisme. Il est fait de petites croches en forme d’aiguille reliées à de fin tube qui parcoure l’ensemble du bonnet et qui viennent reposer sur les auréoles et les tétons. À peine ressent-elle un picotement. Laure respire soulagée...l’homme précise. " Ce petit gadget s’appelle les griffes du dragon. Si tu as le malheur que tes seins gonflent et pointent, ces pointes pénétreront en ta chair. Indépendamment de la douleur qui peut être comparée au supplice chinois du bambou sous les ongles, une dose de substance très particulière s’injectera en toi a chaque poussée érectiles. Je te laisse la surprise des effets ressentit et du cercle infernal induit....enfin la femme lui enfile un chemisier fin qui laisse voir ses tétons fonce et offert en transparence.

-comment te trouves-tu ? demande la voix.
-heu, .. Laure ne sait quoi répondre.
-réponds !
-vulgaire monsieur.
-c’est le but! Ce soir tu vas tapiner...

Le cœur de Laure s’arrête de battre, tout s’effondre, elle est KO.
— Je te laisse et tu as intérêt à obéir.
Laure est déjà résignée, sure qu’elle n’a pas d’échappatoire. La femme l’emmène par la main vers la coiffeuse et l’installe à nouveau sur la chaise, Laure se laisse faire comme un automate encore abasourdie de son sort annoncé.
Elle commence par lui épiler quelques sourcils pour mieux dessiner ses arcades et lui passe un fond de teint épais mais en accord avec sa peau blanche. Elle lui dessine ensuite le contour des lèvres avec un crayon rouge très foncé.
-Du gloss rouge cerise, tu seras toute belle, mais faut pas oublier d’en remettre de temps en temps. Ok?
-Oui, d’accord.
Laure regarde ses lèvres pulpeuses comme jamais, si les circonstances n’étaient pas si glauques, elle la féliciterait pour ses talents.
Ensuite, la femme lui farde les paupières d’un dégradé de bleus quasi noir autour de l’œil et presque blanc aux approches de ses sourcils. Elle poursuit avec un trait épais d’eye-liner sur les paupières inférieures et supérieures de Laure lui faisant des yeux de biche et un regard d’une profondeur que Laure n’a jamais réussi à obtenir.
Pour terminer, elle sature ses cils de mascara noir et lui blushe les joues. Ainsi parée, Laure est trop maquillée, trop sophistiquée, son visage est trop parfait pour être naturel mais c’est impeccable et incroyablement sexy.
Confortablement assise, Laure se regarde en essayant de se reconnaître. Pendant ce temps, la femme sort d’un tiroir de la coiffeuse de larges bracelets, elle les passe autour des accoudoirs et des poignets de Laure qui la regarde interrogative. Elle s’absente et revient immédiatement. Laure regarde avec effroi le matériel médical qu’elle a entre les mains : Un garrot, une seringue et un flacon et une petite trousse.
— Ne t’inquiète pas, c’est pour t’aider.
— S’il vous plaît, qu’est-ce que vous faites? Non, je ferai tout ce que vous voulez...
— Pas la peine de négocier, on me demande de le faire, je vais le faire. Tu te sentiras mieux tu verras, comme la dernière fois.
Laure s’en doutait mais elle en a maintenant la certitude, elle était droguée, et c’est pour ça qu’elle s’était comportée d’une façon si incroyable dans cette cave.
La femme s’assoit à côte d’elle et lui passe le garrot autour du bras. Avec la seringue, elle prélève une bonne dose de produit dans le flacon, Laure est pétrifiée.
— Non,...
— Calme-toi et serre le poing s’il te plaît.
Laure obtempère comprenant qu’il y va de son intérêt.
Un peu d’alcool sur la peau et l’aiguille entre dans la veine, Laure regarde effrayée.
La femme lui presse un coton et la détache immédiatement.
— Tiens ça deux minutes,
Laure le bras plié tient le coton et regarde la femme partie remballer son attirail alors qu’elle sent une douce chaleur envahir tout son corps.
Elle revient avec un petit sac à dos d’enfant Hello Kitty et y met le maquillage qu’elle a utilisé.
— Je te donne tout ça, ça pourra te servir, j’ai aussi mis ton téléphone, du gel hydro-alcoolique et des mouchoirs, tu en auras besoin. Tu fumes?
— Non.
— Je le laisse quand même. Je t’ai mis un paquet de Marlboro et un briquet si tu t’ennuies trop à attendre le client. Maintenant il faut y aller, je vais te montrer.
Elles s’approchent toutes deux de la fenêtre.
— Tu vois le lampadaire là-bas.
— Oui,
— C’est là que tu vas aller, les clients passent dans la rue, et l’entrée du parking est dix mètres plus loin, tu vois c’est l’entrée du parc.
— Oui.
— C’est comme ils veulent, soit c’est dans la bagnole soit dans le parc, mais ne démarre jamais avec eux pour aller ailleurs. Ne t’inquiètes pas tu es en sécurité, je gère tout.
— Ok.
— Les tarifs tu fais comme tu veux, mais l’habitude c’est 20 la pipe et 50 la passe... il faut que tu ramènes 300€ demain matin. Compris?
— Je crois— Allez, file.Laure est raccompagnée à la porte, pas du tout habituée à de tels talons. Elle est obligée de se cambrer pour rectifier la position et doit faire des efforts qui lui tendent la jambe.Elle appelle l’ascenseur. Dans la cabine elle voit une gamine trop vite grandie qui aurait encore ses vêtements d’enfants. Mais c’est elle qu’elle voit. Un fantasme sur pattes. Nul ne doute que les hommes vont lui sauter dessus et abuser d’elle. Laure est prête à pleurer mais elle se retient par reflex pour son maquillage.Dehors la nuit commence à tomber. On est entre chiens et loups. Quoi qu’il en soit, elle sera la proie toute la nuit de ces bêtes.Elle se sent bizarre. Encore une montée de chaleur et une lourdeur au bas ventre. La piqûre, ce produit commence à faire effet. Mais elle se rappelle le soutien gorge et des risques. Du coup, Laure contrôle sa respiration et essaie de se détendre. Elle avance jusqu’à sa place. Arrivée au pied du lampadaire elle s’arrête ne sachant trop quoi faire. Elle se retourne et cherche la fenêtre de l’appartement où elle se trouvait. La lumière est allumée, la femme est à la fenêtre. Immobile pendant de nombreuses minutes, Laure regarde autour d’elle. L’endroit est très calme, normal, rien d’inquiétant. Le vent frais la fait frissonner. Elle regarde sa montre, seulement 15 minutes qu’elle est en place. La nuit va être longue. Une voiture approche, Laure sent son cœur s’emballer, elle passe. Fausse alerte, toutes les voitures ne sont pas des clients. Elle commence à faire quelques pas pour se dégourdir les jambes, elle n’a plus froid, au contraire elle si elle avait quelque chose à enlever elle le ferait mais elle est déjà pratiquement nue.
Une voiture passe en trombe en la klaxonnant. Bizarrement Laure est presque flattée.
Après plus d’une demi-heure, une voiture arrive lentement et s’arrête à sa hauteur, Laure s’approche de la vitre la boule au ventre. La vitre se baisse, Laure se penche et découvre un homme en costume, la cinquantaine, plutôt bedonnant.— C’est combien tes tarifs ?— Heu, Laure balbutie 50 €...L’homme a vite compris qu’elle est débutante dans le métier. Il en profite....
— 50 € la passe, OK. Monte!
Laure se rappelle de la directive de la femme : il faut rester ici.
— D’accord, on va sur le parking.
— OK.
Laure monte dans la voiture, l’homme entre sur le parking et se gare.
— Tu as l’air nouvelle.
— Oui, c’est la première fois.
Il prend sa main, elle la met sur son sexe. — Suce-moi.
Laure tremble un peu mais n’a pas le choix, elle se penche sur l’homme et dégrafe son pantalon. Elle en sort une queue à moitié bandée. L’homme appuie sur sa tête.— Grouille-toi salope!Laure embouche le sexe. Une forte odeur de sueur et d’urine lui remonte au nez. Elle se dépêche de bien saliver le membre pour le nettoyer et éliminer l’odeur. Le client se met à bander.
— Humm, la bonne salope, pense-t-il. Elle est trop conne pour connaître le métier. Jeune et neuve, je vais en profiter. Elle suce bien en tout cas.Il lui passe la main sous la jupe et sans ménagement glisse ses doigts boudinés sous le string.Il pince son clitoris et tire sur les lèvres. Il triture, écarte, essaie d’atteindre l’entrée du vagin.Laure, tout à son ouvrage ne bronche pas. Elle suce consciencieusement le membre. L’homme dégage ses couilles et prenant la tête à deux mains de Laure, il l’enfonce sur son membre. Laure, la glotte obstruée a le souffle coupé. Mais elle ne se rebelle pas et fait de son mieux, elle tire même un certain plaisir à voir l’effet que son ouvrage produit sur l’homme. Son membre est devenu énorme, Laure a du mal à reprendre son souffle entre deux enfournées. Dès qu’elle essaie de relever la tête, aussitôt l’homme la replante sur son pieu. Laure qui habituellement envoie balader la plupart des mecs qui la draguent prend plaisir à sucer ce porc. Elle ne se rebelle pas quand il l’empêche de reprendre son souffle, au contraire, elle se sent presque coupable de ne pas réussir à le prendre plus en bouche. D’un coup, elle sent l’homme se plier sur elle et le siège part à fond en arrière. Surprise, elle échappe la bite. Le tirant par une couette, il la rappelle à l’ordre :
-Suce encore! Je te sauterai après.
Laure se laisse faire et enfourne sa tête au plus profond entre les cuisses du mec et essaie de lui lécher les couilles. L’homme est aux anges.Il la saisit et la fait mettre entre ses cuisses à genoux. Les reins coincés par le volant, Laure continue son ouvrage consciencieusement.Avec le dessus de sa chaussure, l’homme commence à lui masser l’entrejambe. Il écrase sa motte et la lustre comme si il voulait cirer et faire briller ses mocassins. Au lieu d’être rebutée, Laure y trouve une excitation et redouble son pompage.
Cette drogue m’a complètement dépersonnalisée se dit-elle.
Elle ondule mettant en rythme sa bouche sur la bite et sa chatte sur la chaussure dans un mouvement d’aller retour. Bien mal lui en prend car cela fait monter son excitation et elle sent d’un seul coup ses seins commencer à gonfler. Ses tétons commencent à se raidir et à vouloir sortir hors de la cage formée par les griffes du soutien gorge. Elle laisse échapper un gémissement et essaie de se calmer, mais ses tétons continuent de durcir.
— Monte sur ma queue sale chienne.
Sans réfléchir, Laure retire son string et le balance. Elle se contorsionne dans la voiture pour réussir à l’enfourcher. D’elle-même, elle dirige la bite bien dure vers son vagin et descend dessus. Elle gémit lentement de plaisir, elle sent une bouffée de chaleur l’envahir. L’homme a ses seins juste devant son visage et découvre le curieux système. Il sourit.
-Tu es une sacrée pute toi! T’aime ça on dirait
Laure lui répond sans gène.
-Oh, oui. C’est bon.
Comme elle peut, elle va et vient sur le sexe bandé accélérant la cadence.Son plaisir venant, ses tétons en érections commence à passer la barrière des griffes du Dragon. Les six crocs crochent les tétons et lentement s’enfoncent d’au moins 1 cm comme une couronne de fer. Le mécanisme enclenché, c’est au tour du produit de pénétrer dans ses seins. Ainsi hameçonnée Laure ressent à la fois une douleur continue et vive en même temps qu’une chaleur envahit sa poitrine. Elle a l’impression que ses seins doublent de volume. L’homme lui, n’en revient pas. Il a devant ses yeux la transformation qui se réalise. Les seins de la fille deviennent violetTurgescents comme si ils avaient été ligotés et serrés au plus fort à la base. Les tétons sont exorbités et malgré les pointes qui les retiennent, ils se développent encore et tendent vers lui. Jamais il n’avait autant bandé. Il la prend aux hanches et la défonce comme un forcené. Les seins secoués rendent plus forte la douleur de Laure. L’homme en prend encore plus de plaisir. Il lâche ses hanches et prend les deux seins à pleine mains. Il les pressent comme des oranges et stupéfait vois apparaître au bout des tétons un liquide blanc perler. Laure ressent cette montée de lait et ne comprend pas comment une drogue peut faire cet effet instantanément. Fous d’excitation, il presse encore plus et commence à traire littéralement les seins de cette fille. Un double jet continue fin et brillant arrose son visage. Il se jette sur un téton et le suce avidement aspirant goulûment le lait chaud sans aucune pitié pour la douleur que ressent la fille.
Laure hurle de douleur mais ne fait rien pour s’y soustraire. Elle s’agite encore plus sur la bite, elle au bord de la jouissance. L ’homme est dans le même état avec la sève qui comme à lui monter. Très vite, il ne peut se contenir et éjacule dans la chatte de Laure qui poursuit son effort à la recherche de l’orgasme alors que ses seins gonflent toujours. Dans les derniers soubresauts d’éjaculation, il prend les tétons de Laure et les pinces en les tirant. Instantanément, elle jouie. Son orgasme fait de plaisir et de douleur la terrasse littéralement. Elle s’effondre sur lui.
— Oh, putain, t’es une sacrée salope toi.
Il reprend sa respiration et la repousse sur le siège passager. Essoufflé, il reboutonne son pantalon.
— Bon allez, dégage de là.
Laure est encore ailleurs et réagit à peine.
— Casse-toi je te dis!
Dans une demi-conscience :
— Et mon argent,...
L’homme rit aux éclats.
— La prochaine fois tu demanderas à te faire payer avant! Casse-toi de ma bagnole avant que j’appelle les flics.
D’un mouvement, il ouvre la portière et pousse Laure à l’extérieur qui n’a le temps que de reprendre son sac. Il démarre aussitôt et s’en va, Laure a beau l’insulter et taper sur la portière, c’est trop tard. Elle reste là, sans argent, sans son string qu’elle n’a pas eu le temps de reprendre et sentant le foutre de ce salaud commencer à couler entre ses jambes. Elle n’a d’autre choix que de se mettre à l’écart et de s’accroupir pour rejeter le sperme en pissant. Elle prend un mouchoir dans son sac pour s’essuyer en sanglotant. Il faut pourtant y retourner se dit-elle et gagner son argent. Reniflant son chagrin, elle se redresse et commence à réajuster sa tenue en remontant ses bas.
De nouveau dans la rue mais épuisée, Laure reprend la pause. Elle a l’air absente, planant sous l’effet de la drogue. Au bout de 10 minutes une camionnette s’arrête. À l’avant, 3 types costauds la regardent tout en buvant des bières.C’est combien pour 3 ?Laure se dit que c’est l’occasion de se "refaire" Imprudemment, elle se dit d’accord.
— 300 € pour tout le monde.Les hommes éclatent de rire et disent :
— OK, ça marche, 300 € pour tout le monde.
Laure trouve bizarre le fait d’insister sur ce point mais est bien trop contente d’atteindre ses objectifs. Un des hommes descend et ouvre la porte de coté. Laure monte et la porte se referme tout de suite. La camionnette démarre et tourne dans le parking Une lampe de poche s’allume et Laure se retrouve encerclée de quatre hommes. En plus des trois à l’avant cela fait sept bêtes en rut à devoir contenter. Laure est désespérée. Elle a été de nouveaux abusée. Elle est mise tout de suite dans l’ambiance. Elle est sortie de la camionnette, jetée par terre les sept hommes l’entourent
-Montre-nous ta chatte.
Laure remonte sa mini jupe, elle n’a même plus de string pour cacher quoi que ce soit. Les hommes la sifflent. Le plus gros d’entre eux :
-Viens me sucer ma belle!
Laure s’agenouille devant lui et commence à sortir sa queue dégueulasse et molle de son pantalon. L’odeur est dégoûtante, mais elle n’a pas le choix, elle le prend en bouche consciencieusement. Déjà, un autre gars a relevé sa jupe et l’attrape pour lui malaxer les fesses de ses mains calleuses. Un premier doigt s’insinue dans ses fesses. Laure qui n’a jamais été prise par là est inquiète, son petit trou refuse le doigt. Repensant à sa mésaventure précédente, elle recrache la queue un instant:
— Payez-moi avant s’il vous plait.— Ferme-la et bosse. Si t’es bonne et nous fait bien juter, on verra pour ton petit cadeaux. Eclats de rire général !!!!
Laure arrête sa pipe et se redresse voulant se rebeller, mais une main lui écrase la tête sur la bite. Elle n’a d’autre choix que de la reprendre et de la sucer. L’autre gars lui enfourne ses doigts dans ses trous, Laure se sent mouiller très vite. Son corps réagit à la moindre caresse. Un autre gaillard s’approche et demande aussi une pipe. Laure alterne entre les deux queues et fait de son mieux.
-Elle suce bien la salope!
-Tu m’étonnes et regarde comment elle mouille la pute.
Pendant qu’elle suce les deux bites, elle sent un sexe à l’entrée de son vagin.Le gars la prend aux hanches et Laure sent son gland chercher l’entrée de sa chatte. Il pousse d’un coup et la pénètre d’un trait. Là, il reste au fond accroché à elle comme un chien en rut. Un des hommes en ricanant verse sa bouteille de bière sur les fesses de Laure. La biere coule dans son sillon et lui trempe les cuisses
— Vas-y dit il, je te la lubrifie, fous lui dans le cul qu’elle couine un peu.
— Fous- lui ta bouteille plutôt.
Laure sent le goulot contre sa rondelle et aimerait se défendre mais il l’agrippe fermement par les hanches et elle se peut même pas se plaindre la gorge remplie d’une autre queue qui va et vient.. Le gars enfonce un peu le goulot et le retire prestement. Ça fait un pop a chaque fois. Laure est honteuse. Les hommes s’amusent de voir son anus se refermer sur la bouteille. Chacun veut pouvoir jouer avec la bouteille. C ’est à celui qui la fera pénétrer le plus loin.Attendez, je vais la fourrer en même temps. Un des gaillards se couche par terre la queue dressée. Les autres attrapent Laure et la couche sur l’homme. Il lui enfile son sexe dressé dans le vagin et la maintient contre lui. Son anus offert est vite la cible d’un autre sexe qui peine à le pénétrer. Le gars doit forcer en tenant sa bite afin que son gland passe l’anneau. Enfin, le gland passé, il peut continuer sa lente progression.Une fois planté, chacun des deux hommes commence à la ramoner lentement. Laure en a le souffle coupé. La douleur est insupportable, jusqu’ici vierge des fesses, Laure a l’impression d’être déchirée.Les larmes aux yeux elle pleure sa douleur quand un troisième homme vient lui violer la bouche.
— Ferme ta gueule et suce ça.
Chacun leur tour les hommes se succèdent dans la bouche de Laure. L’homme qui lui lime la chatte prend ses seins à pleine main et découvre les griffes.
— Putain les mecs regardez-ça.— Houa, c’est quoi ce truc ?? Ce n’est pas humain ça.— Enlevez-lui ça. Le mec lui dégrafe le soutif et l’enlève. Les pointes retirées sans ménagement des tétons arrache un hurlement à Laure qui se contractant de tout son corps, enserre les membres figés dans ses orifices. Les deux sexes congestionnés éjaculent en mêmes temps tandis que Laure s’évanouie presque de douleur. Les deux gars se dégagent de sous son corps.
— Et nous ? Réclament les autres.
— Mettez là sur le ventre et bourrez là. Ca ne vous changera pas beaucoup de vos poupées gonflables.
Un la pénètre par derrière dans son vagin pendant qu’un autre se branle dans sa bouche quasi inerte. Ils jouissent vite en se vidant à long jets. Les trois derniers eux par contre ne l’entendent pas de cette oreille et veulent également leur part, ils giflent Laure pour qu’elle revienne à elle. A peine, la tête relevée, un d’entre eux lui présente son sexe sous le nez. Péniblement elle entrouvre la bouche par réflexe et se retrouve à sucer encore et toujours. Un deuxième derrière elle lui fourre son sexe dans les fesses sans ménagement. Ses seins la font souffrir. Le troisième se branle attendant son tour. Un à un, tous les 7 essaient tous les trous de Laure qui petit à petit refait surface ses seins lui font mal mais ça va mieux, elle est maintenant pleinement active et prend plaisir à ce gang bang. Elle branle autant de bites qu’elle peut à la fois. Elle les honore de quelques léchouilles dès qu’on veut bien dégager sa gorge qui se fait violer comme ses autres trous.
-T’aime bien nos queues hein?
-Oui, elles sont bonnes, elles me font du bien.
Apres bien l’avoir limée, celui qui la sodomise sentant venir son plaisir se retire et vient se branler avec celui que Laure suce. Du coup, le troisième se joint aux deux autres. Ils se branlent de concert au dessus du visage de Laure.
-Ouvre la bouche salope!
L’un après l’autre, ils éjaculent en visant sa langue.
-N’avale pas surtout.
Et c’est ainsi qu’ils se terminent tous les 7. Laure a la bouche ouverte pleine de sperme qui lui coule à la commissure des lèvres. Ceux des mecs qui ont des portables les sortent et Laure se retrouve mitraillée par les appareils qui l’immortalisent ainsi souillée, en loque, trempée de foutre. Pourtant, Laure est heureuse de cette expérience incroyable. C’est sûr maintenant, elle aime le sexe.Une voiture se fait entendre. C’est une voiture de patrouille de la police. Les hommes n’attendent pas leur reste et sautent dans leur fourgonnette qui démarre en trombe.Laure se retrouve seule et avant qu’elle n’ait rassemblé ses affaires, les flics sont là :
-Ben alors mademoiselle qu’est-ce qu’on faisait?Laure déglutie le reste de foutre avec difficulté avant de répondre.
— Je ne sais pas, heu… Ce n’est pas grave, laissez moi partir.— Ha non Mademoiselle, vous restez là. Vos papiers !!
Laure fouille dans son sac ridicule pendant que les flics la matte dans sa tenue vulgaire, le corsage ouvert, ses seins à l’air. Elle panique et ne les trouve pas. La voyant tremblante le flic se saisit du sac.
-Vous voulez que je vous aide ?
Il fouille et trouve ses papiers.
Laure est embarquée est rendue à son père le soir même.
Deux semaines se sont passées. Laure a été envoyée en hôpital de jour pour observation. Son père désarmé, qui ne comprend pas comment sa petite fille si sage en est arrivée là, a été convoqué par la justice. Par chance, il a été reçu par un magistrat humain qui comprenant la situation et la détresse de cet homme a décidé d’étouffer l’affaire. Pour autant, il a imposé un éloignement de Laure de la capitale pour une période de quelques mois.
Ce bon magistrat a un de ses amis qui a déjà admis des âmes perdues en sa ferme éducative. Le père de Laure, reconnaissant a accepté cette offre.
FIN du deuxième chapitre et mise en chantier du troisième chapitre.
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