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Laure son parcours de chienne

Chapitre 1

Zoophilie
Salut je me présente moi c’est Laure je viens tout juste d’avoir 18ans, je suis encore au lycée donc chez papa-maman aussi. Je suis petite brune d’1m55 pour 45kilos, une belle poitrine laiteuse due à la blancheur de ma peau qui fait contraste avec mes cheveux descendant jusqu’au bas de mes reins. De mignons yeux noisettes et une voluptueuse paire de fesse musclée par plusieurs années d’équitation.
J’habite un petit village, à une dizaine de minute de la ville. J’y ai toujours habité et le connais comme ma poche dû faite de mon caractère à ne pas pouvoir rester en place étant petite qui c’est changé en une curiosité perverse durant mon adolescence. Et oui, j’aime les plaisirs du sexe, même si je n’y connais pas grand chose à part mes séances de masturbation devant un film porno (plus ou moins hard bien sûr) avec comme accessoire le manche de mon peigne a cheveux. Dans mon petit village il n’y a quasiment que des vieux, aucun ado de mon âge, je suis toute seule d’autant plus que je ne cherche pas plus que ça a m’en faire j’aime être seule à découvrir tout les plaisirs que peut m’offrir mon corps.
Quand j’étais plus jeune mes parents ont acheté un chien pour surveiller la maison c’était un rottweiler, mais c’était moins cher d’en prendre un bébé qu’un grand déjà dressé. Alors j’ai passé toute mon adolescence avec lui, nous somme de paire, on est inséparable.
Un soir alors que dormais comme à mon habitude dans une petite culotte en dentelle noire (et oui ! Encore une grande fan de lingerie fine) et avec un grand tee-shirt de mon père, mon chien, Arès, et venu du coin de la chambre jusque dans mon lit pour s’y blottir avec moi. Arès est un chien assez massif alors moi toute petite dans mon lit, me suis retrouvée collée le ventre contre son dos musclé et plein de poils. M’étant faite secouée je me retrouvait dans une sorte de douce torpeur encore toute chaude de mon rêve duquel je venais d’être extraite. Et c’est là que je senti cette chaleur irradiant mon ventre. Une chaleur douce et bestiale, remontant du creux de mes cuisses jusqu’à mes seins lourds. Rien de mieux que ça pour réveiller une chaleur au creux de mes reins. Mes hanches bougeant instinctivement le creux de mes jambes vient se coller au dos chaud de mon bel Arès. Cette douce chaleur si près de mon intimité me rend folle et je commence à me frotter sur cette masse de muscle qui m’irradie. Arès lève son museau ayant senti l’odeur caractéristique de femelle que je diffuse, il se relève mais plonge directement la tête entre mes cuisses. Apeurée je lui bloque un peu la tête mais la caresse de sa langue râpeuse sur ma cuisse m’arrache un gémissement de surprise et de plaisir. La résistance sur sa tête se fait nettement moins forte et il en profite pour me lécher plus en profondeur les cuisses à la recherche de l’odeur qui le rend fou. Inconsciemment j’écarte les cuisses et il saisi cette occasion, une onde de chaleur fait frissonner mon corps et me fais complètement lâcher sa tête pour me bâillonner et crier le plaisir que je viens de ressentir. Mon premier cunni prodigué par mon fidèle chien Arès, et quel merveilleux cunni ! Sa langue recouvrait et parcourrait mes lèvres gonflées de plaisirs. Seulement un obstacle le gênait, ma culotte, elle était déjà trempée de mouille et de salive, toutes mes appréhensions et mes doutes s’étant envollés depuis bien longtemps je saisi ma culotte et la fit descendre le long de mes jambes. Je la porta à mon nez et trouva l’odeur enivrante.Arès repris sa place entre mes cuisses et pu enfin lécher cette source d’une liqueur qui le rendait fou. Il introduisait sa langue en moi et fouillait les recoins de mon anatomie. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir ! A chaque passage de sa langue mon corps réagissait en m’emmenant de plus en plus proche de la jouissance la plus belle de ma vie. A deux doigts de craquer et en ayant préparé le coussin pour y crier mon plaisir j’entendis une voix dans le couloir. C’est ma mère !-"Je vais la réveiller elle devrait être levée depuis un quart d’heure !"La plus belle peur de ma vie ! J’ai repoussé Arès de toutes mes forces juste avant que ma mère ne rentre et ne me voie toute essoufflée, Arès la langue pendante étalé sur le sol. Me justifiant d’un :"Arès est fou de bon matin comme ça !".Elle rigola et me dis que le petit dej’ était près puis elle referma la porte. J’était dans un état de panique totale le cœur battant à 1000 à l’heure et frustrée comme jamais je ne l’ai été ! Je regarde alors Arès et je frisonne au nouveau monde d’expérience qui s’ouvre à moi.
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