Tout d’abord, je me présente. Je suis Jean-Marc, 52 ans, marié à Laurence, 50 ans. Nous vivons dans la région PACA, Aix-en-Provence exactement, dans un lotissement, une propriété avec piscine.Je suis voyeur et fétichiste, un faible pour la petite culotte, un plaisir en solitaire. Tout est prétexte à mater. 19h0. Je viens de rentrer du travail après une journée stressante en laissant la tenue stricte du bureau. Rien de tel qu’une bonne douche, en plus des premiers rayons de soleil, bien présents pour cette fin mai, avant de glisser dans mon peignoir noir.Laurence est installée dans son bain de soleil. Avant de sortir de la salle de bain pour la rejoindre sur la terrasse, je donne un coup d’œil dans la panière à linge. Car j’ai un rituel qui est de vérifier l’état de sa culotte du jour.Ce matin elle portait une petite culotte en dentelle blanche, mais là je n’ai trouvé que celles des jours précédents. Bien ! Je viens la rejoindre, un baiser du bout des lèvres, avant de m’asseoir au pied du bain-de-soleil, profitant de la vue qu’elle m’offre sous sa mini robe, qui n’est autre qu’un long tee-shirt rose pâle. Ayant replié ses jambes ouvertes, ne cachant rien de son entrejambe de coton blanc, à demi avalé par la dilatation de ses lèvres vulvaires, et se dessine une belle auréole, de sa petite culotte, qu’elle avait bien ce matin, me faisant baver des yeux. — Bonjour, ma chérie ! Tu profites du soleil, je vois ! T’as passé une bonne journée ? Je te trouve bien songeuse !— Bonjour, mon cœur ! Oui … Je viens d’avoir Anaïs !— Ah ! Ta sœur va bien ?— Pas trop ! Elle me demandait si elle pouvait venir avec Marine...— Bien sûr ! Que se passe-t-il ?— Elle va se séparer !— Mais, qu’est-ce que tu dis là ? Après vingt ans de mariage !— Elles arrivent ce week-end... Pour quelques jours... Je ne pouvais cacher mon plaisir. Celui d’avoir sous mon toit, trois femmes, car Marine est une superbe femme malgré ses 17 ans. À tel point que mon regard pétille d’envie. De les croquer des yeux, bien sûr. — Eh ! Mon gros cochon, tu ne serais pas en train de fantasmer, par hasard ?— Tu sais bien que je fantasme pour un rien... Mais pourquoi dis-tu ça ?— Ton regard ne trompe pas... À moins que tu bandes pour ce que tu mates ? Ma petite culotte...
— Tu veux boire quelque chose ?— Hum ! Je me boirais bien une petite liqueur ! Approche ! Je compris où elle voulait en venir, le temps de me lever, et de venir à sa gauche, restant debout, dénouant le peignoir, lui laissant un plein accès à mon érection. Laurence se débarrassa de son petit vêtement, pour en faire une minutieuse auscultation, et me le tendit. — Tiens mon cœur, fais-toi plaisir... Elle est comme tu les aimes... Abondante, crémeuse et surtout, parfumée... Régale-toi... Déjà, sa main libre s’agrippe à mon membre bandant, qu’elle branle d’un mouvement délicat, avant de venir y joindre sa bouche, tiède, me suçant goulûment.Rapidement, je me mis nu, en retirant mon peignoir, à la base de mon sexe, vous pouvez remarquer un anneau métallique, qui englobe mes testicules et ma queue.Avec l’âge, l’homme perd du volume, dans son érection, selon le diamètre de l’anneau, cela permet d’avoir une meilleure tenue de route. C’est un cadeau de Laurence, pour mon anniversaire.Mais revenons à notre situation.Alors que je ne cesse d’humer sa dentelle, ma brune coquine et gourmande se fait plaisir à me sucer, sans relâche, juste le temps de reprendre son souffle, ma main gauche agrippée à sa courte chevelure, afin de l’accompagner dans son rythme.— Hum ! Ma chérie... Que du plaisir...Elle s’interrompt un instant, lève la tête, avec un regard et un sourire complices.— Clitoris t’attend, viens me croquer... J’en ai trop envie...— Dis-moi, c’est pas de toi, çà …— Chut ! Viens plutôt me faire crier... Je t’expliquerai après... Comment as-tu trouvé cette petite culotte, mon cœur ?— Comme j’aime... Tu ne t’es pas trompé... Tu me connais trop bien...— Je suis capable de faire beaucoup de choses, pour te garder... La séparation d’Anaïs me fait réfléchir...— Beaucoup... Même mes caprices ?— Je ne veux pas te perdre... Même tes caprices...— Nous allons commencer maintenant... Jean-Marie est là, sur sa terrasse, il nous mate... Ce gros cochon, je suis sûre que tu aimerais te le faire ?Laurence rougit, mais dans ses yeux brille une envie... Celle de se faire sauter par son voisin, dont elle a eu l’occasion de voir sa queue, lors de son exhibition, dans son jardin.Pas plus tard que cette après-midi, ayant sorti son bain de soleil, qu’il plaça de façon à ne rien cacher à la vue de Laurence, après s’être séparé de son caleçon, lui offrant un pubis rasé, portant même, un anneau en silicone, pour lui aussi, donner du volume à son membre. Ne se cachant pas lorsque Jean-Marc la rejoint. Jean-Marie se masturbe, le regard fixé sur ses voisins, espérant lui aussi, avoir un accès à leurs complicités. Jean-Marc vint s’agenouiller entre les cuisses ouvertes de Laurence, pour plonger dans son pubis brun, et fourni, entame un judicieux jeu de langue avec celui qui se fait très actif entre ses lèvres vulvaires et son duvet, lui mordillant, lapant, astiquant, jusqu’à la faire jouir, une première fois, cambrant ses reins en avant, sans fermer les yeux, afin de partager son plaisir avec son voisin, laissant échapper un long jet de glaire, qui arrose le visage de Jean-marc.Ce dernier se lève, prend la main de Laurence, pour l’aider à se lever et le suivre, ne lui laissant pas de temps mort.Haletante, dans son maxi tee-shirt, où pointent, au travers le tissu, ses mamelons roses et fermes, en forme de petites poires, encore fraîchement en érection.— Prends ta culotte.Obéissante, Laurence s’exécute, Jean-Marc l’attira avec lui jusqu’au grillage. Jean-Marie ne peut que se lever, dans la même tenue que son voisin, pour les rejoindre.— Bonsoir, Jean-Marie...— Bonsoir, Jean-Marc...— Laurence a une grosse envie... De te sucer...Laurence ne dit mot, mouillant de plus belle, soumise à cette idée de partager ce moment avec celui qui la reluque toutes ses saintes journées, entre ses fenêtres et le jardin.— Que me proposes-tu ?— Laurence, donne-lui ta culotte... Sagement, Laurence tend le petit vêtement parfumé, à Jean-Marie, entre les mailles du grillage.— Agenouille-toi et suce-le...Jean-Marie, ausculte ce petit vêtement odorant, à s’enivrer les narines et par la même, se plaque à la clôture, lui présentant son membre en pleine érection, alors que Laurence, elle, se penche et entame une fellation.Pour ce qui est de Jean-Marc, il vient se placer derrière sa pouliche, lui trousse, le peu de tissus qui recouvre son petit et ferme fessier, dont il en écarte les deux globes, constatant une dilatation des deux orifices.Son choix se fait sur la vulve ruisselante, et d’un coup de rein direct, il s’enfile au plus profond de son utérus, allant jusqu’à la garde, la faisant crier, étouffé par la fellation.— Hum !Jean-Marc la besogne à son rythme, sans malgré tout, aller jusqu’à l’orgasme.— Allez... Assez sucé... On change de partenaire...Jean-Marc et Jean-Marie échangèrent un regard complice, tout en rigolant. Jean-Marc se retire, Laurence se relève, après avoir lâché la queue de Jean-Marie, pour pivoter. Elle vient, maintenant, positionner son cul de façon à offrir ses orifices à son voisin, pendant qu’elle, suce Jean-Marc.— J’ai le choix...— Elle est à point, côté vulve, je te laisse la besogner...Jean-Marie ne se le fait pas dire deux fois, d’un coup tout aussi sec, il lui donne un coup de reins, lui enfilant son membre, jusqu’à l’orgasme vulvaire, restant encore bien en érection, Jean-Marie change d’orifice, se présentant l’entrée de son petit anus, qui peut faire penser qu’il n’a pas encore été visité.— Sodomie ?— Bien sûr...Laurence ne peut répondre, étant affairée à sa fellation, qui n’en finit pas. Jean-Marie entre doucement dans son fondant, qui se dilate rapidement, aidé par une poussée de Jean-Marc sur le haut des épaules de Laurence, afin de lui faire faire un pas en arrière, et ainsi accentuer la pénétration de Jean-Marie, oscillant dans un va-et-vient, pour jouir au plus profond de son anus, accompagné d’un râle strident.Jean-Marc, lui ne peut se retenir plus longtemps, venant jouir dans la gorge profonde de Laurence. Tout le monde en a eu pour son compte. Jean-Marie tend le petit vêtement à Laurence, pour lui rendre.— Non, je te l’offre... Je peux bien faire ça... Tu m’as régalé... En espérant que nous renouvellerons cette expérience... Le plus souvent possible... N’est-ce pas mon cœur ?— Tout à fait... Ma chérie... ça t’a plu, Jean-Marie ?— Il ne pouvait pas y avoir plus beau cadeau...— Entre voisins, on peut bien s’entre-aidé... Lui répondit Jean-Marc... Mais dis-moi, tu es tout seul ?— Oui, Régine est partie voir son père en Espagne...— Ah ! Excuse-moi... C’est pas trop grave ?— C’est l’âge...Laurence propose de se faire un apéro.— Ce serait mieux qu’entre une clôture...— Le temps de prendre une douche et j’arrive...— Oui... Lave bien ta queue... Si j’ai une petite envie... On ne sait jamais... Chacun entre chez soi, le temps de passer à la salle de bain. Pour mieux se retrouver, un peu plus tard...
