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Laurence se déchaine

Chapitre 2

Un apéro bien arrosé!!!

Voyeur / Exhibition
Jean-Marie n’y croit pas, ce qu’il vient de vivre est irréel !!! Après avoir pris sa douche, il profite de s’imprégner à pleines narines, à nouveau, le parfum de cette petite culotte de dentelle, en humant l’entrejambe. Puis il passe un caleçon, et un tee-shirt. Mais en se regardant dans la glace, il ne trouve pas sa tenue suffisamment provocante.Il retire le caleçon, restant nu sous son tee-shirt, et même s’il exhibe partiellement son pénis, cela ne peut que l’exciter, lui redonnant un début d’érection, incontrôlable. Ses tongs, et le voilà fin prêt, pour la suite de sa chaude soirée de plaisirs fous.
Chez Laurence et Jean-Marc, chacun se prépare.
Jean-Marc a lui aussi eu la même idée que Jean-Marie en ne mettant qu’un tee-shirt. C’est ainsi qu’il accueille Jean-Marie alors que Laurence est toujours en préparatifs dans la salle de bain.— Entre... Nous avons eu la même idée, je vois... Laurence nous prépare je ne sais quoi... Elle s’est collée dans la salle de bain... Assieds-toi... Comment as-tu trouvé ce petit jeu ???— Je n’en reviens pas moi-même... Qui l’aurait cru...Jean-Marie vient s’asseoir sur le canapé de cuir alors que Jean-Marc, lui, s’assied dans un des fauteuils de cuir face à lui. Si ce dernier se tient les jambes ouvertes, son invité, par retenue, garde ses jambes fermées.— Alors, raconte-moi... Qu’est-ce qui t’a attiré ?? Comment as-tu découvert ta voisine ???— Dès que vous avez emménagé dans les premiers jours, j’ai surpris la petite Laurence, par hasard, alors que je me trouvais à l’étage et qu’elle avait la fenêtre de la salle de bain entre-ouverte. À la sortie de la douche, elle s’était placée face à nous, ayant retiré son drap de bain en éponge, nue, elle regardait vers nos fenêtres, tout en massant à pleines mains ses mamelons, qu’elle paraissait caresser, de ses doigts experts, l’obligeant rapidement à prendre appui à la paroi du mur, la tête en arrière... Je ne voulais perdre aucun détail de son exhibition, car elle ne se cachait pas, après avoir longuement tripoté ses mamelons, elle s’est attaquée à son orifice vulvaire, clitoridienne, elle se fit très impliquée, toujours face à chez nous, et commença son spectacle... Avec pour seule idée, se faire surprendre. En jouant de ses doigts entre sa fourrure brune et encore bien humide, qu’elle trifouilla, puis se montrant un peu plus, elle se releva, laissant la fenêtre totalement ouverte, son pied droit sur le rebord du lavabo, pour mieux se doigter, faisant osciller au moins trois de ses doigts, j’en pouvais plus... À mon tour, je m’activais, déjà, en ouvrant la fenêtre, me montrant. Sur le coup, elle s’interrompit, mais, ou trop excitée d’être maté, ou...
Sur ces entre-faits, Laurence vient les rejoindre, elle a mis une tenue de soirée, qui va avec celles de ses deux cochons de voyeurs.Un caraco de dentelles, qui voile à peine, sa petite et ferme poitrine, dont ses mamelons rosâtres, pointent dans l’attente d’un massage jouissif, car, si elle est une hyper clitoridienne, coté mamelons, elle fait une hypersensibilité.Et une jupette si courte, que je la classe en micro jupette. Elle s’arrête en dessous de l’aine, plissée, à carreaux noirs et blancs, à chaque pas qu’elle fait, le pan de sa jupette se soulève, leurs offrant la naissance de son ventre emmailloté de sa dentelle du soir, blanche, au plus grand bonheur de nos deux voyeurs, pour trancher, elle a une paire de bas DIM, noirs, qui voilent ses longues jambes chaussées de bottes en peau, cannelle, augmentant les pulsions des deux hommes, surtout Jean-Marie, qui lui fait face, dans l’encadrement de la porte du salon, ne pouvant cacher un début d’érection, s’obligeant à entre-ouvrir ses jambes.
Jean-Marc, très intéressé par son récit, fut interloqué par son jeu de jambes, tourne la tête, découvrant à son tour, Laurence, debout, les mains sur les hanches, ses yeux accrochés à l’entrejambe de leur invité du soir, les provoquant.
— Alors, mes deux gros cochons... ça vous plaît ??? Je vois que ça discute dure, sur mon dos... Bande de gros cochons... Vous n’avez pas soif ??? Moi, je me boirai bien... Hum !!! Une liqueur...
Laurence vient s’asseoir à droite de son invité, et sans attendre, agrippe sa main gauche sur cette queue se faisant active, le masturbant, afin de lui donner une totale érection.Jean-Marie se sent un peu gêné, vis-à-vis de son mari. Laurence, qui s’en rend compte, lui glisse quelques mots à l’oreille.— Ne fais pas ton timide, mon gros cochon... Jean-Marc est aussi cochon que toi... J’adore ta queue...Hum !!! J’ai ma petite culotte déjà bien mouillée... Je vais boire un bon jus tiède, jusqu’à t’assécher tes couilles... Continues ton histoire, te gènes pas pour moi...
Et sans demander son reste, elle vient s’agenouiller entre ses cuisses ouvertes, creusant ses reins, faisant retrousser le tissu de sa micro, pour en dévoiler son petit fessier, encore emmailloté de sa petite dentelle blanche, dont sa raie fessière en a avalé une grande partie, dévoilant sa fesse gauche, que Jean-Marc dévore du regard, alors qu’elle s’active goulue ment sur sa fellation.
— continue, Jean-Marie... Ça m’excite ton histoire... Et dire que je croyais qu’elle était la femme parfaite... Hum !!! J’ai ma main qui me brûle à te fesser... Ma petite salope... Que tu es... Au fait, Jean-Marie, Tu veux boire quelque chose ???— Hum !!! Je me boirai bien une petite liqueur tiède...— Pas de soucis, ça tombe bien, je vais te suivre aussi... Allez, ma chérie, sers-nous une de tes liqueurs... Comme tu le fais si bien...
Jean-Marc se lève, vient se placer sur la gauche de Laurence, se penche sur ce cul, commence une cuisante fessée sur la joue gauche, la rendant écarlate.Surprise par son geste, Laurence, ne pouvant se dégager de la fellation, retenue par la main de Jean-Marie, agrippée à sa courte chevelure, qui lui donne le rythme, pousse un cri étouffé.— Tiens, ma belle... Prends ça... Hum... C’est bon, ça ???Jean-Marc s’attaque à sa dentelle, lui entravant les cuisses, pour commencer une minutieuse auscultation de l’entrejambe garnie d’une épaisse auréole de glaire encore toute fraîche, qui en tapisse le tissu, allant en humer le doux parfum, puis avec l’aide de Laurence, qui est toujours aussi active, à pleine bouche sur le membre de Jean-Marie, qu’elle suce sans fin, Jean-Marc lui dégage sa dentelle, après qu’elle est soulevée ses jambes, permettant le retrait de ce précieux vêtement, qui est un véritable carnet de bonne santé de la femme. Avis d’un voyeur confirmé, que je suis ! Pour le remettre à leur invité.— Tiens, Jean-Marie, en attendant ton verre de liqueur... Nous avons beaucoup de chance, elle est en pleine ovulation... Donc, elle déverse de belles quantités de glaire...— Merci...Jean-Marie se le plaque sur les narines, à humer, Laurence, qui le sent prêt, insiste et accélère.— Hum... Attends... Ah... Pas encore...— Laisse-toi aller... Elle veut te boire... Lui dit Jean-Marc.
Jean-Marc, de son côté, commence une clitorisation, mais il faudra un peu plus, pour faire couler sa liqueur des profondeurs de son utérus. Lui enfilant deux doigts, mais très vite, un troisième vient s’y greffer, puis un quatrième, la faisant grogner, dans un mélange de plaisir et de douleur. Va-t-elle accepter le fisting ??
— Tu y es presque, ma chérie. Un petit fist. C’est bien ce qu’il va te falloir pour nous déverser toute ta liqueur... Allez... Ouvre plus tes cuisses... Écarte... Voilà, j’y suis... Ma main est dedans...
Doucement, Jean-Marc lui introduit les cinq doigts, forçant un peu le passage, pour lui faire avaler en totalité sa main droite. Laurence se raidit un moment, cherchant à l’éviter, puis la caresse se fit plus agréable, et précise, en oscillant, la faisant ruisselante de glaire, ne pouvant plus assurer la fin de sa fellation, gémissante, râlant à pleine gorge, faisant profiter les voisins. Jean-Marie lui tira la nuque en arrière, l’obligeant à le regarder.— Tu aimes te faire fister ??? Hum !!! Allez... Finis ta fellation, que je te donne à boire... Là, c’est trop...— C’est son premier fist...— Ah... Aaaaah... Oui... Je jouis... AH !!!Jean-Marie, ne pouvant se retenir plus longuement, à son tour, éjacule son foutre dans la gorge, lui faisant avaler.
Jean-Marc retira sa main enduite de glaire, puis y glissa un premier verre à liqueur dans sa vulve béante, d’où un premier jet s’en extirpe, après une forte contraction de son ventre, qu’il récupère dans le verre, puis faisant de même pour un second verre, où elle finit d’éjaculer sa liqueur.
— Allez !!! À notre santé... À notre salope de Laurence !!! Dit Jean-Marc, restant agenouillé devant le cul de sa pouliche, encore toute ruisselante et béante, puis d’un coup de reins, il lui enfile son membre, tout en levant son verre, trinquant avec Jean-Marie.
Laurence, surprise par sa pénétration, crie, continuant à jouer, du bout des doigts, avec la queue de Jean-Marie, pour lui redonner de la vigueur.
Jean-Marc oscille dans sa béanteur ruisselante, durant un moment, prenant soin de ne pas jouir, puis sentant venir son plaisir, il se retire, pour s’asseoir au côté de son voisin, qui lui, se laisse masturber par la main délicate de Laurence.Cette dernière comprit ce que voulait Jean-Marc. Sans lâcher la queue de son invité, elle vient avaler celle de son mari, le suçant à un rythme cadencé par la main de Jean-Marc.Jean-Marie, lui, interrompant la masturbation de Laurence, se lève et vient se placer devant le fessier, bien dilaté de celle-ci.Il la fesse sans retenue, à lui rendre ses deux joues cuisantes.— Vas-y Jean-Marie, ne te gènes pas, elle le mérite... Elle aime ça...
Jean-Marie redouble sa fessée, à s’en faire mal à la main. Puis, change son action, en lui caressant les joues brûlantes, comme pour lui apaiser sa douleur. Il se penche sur les deux orifices, après en avoir écarté sa raie, fortement dilatée, lui déversant des baisers sur ce même fessier, un instant, et déjà, la réaction de Laurence ne se fit pas attendre, gémissant, tout en suçant Jean-Marc, qui lui se régaler en tant que voyeur actif.Jean-Marie glisse sa langue le long de sa fente, entre le péri net et les grandes lèvres, déjà bien ruisselantes de glaire, qu’elle laisse s’échapper de son utérus accueillant. La lapant, pour lui assécher son ventre, lèvre par lèvre, et finalement, aller chercher dans les profondeurs de son épais duvet brun, celui qui la titille inlassablement, j’ai nommé, Mr clitoris.Pour cela, Jean-Marie glisse sa tête entre ses cuisses écartées, afin de lui astiquer, lui mordiller, lui titiller, pratiquant une véritable fellation à son pénis clitoridien, bavant sa glaire épaisse de son volcan en pleine éruption, gémissante, jusqu’à jouir, résultante de l’action de Jean-Marie sur son clitoris ardent.Reprenant ses esprits, Laurence s’active de plus belle sur sa fellation, alors que Jean-Marc, qui suit l’action, ne se retient plus, et vient arroser Laurence de son foutre abondant, lui tapissant la gorge, avant de tout avaler...
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