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Léa, apprentissage de la vie.

Chapitre 3

Erotique
— Alors, tu dors ? C’est mon tour maintenant ! Et tu as intérêt à t’appliquer si tu veux que je continue mes séances.— Tu me virerais, tu oserais ? rigola la psy.— Fais du travail bâclé et tu verras !— Alors je vais fignoler…
Léa s’allongea sur le ventre, satisfaite d’elle et tira une jolie langue mutine à Agnès qui rit de la voir si heureuse. Elle s’installa jambes écartées, à califourchon sur les cuisses de Léa ; elle envoya une solide dose de produit entre les omoplates et se pencha en avant, étalant lentement et caressant les épaules qui ont commencé à rouler inconsciemment sous ses doigts ; elle passa les mains sur les côtés du torse, caressant les seins écrasés par la posture, massa souplement le creux des reins, les hanches avant de continuer sur les fesses, les faisant rouler tout en les palpant.
— Agnès ! Tu me fais..— Du bien ?— Oui, continue, s’il te plaît.
Agnès se souleva pour pouvoir masser les cuisses et les mollets, sans oublier les plantes des pieds qu’elle manipula longuement, arrachant des gémissements sourds à sa patiente.
— Tu veux bien te tourner ?— Je n’attendais que ça, à vrai dire...— Tu as des seins superbes. Oh ! Que les bouts sont durs, et bien gonflés, je peux les lécher ? Ils sont trop... alléchants.— Oui.— Comment ? Je n’ai pas entendu, tu as soupiré là.— Oui, vas-y, lèche-les, suce-les, mords-mes, je t’en supplie !
Agnès se replaça à califourchon sur les cuisses de Léa puis plongea ses yeux dans ceux de l’adolescente qui l’imploraient, au bord des larmes à cause de la frustration. Elle s’approcha jusqu’à ce que leurs lèvres s’effleurent presque ; dans cette position leurs tétons se touchaient un peu, les mamelons roses turgescents de Agnès se posant sur la chair douce et tendre des beaux seins de la jeune fille. Ce fut elle qui tendit ses lèvres pour embrasser Agnès, ce fut elle qui sortit une langue pointue pour lécher les lèvres de son amie, ce fut elle qui glissa sa langue entre les lèvres à peine écartées pour enfin l’attirer à elle de ses deux mains.
Leurs peaux nues se sont embrasées à ce contact charnel ; Agnès s’est redressée, surprise de sentir de l’humidité sur sa bouche : Léa pleurait à chaudes larmes ; elle a adressé un pauvre sourire mais ses lèvres tremblaient.
— Je suis désolée, Agnès. C’est trop de bonheur d’un coup, je ne suis pas prête à le recevoir.
— Ne dis rien, ma chérie. Tu mérites d’être aimée. Tu es belle, intelligente, je voudrais que tu me fasses l’offrande de ta vulve, de ton petit bouton, je voudrais pouvoir t’honorer sans les doigts, juste te faire danser au bout de ma langue. Juste ma langue, pour te laper, te goûter, te lécher.
Agnès s’était redressée et se tenait debout au pieds de Léa, mais elle s’était agenouillée en parlant, les mains jointes en position de prière. Implorante, inoffensive et innocente.
— Je vais fermer les yeux et te laisser, je te fais confiance ; personne ne m’a jamais fait ça.
Agnès hocha la tête et s’inclina, léchant un genou puis l’autre, remontant en prenant tout son temps, donnant des coups de langue sur les cuisses qui se sont écartées imperceptiblement, lui permettant de glisser la langue sur la chair très tendre au parfum de monoï. Léa a soupiré et écarté plus franchement les jambes, d’elle même exposant un peu de son entrejambe. Puis elle a sorti les deux pieds de part et d’autre du bain de soleil, et Agnès a pu donner un premier coup de langue sur la vulve rose.
Léa s’est cabrée puis relâchée, son bassin s’est tendu vers la langue agile ; elle tremblait, émettait des petits cris plaintifs, des gémissements et des bruits de gorge alors que Agnès faisait glisser sa langue de bas en haut dans la fente qui ruisselait maintenant dans sa bouche. Elle n’osait pas aller plus loin, respectant scrupuleusement ses limitations.
Mais Léa a soudain saisi sa nuque et a collé la bouche de Agnès contre sa vulve ; Agnès respirait les effluves iodées et capiteuses, buvait le nectar coulant à flot du vagin, aspirait les nymphes roses et délicates. Elle se donnait à fond, avec tout son cœur, consciente que cette catharsis était nécessaire pour que Léa revive et puisse faire l’amour sans être bloquée par sa blessure profonde à l’âme. Elle comprit qu’elle était en bonne voie quand les ongles de Léa se plantèrent dans son crâne, l’écrasant contre l’entrejambe alors que le corps de Léa s’arquait et se tordait convulsivement.
Puis Léa retomba, pantelante, la respiration hachée, les yeux clos et un sourire béat. Elle se redressa lentement, comme si elle s’éveillait d’un profond sommeil. Elle s’assit, ramenant ses genoux serrés contre sa poitrine et encerclant ses jambes de ses bras. Puis elle posa sa tête sur ses genoux, une expression rêveuse sur son doux visage ; elle sourit, un sourire qui est monté à ses yeux verts, les illuminant de l’intérieur.
— J’espère que tu acceptes la carte vitale, ce que tu m’as fait était divin.— Merci, j’ai adoré le faire, tu sais.— Tu as le visage trempé de mon plaisir.— Oui, tu as un goût super agréable, je ne m’en lassais pas.— Nous rentrons ? Il commence à faire chaud. J’aimerais prendre une douche avec toi.
Les deux jeunes femmes sont allées directement dans la chambre de Léa, marchant à l’unisson, main dans la main. La douche a duré longtemps, occasion de se rencontrer, de se caresser, de s’embrasser. Agnès tentait de garder son self control, laissant Léa prendre des initiatives ; Léa l’embrassait passionnément, quémandait des caresses, choquant son corps contre celui plus gracile d’Agnès.
— Viens, Agnès, je n’en peux plus, je veux que tu recommences, avec la bouche, avec tes doigts, avec tout ce que tu veux.
Elles ont fait l’amour sur le grand lit défait, enlacées et complices, dans un concert de gémissements et de râles de plaisir. Léa en voulait toujours plus, réclamant des caresses en s’offrant complètement, impudique et magnifique, les tétons érigés et les cuisses trempées de cyprine. Agnès se pliait à tout, heureuse de donner autant de jouissance.
Epuisée, comblée, Léa entraîna ensuite Agnès à la cuisine ; elle avait une faim de louve et confectionna deux énormes sandwichs salade tomates et thon, dont la jolie psy ne put manger guère plus que la moitié. Nues, assises face à face à la table de teck de la terrasse, sous un auvent bien utile, elle mangèrent et burent de l’eau pétillante ; Léa était détendue, apaisée ; elle observait Agnès d’un œil évaluateur.
— Tu n’as pas joui du tout, non ?— Maintenant, non. Mais ce matin, avant que mon mari parte travailler, si.— Vous faites l’amour tous les matins ?— Pas tous, non ; souvent ; et souvent aussi le soir.— Et tu jouis toujours ?— Oui, toujours, et souvent plusieurs fois.— Vous êtes un joli couple, mais tu es si douce, si petite… C’est lui qui commande, tu lui obéis ? Tu lui es soumise ?— Plutôt, oui. Mais juste dans le contexte des jeux de l’amour.— A Riyad, tu serais une simple esclave sexuelle, une femme dans un harem. Juste là pour donner du plaisir, pas pour en recevoir. Comme ça s’est passé ici. Tu as encore faim ?— Merci, ça va. Un fruit, si tu as.— J’ai. Passe sous la table et viens lécher mon abricot. Vite.
Léa avait dit cela sur un ton léger, mais ses yeux reflétaient un mélange de défi et de crainte. Agnès ouvrit de grands yeux, sa bouche s’arrondit de surprise, puis elle sourit jusqu’aux oreilles avant de se laisser glisser souplement sous la table. Léa avait avancé son bassin et écarté largement ses jambes. Que de changements en deux heures ! Agnès aspira aussitôt les lèvres intimes puis le clitoris dardé, plongea sa langue dans le joli abricot largement fendu qui dégoulinait déjà.
— Pas les doigts, juste la bouche ; et tu ne te caresses pas. Tu me fais jouir et tu auras droit à faire du café.
Léa faisait tout pour retarder sa jouissance le plus possible, mais Agnès était habile et la fit décoller en quelques minutes, lui arrachant de petits cris aigus. Puis la psy se redressa, le yeux brillants de fièvre et le visage poisseux. Elle prépara le café qu’elle sirotèrent en silence assises nues à l’ombre de l’auvent. Puis Léa reprit son questionnement.
— Est-ce que ton mari te punit, te bat ?— Non, jamais.— Il t’insulte, t’humilie ?— Non plus.— Tu le regrettes ?— Non, je ne suis pas attirée pas ça, tu sais. Et je l’aime comme ça.— Si je viens vivre chez vous, il voudra faire l’amour avec moi, tu crois ?— Si je suis d’accord, oui, sûrement. Tu es jolie et intelligente, ça compte pour lui. Et pour moi.
Léa médita, se mordant la lèvre inférieure. Elle plongea ses yeux dans ceux d’Agnès et lui sourit timidement.
— Accepte-moi, s’il te plaît. Je ferai tout ce que tu voudras. Tu crois que ton mari me battra ?— Non, ce n’est pas son truc. Ni le mien d’ailleurs, je te l’ai dit. Quelques claques sur les fesses tout au plus du plat de la main, mais c’est tout.— Oh ! D’accord.— Mais je veux bien avoir une servante très docile qui m’obéit au doigt et à l’œil. Surtout si elle est intelligente et jolie comme toi.— Merci. J’aimerais te faire jouir, pour te montrer combien je t’aime, supplia Léa.— Mais en voilà une excellente idée ! Alors viens à genoux entre mes jambes. Montre que tu es une bonne servante.
FIN
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